Une forêt dans la mer

Un scoop scientifique sur les baleines a été révélé : Des scientifiques se penchaient depuis longtemps sans affirmer leurs thèses, sur ces géants des mers.

Tout d’abord, le repas favori de ces espèces est le krill, un phytoplancton.Ces organismes marins se développent en captant le CO₂ dans l’atmosphère. Quand elles meurent, après une vie de voyage et de repas « krill », les baleines coulent naturellement au fond de l’océan. Le fond marin va lui conserver en son sein, pendant des siècles toute cette matière (CO₂compris). Sur terre, ce sont les arbres qui une fois remplis leur rôle de poumon, (absorber le CO₂, pollution, etc…) se décomposent et minéralise le sol. Un arbre va piéger 22 kg contre une baleine 33 tonnes de CO₂.

Cela dit la comparaison n’a pas lieu d’être, chaque élément (terre/océan) ne fonctionne pas de la même façon, même si le but est commun : purifier l’air, favoriser la vie d’autres espèces.

En effet, la baleine, en montant et en descendant de la surface de l’eau, brasse le phytoplancton. Elle le répartit dans le monde à travers ses longues migrations. Dans ses déjections, plein de minéraux, elles régénèrent le phytoplancton qui s’en nourrit. Beaucoup d’espèces de poissons dans son sillage se nourrissent grâce à elles.

Son existence ravit donc tout le monde, elles assurent aux pêcheurs des ressources, elles purifie l’air de l’océan, et donc la « vie » dans cet élément, qui nous fascine tant. Enfin cette étude, permettrait d’être une arme efficace, pour favoriser la réintroduction des baleines dans la mer.Malgré l’interdiction depuis 40 ans de sa pêche, elle ne retrouve pas un chiffre suffisant d’individus.

Reste à proposer des trajectoires différentes aux cargos (notamment aux abords des côtes USA de l’ouest) qui heurtent souvent les cétacés. On compte une centaine de cétacés par an, sans compter notre rôle de pollueur de plastique, qui se transforme vite en phytoplastique et raccourcit de près leurs vies,pourtant si vitale.

On souhaite donc que ces éléments deviennent un bouclier imparable pour protéger ce « poumon » des océans, qui selon les chercheurs estime, qu’une baleine vivante correspondrait sur terre à 1500 arbres.

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