Fracture.s, création du Collectif l’EsKampette

Avec la réouverture des lieux culturels, Le Collectif l’EsKampette se réjouit de jouer son spectacle Fracture.s, ce samedi 19 juin à 16h au Comment Ksé.

Le Collectif l’EsKampette est une compagnie de théâtre créée en 2017, à Lanester. Plutôt orienté jeune public, le Collectif s’adresse cette fois-ci à un public adulte, en expérimentant le théâtre subversif : un théâtre choc qui bouleverse les idées reçues et l’ordre établi. « Nous avons choisi de provoquer, mettre au défi le spectateur afin d’entamer collectivement une réflexion sur la vie et la société. » explique Pauline Vermeulen, auteure et metteure en scène de spectacle.

Fracture.s n’en est pas à sa première représentation. Pendant le confinement, le Collectif a proposé de jouer ce spectacle chez l’habitant, respectant le protocole sanitaire en vigueur. « Nous avons passé quatre mois à monter le spectacle et puis, il y a eu le confinement. C’était frustrant de ne pas pouvoir partager notre création avec le public. Nous avons alors eu l’idée de proposer, dans un premier temps, des représentations chez moi afin de donner, par la suite, envie aux spectateurs, d’organiser le spectacle chez eux. C’était à la fois, une alternative artistique et un acte de résistance », raconte Jean-Philippe Brard, comédien associé du Collectif.

Le Comment Ksé, café associatif alternatif se prête tout à fait à l’esprit du spectacle. Les spectateurs, tels des scientifiques, sont invités à observer un être humain dans son habitat naturel. Ici, les fractures peuvent représenter les troubles psychiques du personnage unique de la pièce, qui interprète une série de personnages contemporains dans des situations ou des réflexions de notre quotidien. Les fractures sont aussi la métaphore d’une planète toujours plus fragmentée. Ce spectacle tente de raviver l’attention de chacun sur un quotidien que l’on ne remet plus en question car trop ancré dans nos comportements : le discours sacro-saint de la télé, la déstructuration du langage, la banalisation de la violence, le sexisme et le racisme ordinaire, la déshumanisation générale… Le texte se veut percutant, volontairement provoquant afin de vider le spectateur de tout préjugé (d’autres fractures) et laisser la pièce secouer sa sensibilité, briser ses conceptions et bousculer le réel. Vous l’aurez compris, vous n’en sortirez pas indemnes mais rassurez-vous bien vivants !

Pour plus de renseignements :

collectif.eskampette@gmail.com
Page Facebook : Collectif l’Eskampette

Comment Ksé : 3 Rue de l’Industrie, 56100 Lorient
http://commentkse.fr/

Une prime pour encourager l’acquisition d’un vélo

Pour favoriser la pratique du vélo dans le cadre des déplacements quotidiens, changer durablement les habitudes de déplacement et préserver la qualité de l’air, Lorient Agglomération propose d’expérimenter en 2021 une aide sans conditions de ressources pour l’acquisition d’un vélo pliant, cargo et/ou à assistance électrique.

  • Pour les vélos à assistance électrique (y compris vélos pliants), l’aide est fixée à 20% du montant de l’achat, avec un maximum de 200 €.
  • Pour les vélos cargo avec ou sans assistance électrique l’aide est fixée à 20% du montant de l’achat, avec un maximum de 250 €.
  • Pour les vélos pliants sans assistance électrique, la subvention est fixée à 20% du prix d’achat, avec un maximum de 100€.

Les vélos à assistance électrique doivent être sans batterie au plomb et équipés d’un moteur auxiliaire électrique d’une puissance nominale continue maximale de 0,25 kilowatt.

Seuls les achats effectués après le 2 mai seront pris en compte (sont exclus les achats effectués sur Internet).

Plus d’informations : https://www.lorient-agglo.bzh/services/deplacements/aide-achat-velo/

 

Des aides aux 13-17 ans pour partir en colo cet été

En partenariat avec l’ANCV, la JPA lance cette année un dispositif réservé aux ados : il permettra à tous les jeunes de 13 à 17 ans de bénéficier d’une aide financière pour partir en colo.

Afin de bénéficier de l’aide financière pour partir, trois critères doivent être remplis :

Le quotient familial doit être inférieur à 901.
Il faut résider soit en zone rurale (-2000 habitants ou zones de revitalisation rurale ZRR) soit en quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV).
Avoir entre 13 et 17 ans.

Les familles font leur demande en ligne. Le séjour devra déjà avoir été sélectionné. Sont ouverts à l’aide : les colos classiques, les séjours sportifs, les séjours linguistiques, les séjours artistiques et culturels, les camps de jeunes, les séjours courts, les chantiers de jeunes ou encore les rencontres européennes de jeunes

Plus d’informations sur le site du collège:

https://www.aconti.fr/actu-agendas/l-actualite/175-la-jpa-et-l-ancv-proposent-des-aides-aux-13-17-ans-pour-partir-en-colo-cet-ete

Le buffet des idées avec les centres sociaux

« Buffet des idées » : 6 mois de réflexions en préparation du congrès fédéral de la Fédération des Centres Sociaux de France

Une démarche d’éducation populaire de grande qualité, un programme de musculation citoyenne !

Enjeux démocratiques, rôle des associations et pratiques collectives d’éducation populaire

Table ronde le 21 janvier 2021 animée par Jérémy Louis, avec Loïc Blondiaux, politologue spécialiste des questions de démocratie, Tarik Touahria, président de la FCSF, et Adeline de Lépinay – formatrice, autrice, artisane de l’éducation populaire

Démocratie, égalité et justice sociale

Etat des inégalités en France et contours de la notion de justice sociale (inégalités justes et injustes, principes, reconnaissance…)

Avec: Anne Brunner, directrice d’études à l’observatoire des inégalités, François Dubet, sociologue

L’écologie une affaire de centres sociaux ?

Capsule vidéo des interventions de Catherine Neveu, anthropologue et Jérémy Louis, docteur en études urbaines

 

Podcast “Histoires de…” !

Les aventures de Maïa, jeune actrice du réseau des centres sociaux, qui partage ses réflexions et questionnements sur la démocratie et la justice sociale 

Doit-on être formé.e et informé.e pour pouvoir participer?

Pour le premier épisode, Maïa  va à la rencontre de la Commission Nationale du Débat Public et d’Aequitaz.

C’est quoi, lutter contre les discriminations ?

Pour ce deuxième épisode, Maïa va à la rencontre de Mame-Fatou Niang, enseignante chercheuse intéressée par les questions de discriminations, et Solène Compingt, formatrice en éducation populaire.

L’écologie, c’est un problème de riches ?

Pour ce troisième épisode, Maïa se demande si l’écologie, ce ne serait pas problème de riches ? Elle va à la rencontre de Valérie Deldrève, directrice de recherche en sociologie à l’Institut national de recherche en agriculture, alimentation et environnement, et Malika Peyraut, militante à Alternatiba.

Journée mondiale de l’océan

Saviez-vous que notre océan couvre 70% de la surface de la Terre, abrite 80 % de la biodiversité, génère 50% de l’oxygène dont nous avons besoin  et absorbe  30% du CO2 produit par les humains mais est en danger à cause de l’activité humaine ?

Alerte ! L’océan a la capacité de réguler le climat mais à l’avenir il pourrait ne plus y parvenir et même avoir l’effet s’inverse. Le poumon bleu de notre  planète pourrait à terme contribuer à son réchauffement. Plus d’infos sur le site de l’UNESCO 

Programme marin du patrimoine mondial :

50 aires marines protégées  d’une valeur universelle exceptionnelle, des symboles d’espoir dans un océan en mutation

https://whc.unesco.org/fr/programme-marin/

Plateforme Océan & Climat :

La Plateforme Océan & Climat a pour mission de favoriser la réflexion et les échanges entre la communauté scientifique, la société civile et les décideurs politiques afin de mieux tenir compte de l’Océan dans la lutte contre le changement climatique.

https://ocean-climate.org/

Océans, le mystère plastique

Parmi tous les déchets plastiques déversés dans les mers, les scientifiques n’en retrouvent que 1 %. Où est passée l’immensité restante ? Enquête sur une pollution toxique devenue invisible.Réalisation :Vincent Perazio (2016)

Le blues des océans

Un voyage à la découverte des initiatives pour préserver la survie des écosystèmes marins du Pacifique. Avec des images à couper le souffle, une ode cinématographique aux océans doublée d’une plongée choc dans un univers en péril. Réalisation : Karina HOLDEN (2017)

L’art de faire un film avec Jean-Marc Vachey

Rencontre avec le lorientais Jean-Marc Vachey, directeur de production pour la télévision et le cinéma.

Après des études de comptabilité, il décide accompagné d’amis artistes de créer « Le studio des 3 arts », autour du cinéma, du théâtre et de la musique. Il reprendra les études pour obtenir un diplôme d’administrateur de production avant de se lancer dans le monde du cinéma, voir la filmographie.

Cet homme de l’ombre, spécialiste de l’intendance d’un tournage, connaît tous les rouages pour financer un film et solliciter des subventions. Que ce soit en France avec le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) ou en Bretagne, le Fonds d’aide à la création cinématographique et audiovisuelle (FACCA). Il vient de créer une association de productions audiovisuelles Les films de haute mer, à suivre sur Facebook

Son nouveau projet est une fiction qui explique ce qu’est le métier de directeur de production.“La trame de l’histoire montre le processus d’un film, du 1er appel du producteur jusqu’au tournage, en passant par le travail du scénario, la préparation, les repérages, le casting des comédiens. Une manière donc de répondre à ces questions maintes fois posées : C’est quoi votre métier, comment on fait un film ?” explique JeanMarc Vachey. Victime d’un AVC il y a quelques années, Jean-Marc souhaite aussi démontrer notre capacité de résilience.

Avec Yann Dubois, scénariste et réalisateur, ils préparent le tournage du court-métrage « Au 2, rue des tilleuls » qui devait avoir lieu du 6 au 20 juillet.

Un financement participatif vient d’être lancé : https://www.proarti.fr/collect/project/au-2-rue-des-tilleuls-1/0

Pour accompagner les professionnels, plusieurs bénévoles intéressé.e.s sont recherché.e.s pour intégrer l’équipe :

– la mise en scène (réalisateur et sa première assistante)
– la photo (chef opérateur et 2 assistants opérateurs)
– les costumes
– la production

Les bénévoles sont défrayés (déjeuner, dîner si tournage de nuit) et les frais d’essence…Personnes n’est payé,  l’équipe artistique est défrayée et logée, certains comédiens viennent de Rennes et de Nantes.

Suivez  cette aventure cinématographie qui sera intégralement tournée dans le pays de Lorient. Vous trouverez photos, vidéos, interviews sur Facebook

Contactjeanmarc.vachey@gmail.com

Photos : Thierry Prat

Le Misanthrope revisité

Quel régal de voir ce Misanthrope revisité par le collectif artistique du Théâtre de Lorient.
Une collision d’époque enchanteresse, un spectacle riche en rire et en évasion !

Louis

Les 4 & 5 juin, la BD est en fête !

La BD envahit le web ! Du Live BD non-stop les 4 et 5 juin !

En direct sur le Facebook live des 48H BD : https://www.facebook.com/48hBD/ 

et sur la chaine YouTube des 48H BD : https://www.youtube.com/channel/UCEWjXd7eYxnKavPGSMFA0kA

 

Apprendre le breton à Lorient : Où et comment ?

Salud tout an dud, ar revras hag ar re vunut !

Bonjour à tous, les grands comme les petits !

Vous avez envie d’apprendre le breton dans le pays de Lorient, il y a plusieurs choses qui existent pour vous, que ça soit dehors ou sur Internet.

Pour commencer, il est logique de vous présenter les deux centres de formations qui sont dans le pays. Stumdi (https://stumdi.bzh) qui se trouve à Plœmeur et Roudour (www.roudour.bzh) à Hennebont.

Les deux centres de formations proposent des cours du soir ainsi qu’une formation longue allant de 6 à 9 mois pour apprendre le breton en peu de temps.
En ce qui me concerne, j’ai appris le breton en formation longue avec Roudour l’année dernière. Une superbe expérience même s’il elle a été un peu plus compliqué sur la fin avec le confinement. (Obligé de faire ça à distance sur Zoom et sur la plateforme d’apprentissage Ambroug de Roudour)

Il existe aussi du côté de la cité Allende, la fédération Emglev Bro An Oriant (www.emglevbroanoriant.bzh) qui promeut la langue bretonne en ville. Si vous avez des questions pour un apprentissage de breton, ils sauront vous aiguiller pour choisir la bonne formation. Cette fédération nous informe de tout ce qu’il se fait en breton dans la ville que ce soit du théâtre, du cinéma, des conférences, etc.

Sur Internet, il existe plusieurs moyens pour apprendre le breton :

Apprendre le breton par correspondance (par mail) grâce à Skol Ober (http://skolober.com/fr) [Payant]

Vous avez aussi ce site qui vous propose d’apprendre quelques petits mots de la vie courante avec une aide phonétique https://www.loecsen.com/fr/cours-breton [Gratuit]

Sur Facebook, il existe un groupe qui est à l’écoute de tout le monde et qui pourra vous aider ou vous aiguiller :  https://www.facebook.com/groups/173249684228

Il existe aussi un groupe sur l’application Discord qui donne des cours du soir en vocal (https://discord.gg/zVVhdY7k : Il se peut que le lien ne dure pas plus d’une semaine, si ça ne marche plus, vous pourrez le trouver dans le groupe Facebook ci-dessus)

Comme vous avez pu le voir dans un autre article du Kiosque qui parlait du mois du breton. Il y a aussi la webtv Brezhoweb qui propose sur leur chaîne Youtube des vidéos courtes pour apprendre le breton. ( Playlist : https://www.youtube.com/watch?v=8ebVKs_w_m8&list=PLJCV2EXfMT8sMbVDmo85dM0eLUuLbSnkC)

Et bien sûr la chaîne YouTube Bretonne qui propose quelques cours de breton du coin. (https://www.youtube.com/c/Bretonne/videos)

Si vous cherchez des dictionnaires en ligne :

Geriafurch : Dictionnaire bilingue FR/BZH – BZH/FR (https://geriafurch.bzh/fr) Le site vous propose aussi une version pour écrire les chiffres et nombres en breton ainsi qu’un tableau des mutations.

Devri : Dictionnaire BZH -> FR seulement (http://devri.bzh)

Termofis : Dictionnaire FR -BZH seulement, site de l’office de la langue bretonne (https://www.fr.brezhoneg.bzh/36-termofis.htm)

Je pense que pour un début, vous avez toutes les cartes en main pour vous y mettre donc pas d’excuse !
La langue bretonne est en danger et c’est en l’apprenant, en la pratiquant, que nous la sauverons ! Betek an trec’h ! (Jusqu’à la victoire)

Et comme on dit : Kenavo ! (Au revoir)

NB : Beaucoup de cours que ça soit sur internet ou à l’extérieur de chez vous propose des cours avec un accent qui n’est pas du pays de Lorient (Vannetais).
Ne vous inquiétez pas, l’accent viendra en fréquentant les groupes de discussions et autres sites d’archives audio.
NB² : Ma kaozit brezhoneg me ‘vehe laouen kaozal genoc’h rak deskiñ a ran brezhoneg c’hoazh !