Découverte du Fablab du pays de Lorient
Christophe, un nouvel adhérent de l’espace multimédia était curieux de visiter le Fab Lab du pays de Lorient, installé au parc technologique de Soye. Le FabLab ( FABrication LABoratory) dépend de Audelor, association qui aide au développement économique, à l’obtention de subvention et à la recherche de locaux…
Rendez-vous pris avec Léo Talotte, le fabmanager, qui nous a expliqué les missions cet atelier de fabrication numérique : « Diffuser de nouvelles pratiques de conception, prototypage et fabrication, pour favoriser l’innovation. S’initier au maniement des machines de fabrication numérique, et apprenez en échangeant sur vos réalisations, vos galères et vos réussites ! »
Léo nous a présenté les machines et leurs diverses utilisations :
- Prusa i3, modifié par leur soin avec une arrivée de 5 filamants de différentes couleurs.
- Découpeuses laser ou CNC
- Imprimante résine liquide à laser
- Thermo-formeuse plastique qui permet de créer un moule à parti d’un objet.
- Cube de réalité virtuelle qui permet à des sociétés d’anticiper leur réalisation et mesurer les difficultés et contraintes techniques
Le FabLab héberge le CREPP (Club de Robotique et d’Electronique Programmable de Ploemeur) et les Ateliers de Soye (nouvelles techniques d’assemblage et utilisations de matériaux)
Nous avons abordé les réglages d’impression avec toutes les possibilités qu’offrent les machines (qualité, poids, temps et prix). Côté logiciels, Léo utilise le Prusa slicer pour la modélisation de la pièce 3D avant impression, pour la bibliothèque d’objets Thingiverse et pour réaliser des plans : Rhino, Freecade, Openscade
L’impression 3D est devenue accessible au grand public depuis quelques années. N’hésitez pas à venir poser toutes vos questions à Léo !
Plus d’infos sur https://fablab-lorient.bzh
L’impression 3D est vue et perçue comme une technologie ressente alors que pour moi elle faisait partie des technologies qui commençaient à se développer en 1996. J’étais en formation bac pro avec les productiques où ces derniers enlevaient de la matière pour réaliser des pièces mécaniques à contrario de l’impression 3D. Mais ces technologies commençaient juste à se développer comme en électricité avec les produits informatisés…
Sauf que…
Elle est reservée aux entreprises riches et inaccesible aux lycee pro dans les annees 90.
En 2009 avec Ping en recuperant des moteurs d’imprimantes nous fabriquions des machines avec un budget minime.
Et le procede des annees 90 n’a rien voir avec les imprimantes 3D car c’est du fritage.
Et aujourd’hui un collegien peu en creer une avec un raspPi pour moins de 60€ ( idem pour le laser engrave et la fraiseuse)
Très intéressant à visiter pour en approcher l’usage professionnel ou personnel !