Les nouvelles de JVD en février
J’ai Vu un Documentaire (JVD) est un collectif de curieux et de passionnés de cinéma qui sensibilise le public au cinéma du réel. Ils partagent des films documentaires art-et-essai, récents ou de patrimoine, tout en proposant des débats et des rencontres ainsi que des ateliers de l’éducation aux images dans les établissements scolaires et maisons de quartier…
07 février – 20H Tarif unique 4€
EXCISION, A QUAND L’ABANDON ?
De Ilse Tempelaar et André Le Moustarder
France – 2014 – 36 min
Salle culturelle La Balise, 2, rue Eugène Varlin, Lorient
A travers des témoignages directs profondément humains et puissants, les cinéastes nous parlent des causes et des conséquences de l’excision. Ce court métrage est né de l’initiative de « Marche en corps », l’association organisatrice des deux marches contre l’excision en 2013 entre Quimperlé et Angers (1700 marcheur.se.s ! ) puis à Paris. En présence des réalisateur-ice.s
VEN 21 FEV / 20H GRATUIT
La Fabuleuse Histoire de la Paravision
De Lilian Bathelot, Renée Garaud/ FR – 2013 – 58 min
Galerie du Faouëdic – Lorient
Dans le cadre de l’exposition « Guy Brunet, le cinéma de mon père » (du 25 janvier au 13 avril, Galerie du Faouëdic), JVD vous propose de découvrir le monde incroyable de cette artiste. En partenariat avec la ville de Lorient.
La Paravision est une firme cinématographique créée en Aveyron, par Guy Brunet, ancien ouvrier de la sidérurgie et artiste pétri d’une humanité poignante traversée de fulgurances. Son œuvre inconcevable, qu’il entrepose dans son garage, fait aujourd’hui l’émerveillement des grands musées et des spécialistes d’art moderne et d’art brut de France, d’Europe, et du monde. Ce film raconte l’histoire de cet invraisemblable personnage.
28 février – 20H Tarif unique 4€
LES TRAVAILLEUSES DE LA MER
De Carole Roussopoulos
France – 1985 – 26 min
Le Manège, 12, rue Colbert, Lorient
Dans les années 1980, près de 1000 femmes travaillent au port de pêche de Lorient : les fileteuses le jour, les trieuses de poissons la nuit.
Carole Roussopoulos les filme. Elles témoignent des conditions dans lesquelles elles exercent leur métier ; des conditions quasiment inchangées depuis cinquante ans : dans le froid, l’humidité et la glace, debout, portant de lourdes charges, et toujours sans statut. Lors du tournage du film, elles sont justement engagées dans une forte mobilisation pour réclamer de meilleures conditions de travail. Certaines se battent aussi pour obtenir le même statut que les hommes, qui sont dockers sur le port de pêche.
En présence Soazig Le Henanff, médiatrice du patrimoine et enseignante à l’UBS
En partenariat avec Bretagne Culture Diversité
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