Y’a pas d’âge pour dire je t’aime

Un film documentaire réalisé par Julien Scheidle et les habitants de Kervénanec (Lorient)

Jeudi 9 décembre à 18h
La Balise – 2, rue Eugène Varlin (Lorient)

(France / 2021 / Durée : 1h06)
Entrée gratuite dans la limite des places disponibles (sur présentation du pass sanitaire)
Réservation auprès de la Maison pour tous de Kervénanec : 02 97 37 29 86

Qu’est-ce qui différencie la relation amoureuse de trentenaires de celles de soixantenaires ? Les « vieux » ont-ils toujours du désir ? Des relations sexuelles ? Qu’est-ce qu’être un « sénior » ? Est-ce facile en tant que veuves ou veuf de refaire sa vie ? Si aujourd’hui la question de l’amour et de la relation amoureuse est assez centrale dans notre société, celle de l’amour au troisième âge semble à la marge, voire troublante. Durant une année, un groupe d’habitants du quartier de Kervénanec à Lorient, accompagné par le réalisateur Julien Scheidle, a témoigné autour de ce sujet avec pudeur, simplicité et émotion.

La projection sera suivie d’une rencontre avec l’équipe du film.
Un partenariat entre la Maison pour tous de Kervénanec et l’association ‘J’ai vu un documentaire’.

1 réponse
  1. LE GALLO Pascal
    LE GALLO Pascal dit :

    Pour moi, je pense que le film est basé sur le fait que les acteurs ( Gérard et moi ) et les actrices ( elles sont trop pour toutes les citer ) avaient un pouvoir que Julien Schiedle, le monteur-caméraman nous a généreusement accordé. Nos propositions ont été entendues, et il nous a donné de la liberté. Les dames ont pu raconter l’histoire de beaucoup d’entre elles après le veuvage. Elles ont eu recours à différents moyens pour se divertir de leur solitude. Le plus remarqué âr les spectateurs et les spectatrices, c’est d’aller au cimetière. Le plus fréquent, c’est d’aller danser. Alors, passons aux deux hommes. Gérard Wognin Kadjo a donné des éléments d’information sur la parentalité en côte d’Ivoire. Une femme veuve n’est pas laissé seule, on la recueille sous l’égide d’un homme de la famille et c’est une femme « d’héritage ».Il était important pour notre ami de présenter les relations familiales et matrimoniales de l’Afrique de l’Ouest sous un jour conforme à sa perception des choses. On imagine les clichés que certains doivent véhiculer sur la polygamie, et cet aspect de la sociologie de cette région du monde.Bon, et moi ? J’avais envie de m’amuser à chanter la chanson « Les feuilles mortes » de Jacques Prévert, orchestré par Vladimir Kosma. J’en avais entendu une version par un groupe de Jazz. Il privilégiait la version de Nat King Cole, j’étais envouté. Seul, l’art me donne ces sensations.Alors, on l’a interprété chez moi. Super ! J’ai aussi eu un « oui » pour ma proposition d’interpréter le meurtre d’un pensionnaire de maison de retraite. C’est la séquence du crime passionnel, en version muette et en noir et blanc. Ceci dit, heureusement que Denise a apporté sa pierre à l’édifice, que Jojo a narré les expériences de soirées dansantes, que les enfants ont été touchants dans leurs témoignages, que Claude, Marie-Andrée et Yvette ont manié l’humour pour nous divertir ! Si Julien vous propose un « deal », allez-y, ayez confiance !

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