Histoire de l’écriture musicale

Les notations musicales doivent beaucoup aux anciennes civilisations.

Même si les historiens émettent l’hypothèse que la musique s’est d’abord transmise de façon orale, les premières notations musicales seraient nées dans la civilisation sumérienne, dans une période de 2000 ans avant J.-C., avec des symboles simples.

Les Égyptiens, dans leurs hiéroglyphes, ne mentionnent que des scènes de musiciens sur des parois de bâtiments et mentionnent des chants sur des fragments de papyrus.

À une autre période, les Grecs de l’Antiquité ont créé le « système de tétracordes ». Il s’agit de diviser la gamme musicale en groupes de quatre notes représentées par des lettres de l’alphabet grec. Au début, cette notation était destinée à la musique vocale et non instrumentale. De grands personnages de l’histoire comme Pythagore (-580 av. J.-C. -495 av. J.-C.), Aristoxène (-360 av. J.-C. -300 av. J.-C.) ont aussi créé des concepts pour l’harmonie musicale.

Les neumes ou signes graphiques sont apparus dans les indications du chant grégorien au Moyen Âge. C’étaient des annotations placées sur les textes des chants liturgiques.

Au IXe siècle, le musicien persan Al-Farabi (872-950) a travaillé sur la musique avec son traité « Kitab al-Musasiqi al-Kabir » avec des éléments de mathématiques et de philosophie. Au Xe siècle, le Persan Ibn Sina (930-1037) ou Avicenne aborde les théories musicales.

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