Le haïku

Le haïku se développe dans le Japon du XVIIe siècle. Celui qui fixe les règles de cette forme poétique brève est Matsuo Bashô. Il transforme un poème comique appelé le haïkarenga, n’en gardant alors que la première partie et crée le haïku. Il s’agit avec cette forme minimaliste, de saisir des instants de la vie. Bien que s’imposant comme un genre noble du japon , le haïku laisse une place importante à l’humour, en particulier dans sa chute. Source

 

Pascal

L’éphémère est éternel
et la vie est là
question réponse…à tout ?

Jamais toujours,
toujours ainsi
réponse à tout? silence…

Héros sadique,
hédoniste burlesque
ou simple piéton…

Écho du bidet,
micro branché,
passe à la télé…

Tangoter de peur,
grelotter de joie,
boire de soif…

Continent de l’enfer
ou île du paradis,
quel est le plus petit ?

Les coups du fou,
haiku sans le sou,
ah…la bonne soupe !

Courbe fallacieuse,
facture audacieuse
repars et viens !

Guirlandes de gui,
gland qui languit,
l’heure du conte…

 

Hokusai Katsushika (1760-1849). Paris, musée Guimet - musée national des Arts asiatiques. EO174.

Poésie automnale

Comment faire sa recherche d’emploi ?

Par Teina

Pour bien faire sa recherche d’emploi, il faut être au courant de différents sites afin de savoir où aller et trouver des informations intéressantes.

Sites pour la recherche d’emploi :

Site institutionnel :

http://www.pole-emploi.fr/accueil/

Les sites d’agences d’intérim :

http://www.adecco.fr/

http://www.manpower.fr/

https://www.randstad.fr/

http://www.synergie.fr/

Les moteurs de recherche spécialisés :

http://www.optioncarriere.com/

http://neuvoo.fr/

Les jobboards :

Il s’agit de sites où les employeurs viennent déposer des offres et consulter les CV des candidats.

http://www.monster.fr/

http://www.regionsjob.com/

https://www.apec.fr/

Les sites de « matching » :

Il s’agit de sites mettant en relation les offres d’emploi avec les compétences des candidats.

http://www.meteojob.com/

https://www.qapa.fr/

Sortie à Saint Niau – Les enfants racontent…

« Le 17 octobre dernier, nous avons visité la ferme de Saint Niau. J’ai bien aimé, courir, voir les abeilles, les lapins. » (Ayume)
Izack : « Le cochon m’a fait peur, avec plein d’odeurs, on a vu les ânes, on a couru comme des fous. Ayume était le vainqueur.
Les adultes étaient contents, la balade était très agréable. »

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En quête de métiers du numérique

2 rendez-vous sur le pays de Lorient :

1) « Kfé Métiers » du web : informez-vous et échangez avec des professionnels des réseaux sociaux et de la création de sites web !
Mardi 22 novembre à 18h00 à la Maison pour tous de Kervenanec, 2 rue Maurice Thorez à Lorient // Entrée libre et gratuite

2) Animation robotique : découvrez la programmation informatique et animez un robot avec la collaboration de Orange Solidarité !
Jeudi 24 novembre à 9h30 à L’esKale, 1 rue Louis Pergaud à Lanester // Entrée libre et gratuite

Les équipes du BIJ et de la Mission Locale se tiennent à votre disposition pour répondre à vos questions

Télécharger le flyer en cliquant ICI

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« Egalité filles – garçons »

Le mercredi 16 novembre après-midi, la Ludothèque du centre social du Polygone a organisé un atelier « jeux » ouvert à tous, dans le cadre de la semaine des Droits de l’enfant, sur la thématique  » égalité filles – garçons ».

50 personnes environ se sont prêtées au jeu de l’égalité filles-garçons : il s’agit  d’un jeu de plateau coopératif nommé « en route vers l’égalité » : « il = elle, c’est juste ».
Des jeux en bois étaient également proposés, ainsi qu’un théâtre-débat avec la thématique : les rôles inversés.
C’était l’occasion d’aborder les questions de mixité, de stéréotypes des genres…

Quinzaine des Droits de l’enfant

 

La Ville de Lorient célèbre les droits de l’enfant. La non-discrimination est le fil rouge de cette édition 2016.

Au programme de nombreuses rencontres, animations, expositions…

Télécharger le programme  en cliquant ICI

La Convention relative aux droits de l’enfant ou Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) est un traité international dont l’objectif est d’établir et d’assurer des droits de l’enfant.  Elle a été adoptée le 20 novembre 1989 par l’Assemblée générale des Nations unies. Cette assemblée réunit des représentants de chaque pays membre de l’Organisation des Nations unies (ONU). La convention a ensuite été signée et ratifiée par la plupart des pays, qui s’engagent de cette façon chacun auprès des autres à respecter le texte.

Consulter le dossier réalisé par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) :

https://www.unicef.fr/dossier/convention-internationale-des-droits-de-lenfant

Convention internationale des droits de l’Enfant :

https://www.unicef.fr/article/la-convention-internationale-des-droits-de-l-enfant

unicef

Pour soutenir l’UNICEF, vous pouvez faire un don ponctuel, devenir donateur régulier, rejoindre le réseau de bénévoles pour mener des actions en France, agir depuis chez vous, acheter les produits solidaires ou encore transmettre votre patrimoine.Plus d’infos : https://www.unicef.fr/don-unicef

Devenez bénévoles à l’UNICEF du Morbihan, permanence les mardis et jeudis de  15h à 17h

Maison des Association, 12 rue Colbert, Lorient. Contact : 0297644287

L’économie vernaculaire

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Dans ce sujet , je parlerai de l’économie vernaculaire, suite à un article que j’ai lu dans un livre de Ivan Illitch.

Je définirai et expliquerai l’économie vernaculaire par tout ce qui est produit, travaillé par les gens eux mêmes, les personnes habitant dans le même village : L’artisan, le producteur, l’agriculteur, le commerçant, la ménagère, le jardinier, le bricoleur, ainsi que toutes les activités liées à la production artisanale, faites sur place par et pour la population dans un aspect de convivialité et de services rendus aux personnes dans un intérêt commun de libre échange, ainsi que produire et cultiver pour son propre intérêt.

Nous pouvons comparer l’économie vernaculaire avec la langue vernaculaire qui est une langue qui se transmettait de génération en génération par un parler local, un patois ou une langue régionale, telle la langue bretonne, corse, du pays basque…Ce sont des langues qui ont la particularité d’être très diversifiées et différentes dans chaque département, quelque fois dans chaque ville ou village d’ailleurs en opposition à la langue française qui est une langue institué donc uniformisée.

Il en va de même pour toutes les activités, quelles soient d’ordre sociales, culturelles, économiques ou politiques, ainsi que dans beaucoup d’autres domaines de le vie sociale et de la population dans son ensemble.

Je définirai un autre aspect de cette uniformisation , qui à notre époque est en cour de s’imposer, c’est dans le domaine de la pensée et de la culture par la généralisation et le contrôle de l’information et de l’éducation, ce qui me paraît inquiétant pour les années à venir dans la mesure ou tous les êtres humains écouteront les mêmes informations, auront la même éducation ainsi que la même façon de pensée, ce qui sera l’ère de la non pensée, je dirais même la non pensée tout court, est beaucoup plus grave et surtout beaucoup plus inquiétant pour l’avenir de nos démocraties et de notre humanité.

Un autre domaine me préoccupe, c’est celui des savoirs vivre et des savoirs faire qui ne sont plus transmis de générations en générations, mais par les institutions, et plus grave encore par les réseaux sociaux qui vont certainement s’accaparer ces savoirs dans le pur objectif de monopoliser et de contrôler les populations par le temps des cerveaux disponibles.

Il serait temps que les populations prennent conscience de la perte de tous ces savoirs faire et savoirs vivre, qui sont un patrimoine d’une richesse incalculable qui disparaît comme peau de chagrin tous les jours qui passent et que nous aurons beaucoup de mal à nous réapproprier.

Prendre conscience de la nécessité de redévelopper cette économie vernaculaire ainsi que le parler vernaculaire, les savoirs faire et les savoirs vivre me paraissent d’actualité, j’en dirai tout autant pour beaucoup d’autres domaines dans la vie en société…

Marc

La Semaine de la solidarité internationale

 

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La Semaine de la solidarité internationale, SSI, est le rendez-vous solidaire, national, grand public et de proximité visant à sensibiliser à la solidarité internationale. Chaque année, depuis 17 ans, la 3ème semaine de novembre, de milliers de bénévoles et de salariés organisent un grand nombre de manifestations de multiples thématiques, alliant réflexion, créativité et convivialité partout en France ! Un événement fort ayant pour but de dépasser nos idées reçues, d’échanger et de s’interroger sur ce que nous pouvons faire pour rendre ce monde plus solidaire, à travers nos actes quotidiens les plus simples ou les plus engagés ! www.lasemaine.org

Dans notre quartier, rendez-vous samedi 12 novembre aux Grands Larges, 25 Avenue Général de Gaulle de 10h à 18h pour un Marché solidaire !

Le programme de la Semaine de la solidarité internationale au pays de Lorient :

http://www.lasemaine.org/espace-acteurs/152/manifestations/14869/fichier-joint/FLYER-SSI-2-1-Copie.pdf

Organisé par le CRISLA en partenariat avec : En partenariat les villes de LORIENT et LANESTER, CCFD, Amnesty International, la CIMADE, VSF (Voiles sans Frontières), AFPS (Association France Palestine Solidarité), Bretagne Cens (Commerce équitable),Collectif Pêche et Développement, Scouts et Guides de France, Biocoop les 7 épis, Bretagne Casamance, Mouvement de la Paix, Bretagne Solidarité Pérou-Bolivie, DCC (Délégation Catholique pour la Coopération), Comité de jumelage Hennbont-Halhul (Palestine), RESF (Réseau Education sans Frontières)

 

solidaire

La Coordination des Associations de Solidarité Internationale en Bretagne :

www.casi-bretagne.org

Acteurs Bretons de la Coopération Internationale et de la Solidarité :

www.bretagne-solidarite-internationale.org

 

 

 

Les petites mains du rotin

 

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L’atelier Vannerie a été mis en place à l’ouverture du Centre Social du Polygone à raison de 2 cours par semaine au début. Actuellement, une fois par semaine depuis 1970 le mardi après-midi.

Nous travaillons avec du rotin, c’est une plante grimpante qui pousse surtout en Extrême-Orient à la différence de l’osier qui pousse dans nos campagnes et dont nos anciens se servaient pour faire principalement des paniers.

Avec le rotin, il est possible de faire différents objets : dessous de plat (pour les débutants), corbeilles diverses (à pain, à fruits), plateaux (à fromages, tartes), lampes de chevet, berceaux, avec des brins (ou moelles) de différents diamètres (1,5 à 3 ou plus).

Toutes ces œuvres sont visibles le jour de l’exposition du Centre en juin. Environ une douzaine de personnes participent à cet atelier dans une ambiance très conviviale. Notre responsable, Mme Léo Garré, partage avec toutes sa gentillesse et ses conseils.

Cela n’empêche pas le bavardage et le travail dans la bonne humeur. La séance se termine généralement par un goûter très apprécié.