Porte ouverte à la Compagnie du Rouho

L’association La Compagnie du Rouho propose différents ateliers et cours : sculpture, couture, aquarelle, écritures, etc.

Elle vous invite à une porte ouverte dans ses locaux, 93 rue de Larmor, pour assister et découvrir les différentes activités proposées pendant toute la semaine du 16 au 21 juin 2025.

On répondra à toutes vos questions. Vous pourrez vous intégrer au cours et voir leurs réalisations exposées par les participants durant les ateliers..

Vous pourrez alors décider de vous inscrire pour la rentrée 2025. Si les cours sont payants, les participations au cours lors de la porte ouverte sont gratuites.

Les animateurs des ateliers vous attendront pour vous accueillir avec enthousiasme pour faire découvrir leurs spécialités

https://compagnie-du-rouho.fr/

Préhisto-Scènes de Olivier Graveleau

Rencontre avec Olivier Graveleau, habitant du quartier passionné de Préhistoire, et en particulier de Paléolithique récent. Il sillonne les sites en France et en Espagne, depuis plus de vingt ans.

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Peut-on se représenter les Gravettiens ? Nos lointains ancêtres ont pu, pour certains, avoir les yeux clairs et, sans doute, la peau brune, sinon noire. Des Homo sapiens à la belle allure. J’en fais mon pari artistique.

J’ai voulu représenter les gens qui ont vécu durant le maximum glaciaire [de] [supprimer « durant »] le paléolithique supérieur, dans le sud-ouest de l’Europe (-29 000, -22 000), période dite du Gravettien, du nom du site de La Gravette en Dordogne.

Ces peuples ont laissé de nombreuses traces et œuvres à travers le continent, dont l’une des plus célèbres est la Dame de Brassempouy, sculptée dans l’ivoire de mammouth et trouvée sur le site éponyme dans les Landes, qui m’a inspiré pour mon ouvrage.

Nous savons aujourd’hui que ces gens avaient la peau foncée et possiblement les yeux clairs, et cela m’a paru peu représenté…

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Le livre est disponible à l’espace multimédia au prix de 20€ ou par correspondance à graveleauo68@gmail.com

Plus d’informations sur l’artiste en cliquant ici

Merci à Isabelle, Nora et Etienne pour leur participation à l’entretien

Les artistes qui font battre mon cœur

Les peintures révèlent les tendances d’une époque et surtout le monde intérieur d’un artiste !

Amateur de peinture, je vous partagerai mes coups de cœur chaque semaine…

Toulouse-Lautrec (1864 – 1901)

Précurseur de l’affiche moderne et maître de la vie nocturne parisienne, Henri de Toulouse-Lautrec  est l’un des piliers de l’art du XIXe siècle.

Au Moulin-Rouge est un tableau peint entre 1892 et 1895 par Henri de Toulouse-Lautrec.

Le Moulin-Rouge bien sûr mesure l’effervescence d’une vie nocturne Parisienne à un moment donné. Les aires de repos aussi, le milieu nocturne s’avère intéressant pour au moins deux raisons : la première c’est qu’on est libéré de son travail quotidien et on s’adonne à ses passions.

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Toulouse-Lautrec

Vincent Van Gogh (1853 – 1890)

Pionnier du post-impressionnisme, Vincent van Gogh est l’une des figures emblématiques de l’art moderne.

Autoportrait avec l’oreille bandée, 1889 de Vincent Van Gogh

Fin observateur de la vie paysanne il a su enjoliver les durs travaux paysans de sa peinture agitée, entre autres ! Emmitoufler dans un habit de paysan, on ne voit que son bandage, après s’être couper l’oreille, en manque d’absinthe et d’autres plaisirs sulfureux

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_van_Gogh

 

Jackson Pollock (1912 – 1956)

Inventeur de l’action painting, Jackson Pollock  est l’un des grands noms de l’expressionnisme américain.

Les peintures de Jackson Pollock doivent être appréhendées avec un regard d’enfant, car celui-ci n’analyse pas. Sa raison n’intervient pas; l’enfant aime ou n’aime pas, car il est exempt d’analyse intellectuelle. C’est pourquoi Jackson Pollock, qui pourrait être condescendant, invite à la naïveté, du moins par sa peinture…

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jackson_Pollock

 

Edgar Degas (1834 – 1917)

Maître de la lumière et de la composition, Edgar Degas est un des géants de l’art impressionniste du XIXe siècle.

A l’inverse des impressionnistes, il préfère peindre à l’intérieur et plus spécifiquement à l’Opéra de Paris. Il aime utiliser les vues plongeantes ce qui l’oblige au respect de certaines couleurs pour faire cheminer le regard aux endroits voulu…L’éclairage joue sa part dans cette symphonie de couleurs. Les danseuses à l’Opéra, est une excellente source d’inspiration pour magnifier son jeu de couleurs.

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Edgar_Degas

 

Paul Gauguin (1848 – 1903)

Maître des couleurs vibrantes et des compositions exotiques, Paul Gauguin est l’un des géants du post-impressionnisme du XIXe siècle

D’une famille d’Aristocrate, il peint tout, il peint tout le temps. En quête de nouveaux horizons, il part ! Mêlant le classicisme à sa pratique personnelle, il acquiert un style particulier. Mais à Pont-Aven, il rencontre des peintres qui raisonne comme lui et là il se libère. Cela ne lui suffit pas, il part pour Tahiti et là il trouve son bonheur. Cette nouvelle destination le transformera au point d’être métamorphosé !

Les couleurs primaires exaltent le sujet dans la peinture Rue de Tahiti. C’est tout Gauguin !

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Gauguin

 

Henri Rousseau (1844-1910)

Maître de l’imaginaire et du rêve, Henri Rousseau, souvent surnommé le Douanier, est l’une des figures marquantes de l’art naïf du XIXe siècle.

L’art naïf est intemporel et présent à toutes les époques ! Surtout avec Henri Rousseau, qui a fait prendre conscience au monde de l’art et de la psychanalyse que l’art pictural des enfants possède une richesse insoupçonnée. Inconsciemment, l’enfance structure tous les gestes et, surtout, tous les actes artistiques…

Ses peintures, au-delà du dépaysement qu’elles procurent invitent à la création dans un environnement exotique.Rassurons-nous ! Ce changement de paysage est à la portée de tous : Le rêve, en témoigne ce tableau peint en 1910. Il est actuellement conservé au Museum of Modern Art de New York.

Poésie Inscription pour Le Rêve de Henri Rousseau 

« Yadwigha dans un beau rêve
S’étant endormie doucement,
Entendait les sons d’une musette
Dont jouait un charmeur bien pensant.
Pendant que la lune reflète
Sur les fleuves [or fleurs], les arbres verdoyants,
Les fauves serpents prêtent l’oreille
Aux airs gais de l’instrument. »

« il serait naïf de croire cette peinture naïve » Louis Aragon

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Rousseau

 

Pierre Alechinsky (1927 – )

Précurseur de l’art abstrait et maître de l’ expressivité, Pierre Alechinsky est l’un des géants de l’art abstrait du XXe siècle, il continue à inspirer le XXIe siècle par l’évolution de son œuvre.

Alechinsky est un peintre qui bouleverse les codes de la peinture, membre-fondateur du mouvement CoBrA, il désenclave l’art de peindre.

« Central Park » est une œuvre de Pierre Alechinsky réalisée en 1964. Pour cette peinture, il combine des éléments abstraits avec des détails plus figuratifs et utilise des couleurs vives pour représenter le célèbre parc de New York. L’œuvre est actuellement conservée au Centre Pompidou à Paris.

Plus d’informations sur Wikipédia et  sur le site du Centre Pompidou

Paul Signac (1863-1935)

Précurseur du néo-impressionnisme et maître des paysages marins, Paul Signac est une figure incontournable de l’art du XIXe siècle, illuminant ses œuvres par un éclat de points colorés.

Le pointillisme exalté par Signac fait comprendre par l’agencement de ses petits points que cette façon de peindre nécessite de la réflexion. Autodictate et fin collectionneur, il connaît les interactions de toutes les couleurs qui dialoguent entre elles. Sa peinture loin d’être innocente exige de la réflexion…

Paul Signac  capture la lumière et les couleurs éclatantes du port de Saint-Tropez

Plus d’informations sur Wikipédia  et sur Repro-tableaux.com

 

Wassily Kandinsky (1866 – 1944)

Souvent surnommé l’Alchimiste des Couleurs, Wassily Kandinsky est l’une des figures marquantes de l’art abstrait du XXe siècle.

Roi des couleurs, sa peinture abstraite traduit son monde intérieur en harmonie avec le cosmos.

Il se plaît à Montmartre parce qu’il rencontre des artistes qui, comme lui, se libèrent du carcan académique.

Composition 8 est exposé au Musée Guggenheim à Bilbao (Plus d’infos)

Plus d’informations sur Wikipédia

 

Kees van Dongen (1877-1968)

Kees van Dongen, maître des couleurs éclatantes et des compositions audacieuses, est un pilier de l’avant-garde du XXe siècle.

Van Dogen est un peintre fauviste hollandais. Après plusieurs aller-retour à Paris il est séduit par la vie à Montmartre. Il est vrai que vers 1907 la vie parisienne est très séduisante et riche de rencontres. Surtout au Bateau-Lavoir où il rencontre Picasso et tant d’autres. Cette résidence d’artistes est fondée sur la liberté d’expression et donc picturale. Tout pour plaire !

C’est là qu’il peint La Parisienne de Montmartre. Sur cette toile très révélatrice de sa manière de peindre l’on peut apprécier la primauté des couleurs.

Plus d’infos sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Kees_van_Dongen

 

Alberto Giacometti (1901 – 1966)

Alberto Giacometti, sculpteur, peintre et graveur suisse, est une figure emblématique de l’art moderne du XXe siècle, inspiré par le cubisme et le surréalisme…

Solitaire dans un Montmartre foisonnant de peintre, il peint de beaux portraits. Cet artiste ne conçoit plus la peinture comme une stricte représentation de ce que l’on voit, il y mêle le sentiment. C’est à dire que la peinture doit aussi exprimer le ressenti notamment par les couleurs. La simplification des formes, les grands aplats de couleurs sont des caractéristiques de sa peinture

Plus d’informations :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alberto_Giacometti

https://www.fondation-giacometti.fr/fr/collection

 

Salvador Dali (1904-1989)

Salvador Dalí était un peintre surréaliste espagnol, célèbre pour son imagination débordante et son excentricité provocatrice qui a marqué le XXe siècle.

Le personnage prolonge sa peinture surréaliste par une excentricité ostentatoire. Avec lui, la peinture prend un sens psychanalytique, qu’il formule de manière plus ou moins confuse mais avec le sérieux d’un professeur ! Quoi qu’il en soit, dès son plus jeune âge, il est doué pour la peinture.

Après une formation classique, il s’émancipe et commence rapidement à peindre à sa façon. Son épouse, Gala, lui sert souvent de modèle et sa peinture prend une tournure de conte de fées ! Ses œuvres défient le bon sens et permettent à tout un chacun de s’initier à la psychanalyse.

Le tableau « Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une grenade, une seconde avant l’éveil » est exposé au Musée Thyssen-Bornemisza à Madrid. Plus d’infos

Plus d’informations :

https://www.salvador-dali.org/fr/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Salvador_Dal%C3%AD

 

Frida Kahlo (1907-1954)

Frida Kahlo était une artiste mexicaine emblématique, connue pour ses autoportraits et son engagement envers le féminisme.

Cette artiste mexicaine est devenue célèbre grâce à sa peinture.  Cette femme libre a tout de même été fragilisée par un mariage houleux et par sa maladie contractée dès l’enfance : elle souffre de poliomyélite. Cette maladie l’a contrainte à de nombreux séjours à l’hôpital. Sa peinture, simple et figurative,  la représente à travers ses autoportraits. Elle se peint vêtue simplement, avec un visage au teint mat, agrémenté de petits poils et d’habits modestes.

Sur l’un de ses portraits, on peut l’apercevoir avec, sur une épaule, un félin noir, et sur l’autre, un perroquet sombre, renforçant ainsi l’exotisme de l’image.

La peinture de Frida Kahlo nommée “Autoportrait au collier d’épines et colibri”, réalisée en 1940, est un des tableaux les plus connus de l’artiste. On peut l’apercevoir avec, sur une épaule, un félin noir, et sur l’autre, un perroquet sombre. Ce tableau exprime sa douleur physique et émotionnelle. Plus d’infos su cette peinture

Plus d’informations :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Frida_Kahlo

 

Edvard Munch (1863-1944)

Edvard Munch est un peintre expressionniste norvégien dont l’œuvre, marquée par l’angoisse et la mélancolie, explore les tourments de l’âme humaine.

C’est un expressionniste, et tout au long de sa tumultueuse vie, sa peinture reflète avec intensité les émotions du moment. Dès son mariage en 1938, il entreprend des voyages qu’il retranscrit avec passion dans son art. Ses émois se manifestent notamment dans Le Cri, une toile qui évoque l’isolement qu’il éprouve, tant face aux autres qu’en lui-même. Les couleurs, associées à la perspective de cette « passerelle », illustrent ce sentiment avec force, tout comme l’expression du personnage central.

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Edvard_Munch

 

Gustav Klimt (1862 – 1918)

Gustav Klimt, maître du symbolisme et de l’Art nouveau, est célèbre pour ses peintures dorées et sensuelles.

C’est un artiste natif d’Autriche internationalement connu. Ses œuvres ont tellement de succès qu’elles sont conservées, pour certaines, dans un coffre fort. Après une formation classique il s’affranchit de ces codes pour proposer sa manière très personnelle de s’exprimer.

La Médecine de Gustav Klimt, réalisée en 1901, est une œuvre allégorique qui illustre la fragilité humaine face à la maladie.

Plus d’infos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gustav_Klimt

 

Berthe Morisot (1841-1895)

Artiste peintre française, cofondatrice du mouvement impressionniste, reconnue pour son style délicat et lumineux qui capturait avec sensibilité la vie quotidienne

Voir le documentaire « Berthe Morisot, la première femme impressionniste » de Jacques Vichet (2021) en cliquant ici

Le Berceau (1872) représente sa sœur Edma veillant sur son enfant endormi. Ce tableau est emblématique de son style impressionniste délicat et de son intérêt pour les scènes de maternité et d’intimité. Il est aujourd’hui conservé au Musée d’Orsay.

 

Plus d’informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Berthe_Morisot

 

Mary Cassat (1844-1926)

Mary Cassatt, peintre améraicaine,  vient séjourner à Paris parce qu’elle est séduit par les peintures impressionnistes. Son engouement ne s’arrête pas, elle prend des cours de peinture et sa sensibilité de femme oriente ses choix picturaux. En tant qu’américaine, son dépaysement est total en France. Montmartre l’intéresse parce qu’ elle y trouve des points communs avec son état d’esprit.

Le tableau Le Bain de l’enfant est actuellement exposé à l’Art Institute of Chicago. Cette œuvre illustre parfaitement son style impressionniste et son thème de prédilection : l’intimité du lien entre mère et enfant.

Plus d’infos sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Mary_Cassatt

 

Expo photo de David Mallégol

L’exposition « Lorient s’affiche » est en place chez A TON AISE, 158 rue de Belgique à Lorient.

Vous pouvez d’ores et déjà venir voir la vingtaine d’affiches représentant les lieux emblématiques de Lorient

Mardi, jeudi, vendredi, samedi : 11h -0h

Mercredi : 17h-0h.

Le Lorient d’antan

Une nouvelle carte postale toutes les semaines pour mieux connaître l’histoire de Lorient :

1. La place Alsace-Lorraine dans les années 30

Carte postale, datant de 1935/1939, Gaby éditeur à Nantes, collection personnelle.

Au premier plan, les arbres de la place, et le kiosque à musique, celui-ci étant inauguré le 24 novembre 1933 (en remplacement d’un premier kiosque, datant de 1885 et détruit en janvier 1933) avec sur son toit les armes de la Ville de Lorient et des cartouches avec le nom de compositeurs célèbres. Rescapé des bombardements de 1943, il sera démoli après guerre, lors de la reconstruction de la place.

Au second plan, les immeubles de la place, à gauche, la rue de Turenne (de nos jours on y trouve l’église Notre-Dame de Victoire), à droite, les rues des Fontaines et de La Patrie, avec les magasins Fashion House et Novoprix (de nos jours, les Galeries Lafayette ) et à droite le magasin de vétements Saint Remy (de nos jours le magasin Burton)

Il y avait deux autres kiosques à musique à Lorient, un place d’Armes et un place de La République, dans le quartier de la Nouvelle-Ville.

2 – Le cours des Quais

Le jeu des 7 différences et plus : Sur ces deux cartes postales, nous voici devant le bassin à flot, avec à l’arrière plan, le cours des Quais (notre quai des Indes actuel), dont l’arrière du théâtre du cours de la Bôve, et au premier plan des marins qui réparent une voile de bateau.

Vous vous demandez pourquoi mettre deux fois la même carte postale, la 2012 de la collection Villard ?

Si vous regardez bien, il y a des différences entre les deux cartes postales…

 

3 -La place d’Armes et l’Hôtel Gabriel vers 1905

Au premier plan, des enfants et des marins posent devant la statue de Stanislas Dupuy de Lôme; à droite la Préfecture Maritime de Lorient, avec sa marquise, ses souches de cheminée, et ses sculptures du 18e siècle, et sa grille, notre actuelle galerie Le Lieu . Au fond la tour de La Découverte et les arbres de la colline du Faouëdic.

Carte Postale, collection Villard, Quimper, éditeur.

4 -La rue Beauvais et Hôtel Terminus vers 1920

Sur cette carte postale, nous voici rue Beauvais, à gauche, cachée par les arbres se trouve la gare, à droite, au fond l’école de Kerentrech, le tabac de l’hôtel Saint Christophe, hôtel qui sera a reconstruit dans les années 30, l’hôtel Terminus, avant son agrandissement et une belle villa, qui existe toujours. On notera la publicité pour les vêtements Saint Rémy

J. Nozais, éditeur, Nantes

5 – L’avenue de Merville vers 1905

Nous voici avenue de Merville (de nos jours avenue Jean Jaurès) au niveau du carrefour avec les rues de Kerlin et Claire Droneau, en direction de la Nouvelle-Ville. Notre regard est attiré tout d’abord par la foule qui pose pour le photographe sur la chaussée et le trottoir de droite, avec principalement des enfants, puis par le tramway, avec sa publicité pour le triple-sec Poulain, qui roule en direction de Ploemeur. Sur le trottoir de droite, un kiosque ou une vespasienne, avec une publicité pour le Grand Théâtre Delemarre, « prochainement à Vannes? »

Carte postale, collection Villard, éditeur, Quimper.

6 – Le Quai de Rohan, la rue Carnot et le Pont Tournant vers 1905

Sur cette carte postale, nous voyons au premier plan trois vedettes, reliant Lorient à Port-Louis, ancêtres de nos batobus, à droite le Pont-Tournant, reliant le cours de Quais à la Nouvelle-Ville. Sur le quai côté Nouvelle-Ville, deux bateaux, dont « Le Redoutable » à droite. Enfin, nous voyons quai de Rohan, des entrepôts, dont ceux des Bateaux à Vapeur du Nord et ceux des Messageries de l’Ouest & Union Belliloise et celui du Charbon de Terre, aux angles de la rue Carnot et du quai, un café et un tabac.

H. Laurent, Port-Louis, éditeur

7 – Quartier de Kerentrech,vers 1900, rue de Brest (Pierre-Paul Guieysse)

Nous voici devant l’église Notre Dame de Bonne Nouvelle, avec son porche et son clocher. A gauche, la future place de l’Yser avec ses arbres, le kiosque d’un marchand de journaux et une cheminée d’usine. A droite un banc et une charrette à bras.
Carte postale, H. Laurent, Port-Louis, éditeur

8 – La rue du Maréchal Foch vers 1935

Nous voyons ici la rue Maréchal Foch, par temps ensoleillé, avec une grande animation, automobiles, cyclistes, piétons, dont des marins. Parmi les commerces, on remarque « A l’Ours Polaire », une quincaillerie, un magasin vendant des articles de chasse. Au fond l’église Saint Louis, à droite, à l’angle de la rue Paul Bert, la fontaine monumentale dit aussi fontaine de Neptune, oeuvre du sculpteur Auguste Nayel et de architecte Stephen Gallot.

Carte postale, de la série « Lorient Moderne », Nozais, éditeur, Nantes Bon dimanche

9 – La plage de Port-Maria vers 1910

Voici la plage de Port-Maria à Larmor-Plage, vers 1910, un jour d’été, avec de nombreux promeneurs.
Au premier plan sur les rochers des femmes avec leurs ombrelles, ainsi que des militaires en uniforme.
Au second plan, les promeneurs, mais peu de baigneurs, on remarque des tentes et cabines de plage
Au fond, de droite à gauche, la terrasse d’un café ou d’un glacier, la villa Les Sables qui agrandie deviendra le Celtic Hôtel et la villa Les Hermines, construite en 1910

Collection H Laurent, Port-Louis, éditeur

10  – Vue générale du Port de Commerce vers 1920

Aujourd’hui je vous propose une vue de l’avant port de Lorient, avec des bâtiments qui existent toujours, pour la majorité d’entre-eux
Au premier plan, le quai de Rohan, avec ses bateaux à voile et à vapeur, avec un train de marchandises, chargeant la cargaison d’un bateau.
Le port de Lorient, était desservi par deux lignes ferroviaires à usage de fret, une de la compagnie du P.O. et l’autre de la Compagnie des Chemins de Fer d’Intérêt Local du Morbihan.
Dans l’avant port, une vedette à vapeur vient de quitter Lorient et va en direction de Port-Louis ou de Larmor-Plage. Ce sont les ancêtres de nos bateaux-bus actuels.
Au second plan, le Cours des Quais (Quai des Indes), avec un bateau de pêche, à gauche,les hôtels particuliers du XVIIIe siècle, dont la maison natale de l’écrivain Ernest Hello, à droite, la Cale Ory et l’Hôpital Maritime, les casernes de la Gendarmerie Maritime et au fond, le jardin de l’Hôtel Gabriel, la villa Frégate, et la tour de la Découverte
Carte Postale, faisant partie d’un album souvenir de Lorient, édité vers 1920, J. Nozais, éditeur à Nantes.

Au premier plan, le pont suspendu Saint Christophe, inauguré en 1847, et remplacé par le pont actuel en 1960, avec les voies du tramway, à droite une villa, au fond le Scorff avec le parc à bois Saint Isidore et Lanester.

Collection personnelle, J. Nozais, éditeur à Nantes

11 – Le pont Saint Christophe vers 1920

Au premier plan, le pont suspendu Saint Christophe, inauguré en 1847, et remplacé par le pont actuel en 1960, avec les voies du tramway, à droite une villa, au fond le Scorff avec le parc à bois Saint Isidore et Lanester.

Collection personnelle, J. Nozais, éditeur à Nantes

 

12 – la place Alsace-Lorraine et les rues des Fontaines et de La Patrie, vers 1905

Au premier plan, des enfants posent devant le photographe, à gauche le magasin de chapellerie et chemiserie Fashion House, à droite les Modern Galeries, avec une belle façade en pierres de taille et une marquise, et une calèche qui stationne devant l’entrée du magasin. A noter les enseignes sur le toit, qui étaient peut être lumineuses.

Sur la place on voit un kiosque à journaux, devant Fashion House, et une vespasienne, à l’angle de la place avec les rues de La Patrie et des Fontaines.

Au fond la rue des Fontaines, une des rues les plus commerçante de Lorient, qui va de la place Alsace Lorraine, jusqu’à la place Bisson .

Carte postale, Collection H. Laurent à Port-Louis, collection personnelle.

13 – La gare routière vers 1948

Au premier plan, la gare routière de Lorient, mise en service en 1938, avec ses cars Chausson; à gauche le cours de Chazelles et la place Georges Clémenceau. Au fond, la ville déblayée et non reconstruite, avec la tour de l’église Saint Louis, la colonne Bisson, les immeubles de la rue Poissonnière et celui de la rue des Fontaine, ainsi que la chapelle provisoire en baraque, de la paroisse Notre Dame de Victoire.

14 – Inauguration de la statue de Victor Massé en 1887

Sur cette photo datant du 4 septembre 1887, nous assistons à l’inauguration de la statue du compositeur Victor Massé, cours de La Bôve, en présence de nombreux lorientais.

La statue en marbre, est l’œuvre du sculpteur toulousain Antonin Mercié, et le socle de l’architecte lorientais Stephen Gallot.
Fortement endommagée par les bombardements de 1943, ce qu’il en restait sera détruit en 1953.

Enfin notre attention est attirée par le salon de coiffure à l’angle de la Bôve et de la rue du Port.

Photo : Médiathèque François Mitterrand, fonds Bretagne,

15 – La rue Maréchal Foch , lors de la Cavalcade du 5 mars 1933

La foule de spectateurs regardant passer un char sur le thème de l’aviation, à droite le café du Morbihan, et la fontaine de Neptune, oeuvre conjointe du sculpteur Auguste Nayel et de l’architecte Stephen Gallot. Au fond l’église Saint Louis.

Album photo, conservé à la Médiathèque de Lorient, Fonds Bretagne.

16 – L’Hôtel des Postes

A gauche les arbres du cours des Quais, actuel quai des Indes, au centre l’Hôtel des Postes, à l’angle de la rue Molière, la Poste déménagera en 1909, rue Poissonnière. Enfin à droite, l’arrière du Théâtre.

Carte postale datant d’avant 1907, Médiathèque François Mitterrand, fonds Bretagne

17 – L’intérieur du quartier Frébault vers 1900

Construit entre 1890 et 1896, le quartier Frébault était le casernement des troupes de l’artillerie coloniale, endommagé lors des bombardements de 1943, il sera démoli en 1961, excepté un bâtiment qui a servi de prison jusqu’en 1982.

Carte postale, collection A. Waron, Saint-Brieuc, médiathèque François Mitterrand de Lorient, Fonds Bretagne

18 – Les casernes des équipages de la Flotte, vues de la Tour de la Découverte, vers 1900

Au premier plan les casernes des équipages de la Flotte, qui sont les anciens magasins de la Compagnie des Indes, bâtiments, aussi appelés le Péristyle et oeuvre de l’architecte Jacques V Gabriel.

Le Péristyle sera détruit lors des bombardements de 1943.

Au fond le Scorff et la rade de Lorient

Carte Postale, fonds Bretagne, médiathèque de Lorient

 

19 – Le Pont Tournant et la rue Carnot vers 1910

Au premier plan le Pont-Tournant et l’écluse du bassin à flot. Sur le pont les passants regardent le photographe, au fond le quartier de la Nouvelle-Ville, avec le quai Rohan, et la rue Carnot. A noter à droite la publicité pour le célèbre Chocolat Menier

Carte Postale, Artaud et Nozais, Nantes, éditeur, collection personnelle.

20 – Port-Louis, la rue de la Pointe vue du quai de la Pointe, vers 1900

Au premier plan, le quai de la Pointe, avec des bâtiments en bois , des charettes à bras et un attelage, se trouvant devant un petit édifice, qui pourrait être un octroi. Au fond les maisons de la rue de la Pointe, avec de gauche à droite, une épicerie, le débit (de tabac ?) de V. le Quer ou le Guen, l’Hôtel Belle Vue et la Buvette du Port.

Carte Postale, collection H. Laurent, Port-Louis, éditeur, collection personnelle

21 – Le Pont-Tournant et l’écluse du bassin à flot

Sur le pont les passants regardent le photographe, au fond le quartier de la Nouvelle-Ville, avec le quai Rohan, et la rue Carnot. A noter à droite la publicité pour le célèbre Chocolat Menier

Carte Postale, Artaud et Nozais, Nantes, éditeur, collection personnelle.

22 – Le Bassin de Commerce vers 1905

Au premier plan, le bassin de Commerce (le bassin à flot) avec un bateau à vapeur et un bateau à voile, au second plan, le Cours des Quais (actuellement place Jules Ferry), avec la Salle des Fêtes, inaugurée en 1905, et l’École Primaire Supérieure. Au fond, les remparts de la Ville.

Carte Postale, H. L. éditeur

 

23 – Revue sur la Place d’Armes : défilé d’un bataillon, vers 1900

Au centre , un bataillon qui défile, à droite le kiosque à musique, qui était au centre de la place. Au fond, le mur, avec sa balustrade, datant de 1742, qui se trouve face à l’Hôtel Gabriel.

Carte postale, Collection H. Laurent , Port-Louis, collection de la Médiathèque de Lorient, fonds Bretagne.

24 – La statue de Jules Simon et les remparts de Lorient vers 1910

Érigée, près de la Porte du Morbihan, face tournée vers le Cours de Chazelles, la statue en bronze de Jules Simon, est inaugurée en 1905, elle est l’œuvre du sculpteur Denys Puech. La statue sera fondue par les allemands pendant la guerre, mais on peut voir à Paris, place du Guatemala, la même statue en pierre.

Carte Postale, Lefeuvre, éditeur, Lorient, collection personnelle

Derrière la statue , on voit derrière les remparts de Lorient, les maisons de la place du Morbihan

25 – Les Nouvelles Galeries, vers 1900

A droite la rue des Fontaines, à gauche , l’immeuble du magasin Fashion House, à l’angle de la place Alsace-Lorraine . Tous ces immeubles disparaîtront lors des bombardements de 1943.

Carte postale, Fonds Bretagne, Médiathèque François Mitterrand

26 – Le Cours de La Bôve vers 1955

Au premier plan, le Cours de La Bôve, avec ses bancs et ses arbres qui viennent d’être replantés, à gauche, on aperçoit la terrasse d’un café, à droite des immeubles reconstruits avec divers commerces , dont une charcuterie, le photographe Crolard, et un électricien.

Au fond on voit le clocher de l’ancienne église Saint Louis, qui sera démoli entre le 5 et le 31 octobre 1957. On notera que les immeubles de la rue Clairambault ne sont pas encore construits.

Carte Postale, Gaby, éditeur à Nantes

27 – Le Pont Tournant et le Quai des Indes vers 1950

Sur cette photo, prise du Quai de Rohan, on voit à gauche, le Pont-Tournant avec ses deux maisonnettes, l’écluse de l’entrée du Bassin-à-Flot , et à droite, une vedette de La Rade, à quai, qui partira à destination soit de Port-Louis ou de Locmiquélic.

Sur le Quai des Indes, on voit à gauche, des baraques, et à droite, un blockhaus, ainsi que le bureau de la Compagnie des Vedettes de la Rade.

Au fond, la Chambre de Commerce, avec son fronton orné de la sculpture d’un Caducée, symbole du dieu Mercure, qui est le dieu romain du commerce. La rue Pasteur, avec le pignon d’un immeuble qui a des publicités pour le cirage Lion Noir et pour l’apéritif Byrrh et deux immeubles de la fin du XVIIIe siècle, qui ont survécu aux bombardements de 1943.

Carte Postale, Artaud, père et fils, éditeurs à Nantes

 

28 – Un Coin de Place Bisson, vers 1930

Au premier plan, le terre plein de la Place Bisson avec la Colonne Bisson à gauche et des marchands ambulants dont un qui s’appelle « A la renommée », à droite , le Cours de La Bôve, au fond , la rue de Pontcarré et dans le lointain la rue de La Marine. Derrière la Colonne Bisson, l’église Saint Louis, les Halles et l’immeuble du journal , « Le Nouvelliste du Morbihan »

Carte Postale, Cie des Arts Photomécaniques, Paris, éditeur, collection personnelle.

 

29 – La Place Alsace-Lorraine, vers 1930

Au premier plan, le terre-plein de la place, avec son kiosque à musique, des bancs, et des automobiles en stationnement. A droite la rue Victor Massé, avec, à l’angle, le « Grand Café », la rue de Clisson, avec l’Hôtel Beauséjour, la rue Hoche, avec à l’angle, un chirurgien dentiste.

Carte Postale, Cie des Arts Photomécaniques, Paris, éditeur, collection personnelle

 

30 – La rue Beauvais vers 1938

Nous voici, rue Beauvais, peu de temps avant la Seconde Guerre Mondiale. Nous sommes devant l’Hôtel Saint Christophe et l’Hôtel Terminus.
L’Hôtel Saint Christophe a été reconstruit par l’architecte Louis Dutartre, et comme de nos jours, il y a un café, qtabac. L’Hôtel Terminus, agrandi au fil du temps, possédait aussi un café et un restaurant. Au fond le Cours de Chazelles et à droite la cour de la gare SNCF.
Carte Postale, Gaby, Artaud père et fils, éditeurs à Nantes, collection personnelle.

31 – La statue de Jules Simon et la Porte du Morbihan , le 25 juin 1905

La statue en bronze, du philosophe et homme politique, Jules Simon, est l’oeuvre du sculpteur Denys Puech. Elle est inaugurée le 25 juin 1905, ce qui explique la foule et les drapeaux sur la Porte du Morbihan, et la couronne de fleurs sur le socle en granit.

La Porte du Morbihan a été démolie à partir du 6 mars 1907. La statue sera fondue pendant la seconde guerre mondiale.

Carte postale, collection H Laurent, Port-Louis, collection personnelle.

32 – La Gare et la Passerelle, vers 1905

Au premier plan, les voies de la ligne de Savenay à Landerneau, avec le passage à niveau fermé du Cours de Chazelles. Une locomotive à vapeur se dirige vers le photographe et passe sous la Passerelle, qui permet aux piétons de pouvoir franchir la voie ferrée. Celle-ci est en ciment armé, a une hauteur de 7 mètres, elle est mise en service le 13 octobre 1900.

Au fond à droite, la Gare de Lorient avec sa marquise.

Carte Postale, Phototype Vasselier, Nantes, collection personnelle

 

33- La Place Bisson, en été, vers 1938

A droite, l’église Saint Louis, avec un autobus de la Compagnie des Tramways, et la Place Saint-Louis.

A gauche, la rue des Fontaines, avec une automobile au premier plan, et un autre autobus de la Compagnie des Tramways.

Au centre la Colonne Bisson, et les immeubles de la place dont le cinéma Select Palace, inauguré en 1920.

Carte Postale, Loïc, éditeur, collection personnelle

 

34 – Le Pont Saint-Christophe vu de Lanester vers 1950

Au premier plan, le Pont Saint-Christophe se reflétant dans le Scorff. Il va bientôt etre remplacé par l’actuel pont. Au fond le quartier de Kerentrech et les maisons de l’impasse Saint Christophe.

Artaud Père et fils, éditeur à Nantes.

35 – La rue de Clisson et la place Alsace-Lorraine vers 1955

Au premier plan, la place Alsace-Lorraine, avec l’Hôtel Restaurant Beauséjour, et l’immeuble du Crédit Lyonnais, en fin de construction.

Au fond, la rue de Clisson, avec l’Hôtel Astoria

Carte Postale, Gaby éditeur, collection personnelle

36 – Le Pont du Chemin de Fer, vers 1900

Un train est en train de traverser le pont du chemin de fer, qui est vu ici en direction de Lanester.

Ce pont, sur la ligne Savenay-Landerneau, a été construit en 1861/1862, pour la compagnie ferroviaire Paris Orléans, et permet aux trains de traverser le Scorff.

Carte Postale, ND et LL éditeur.

 

37 – La statue de Victor Massé et la rue du Port vers 1900

Au premier plan, le Cours de La Bôve et la statue du compositeur Victor Massé, au second plan, la rue du Port, en direction de l’Arsenal, dont on voit la Grande Porte et la Tour de La Découverte.

Carte postale, ND et LL éditeurs, Paris

 

38 – L’église Saint-Louis et la Place Bisson vers 1905

Au premier plan, les arbres de la place Saint-Louis, avec un kiosque et un lampadaire, l’église Saint-Louis et son clocher. D’architecture Néoclassique, elle sera victime des bombardements de 1943. A droite un des bâtiments des Halles de Lorient. A droite la Place Bisson, avec ses arbres et les immeubles à l’angle de la rue des Fontaines et du Cours de La Bôve.

39 – Le lavoir de la Côte d’Alger et le pont Saint Christophe, vers 1900

Au premier plan, le lavoir de la Côte d’Alger, le long du Scorff, avec des femmes et des enfants, certaines femmes lavant leur linge. A gauche on voit le linge qui sèche.

Au fond on voit , à gauche, la butte de la chapelle Saint-Christophe, dont on voit le toit, et à droite, le pont suspendu, et au loin, les arbres du Château du Diable.

Carte Postale, Collection Villard, Quimper, éditeur. Collection personnelle.

40 – La rue Carnot vers 1901

Au premier plan, les maisons à l’angle du quai de Rohan, un coiffeur à gauche et un tabac à droite. Des hommes et des enfants posent pour le photographe.

Carte postale, H. Laurent, Port-Louis, éditeur.

 

41 -L’Hôpital Maritime, vers 1937

Voici la façade de l’Hôpital Maritime, inauguré le 6 août 1936.

Le bâtiment existe toujours, englobé dans l’Hôpital du Scorff.

Carte postale, série « Lorient Moderne », J. Nozais, Nantes, éditeur

 

42 – L’église Notre Dame de Larmor, vers 1900

Nous voyons ici le côté nord de l’église, vu de la place Notre-Dame, et sa fontaine .

Carte Postale, Fond Bretagne, Médiathèque François Mitterand de Lorient

43 – La Place de la République, vers 1905

Nous voici Place de La République, dans le quartier de La Nouvelle-Ville, avec sa statue de la République, qui a été inaugurée le 14 juillet 1904, et son kiosque à musique. Au fond les bâtiments de la société Marcesche & Cie.

La statue existe toujours.

Carte postale, Fonds Bretagne, Médiathèque François Mitterrand

 

44 – La Maison Crucer et les places Bisson et Saint-Louis, vers 1900

Sur cette carte postale, qui met à l’Honneur la Maison Crucer, nous voyons une gravure des places Bisson et Saint-Louis. Celle ci est l’oeuvre de L. Radigois de Rennes.

Au premier plan à gauche, les immeubles de la place Bisson, au premier plan à droite, le centre de la place Bisson avec ses arbres, et le porche de l’église Saint Louis. Au fond la place Saint-Louis.

La spécialité de la Maison Crucer, est le Gâteau Lorientais, mais ils faisaient aussi des Gâteaux Armoricains, et des paquets de petits gâteaux.

Carte postale, Maison Crucer, éditeur.

 

45 – L’Arsenal vers 1950

Au premier plan l’Arsenal de Lorient, avec le bassin numéro 2, la grue et des baraques. Au deuxième plan le Scorff ,Lanester, et le Blavet.

Carte postale, La Pie, Service Aérien, Editions Lapie-St-Maur, éditeur

46 – La Place Alsace-Lorraine vers 1925

Au premier plan, le centre de la place, avec son kiosque à musique, des arbres, et des automobiles.

Au fond , les immeubles de la place, dont l’Hôtel Beauséjour.

Carte postale, LL éditeur , Paris

 

47 – Le Pont Saint Christophe vers 1890, en direction de Lorient

Sur cette photo, nous voyons que le pont n’a que deux câbles de chaque côté. On en rajoutera lors des travaux d’adaptation au passage des tramways, pour qu’il puisse supporter le poids des tramways.

Photo sur support cartonné, ND éditeur, Paris

 

48 – La Place de Ploemeur et la rue de l’Assemblée Nationale vers 1920.

La Place de Ploemeur est devenue la place Aristide Briand.

49 – La Place du Morbihan vers 1905

Au premier plan, la place du Morbihan, avec deux tramways et un kiosque de la compagnie des Tramways de Lorient. A droite , la rue Victor Massé, avec au fond le kiosque à musique de la place Alsace-Lorraine, et à gauche la rue du Morbihan (Maréchal Foch actuelle) avec l’église Saint-Louis.

Carte Postale, A. Waron éditeur à Saint-Brieuc. Collection personnelle.

50 – Le Théâtre de Lorient, vers 1920

Situé entre les rues Racine, à gauche, et Molière, à droite, sa façade donnant sur le Cours de La Bôve, le Théâtre de Lorient, de style Néoclassique, œuvre de l’architecte Detaille, est inauguré en 1780. Il sera bombardé le 23 janvier 1943.

Collection personnelle

51 – Une pensée de Lorient , vers 1920.

 

Voici une belle carte au beau décor floral, et pleine de couleurs , qui met à l’honneur trois lieux de Lorient : le pont Suspendu, qui est le pont Saint Christophe; la statue de Victor Massé, cours de la Bôve, devant le Théatre; et le Bâtiment du 3e Dépôt, à l’emplacement de l’actuelle Maison de l’Agglo.

Carte postale, Arthaud et Nozais éditeur à Nantes. Collection personnelle

 

52 – La Grue électrique de 150 tonnes du Port de Guerre vers 1915.

Carte postale, Lemire, éditeur à Lorient. Collection personnelle

 

53 – Ploemeur : le Sanatorium de Kerpape vers 1920.

Carte postale, collection Laurent-Nel, éditeur

A la découverte des baraques de Soye

Mardi 27 mai, nous avons pris la route, direction Soye et son parc aux multiples histoires…Accompagné.es par l’association Mémoire de Soye*, nous sommes remonté.es sur les traces de notre histoire, célébrez à notre façon les 80 ans de la libération, un devoir de mémoire pour les lorientais.es…Visite des baraques : américaine, canadienne et nommée « Périgault », du nom de l’entrepreneur lorientais qui les produisait à Lanester. Puis visite de l’exposition-hommage à Antony Fleur, créateur d’auberges de jeunesse dans le Morbihan dont la première à Soye…

*L’association est administratrice d’un patrimoine unique, qu’elle a sauvegardé entre 2007 et 2016 avec l’aide de la fondation du patrimoine, des collectivités et de l’état, aujourd’hui protégé au titre des Monuments Historiques et labellisé patrimoine européen de la culture 2018 : La Cité de l’habitat provisoire.

Photos : Erik

Dimanche 22 juin à 15h, une visite est organisée en partenariat l’association des Amis d’Emmanuelle Svob autour des liens entre l’ancien maire de Lorient et Soye (achat du domaine, création du PLL, école de plein air, mouvement auberge de jeunesse, kermesse du PLL…)

Réservez vos visites guidées organisées tout l’été par l’association en cliquant ici et leurs livres sont disponibles sur leur boutique en cliquant là

Du 23 juin au 4 juillet, participez à la préservation d’un important témoin de la Reconstruction, plus d’infos sur le site de l’Union REMPART

Le site de l’association Mémoire de Soye : www.soye.org

Merci à Ginette, Yvette, Françoise et Jean-Claude pour leur visite guidée très sympathique. Et Merci à Mikaël Sendra pour l’organisation.

Bonne écoute du reportage à la Cité de l’habitat provisoire :

Fin de l’exposition aux Grands larges

L’autre jour, un groupe du PLL s’est rendu aux Grands Larges pour voir l’exposition d’œuvres réalisées par des adhérents du Patronage Laïque de Lorient.

Faustine Hamoum enseigne les arts plastiques et a créé des ateliers dans les centres sociaux.

Son projet « A la manière de » a permis aux participants à cette exposition d’explorer le travail d’artistes comme Salvador Dali, Pablo Picasso, Jean Dubuffet, Vassil Tasevski et Claude Viallat.

Sont aussi exposés les poèmes créés pour le Printemps des Poètes sur le thème du volcanisme et les photos en noir et blanc réalisées avec un photographe professionnel il y a quelques mois dans le quartier Frébault.

Les visiteurs ont apprécié notamment, les différentes pendules inspirées de Dali.

 

 

Le jukebox d’Etienne

Dans cette chronique, je vous présenterai mes coups de cœur concernant des albums de Rock en majeure partie sortis entre les années 1960 et 1980, pour vous les faire découvrir ou redécouvrir. Bonne écoute !

The Rolling Stones : « Through The Past Darkly (Big Hits Vol. 2) »1969

Comme les Rolling Stones, font l’actualité en ce moment avec leur nouvel album, quoi de mieux que de commencer par eux, avec cette compilation sortie le 12 septembre 1969 chez Decca Records, peu de temps après le décès de leur guitariste Brian Jones, qui regroupe des titres sortis en 33 tours ou 45 tours, entre 1966 et 1969. et qui donne un extraordinaire panorama de leur musique dans les années 60, il y a du Rock, du Rock Psychédélique, du Blues, de la Pop.
La pochette, du disque 33 Tours, a une forme octogonale très originale, avec une photo d’Ethan Russel, où l’on voit le groupe posant derrière une vitre.

On y trouve entre autres « Jumping Jack Flash », « She’s a Rainbow », « Honky Tonk Women », « Street Fighting Man », « Ruby Tuesday », « 2000 Light Years From Home entre autres, ainsi que quelques titres moins connus comme « Dandelion » ou « Sittin’On The Fence » ou « We Love You »

C’est toujours un plaisir d’écouter ou de réécouter ces titres qui sont devenus des grands classiques de leur discographie, et ils n’ont pas pris une ride !

Il existe deux versions de cette compilation, et je vous recommande la version anglaise, qui est meilleure que l’américaine.

Ecouter l’album sur Youtube Music :

https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lQzcFwDdzIDlyXWlYnjVoAYSMkIPSDKFo

Led Zeppelin : Led Zeppelin, 1969

Premier album du groupe formé par le guitariste Jimmy Page, le chanteur Robert Plant, le bassiste John Paul Jones et le batteur John Bonham, sorti le 31 mars 1969.

Et quel album , un chef d’œuvre ! Enregistré en très peu de temps, il résume déjà tout ce qui fera le succès du groupe : musicalement , outre le grand talent des musiciens, on y entend du hard rock, du blues, du rock psychédélique, voire une inspiration orientale sur « Black Mountain Side » et vocalement, grâce à la voix extraordinaire de Robert Plant.

Les titres les plus connus de l’album, sont « Dazed And Confused », où vous entendrez Jimmy Page jouer sur sa guitare avec un archet, et « Communication Breakdown ».

Ecouter l’album sur Youtube Music :

https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_myknz_P4NL6gCh7eixdDY1RefSrQEHZik

 

T. REX, « Electric Warrior », 1971

Sorti le 24 septembre 1971, produit par Tony Visconti, Electric Warrior est le sixième album du groupe T. REX, dont fait partie le talentueux guitariste et chanteur Marc Bolan. C’est l’un des albums majeurs du Glam Rock, mouvement qui allie musique rock et look extravagant et provoquant, outre T.REX, on y trouve des artistes comme David Bowie, Roxy Music, ou Mott The Hoople.

Il sera l’album qui sera le plus vendu en Grande Bretagne en 1971 et a été classé 160e dans la liste des 500 meilleurs albums de tous les temps, du magazine Rolling Stone.

Vous trouverez dans l’album, certains des hits les plus connus de T.REX, comme « Get It On », « Cosmic Dancer », « Jeepster ».

Il ne vous reste plus qu’à l’écouter en entier ici :

https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mfiorygKX-5kcgIEhFqcOtvZkXFPfpgNA&si=pB6ubL2qN0ngmtX4

 

New Order, « Blue Monday, 1983

Single sorti le 7 mars 1983, chez Factory Records. C’est l’un des 45 tours qui a été le plus vendu de tous les temps.

Un des chefs d’oeuvre de New Order, qu’il faut écouter absolument :

https://music.youtube.com/watch?v=R1MBI2tSHe0&si=zqbcfhgqRzpUnzd_

George Harrison : « All Things Must Pass », Apple, novembre 1970

Troisième et triple album de George Harrison, sorti peu après la séparation des Beatles, en novembre 1970, coproduit avec Phil Spector.

Ce triple album, est le meilleur album de George, et probablement un des meilleurs albums solo d’un ex Beatles. On y trouve des titres comme My Sweat Lord, All Things Must Past, Isn’t it a pity, etc.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mFu6JOPH-wgtQKqOdo3uiMJU5TTvzqQLE&si=72ZmfLcR_Gmq_3Z2

Siouxsie And The Banshees : « A Kiss in The Dreamhouse », 1982

Il s’agit du cinquième album du groupe Post Punk, créé en 1976, par la chanteuse Siouxsie Sioux, sorti en novembre 1982, avec des classiques comme Cascade, Slowdive, ou Fireworks.

Pour écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_l-AuFtJv8yCtH7bogGofq3f32rSSrD6V0&si=3weg3u_cu9ip9jvJ

Stevie Wonder : « Superstition », Tamla Motown, 1972

Superstition est une chanson et le chef d’œuvre de Stevie Wonder, sortie sur l’album Talking Book en 1972, écrite en collaboration avec Jeff Beck, sur le thème des superstitions populaires.

Elle a été classée 12e dans le classement des 500 plus grandes chansons de tous les temps, par le magazine Rolling Stone.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/watch?v=ftdZ363R9kQ&si=hG_h2nsEkEaUojtr

 

Aerosmith, « Toys In The Attic », 1975, CBS

Toys In the Attic, est le 3e album du groupe américain Aerosmith, il est sorti le 8 avril 1975. On y trouve les hits « Walk this way » et « Sweet Emotion ». Il a été classé 228e sur la liste des 500 plus grands albums de tous les temps en 2003.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_n7JxvHG_VFsSj2jaJjtnhcPhjHfLCulU0&si=8q5YW9D6h599ReVL

Chuck Berry , « Chuck .. Berry Is On Top », Chess Records, 1959

Sorti en juillet 1959, c’est le troisième album studio de Chuck Berry, il s’agit presque d’une compilation de titres sortis  en 45 tours, entre 1955 et 1958.
On y trouve des grands classiques du répertoire de Chuck Berry, qui auront une influence considérable sur l’histoire du Rock, comme Carol, Maybellene, Johnny B. Goode, Little Queenie, Roll Over Beethoven, Around and Around.

Cream : « Disraeli Gears », 1967, Reaction

Sorti en novembre 1967, « Disraeli Gears » est le deuxième album du trio « Cream » composé d’Eric Clapton à la guitare, de Ginger Baker à la batterie et de Jack Bruce à la basse et au chant. Produit par Félix Pappalardi, on y trouve les grands classiques tels que « Strange Brew », « Sunshine Of Your Love », « Tales Of Brave Ulysses », « SWLABR », etc.

A écouter ici : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mI6pg0D7SREnjMfnWYJ34vBd-IgAZ3-zI&si=iu77aDr1u-LTYQJW

David Bowie : The Rise And Fall Of Ziggy Stardust And The Spiders From Mars, 1972, RCA

Sorti le 16 juin 1972, c’est le cinquième album de David Bowie, et son premier grand succès grâce aux chansons et au mythique personnage de Ziggy Stardust que David Bowie incarnera lors de ses concerts jusqu’en 1973.
Cet album contient les célèbres chansons Moonage Daydream, Starman, Ziggy Stardust, Suffragette City et Rock’N’Roll Suicide.

Blondie : « Parallel Lines », Chrysalis, 1978

Troisième album du groupe de rock Blondie, et album incontournable de la fin des années 70, il sort en septembre 1978. On y trouve le hit « Heart Of Glass » de style disco, ainsi que d’autres hits, comme « Hanging On The Telephone », etc. Le guitariste Robert Fripp (fondateur de King Crimson) joue de la guitare sur le titre »Fade Away And Radiate ».

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_n5E7jWhUeb8CvB8_Rjh25-xHjJkmHicEE&si=qfWNr-_Vz8QzS-oI

 

The Who, My Generation, Brunswick, 1965

My Generation est le premier album des Who, sorti le 3 décembre 1965 au Royaume Uni, avec les célèbres titres My Generation, qui a donné son nom à l’album, et The Kids Are Alright. Fait rare pour un premier album, on ne trouve que deux reprises, le reste étant des créations de Pete Townshend, le guitariste du groupe.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nJDpoB5ZkhkJoozrUXPkRml3fbjnqbhv4&si=-s4lLdytwV52IcoW

 

Queen, News Of The World, EMI, 1977

Sorti le 28 octobre1977, c’est le sixième album de Queen avec les célèbres hits « We Will Rock You » et « We Are The Champions ».

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lrgYwpqt5QTiwV_b-e-q4yyY8n3tAXPK8&si=sBIdFxm2e2A9a7AZ

 

David Coverdale et Jimmy Page, Coverdale . Page , EMI, 1993

Quand le chanteur David Coverdale, ancien membre de Deep Purple et fondateur du groupe Whitesnake, collabore avec le guitariste Jimmy Page, ancien membre des Yardbirds et fondateur de Led Zeppelin, ça donne ce très bel album, sorti le 15 mars 1993.

A écouter ici : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mYzqHdGgT2xxFj7dhpq75uRYXZ2pDY_YU&si=Cphlv7AbsbESKYGM

 

Creedence Clearwater Revival, Cosmo’s Factory, 1970, Fantasy Records

Cinquième album du groupe Creedence Clearwater Revival, sorti en juillet 1970, c’est l’un de leur meilleur album, on y retrouve des grands classiques du groupe, comme : Ramble Tamble, Lookin’out my back door, Run through the jungle, Up Around the bend et la reprise en version plus rock du classique de la Motown , I Heard it through the grapevine.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kBn3RHxq1iHLF0cuGjuqoVhRlLpaIY3Zc&si=9M-4N1Q2Ss60PAeZ

 

Marianne Faithfull : « Broken English », Island Records, 1979

Sorti le 2 novembre 1979, il s’agit du 7ème album, son premier depuis la fin des années 60 et son plus connu. On y trouve des titres comme Broken English, Guilt, The Ballad of Lucy Jordan, et une reprise du Working Class Hero de John Lennon.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nTkwHnamc9EhHkenXUVwae7GnDBZtcXU4&si=0F-Hwr17KuJWYaEh

Thin Lizzy : Jailbreak, Vertigo Records, 1976

Comme c’est bientôt la Saint Patrick, je vous propose cet album du groupe irlandais Thin Lizzy, dont le membre leplus célèbre est le bassiste et chanteur Phil Lynott.

Sixième album, sorti le 26 mars 1976, il contient les hits Jailbreak, The Boys Are Back In Town, Emerald, etc.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lzx_G2VkrfQwt4cTTesNOehMbjeHcOErs&si=MIdpAPr-vcKp_0wF

 

The Doors, In Concert, Elektra, 1991

Sortie en 1991, voici une compilation de Lives des Doors, avec certains de leurs hits, comme Light my Fire, The End, When the Music’s Over, Soul Kitchen, etc, avec aussi des titres qui n’ont pas été sur leurs albums, comme The Celebration of the Lizard, ainsi que des reprises comme le Gloria, de Them.

Un excellent album live, qui permet de se rendre compte du talent de Jim Morrison, mais aussi de John Densmore, à la batterie, de Robby Krieger, à la guitare et de Ray Manzarek au clavier.

En écoute sur https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mZmSnJzd4-c9WagSBqk5dAHyzsj0sEzWI&si=lIKlbGNTwrDWdvnK

Etienne Daho : « Pop Satori », Capitol Records, 1986

Sorti le 1er avril 1986, Pop Satori, est le troisième album, d’Etienne Daho, il sera disque de platine en 1987. On y trouve des grands classiques comme Épaule Tatoo, Tombé pour La France, Duel Au Soleil. Un album d’esprit New Wave qui n’a rien à envier à ce qui se faisait outre Manche. L’album n’a pas pris une ride, et 38 ans plus tard, c’est toujours un plaisir de l’écouter ou de le réécouter.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kwMUNz4RDmb6q14phkLMuZ_xFdEuaZ1EA&si=BYwdwQyRsp54B5XI

The Jimi Hendrix Experience, « Electric Ladyland », 1968, Tracks Records

Ce double album qui est le troisième et le dernier du groupe The Jimi Hendrix Experience est sorti le 25 octobre 1968.

On y trouve les hits : Crosstown Traffic, Voodoo Chile, Burning of the Midnight Lamp, All Along The Watchtower, Voodoo Child (Slight Return) . Comme vous le constaterez, tous les titres de l’album sont excellents, qu’ils soient rock ou blues, on y trouve le talent et le style unique de Jimi Hendrix.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mz_7Ne15f8dXVGRNFaio1p1DzJKrwbXpw&si=Wm2Sh9UOtr9lKPeV

 

Michel Berger, « Beauséjour », 1980, WEA

Cinquième album de l’auteur compositeur et chanteur Michel Berger, sorti le 23 janvier 1980. On y trouve des grands classiques, comme « La Groupie du Pianiste », « Celui Qui Chante », « Quelques Mots d’Amour ».

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mU1GN5y7Bo5aTPVNhHyr1-ukLifrqdR8I&si=o_N7hxJq8bPmWI8g

 

Marvin Gaye et Tammi Terrel : United, 1967, Tamla-Motown

United, sorti le 29 août 1967, est un album de duos chantés par Marvin Gaye et Tammi Terrell, on y trouve « Ain’t No Mountain High Enough » chanson qui deviendra un classique de la Motown et qui sera reprise notamment par Diana Ross. C’est un très bel album, qui vous donnera beaucoup de plaisir lors de l’écoute, car ce sont deux immense chanteurs.

Pour l’écouter :

https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_meWsHKQXq5OjWZiFInm-Dt8mFa0hCAuKo&si=DrkoWoZeBEYHODfW

 

Black Sabbath, « Paranoid » Vertigo Records, 1970

 

Deuxième album du groupe, il est sorti le 18 septembre 1970, c’est un des meilleurs albums de Black Sabbath.
On y trouve des grands classiques comme « War Pigs », « Paranoid », « Ironman »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lhrQQKBwL-MndIQ077Jq-4eKiq5oo-hJw&si=ZfhhSZDdaOzivtoS

The Kinks, « Lola Versus Powerman And The Moneygoround Part One », Pye, 1970

C’est le huitième album studio des Kinks, on y trouve les classiques « Lola » , « Get Back In Line », « Apeman », « Powerman »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_m3NcCBiNaB1O-3UpRwb_dUnWsOsRIdJSo&si=hW2YujBzT45SB5fX

Etienne Daho, « La Notte, La Notte », Virgin Records,1984


C’est le deuxième album d’Etienne Daho, sorti le 3 mars 1984, et produit par Franck Darcel.

On y trouve la chanson « Week-End à Rome » avec Lio, « Le Grand Sommeil » qui était sorti deux ans plus tôt en 45 tours », une reprise de Françoise Hardy : « Et si je m’en vais avant toi ».

Pour écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_m4VqZ4ivyfDpaYMMsR4YTDhZg3LBfKVuw&si=22j1wHaa9IsJvYWw

 

Françoise Hardy, « Message Personnel », 1973, WEA :

En hommage à Françoise Hardy, qui vient de nous quitter, voici un album de 1973, avec deux chansons composées par Michel Berger : « Message Personnel » et « Première Rencontre » , ainsi qu’une chanson écrite par Serge Gainsbourg et une de Georges Moustaki.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lVYJ_4PI3RB6TlBtGILGsfP328L1anxxU&feature=shared

 

John Mayall : Bluesbreakers with Eric Clapton, 22 juillet 1966, Deram

Après avoir quitté The Yardbirds, le guitariste Eric Clapton, rejoint les Bluesbreakers de John Mayall, en 1965. John Mayall est un musicien et chanteur de blues.

Cet album, est un des sommets de la discographie de John Mayall et d’Eric Clapton. A noter que le bassiste est John McVie, futur membre créateur de Fleetwood Mac.

Ce sera le seul album d’Eric Clapton avec John Mayall, puisqu’Eric Clapton ira fonder le groupe Cream, avec Ginger Baker et Jack Bruce, en cette même année 1966.

Pour l’écouter :

https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mFB9JGYCK2iXgxi9cohUOgUKg5utuqEcI&si=yhhXKvGgmm0l1qhi

 

The Rolling Stones : « Let It Bleed », 1969, Decca Records

Gimme Shelter, Let It Bleed, Country Honk, Midnight Rambler, etc sont quelques merveilles parmi d’autres du huitième et excellent album des Stones, sorti le 5 décembre 1969. C’est le dernier où l’on peut entendre Brian Jones, puisque celui-ci est décédé pendant l’été 1969, et le premier avec le guitariste Mick Taylor, son remplaçant, qui lui a fait parti des Bluesbreakers de John Mayall.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_majeP4GW8tafu1VFAPhs9ABgwjPh7qKGI&si=CxJY_v4yd-AKFG73

 

Mountain : « Climbing », 1970

Il s’agit du premier album du groupe Mountain, sorti le 7 mars 1970, parmi les membres du groupe, citons le guitariste Leslie West, et le bassiste Felix Pappalardi (qui a été le producteur de 3 album de Cream)

On y trouve des grands classiques comme « Mississipi Queen », « Theme For An Imaginary Western » (qui est une reprise d’une chanson de Jack Bruce), « Never In My Life », etc.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nn_8IcAX4-MN_jXgMe-u2akDbncchzmhg&si=-YqM5Hwkdtpn4cjf

 

Sidney Bechet, Claude Luter, André Réwéliotty et son orchestre : « Bechet Souvenirs », Vogue , 1952

Un peu de Jazz « Nouvelle-Orléans » avec cet album qui réunit les talents de l’américain Sidney Bechet et du français Claude Luter.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mTTCgu9sHtSryr62TURiMeTjHkFUJ9b70&si=62tRa5Eri5GwV3Mi

Michael Jackson : « Thriller », 1982, Epic Records

Sorti le 30 novembre 1982, et produit par Quincy Jones, « Thriller » est le 6e album de Michael Jackson, et l’un des albums le plus vendu de l’histoire de la musique. On y trouve les grands classiques, comme Billy Jean, Beat It, The Girl Is Mine (duo avec Paul McCartney) et bien sûr Thriller, et son clip légendaire.

Pour écouter l’album : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mEJ8cCMOkj4hse7QHbRajvO04lNc1Zxmc&si=gAM_F8frzo_rNNGS

Et le clip de la chanson Thriller : https://music.youtube.com/watch?v=sOnqjkJTMaA&si=bgDgRvcc83EbR4nv

 

Iggy Pop : The Idiot, RCA, 1977

C’est le premier album solo d’Iggy Pop, sorti le 18 mars 1977, et qui a été enregistré en France, au Château d’Hérouville. L’album est produit par David Bowie. On y trouve, entre autres, des titres comme China Girl , Nigtclubbing, etc

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lVF2tloWJFrh90eUoimR-NHaw_PM7zzg8&si=QYqGcOL4GmDU55-B

 

Phil Spector : « A Christmas Gift for You from Phil Spector », 1963, Philles Records

Sorti le 22 novembre 1963, et produit par Phil Spector, cet album est une compilation de chansons de Noël, interprétées par les célèbres groupes de l’écurie Spector : The Ronettes , The Crystals, Darlene Love et Bob B Soxx And The Bluejeans.

Cet album est un classique de la période de Noël.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_k9wk3w-3ln4drm7D5-hgR9f2XqprwBW2o&si=qf1DR0GIBoz_48GF

 

Deep Purple : « In Rock », 1970, Harvest Records

Sorti le 3 juin 1970,c’est le quatrième album du groupe et le premier album studio de la célèbre Mark II (composée du clavériste John Lord, du batteur Ian Paice, du chanteur Ian Gillan, du bassiste Roger Glover et du guitariste Ritchie Blackmore). On y trouve des grands classiques comme Speed King, Child In Time , Into The Fire, etc

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mhw9FUybKG8bGXJEO8VL4zx92hpbV7C9g&si=FYRUIrt4YRR9vH6x

Bob Dylan : « Christmas In The Heart », 2009, Columbia Records

Un bel album de Noël où Bob Dylan reprend des chants traditionnels américains de Noël :
Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lSui3IrMpT1HrGCpObyvA3PWeZZhKTcaQ&si=m-RiuCbKdyZ0hBXA

 

Simple Minds : « Once Upon a Time », 1985, Virgin Records

Sorti le 21 octobre 1985, c’est le septième album du groupe écossais. On y trouve les hits « Alive and Kicking », « All the Things she Said », « Sanctify Yourself »…

Pour l’écouter : https://www.youtube.com/playlist?list=PLn-QbYcTVpypANVo30MrEb2k44UAeVHt8

Rod Stewart : « Foot Loose & Fancy Free » , Riva Records, 1977

Sorti le 4 novembre 1977, C’est le huitième album de la carrière solo de Rod Stewart. Un excellent album où on trouve les hits « Hot Legs », « You’re In my Heart », « I was Only Joking »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_loa8DOlQp8zbNspieSjhIRXA37W8kQ1NU&si=MTr_g88OtDZsnb-0

The Rolling Stones : « Aftermath », Decca Records, 1966

Sorti en Angleterre le 15 avril 1966, Aftermath est le quatrième album des Rolling Stone, et leur premier chef d’œuvre, toujours aussi plaisant à écouter, avec des titres comme « Mother’s Little Helper », « Lady Jane », « Under My Thumb », « Out Of Time »…

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_mXxDxKfNVchlpnffhr3o1EExExBTe_cso&si=rlAgzZB8yJaxumtL

 

The Ronettes : « Presenting the fabulous Ronettes, featuring Veronica », 1964, Philles Records

Produit par Phil Spector, et sorti en novembre 1964, c’est le seul album du groupe féminin, les Ronettes. On y trouve le fameux mur du son cher à Phil Spector.
On y trouve des grands classiques comme « Be My Baby », « So Young », « Baby I Love You »…

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nbcwnBhbhQqgvmT1HKQu2MtE9Br-AZR-w&feature=shared

 

Jackson 5 : Greatest Hits, Tamla Motown, 1971

Cette compilation, sortie en 1971, nous permet d’écouter des grands classiques des Jackson 5 (avec le jeune Michael Jackson et ses frères), dont I Want You Back, ABC, I’ll Be There, Maybe Tomorow, The Love You Save, etc.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nM_sfisfwz0MYe7U7Qx2P43xgRY4Ua63A&si=JDfar782CxlOdpT9

Jacques Dutronc : « Jacques Dutronc », 1966, Disques Vogue

Premier album studio de Jacques Dutronc, sorti en octobre 1966, en collaboration avec Jacques Lanzmann qui a écrit le texte de toutes les chansons de l’album, on y trouve les grands classiques de son répertoire que sont devenus « les Play Boys », « les Cactus », « Et Moi, et Moi, et Moi », « On nous cache tout, on nous dit rien », « Mini-Mini-Mini » et « La fille du Père Noël »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_nGct67jJ2eSgL6BcGxDuOs-Y5l5rQ3RLk&si=ue55AnvuP4RoHV2G

 

The Temptations : « All Directions », 1972, Tamla-Motown

Sorti le 27 juillet 1972, « All Directions » contient un des chefs d’œuvre du groupe, le titre « Papa Was a Rollin’ Stone ».
D’une durée de presque 12 minutes, Papa Was a Rollin’ Stone , fera gagner trois Grammy Awards aux Temptations.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lce6O9ol1Vrt89emssRieUZk5bc9_TkEQ&si=a0vyhbP8wEyMqTsl

Count Five, « Psychotic Reaction », 1966, Double Shot Records

Sorti en octobre 1966, c’est l’unique album de ce groupe de rock psychédélique, avec le célèbre titre « Psychotic Reaction » qui a atteint la cinquième place du Billboard en octobre 1966.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kIwhYsTUId7n_hS8h-vf4fD7U2yhDu2Oc&si=2H4_csAMr4Q6KZqB

 

The Stooges : « The Stooges », Elektra Records, 1969

Sorti en août 1969, et produit par John Cale (du Velvet Underground) c’est le premier album des Stooges, dont le chanteur est un certain Iggy Pop. On y trouve le hit « I wanna be your dog »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kajwWTufta8BWpeNapd_6VUkkB6jjv_aQ&si=AmK7U1ZHXDXQCOuP

 

Ike and Tina Turner : « Nutbush City Limits » , United Artists Records1973

Sorti en novembre 1973, on y trouve le grand classique « Nutbush City Limits » , composé par Tina Turner, ainsi qu’une version de la chanson «  »River Deep – Mountain High »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_n2xY5WR63SsjsBOXN78dcOrxzOAWl9xYM&si=-Tj1ZDEygDW_gFMn

 

Otis Redding : « Otis Blue, Otis Redding Sings Soul » , ATCO, 1965

Sorti le 15 septembre 1965, c’est le 3e album d’Otis Redding, on y trouve des grands classiques comme Respect (qui sera reprise par Aretha Franklin), I’ve Been Loving You Too Long (to Stop Now), et une reprise soul de Satisfaction des Rolling Stones

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_n0H_kdbijmLKPCEDQ-eij0b8F5NKyfoEE&si=EZclFsNHSyOcBruy

 

AC/DC, « Let There Be Rock », 1977, Atlantic Records

« Let There Be Rock » , sorti le 23 juin 1977, est le troisième album du groupe, . Il est produit par Harry Vanda et George Young (frère ainé de Malcom et d’Angus).

On y trouve les grands classiques « Whole Lotta Rosie » et « Let There Be Rock »

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_k8IGbZQ_VrpG3qAtIEhfSs55Yg2jZg6Nk&si=fhAgpPmVh4hiKQzV

 

Giacomo Puccini : « Tosca » avec Maria Callas, Giuseppe di Stefano, Tito Gobbi, orchestre et chœurs de la Scala de Milan, Victor de Sabata, 1953, La Voix de son Maître.

Aujourd’hui ce sera de l’opéra avec la version de référence du célèbre opéra de Giacomo Puccini, d’après Victorien Sardou, dont la première eut lieu le 14 janvier 1900. On y trouve rien que moins l’exceptionnelle Maria Callas, et les chanteurs Giuseppe di Stefano et Tito Gobbi.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_ke55TjJt_U1k4tvCjKF54SJTC18_0zCes&si=XJKOKfNJCI98xngb

 

The Rolling Stones : « Forty Licks », 2002

Une compilation des Rolling Stones, qui vous permettra d’écouter leurs plus grands hits, des années 60 jusqu’au début des années 2000.

Pour l’écouter : https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kupcx3348L6ZzmZ-iYWTxog8RAoE0HR3A&si=5VPoOAa4VjBiQiUE

Dire Straits : Brothers In Arms, 1985, Vertigo Records

Sorti le 17 mai 1985, c’est le cinquième album studio du groupe. On y trouve le hit « Money For Nothing ».

Pour l’écouter (il s’agit ici de l’édition du 40e anniversaire avec en bonus un excellent live enregistré à San Antonio en 1985) :

https://music.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_lVydSQsgYXV7VKHd5oq-oqobwK7_MZ254&si=k_fGN7PwwYvRBk1m

 

Les inspirations d’Isabelle

Tous mes écrits sont issus d’observations et d’inspirations, je les partage de manière plus ou moins poétique suivant les textes…
Parfois, je les transforme en audios.
Agrémentés de mes propres photos, dessins ou peintures.
C’est toujours une invitation à découvrir ce qui est universel en chacun pour développer notre écoute et regard intérieur.

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Bonjour,

cette semaine je vous partage un texte de 2023 mais qui reste intemporel, il parle à nouveau de présence, sujet qui est tellement vaste puisque l’inspiration ne se trouve que dans un état de présence,  à soi,  à l’environnement et aux autres…

LA GRÂCE D’UN INSTANT AU COEUR DU VIVANT

Il est des instants parfaits d’harmonie,
Sans habitudes,
neufs…

Même les gestes déjà visités, les visages connus, les mains tendues, les sons apparemment déjà entendus sont renouvelés par la profondeur du moment, par la présence à ce qui émerge.

Par le vivant
Depuis la guidance du coeur
Hors d’état de prévision
En transparence
En vulnérabilité totale

Abandon des schémas de peurs, de jugements.

Retrouvailles avec soi et la nature de l’être

L’état tant recherché !

Une grâce vécue est une puissance digne d’une soie et d’un ressenti velours, qui fait fondre les digues des eaux intérieures.
Elle est d’une douceur qui touche et guérit,
Rien ne résiste à sa force de transmutation.

Elle est métamorphose, intensité et s’imprime à jamais en soi .
Ne reste alors qu’une profonde gratitude creusée au terreau du coeur.

Isabelle

 

Le 27 mai

Bonjour,

Cette semaine, j’ai l’élan de partager avec vous quelques mots qui expriment la présence et les moments vrais que j’ai vécus, des souvenirs de grâce qui surgissent souvent dans la simplicité de l’instant :

 

Douceur d’un instant Fraîcheur d’un moment

Ici, rien ne ment, Tout est vivant.

Quoi qu’il se passe, Quoi que je fasse,

Ici,

Il y a plus d’espace… de grâce, Plus rien ne se défend, Tout est important, Pas de tourments. Le mouvement s’étend, s’expanse.

Tour à tour, le temps joue avec le vent, Et s’envole dans l’espace-temps.

Ici,

La présence se fait cadeau, De l’évidence apparaît le beau.

Là où tout existe sans pourquoi, Sans question, Sans raison.

Là où l’amour EST,

Sans convoitise, Sans projection, Simple, Naturel.

Ici,

Là où l’amour est substance, Là où l’amour est créativité, Là où l’amour est créateur, Là où l’amour est créature.

Là où l’amour n’est pas ce qu’on imagine, Là où l’imagination crée des mondes, Là où l’essence de la manifestation se contemple.

Là où mes yeux découvrent le vrai don, Celui de voir vraiment, Sans filtre.

L’essentiel…

 

Le 6 mai

Cette semaine, j’ai tenté un petit parallèle entre l’un de mes dessins et mes mots… Que ce soit le dessin ou les mots, je laisse libre cours à mon écoute intérieure pour laisser émerger ce qui veut se dire en moi ; c’est le même processus. Je vous laisse découvrir.

Tenter de poétiser mes mots et ma pensée
Laisser de côté l’intellect, écouter autre chose
Percevoir, sentir l’instant qui invite
Tirer sur le fil
Se dépouiller, désencombrer la tête
Découvrir
Imaginer l’art du langage
Oublier les règles apprises
Inventer les siennes
Expression simple et vécue
Choisir les mots qui sonnent dans leurs fréquences, leur harmonie
Suivre la résonance, laisser la raison
Lâcher la comparaison qui étouffe l’audace

J’aime la liberté !

Poétiser l’instant
Fragile, fugace
Intense
Douceur en mouvement
Rythme
Espace du vide
Dérouler l’invitation
Activer le feu qui jamais ne consume, mais nourrit
Sensible
Vivant
Vibrant
Exaltant, enthousiasmant
Emprunter au vide l’espace qu’il m’ouvre pour m’y lover
Pour activer le feu déclencheur de joie
N’avoir pour dessein aucune règle qui freine ma créativité et laisser libre le champ des possibles imaginaires
Il y a un charme fou à s’autoriser cela…

Instants funambules
Aucun préambule
Puiser au-delà de l’apparence
Naviguer à vue, par-delà la brume intérieure
Et s’abandonner, faire acte de confiance
Passer les murs de papier, au-delà du visible
Décanter les lourdeurs du passage
Comme un voyage pour la recherche
Incarner des mots
Extraire l’essence du vécu et assembler ces mots

Ne me suis pas, mais viens avec moi…

Et regarde les traces que font tes pas dans le sable mouvant de la vie : aucune empreinte ne se ressemble, toutes ont leur spécificité
Traduis ton incarnation en une expression sensible qui puisse s’offrir en partage
Pour jouer à se donner l’illusion qu’une vie personnelle est particulière et rêver le rassemblement des âmes complémentaires

Dans tes instants fragiles, puise une force qui n’a de cesse de te grandir en humanité et grave dans ta chair cette vulnérabilité, pour en faire un éphémère qui restera à jamais dans le souffle des temps…

Désormais, laisse émaner ce qui doit, détache-toi et ouvre tes couleurs à d’autres harmonies à venir…

Le 29 avril

Cette semaine, pour vous, mes mots convoquent l’intuition, cette forme de sagesse intérieure accessible à tous…

L’intuition… Elle te saisit aux confins de l’inconnu. Elle t’entraîne sur une voie parallèle à celles mille fois empruntées. On dira de toi que tu as de la chance ! Non ! On t’enviera, mais n’écoute pas, car il t’a fallu de l’audace pour la suivre. Tu as simplement osé l’écouter. Toi aussi, tu le peux…

Il t’a fallu du courage pour la suivre, car jamais elle ne t’a donné le carnet de route correspondant. Jamais elle ne t’a offert les moyens matériels d’y parvenir. Non… Elle te les dévoile et les déploie au fur et à mesure que tu oses lui tendre la main et lui laisser les pleins pouvoirs d’action.

Elle ne t’a jamais promis que ce serait facile, mais, avec l’expérience, tu peux désormais affirmer qu’avec elle, tout devient bien plus simple. Elle ne te donne pas les outils pour te libérer des idées étriquées de ton mental apeuré. Tu devras toi-même dire à ton égo, craintif face à l’inconnu : « NON, cela n’est pas vrai ! Je ne te crois plus. Mais tu feras partie de l’aventure, car tu m’es très utile pour l’action directe. »

Elle t’entraîne sur des sentiers déraisonnables, sur le fil de l’aventure. Elle émet des signaux fulgurants, mais aussi parfois très doux. À la limite de l’écoute, tu l’entendras. Ne te fie pas toujours à sa douceur, car elle est toujours puissante ! Elle sait mieux que toi : calque tes pas sur elle, et tu ne seras jamais déçu. Elle s’expérimente comme un diamant que l’on cisèle.

Plus tu expérimenteras, plus tu reconnaîtras ses signaux avant-coureurs. C’est à ce stade que tu façonneras ta patience, car plus tu l’écoutes et la suis, plus ses messages, même diffus, te paraîtront clairs, bien qu’ils soient très en avance sur le temps linéaire. Mais jamais, au grand jamais, elle ne te dévoilera les moyens d’y parvenir à l’avance.

Mystère parmi les mystères, elle révèle et déroule le plan du Grand Plan. Mystère qui active une magie accessible à tous !

 

Le 22 avril

Cette semaine je vous partage un texte que j’ai mis en audio qui vous parlera si vous aussi n’avez pas été vus ou reconnus, dans votre enfance…
Le thème en est la reconnaissance, un mot que j’entends comme re-co- naissance.N’hésitez pas à mettre un commentaire, je vous répondrai. Belle découverte

Le 8 avril

Je crée, je t’écris et m’écris aussi… J’essaie et j’efface, Mais rien à faire, je continue et garde les traces.

Quelques pensées…

Et souvent, viennent quelques mots d’ici et sûrement d’ailleurs aussi.

Alors,

J’écris l’étincelle, Celle qui allumera le rouge et le jaune qui se reflétera dans les yeux qui lisent. Peut-être le feu qui réchauffe et rallume la flamme et l’audace.

Ode à ceux qui osent !

Petites envolées de jeux de lettres contemporaines, complètement folles de légèreté.

Tellement de désinvolture qu’aucune aspérité ne trouve place.

Éprise de liberté ou emprise à la liberté… Est-ce juste un mot ou une réalité…

Sans réponse, ça continue d’écrire, Sans scrupule. Les lettres se jouent de moi et moi, je joue avec.

Libérer la recherche ou trouver et permettre de vivre, de sentir, de savourer ce qui est déjà présent.

Et toujours tenter de sublimer, Voir l’à-côté. C’est devenu une seconde nature, Ou une première, tiens oui, c’est pas mal ça !

Ça rit tout seul et remplit ma feuille. J’écris vite pour éviter l’écueil. Parfois, je prends le risque et arrive juste au seuil.

Petites envolées avec leurs sonorités libres de notoriété. Puisque ce qui rassasie est le plein qui ne dure pas, pour continuer encore le jeu, Juste pour l’envie et la vie.

Car l’âme est légère et audacieuse, Elle prône la volupté et la joie du sans raison, Sans rythme et cadre imposés. Là est sa maison !

Petites envolées non destinées à retomber dans les affres du monde, mais à accomplir leur rôle de voler aux vents et de se poser là où la place est libre pour la fantaisie essentielle…

 

Le 1 avril

Parfois, il m’arrive de relire un texte que j’ai écrit il y a longtemps, pour me donner l’audace de faire un pas dans la direction de mon élan, comme pour me rappeler quelque chose que je sais pourtant : un élan véritable est toujours juste et soutenu par plus grand que moi. Voici celui qui m’a inspiré :

À l’instant le plus incertain, le plus trouble, existe simultanément une autre version. Potentiellement et concomitamment, un choix se profile, un vrai choix non-confortable mais vivant et passionnant au plus haut point ! Se dessine alors une ligne droite sans saveur : la sécurité promise, sans résultat garanti ; la voie la plus communément incitée et suivie, ou…

Une extravagance, suivie d’un élan, d’une folie joyeuse, celle de ne rien savoir et pourtant avoir foi en un quelque chose d’impalpable : sentir un invisible familier qui fait sourire et danser, suivre une force qui se révèle seulement aux pas franchis, aux actes accomplis, tel un génie sortant de sa lampe… Être porté par une légèreté qui soutient, être appelé par un souffle nouveau… Être étonné par l’enthousiasme de l’inconnu…

L’UN connu, peut-être !

Sa lumière ayant retrouvé la liberté ne peut plus revenir en arrière, la lampe est devenue une coquille vide, une matrice étroite.

Il lui est indispensable de s’expanser : sa croissance est infinie, ses élans colorés.

RÊVER, ACTER, RÉALISER : processus de matérialisation d’un appel intérieur voulant s’extraire du rêve pour être vécu…

La sagesse est folie du cœur qui chante, qui n’attend pas la fin de l’histoire pour être comme tout le monde, mais se languit de se découvrir ÊTRE le monde !

Incitation à la joie, débauche débordante de parfums enivrants, contagion de santé sans les peurs, alchimie du mage qui se découvre puissant d’amour…

Combattre les facilités d’apparence et d’appartenance, libérer nos valeurs qui dorment dans leurs cages dorées !

Naître pour changer et oser, puis renaître jusqu’à ÊTRE.

Le 25 mars

Cette semaine j’ai envie de vous partager un texte que j’ai mis en audio …
Je vous souhaite une bonne écoute et une bonne semaine.

Le 18 mars

Bonjour à tous !
Cette semaine je vous partage un texte que je viens de retrouver et que j’ai grand plaisir à vous offrir…
Parce qu’une personne m’a récemment posé la question :
C’est quoi la poésie ?
Je n’ai pas su répondre dans l’instant, aussi parce que je ne suis pas poète !
En recherchant un texte, je suis « tombée » sur celui-ci que j’avais écrit il y a quelque temps, sans m’en souvenir vraiment, alors ça n’est qu’un point de vue et non une véritable définition, je vous laisse découvrir.

La poésie, c’est quand tu restes coi, tant sa douceur inonde tes yeux de larmes qui nettoient.

La poésie, c’est en noir et blanc, sublimant l’absence de rien et surtout, la présence du tout.

La poésie, c’est la couleur du don qui s’ignore.

La poésie, c’est l’imperfection qui se donne en spectacle et la transcende.

La poésie, c’est tout proche du quotidien, mais pas trop, pour avoir assez d’espace pour la contempler.

La poésie, c’est ne pas la voir et pourtant en être profondément touché.

La poésie, c’est tout, sauf le poète, qui n’est là qu’à son service pour sa plus grande joie.

La poésie, c’est quand tu ne la cherches pas, car c’est elle qui te trouve.

La poésie, c’est s’écarter d’un millième de centimètre pour qu’elle puisse ôter l’étau de ta tristesse.

La poésie, c’est quand tu pleures, et que même cela, ça fait du bien parce que son aura n’est pas très loin de toi.

La poésie, c’est elle qui te touche sans jamais poser une main dans la tienne.

La poésie, c’est la musique d’une âme qui a faim.

La poésie, c’est quand c’est beau de ne pas l’être.

La poésie, c’est cet indéfinissable qui pourtant me fait écrire des mots…

La poésie, c’est tout ce qui se passe dans un espace totalement éphémère… Et que pourtant tu gardes à jamais !

 

Le 12 mars

Mise en audio d’un de mes textes…