Concours de grimaces

Seul ? à plusieurs ? déguisés ? mis en scène ? au naturel ? en intérieur ? en extérieur ?

Envoyez-nous votre plus belle grimace à l’adresse mail :ludotheque.polygone@orange.fr ou directement sur  https://lekiosque.bzh/proposer-un-article/

Le tout est de rire et de s’amuser ! On compte sur vous !

Vos œuvres viendront compléter cet article, et peut-être une exposition à la Ludothèque cet été ?!

Alors, à vos marques, prêts, grimacez !!

 

 

 

La féérie du Cirque du Soleil depuis chez vous

Le Cirque du Soleil est un cirque contemporain. Son siège social se trouve à Montréal, au Québec. Elle a été fondée en 1984 à Baie-Saint-Paul par deux anciens artistes de rue, Guy Laliberté et Daniel Gauthier.

La compagnie se distingue par une vision artistique différente du cirque traditionnel, avec notamment l’absence d’animaux, une grande importance donnée aux jeux de comédiens, et en basant principalement ses productions sur des numéros d’acrobaties. Elle emploie aujourd’hui  5 000 personnes dans le monde parmi lesquels plus de 1 300 artistes dont certains sont des anciens sportifs professionnels reconvertis.

Elle présente actuellement 18 productions à thématiques dont 10 spectacles en tournée dans le monde (6 sous chapiteaux et 4 en arenas) et 8 spectacles fixes (à Las Vegas et Orlando). D’autres projets sont en cours de réalisation à Dubaï, Las Vegas, Macao, New York et sous forme de spectacles de tournée.

Le Cirque du Soleil est également un acteur important de l’action sociale et culturelle. Se qualifiant de « Cirque citoyen », l’entreprise participe entre autres au financement d’associations dans une vingtaine de pays différents sur cinq continents et a créé un programme international « Cirque du Monde » pour aider les jeunes en difficulté. Elle se penche également sur la problématique du développement durable et de l’environnement, notamment par le biais de son fondateur Guy Laliberté et sa fondation One Drop, dont la mission est de lutter contre la pauvreté dans le monde en favorisant l’accès à l’eau.

Source

Le Cirque du Soleil diffuse ses spectacles en ligne gratuitement !

https://www.cirquedusoleil.com/fr/cirqueconnect

Des images qui vous mettront du beaume au coeur…

#RestezChezVouz

 

 

Les aventures de Heol en BD

Partage de dessins diffusés sur Facebook par Heol, artiste peintre breton bien connu dans l’univers de l’art urbain…A Lorient, il s’est fait connaître avect la fresque « Lovers », à Vannes la langouste sur le toit de Dédale…Découvrez l’artiste sur cet entretien ou sur son site web : http://heolart.com

« Un nouveau personnage vient de voir le jour. Son métier est de peindre des murs, des tableaux avec ses rouleaux et ses pinceaux. Il va d’aventure en aventure, se promener partout et nulle part à la recherche de rien !!! Il s’appelle Heol… »

L’AVENIR est tout tracé !

 PAGE BLANCHE !

Juste milieu !

Chacun fait son trou !

BONNE NUIT les AMIS
Festival Chalon dans la Rue 2019

TANT de QUESTIONS sans RÉPONSES…

La paix et la guerre ! Sur les murs

Balancez vos DEMONS

Pluie…

BESACE bien promenée nourrit son maître.

Dans la LUNE…

Festival du BOUT DU MONDE

Festival du BOUT DU MONDE

SHOULD I STAY or SHOULD I ANARCHO…?

JAPON mon AMOUR

FESTIVAL des COULEURS
au BOUT du MONDE…

T’en penses quoi TOI ?

FLOWER POWER SUMMER !

BONNE PÊCHE ou MAUVAISE PIOCHE ?

ANCRAGE BRETON !

Prince des couleurs rencontre vagabond du pinceau

Ma tour d’ivoire…!

Nuage + Soleil = Oeuf

PEAU de BANANE !!!

ROSE BONBON !

PEINTRE de l’ouest !

Elixir de créativité par intraveineuse!

Héol, un artiste peintre multitâche(s) !

ENFIN je te rencontre Hugo PRATT…!

Héol est de retour, comment vivra t-il cette période de confinement ?

NOUVELLE VIE…

Apnée dans le Bleu Ciel !

Hommage aux boulangers

Avant le 12ème siècle on parlait de « Pestour » pour designer le fruit de leur travail autrement dit : Le Pain.

Les ingrédients n’ont pas changés depuis son origine. Mais le savoir-faire des boulangers est à saluer. Sans eux pas de réel repas.Que ce soit « sur le pouce » ou sur une table bien garnie le plaisir est toujours présent.

Et en plus de régaler les papilles, il alimente l’inconscient collectif.Ne dit-on pas « Gagner son pain quotidien » ? Mais le symbolisme ne s’arrête pas là. Partager son pain quotidien exprime la fraternité entre soi et l’Autre. Tout comme le Pain du boulanger qui à l’aide de la chaleur du four permet au pain de lever, l’être humain s’élève quand il partage avec la chaleur du cœur.

Rien n’y fait, que le contexte social soit au beau fixe ou mouvementé, le boulanger est là pour nous régaler !

Tout savoir sur l’histoire du pain et des boulangers :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Boulanger

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pain

Louis

Reportage aux Halles de Merville

En ce jour de marché du samedi matin, Saïko et moi avons parcouru ensemble Les Halles de Merville. Se faisant, nous avons pu parler avec certains commerçants.

Situées à côté du lycée Dupuy de Lôme et sur la rue Jean Jaurès, c’est une institution à Lorient. Elles sont ouvertes tous les matins des 7h parfois et jusqu’à 13h00 comme le vendredi entre 16h et 19h00. Le marché quand à lui est ouvert de mercredi et le samedi matin.

Quand vous arrivez au milieu de tous ces commerces si bien achalandés, c’est le plaisir des sens qui est exalté devant des étalages multicolores, des odeurs qui embaument l’atmosphère et la multitude des produits proposés.

Certains commerces traversent le temps et les générations. En effet, parmi les commerçants que l’on peut rencontrer dans Les Halles, certains d’entre eux comme le Chant du coq sont là depuis les origines en 1964.

De façon unanime , tous saluent l’ambiance chaleureuse, respectueuse et conviviale aussi bien les commerçants entre eux qu’entre ces derniers et les clients.

La demande est toujours intense car la clientèle qui se renouvelle de génération en génération veut toujours « de la bonne qualité » et des « bons produits ». Et les clients du samedi viennent toujours massivement et témoignent toujours en grand nombre chaque semaine de leur satisfaction à l’égard des Halles de Merville.

La page Facebook des Halles de Merville :

www.facebook.com/hallesdemerville

Reportage photos de Saïko

Education aux médias au collège

Il y quelques années le Collège Anita Conti a créé un partenariat avec la Maison de la mer autour de l’éducation aux médias. Les collégiens participaient à la réalisation de reportage sur la vie des ports lorientais…

Interview de Catherine Raoulas, artiste-peintre

Interview de Tiphaine, employée de la CEP au port de pêche

Interview de Karine, employée chez Lorima

Interview de Karine, employée chez Catlantech

La Maison de la Mer développe des outils et des actions de diffusion de la culture scientifique, technique et industrielle maritime : www.maisondelamer.org

Une deuxième chance avec « Remise en jeu »

Rencontre avec Robert Salaün, créateur du projet « Remise en jeu », une école de la deuxième chance pour que les jeunes retrouvent confiance en eux…

Influencé par ses expériences de footballeur professionnel (D2 à Poitiers, Châteauroux dans les années 70), mais surtout de professeur d’éducation physique et directeur d’Institut médico-éducatif, Robert Salaün a eu l’idée il y a 20 ans de remobiliser les jeunes par le football.  Utiliser leur centre d’intérêt pour une remise à niveau. Ainsi le français, les maths, l’anglais ou l’histoire sont enseignés via le thème du football. Par exemple, ils vont utiliser la Coupe du Monde pour travailler la géographie.

Des sessions de 6 mois et demie permettent aux 16-25 ans de trouver une formation ou un emploi à la sortie. 4 premiers mois en immersion : les cours le matin, préparés par Marie Le Moing, encadrés par Caroline Salaün, fonctionnent sur le mode de l’auto-évaluation. Le sport l’après-midi est encadré par Jonathan Cado et Anthony Landrein, professeurs titulaires de brevets d’État. Certains stagiaires seront les derniers mois en stage dans une entreprise ou passeront les premiers brevets d’initiateur, d’éducateur, voire le BAFA…

Les 2 structures bretonnes pour l’instant à Lorient et Quimperlé affichent des résultats concluants, 80 % des jeunes trouvent du travail ou une formation. De quoi satisfaire le président Michel Kervadec ou le vice-président Christian Gourcuff. Les autres centres créés par Robert Salaün à Cognac, la Courneuve ou en Corse ont aussi du succès. L’aide de la région Bretagne dépend de leur revenu fiscal, un stagiaire de la formation professionnelle peut être indemnisé de 400€ à 900€.

Plus que des savoir-faire, c’est avec un savoir être que les jeunes sortent de cette « remise en jeu », plus motivés que jamais à trouver leur place dans la société, avec un corps sain dans un esprit sain.

Contact : remiseenjeu@gmail.com / 07.89.62.53.62

 

Edit 06/07/21 :

Depuis cet article, l’association a ouvert 12 centres en Bretagne, plus d’infos ICI

Nouvelle formation professionnelle par le sport du 4/10/21 au 30 /06/22

Le géologue ambulant

 

J’ai rencontré à l’espace multimédia PLL, Samuel Piriou, le géologue ambulant, et réalisé ma première interview…

Quel est actuellement votre métier ?

J’ai été consultant en géologie pétrolière à Paris pour l’IFP, chef de service en exploitation pétrolière. J’ai ainsi visité différents pays comme : le Mexique, le Venezuela, le Qatar, le Koweit, l’Iran, la Russie, l’Irlande, l’Algérie, la Libye, Le Soudan (Khartoum).
Je suis actuellement animateur en science et vie de la terre auprès des établissements scolaires, du grand public, et de plus je fais des formations en géologie et je réalise des projets pour des musées et l’archéologie.

Quel bagage universitaire exact avez-vous  ?

J’ai passé une thèse de doctorat à Bordeaux en géologie marine sur le micro-plancton et la sédimentation.

Depuis quand êtes vous « géologue ambulant » ?

Je le suis depuis juillet 2019.

Pourquoi avez vous changer de métier ?

Je voulais quitter Paris et j’avais la volonté de m’installer en Bretagne.

Quel fut le premier site qui vous avez découvert et qui vous avez fait aimer la géologie ?

Les structures de mégalithes m’ont attiré au Courégant.

En août 2019, l’espace multimédia organisait une balade photographique au Courégant  à la découverte des mégalithes avec Samuel. Voir les images

Combien de sites as tu visité  ?

Chacune de mes études se fait in situ c’est à dire qu’elle implique toujours une visite sur les lieux.

Quels sont les lieux que tu as visité et étudié ?

Quand j’étais géologue pour l’IFP, j’ai eu l’occasion de visiter : le Mexique, le Venezuela, le Qatar, le Koweit, l’Iran, la Russie, l’Irlande , l’Algérie, la Libie, le Soudan (Khartoum).
Une fois devenu animateur, j’ai étudié la mer de Gâvres, Riantec, Plouhinec , Castennec, Pontivy, Quénécan, Groix et Crozon.

Lequel as-tu jugé qu’il était le plus intéressant à visiter voir à étudier  au niveau géologique?

Ce sont les Grottes de Saulges dans le bassin de Laval. Ce site comprend des vastes gorges avec es peintures préhistoriques. Les roches qui s’y trouvent comportent des coraux, des carbonates.

Combien de temps faut -il pour préparer une visite sur le terrain  avec un groupe?

Il faut entre trois mois et trois ans, tout dépend de l’objectif visé.

Merci Samuel d’avoir répondu à ces quelques questions.

Si vous voulez suivre les animations du géologue ambulant, vous pouvez le suivre sur son blog et vous abonner à la revue qu’il publie .

http://legeologueambulant.blogspot.com

Poul-Fetan, village du XIX siècle

Une sortie familiale au Poul-Fetan est proposée au centre social, voici quelques informations sur ce petit village à côté de Quistinic dans le Morbihan :

Qu’est ce que le village de Poul-Fetan ? Cet ancien village délaissé entre 1960 et 1970 fut racheté par la commune de Quistinic en 1977. Puis dans la décennie qui suivie, le village fut ouvert au public et devint un écomusée en 1985.

Que la visite commence

Quand vous arrivez devant l’entrée de Poul-Fetan, une petite cabane vous attend pour vous permettre d’entrer dans l’enceinte du village. On est accueillis par deux femmes au guichet. Elles sont habillées comme tous les gens du site en costume d’époque, c’est à dire des années 1850.

Puis, c’est la découverte du village, de ses rues et de ses maisons en pierres aux toits d’ardoises.
Des panneaux indicateurs nous montrent les différentes structures du village.

Au gré des déambulations, nous découvrons différentes maisons, destinées à différents usages.

Que faire pour commencer ? Que choisir dans les programmes de la journée ?

 

Les lavandières

Il est possible dans un premier temps d’aller voir le lavoir. Vous y verrez des lavandières, qui parlent entre elles, de toutes choses dans des « sketches » où les dialogues reflètent le mode de vie du XIXième siècle. Les commérages vont bon train dans la bonne humeur.

L’école du village

Si vous voulez retomber au temps des apprentissages, il est possible de visiter l’école du village, très caractéristiques. Quelle surprise vous y attend si vous vous asseyez sur les bancs de la salle de classe ? C’est une surprise !

Les ateliers de fabrication

Ailleurs, des ateliers sont visitables. Une cardeuse, une fileuse, une tisserande, un couturière, (….) vous montrent chacune leur atelier,  des maisons ou des étages distincts. La magie opère vite et on reste fasciné par  les mains habiles qui manipulent:

_ Tantôt le fuseau, tantôt la navette de la tisserande,
_ Ces fils, ces cordes créées avec parfois la participation du public,
_ Ces laines cardées,
_ Ces tissus créés, sur un vieux métier à tisser…
_ Ces tissus qui sont assemblés pour donner des costumes bretons.

Le tourneur sur bois

On trouve aussi dans le village, un artisan qui nous montre au milieu de copeaux de bois de son art vieux de plusieurs milliers d’années. Il créé pour le village différents types d’objets, de la cuillère au rouet.

Le beurre de baratte

En revanche si vous êtes plutôt intéressé par la cuisine, vous pouvez aller voir comment on fait du beurre en baratte dans une vaste salle d’une maison, Puis une fois la démonstration faite, sur une estrade il est possible de déguster une tartine de beurre et un verre de lait ribot…. Un régal pour les gourmets.

La bouillie d’avoine

Un peu plus loin , on vous montrera la confection de bouillie d’avoine dans une grande marmite, puis en un autre lieu, c’est une dégustation de crêpes réalisées devant vous dans une cuisine à l’ancienne avec ses supports de cuillères en bois qui vous attend.

La presse à cidre

En certaine période de l’année, il est de coutume de presser des pommes dans une grande presse pour fabriquer du cidre.

L’heure du repas à la taverne

L’heure tourne et pour se nourrir, il est possible d’aller dans a tavarne du village, Chez Ti Fanch, où l’on vous servira les plats au choix du menu. On se régale avec des plats savoureux.

Le potager

Au détour d’une carrefour, entre deux rues, on trouve un espace où des plantes sont cultivées. On y trouve toutes sortes de plantes : aussi bien alimentaires que condimentaires (menthes…), ou dites techniques (chanvre, lin …)

Les plantes médicinales

Dans le village, existe aussi une maison des vieux médicaments. Là vous pouvez successivement, savourer quelques tisanes, avec une saveur très agréable, puis une spécialiste de cette maison vous amène dans une étude autour de la maison pour étudier les plantes sauvages que nos ancêtres utilisaient pour se soigner comme par exemple la sauge, le lin, l’ortie….

La maison du meunier

Il existe aussi une maison sur deux étages. On y trouve des sacs ouverts de grains de différentes espèces. Et à l’extérieur, il est possible d’apercevoir une meule qui fonctionne avec le cheval du village.

Les chevaux

Dans le village, on trouve au moins un cheval, qui sert pour les travaux agricoles.

Les jeux bretons en extérieur

Après une petite montée d’une petite pente, se trouve une petite esplanade où se trouve des jeux bretons. Des gens de tous âges peuvent se distraire, dans des activités ludiques comme des palets ou des quilles.

Le site officiel du village : www.poulfetan.com

Manon Moy, une potière extraordinaire

Dans une rue discrète du port de pêche, un atelier tranquille vient de s’installer. Lorsqu’on arrive devant l’entrée, on découvre une table sur laquelle reposent des objets divers. Ils sèchent en extérieur. C’est une dame souriante qui nous accueille quand on frappe à la porte. Nous découvrons une salle où l’artisane nous présente ses créations et ses techniques de fabrication.

Cela se passe en plusieurs phases dont certaines durent de 5 à 15 min.Quand Manon Moy fabrique ses objets, il faut d’abord choisir le type de terre. Puis, elle utilise une machine pour presser la terre dans un moule, l’estampage. Ensuite, le modèle doit sécher dans une seconde étape, puis il faut mettre des émaux avec une cuisson à très forte température. Le four présent dans un coin de l’atelier a une taille impressionnante, elle vient tout juste de l’acheter grâce à un financement participatif.

Une fois finis, les objets sont magnifiques et charment tous les visiteurs. Manon a déjà des commandes de restaurateurs, des expositions sont en projet dans son atelier…Suivez son travail sur sa pages Facebook