Apprendre l’histoire de la Bretagne, c’est explorer des siècles de traditions, de légendes et de luttes qui continuent d’inspirer et d’enrichir notre présent.
L’époque mégalithique, de 4800 à 2500 av JC
Dans cette première vidéo, on s’intéresse à l’époque mégalithique pendant laquelle l’Armorique devient un véritable pôle de civilisation à l’échelle mondiale.
De l’Armorique à la Bretagne, aux origines du peuple breton (de 2500 av JC à 500)
On s’intéresse ici à la période de construction du peuple breton, génétiquement d’abord avec des apports venus de toutes les directions, mais surtout culturellement et linguistiquement avec la grande migration venue d’outre-Manche. Ça va être l’occasion de traverser l’Age du Bronze et l’Age du Fer, puis l’époque romaine jusqu’à l’effondrement final correspondant à l’époque arthurienne.
Du VIe siècle à nos jours
Source : Hérodote.net, un média en ligne fondé en 1998 qui éclaire l’actualité à la lumière de l’Histoire universelle, avec des récits, analyses et dossiers rédigés par des historiens passionnés
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2025/07/le-duc-de-bretagne-et-de-bourbon-tournoyant-1440-50-dapres-le-livre-des-tournois-9a9491-640.jpg441640Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2025-07-31 11:46:522025-07-31 11:46:52Histoire de la Bretagne en vidéo
Précurseur de l’affiche moderne et maître de la vie nocturne parisienne, Henri de Toulouse-Lautrec est l’un des piliers de l’art du XIXe siècle.
Au Moulin-Rouge est un tableau peint entre 1892 et 1895 par Henri de Toulouse-Lautrec.
Le Moulin-Rouge bien sûr mesure l’effervescence d’une vie nocturne Parisienne à un moment donné. Les aires de repos aussi, le milieu nocturne s’avère intéressant pour au moins deux raisons : la première c’est qu’on est libéré de son travail quotidien et on s’adonne à ses passions.
Pionnier du post-impressionnisme, Vincent van Gogh est l’une des figures emblématiques de l’art moderne.
Autoportrait avec l’oreille bandée, 1889 de Vincent Van Gogh
Fin observateur de la vie paysanne il a su enjoliver les durs travaux paysans de sa peinture agitée, entre autres ! Emmitoufler dans un habit de paysan, on ne voit que son bandage, après s’être couper l’oreille, en manque d’absinthe et d’autres plaisirs sulfureux
Inventeur de l’action painting, Jackson Pollock est l’un des grands noms de l’expressionnisme américain.
Les peintures de Jackson Pollock doivent être appréhendées avec un regard d’enfant, car celui-ci n’analyse pas. Sa raison n’intervient pas; l’enfant aime ou n’aime pas, car il est exempt d’analyse intellectuelle. C’est pourquoi Jackson Pollock, qui pourrait être condescendant, invite à la naïveté, du moins par sa peinture…
Maître de la lumière et de la composition, Edgar Degas est un des géants de l’art impressionniste du XIXe siècle.
A l’inverse des impressionnistes, il préfère peindre à l’intérieur et plus spécifiquement à l’Opéra de Paris. Il aime utiliser les vues plongeantes ce qui l’oblige au respect de certaines couleurs pour faire cheminer le regard aux endroits voulu…L’éclairage joue sa part dans cette symphonie de couleurs. Les danseuses à l’Opéra, est une excellente source d’inspiration pour magnifier son jeu de couleurs.
Maître des couleurs vibrantes et des compositions exotiques, Paul Gauguin est l’un des géants du post-impressionnisme du XIXe siècle
D’une famille d’Aristocrate, il peint tout, il peint tout le temps. En quête de nouveaux horizons, il part ! Mêlant le classicisme à sa pratique personnelle, il acquiert un style particulier. Mais à Pont-Aven, il rencontre des peintres qui raisonne comme lui et là il se libère. Cela ne lui suffit pas, il part pour Tahiti et là il trouve son bonheur. Cette nouvelle destination le transformera au point d’être métamorphosé !
Les couleurs primaires exaltent le sujet dans la peinture Rue de Tahiti. C’est tout Gauguin !
Maître de l’imaginaire et du rêve, Henri Rousseau, souvent surnommé le Douanier, est l’une des figures marquantes de l’art naïf du XIXe siècle.
L’art naïf est intemporel et présent à toutes les époques ! Surtout avec Henri Rousseau, qui a fait prendre conscience au monde de l’art et de la psychanalyse que l’art pictural des enfants possède une richesse insoupçonnée. Inconsciemment, l’enfance structure tous les gestes et, surtout, tous les actes artistiques…
Ses peintures, au-delà du dépaysement qu’elles procurent invitent à la création dans un environnement exotique.Rassurons-nous ! Ce changement de paysage est à la portée de tous : Le rêve, en témoigne ce tableau peint en 1910. Il est actuellement conservé au Museum of Modern Art de New York.
Poésie Inscription pour Le Rêve de Henri Rousseau
« Yadwigha dans un beau rêve
S’étant endormie doucement,
Entendait les sons d’une musette
Dont jouait un charmeur bien pensant.
Pendant que la lune reflète
Sur les fleuves [or fleurs], les arbres verdoyants,
Les fauves serpents prêtent l’oreille
Aux airs gais de l’instrument. »
« il serait naïf de croire cette peinture naïve » Louis Aragon
Précurseur de l’art abstrait et maître de l’ expressivité, Pierre Alechinsky est l’un des géants de l’art abstrait du XXe siècle, il continue à inspirer le XXIe siècle par l’évolution de son œuvre.
Alechinsky est un peintre qui bouleverse les codes de la peinture, membre-fondateur du mouvement CoBrA, il désenclave l’art de peindre.
« Central Park » est une œuvre de Pierre Alechinsky réalisée en 1964. Pour cette peinture, il combine des éléments abstraits avec des détails plus figuratifs et utilise des couleurs vives pour représenter le célèbre parc de New York. L’œuvre est actuellement conservée au Centre Pompidou à Paris.
Précurseur du néo-impressionnisme et maître des paysages marins, Paul Signac est une figure incontournable de l’art du XIXe siècle, illuminant ses œuvres par un éclat de points colorés.
Le pointillisme exalté par Signac fait comprendre par l’agencement de ses petits points que cette façon de peindre nécessite de la réflexion. Autodictate et fin collectionneur, il connaît les interactions de toutes les couleurs qui dialoguent entre elles. Sa peinture loin d’être innocente exige de la réflexion…
Paul Signac capture la lumière et les couleurs éclatantes du port de Saint-Tropez
Kees van Dongen, maître des couleurs éclatantes et des compositions audacieuses, est un pilier de l’avant-garde du XXe siècle.
Van Dogen est un peintre fauviste hollandais. Après plusieurs aller-retour à Paris il est séduit par la vie à Montmartre. Il est vrai que vers 1907 la vie parisienne est très séduisante et riche de rencontres. Surtout au Bateau-Lavoir où il rencontre Picasso et tant d’autres. Cette résidence d’artistes est fondée sur la liberté d’expression et donc picturale. Tout pour plaire !
C’est là qu’il peint La Parisienne de Montmartre. Sur cette toile très révélatrice de sa manière de peindre l’on peut apprécier la primauté des couleurs.
Alberto Giacometti, sculpteur, peintre et graveur suisse, est une figure emblématique de l’art moderne du XXe siècle, inspiré par le cubisme et le surréalisme…
Solitaire dans un Montmartre foisonnant de peintre, il peint de beaux portraits. Cet artiste ne conçoit plus la peinture comme une stricte représentation de ce que l’on voit, il y mêle le sentiment. C’est à dire que la peinture doit aussi exprimer le ressenti notamment par les couleurs. La simplification des formes, les grands aplats de couleurs sont des caractéristiques de sa peinture
Salvador Dalí était un peintre surréaliste espagnol, célèbre pour son imagination débordante et son excentricité provocatrice qui a marqué le XXe siècle.
Le personnage prolonge sa peinture surréaliste par une excentricité ostentatoire. Avec lui, la peinture prend un sens psychanalytique, qu’il formule de manière plus ou moins confuse mais avec le sérieux d’un professeur ! Quoi qu’il en soit, dès son plus jeune âge, il est doué pour la peinture.
Après une formation classique, il s’émancipe et commence rapidement à peindre à sa façon. Son épouse, Gala, lui sert souvent de modèle et sa peinture prend une tournure de conte de fées ! Ses œuvres défient le bon sens et permettent à tout un chacun de s’initier à la psychanalyse.
Le tableau « Rêve causé par le vol d’une abeille autour d’une grenade, une seconde avant l’éveil » est exposé au Musée Thyssen-Bornemisza à Madrid. Plus d’infos
Frida Kahlo était une artiste mexicaine emblématique, connue pour ses autoportraits et son engagement envers le féminisme.
Cette artiste mexicaine est devenue célèbre grâce à sa peinture. Cette femme libre a tout de même été fragilisée par un mariage houleux et par sa maladie contractée dès l’enfance : elle souffre de poliomyélite. Cette maladie l’a contrainte à de nombreux séjours à l’hôpital. Sa peinture, simple et figurative, la représente à travers ses autoportraits. Elle se peint vêtue simplement, avec un visage au teint mat, agrémenté de petits poils et d’habits modestes.
Sur l’un de ses portraits, on peut l’apercevoir avec, sur une épaule, un félin noir, et sur l’autre, un perroquet sombre, renforçant ainsi l’exotisme de l’image.
La peinture de Frida Kahlo nommée “Autoportrait au collier d’épines et colibri”, réalisée en 1940, est un des tableaux les plus connus de l’artiste. On peut l’apercevoir avec, sur une épaule, un félin noir, et sur l’autre, un perroquet sombre. Ce tableau exprime sa douleur physique et émotionnelle. Plus d’infos su cette peinture
Edvard Munch est un peintre expressionniste norvégien dont l’œuvre, marquée par l’angoisse et la mélancolie, explore les tourments de l’âme humaine.
C’est un expressionniste, et tout au long de sa tumultueuse vie, sa peinture reflète avec intensité les émotions du moment. Dès son mariage en 1938, il entreprend des voyages qu’il retranscrit avec passion dans son art. Ses émois se manifestent notamment dans Le Cri, une toile qui évoque l’isolement qu’il éprouve, tant face aux autres qu’en lui-même. Les couleurs, associées à la perspective de cette « passerelle », illustrent ce sentiment avec force, tout comme l’expression du personnage central.
Gustav Klimt, maître du symbolisme et de l’Art nouveau, est célèbre pour ses peintures dorées et sensuelles.
C’est un artiste natif d’Autriche internationalement connu. Ses œuvres ont tellement de succès qu’elles sont conservées, pour certaines, dans un coffre fort. Après une formation classique il s’affranchit de ces codes pour proposer sa manière très personnelle de s’exprimer.
La Médecine de Gustav Klimt, réalisée en 1901, est une œuvre allégorique qui illustre la fragilité humaine face à la maladie.
Artiste peintre française, cofondatrice du mouvement impressionniste, reconnue pour son style délicat et lumineux qui capturait avec sensibilité la vie quotidienne
Voir le documentaire « Berthe Morisot, la première femme impressionniste » de Jacques Vichet (2021) en cliquant ici
Le Berceau (1872) représente sa sœur Edma veillant sur son enfant endormi. Ce tableau est emblématique de son style impressionniste délicat et de son intérêt pour les scènes de maternité et d’intimité. Il est aujourd’hui conservé au Musée d’Orsay.
Mary Cassatt, peintre améraicaine, vient séjourner à Paris parce qu’elle est séduit par les peintures impressionnistes. Son engouement ne s’arrête pas, elle prend des cours de peinture et sa sensibilité de femme oriente ses choix picturaux. En tant qu’américaine, son dépaysement est total en France. Montmartre l’intéresse parce qu’ elle y trouve des points communs avec son état d’esprit.
Le tableau Le Bain de l’enfant est actuellement exposé à l’Art Institute of Chicago. Cette œuvre illustre parfaitement son style impressionniste et son thème de prédilection : l’intimité du lien entre mère et enfant.
Élisabeth Vigée Le Brun, femme peintre du XVIIIe siècle, se consacre à la peinture dès son plus jeune âge. Après un premier mariage, elle épouse un marchand d’art et devient la portraitiste officielle de Marie-Antoinette, témoignant ainsi du succès de son style. Ses portraits de femmes se distinguent par la dignité liée à leur rang et une sensibilité délicate. Son talent est tel que ses toiles sont exposées dans de nombreuses cours d’Europe. Elle s’exile jusqu’en Russie, fuyant la Révolution française et entretenant des relations avec la bourgeoisie.
C’est une artiste originale qui exprime son art avec des revendications principalement féministes.
Ses peintures et ses sculptures expriment des femmes bien en chairs avec de couleurs de peau unis et éclatantes. Internationalement connu elle n’hésite pas s’opposer à la guerre du Viet Nam. Ses peintures et sculptures ayant deux fonctions essentielles : montrer que quelle que soit la forme de son corps on peut vivre avec et aussi le montrer sans peur du quand dira-t-on !
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2024/10/louis_coups_de_coeur.jpg6281498Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2025-07-30 18:03:472025-10-02 18:20:33Les artistes qui font battre mon cœur (saison1)
Le site SantéBD est une ressource incontournable pour rendre l’information médicale accessible à tous, notamment aux personnes en situation de handicap.
Créé par l’association CoActis Santé, il propose des bandes dessinées claires, illustrées et personnalisables qui expliquent les actes médicaux, les visites chez le médecin, ou encore les gestes d’hygiène. Chaque outil est conçu avec des professionnels de santé et des experts du handicap pour garantir fiabilité et inclusivité. On y trouve des contenus adaptés à différents publics : enfants, adultes, aidants et professionnels.
Les documents sont disponibles gratuitement, en plusieurs langues, et dans des formats variés (PDF, audio, FALC…).
Ce site contribue à réduire les inégalités face à la santé en misant sur la pédagogie visuelle. Grâce à SantéBD, aller chez le dentiste ou passer une prise de sang devient moins angoissant et plus compréhensible. Un véritable pont entre les patients et le monde médical.
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2025/07/logo_santebd_300x.png147300Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2025-07-30 17:20:212025-07-30 17:20:21La BD au service de la santé inclusive
Comme chaque année, le centre social du Polygone vous a concocté un programme estival riche en découvertes, activités conviviales, animations pour petits et grands… et bonne humeur garantie !
Mais qui dit été dit aussi soleil… et chaleur ! N’oublions pas que les fortes températures peuvent être dangereuses, surtout pour les plus fragiles. Alors, pendant tout l’été :
Restons attentifs aux signaux de la chaleur
Pensons à bien nous hydrater
Préservons les moments frais de la journée pour nos activités
Et veillons les uns sur les autres !
Tout est prévu pour vous accueillir dans un cadre agréable, sûr et rafraîchissant. On vous attend nombreuses et nombreux !
Cliquez sur les images pour les agrandir :
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2025/07/ete2025.jpg400600Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2025-07-28 17:59:502025-08-02 13:44:08L’été avec le centre social PLL
Sortie à Port-Louis où le musée de la Marine rend hommage à la photographe Germaine Kanova, une photographe de guerre française méconnue, à travers une exposition qui s’inscrit dans les commémorations du 80e anniversaire de la Libération de Lorient.
A travers une cinquantaine de photographies, l’exposition retrace son parcours au sein du Service cinématographique de l’armée entre novembre 1944 et mai 1945, capturant des moments poignants de la Libération. Parmi les œuvres exposées, on trouve des clichés de la découverte du charnier de la citadelle, où soixante-neuf résistants ont été exécutés par les forces allemandes.
Germaine Kanova, décorée de la Croix de guerre avec étoile de bronze pour son courage, a laissé une œuvre marquée par l’empathie et le souci du témoignage.
Nous en avons profité pour visiter le musée national de la Marine qui expose une collection exceptionnelle de maquettes de bateaux traditionnels du monde entier. Ces modèles ont été réalisés au XIXe siècle à partir des observations de l’amiral François-Edmond Pâris lors de ses expéditions.
Chaque maquette illustre avec précision les techniques de construction navale propres à différentes cultures maritimes. Elles constituent une référence précieuse pour les historiens et ethnologues étudiant la navigation ancienne. Présentées dans un cadre historique, elles offrent une immersion fascinante dans l’art et la science du modélisme naval.
L’exposition « De la carpe aux Merlus, Nouveaux trésors et regards d’aujourd’hui » célèbre l’enrichissement des collections grâce à des dons et acquisitions récentes. Objets rares et métissés – porcelaines, armes, meubles – témoignent des échanges culturels entre l’Europe et l’Asie aux XVIIe et XVIIIe siècles. Pour un regard original, le musée a invité le Football Club de Lorient à sélectionner des œuvres coups de cœur en résonance avec leur parcours.
La Compagnie des Indes a joué un rôle majeur dans l’histoire de Port-Louis. Au XVIIe siècle, cette ville est devenue un centre névralgique pour le commerce avec les Indes orientales, servant de point de départ et d’arrivée pour de nombreux navires. La Compagnie des Indes française y a établi des entrepôts pour stocker des marchandises exotiques comme les épices, la soie et le thé, avant leur distribution en Europe. Ce commerce a grandement contribué à la prospérité économique de la région, transformant Port-Louis en un centre commercial dynamique.
Cependant, l’histoire de la Compagnie des Indes à Port-Louis ne se limite pas au commerce des épices et des textiles. La ville a également été impliquée dans le commerce triangulaire, un système commercial infâme qui reliait l’Europe, l’Afrique et les Amériques. Les navires partant de Port-Louis transportaient des produits manufacturés européens vers l’Afrique, où ils étaient échangés contre des esclaves. Ces esclaves étaient ensuite transportés dans des conditions inhumaines vers les Amériques.
À leur arrivée dans les colonies américaines, les esclaves étaient vendus pour travailler dans les plantations de sucre, de coton et de tabac. Les produits de ces plantations étaient ensuite ramenés en Europe, complétant ainsi le cycle du commerce triangulaire. La Compagnie des Indes a ainsi joué un rôle clé dans la perpétuation de l’esclavage et l’exploitation économique des colonies. En savoir plus
Aujourd’hui, le musée de la Compagnie des Indes permet de revisiter cette histoire avec lucidité, en rendant hommage aux victimes et en éclairant les enjeux d’un passé qui continue de résonner dans notre présent.
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2025/07/Port_Louis_4.jpg10521500Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2025-07-25 19:33:322025-07-25 20:52:41A la découverte de la Citadelle de Port-Louis
Eric Bouttier était mercredi 24 juillet à l’espace multimédia du PLL pour présenter son travail photographique.
Le photographe est né en 1981 à Trappes. Il a obtenu une maîtrise de cinéma à l’université Paris-1 et a poursuivi ses études avec une maîtrise de Sciences et Techniques de Photographie à l’université Paris-8. Il vit et travaille en Bretagne, où il développe un travail d’auteur axé sur la photographie argentique et le cinéma, explorant des thèmes tels que la mobilité du regard et la fictionnalisation du réel
Dans son besoin d’enregistrer visuellement le monde qui l’entoure, il explore ainsi toutes les possibilités de l’image argentique et se sent libre de passer du noir et blanc à la couleur comme d’alterner les appareils-jouets, le format Super 8 ou les appareils professionnels de type moyen format.
Son univers, à mi-chemin entre images fixes et images en mouvement, cherche à capter des moments quotidiens apparemment anodins afin d’interroger leurs pistes narratives, fictionnelles, et de les transformer en amorces de récits possibles, en scènes cinématographiques.
Parmi ses projets, on trouve « Dépaysement », une série de photographies argentiques en noir et blanc, et « Cinemascope Photographic Journal », un journal visuel qu’il tient depuis 2008, à découvrir sur https://www.ericbouttier.com
La santé est un droit fondamental, accessible à tous, sans distinction. Pourtant, en France, ce droit est trop souvent bafoué, notamment dans les « déserts médicaux ».
Aujourd’hui, un Français sur trois vit dans une zone où l’accès aux soins est insuffisant. Cette situation entraîne des délais de prise en charge inacceptables et des conséquences dramatiques pour la santé des populations concernées. Les centres sociaux, au cœur des territoires, sont des acteurs essentiels pour pallier ces inégalités. Ils sont souvent la première et la dernière porte que poussent les habitants, offrant un accompagnement concret et humain face à des problématiques telles que l’obésité infantile, la lutte contre la sédentarité ou l’accès à des activités sportives. En partenariat avec les acteurs locaux, ils développent des actions de prévention, facilitent l’accès aux soins et soutiennent les initiatives citoyennes. Cependant, ces efforts ne suffisent pas. Les politiques publiques doivent être repensées pour intégrer les spécificités des territoires et garantir un accès équitable à la santé pour tous. Il est urgent de renforcer les partenariats entre les acteurs de la santé, les collectivités et les associations pour construire une réponse collective et solidaire. Chaque action compte. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir plus sain et plus juste, où la santé est accessible à chacun, partout dans les territoires.
Pauline MacEachran, administratrice FCSF
Le numéro 34 est disponible en téléchargement en cliquant ici
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2025/07/cpossible.34.jpg436708Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2025-07-25 10:28:512025-07-25 10:39:31« C’est possible ! », juin-août 2025
Personnes en Situation de Handicap. Sur demande à billetterie2@festival-interceltique.bzh , une place « accompagnateur » gratuite sera délivrée pour les PSH présentant une carte « CMI Invalidité » ou un besoin d’accompagnement. Plus d’informations sur l’Accessibilité au FIL ici
Habitants de Lorient Agglomération, jusqu’au 25 juillet uniquement, dans la limite de 4 billets par spectacle
Les mineurs de 7 à 18 ans sur les spectacles suivants : Grande Parade des nations celtes, les spectacles Horizons Celtiques, Danses et Costumes de Bretagne, les spectacles Musiques et Danses des Pays Celtes, le Grand Spectacle des Bagadoù 2e catégorie, Trophée Hubert Raud (tarif spécial pour les 7 à 12 ans et accès au tarif réduit pour les 12-18 ans)
Gratuit pour les enfants de moins de 7 ans à l’exception du brunch du dimanche 10 août et des diners spectacles de la Taverne Celte. Billet obligatoire à demander avec justificatif à billetterie2@festival-interceltique.bzh
Tous mes écrits sont issus d’observations et d’inspirations, je les partage de manière plus ou moins poétique suivant les textes…
Parfois, je les transforme en audios.
Agrémentés de mes propres photos, dessins ou peintures.
C’est toujours une invitation à découvrir ce qui est universel en chacun pour développer notre écoute et regard intérieur.
____________________________________________
Le 22 juillet
Bonjour,
Cette semaine je vous livre un texte que j’ai écrit après un cercle de tambour.
Mon tambour m’aide souvent pour ma créativité.
Belle découverte et belle semaine.
Je sculpte mon monde comme une terre modelable à l’infini
Comme une peau tendue qui s’active au rythme de l’univers
En fait, je suis la terre qui se meut , se crée, se recrée .
L’infini se contemple dans le fini
Je frôle l’indicible
J’ aime ce qui se dit en résonance, plus fort que les mots
Les sens savent sans voir
Le savoir explique en démontrant
Dans une certaine transparence de moi-même , s’anime un mouvement
J’imagine que la réalité , ma réalité me parle au travers de filtres plus ou moins tangibles
Je façonne cette réalité et je sens ce feu qui m’attise pour ne jamais perdre cette flamme qui éclaire une direction .
La combustion de mes croyances vient nourrir cet indicible , alors je trouve d’autres chemins en moi pour presser au dehors ( ex-primer) et dé-tendre mes doutes .
Alors, mon tambour est le vecteur d’une expression nouvelle , guidée par le vivant .
Parfois, c’est un mouvement créatif qui transmet le mieux l’indicible qui veut percer le mystère…
Le 16 juin
LE RÊVE D’UNE RÉALITÉ …
La porte de l’enfant en nous.
Ce jour là ne présageait en rien l’aventure que me fit vivre cette rencontre.
J’avais sept ans, l’âge où le merveilleux avait toute sa place dans ma vie.
La forêt…
Un petit ruisseau où je m’amusais à jeter des galets pour suivre des yeux les ronds qu’ils formaient en entrant dans l’eau.
Celle-ci était limpide et je pouvais m’y voir .
Une petite voix claire et cristalline attira soudain mon attention, je ne parvenais pas à distinguer son origine.
Je me penchais alors au dessus de l’eau miroitante , puis me reculait à nouveau de sa surface, écoutant pleinement cet inattendu.
L’immatérialité de ce que je vivais me réjouissait, un nouveau jeu commençait pour moi;
Trouver d’où venait cette voix féminine qui me disait :
Je suis une demoiselle, comme toi, nous nous connaissons depuis fort longtemps, le sais-tu, t’en souviens-tu ?
Je me frottais les yeux, ouvrait les oreilles un peu plus, car à ce moment là j’étais au delà de mon imaginaire de petite fille.
La » demoiselle » était une… libellule qui me parlait, elle était bien réelle, elle voletait autour de moi, me faisant danser pour la suivre des yeux.
Sa légèreté et sa grâce m’envoutaient .
Elle s’était tue car désormais nous communiquions à travers nos sourires.
Oui, oui, un véritable échange d’information!
Les pensées qu’elle me transmettaient venaient de ses ailes, de son corps, de tout son être, et je comprenais sans effort.
C’était tout ce qu’elle était qui me souriait .
Ses mots étaient transparents, colorés, et avaient pourtant tellement de poids en moi!!
Leur sens m’ échappait, néanmoins je retenais leur essence.
ELLE était libre, elle était insecte, elle était amie.
Elle avait l’élégance la finesse , la légèreté d’enfant que j’étais, mais aussi la sagesse de la femme que j’allais devenir, me dit-elle.
Son message était clair, elle ne m’ apparaîtrait qu’une fois dans ma vie, afin que je ne perde pas l’émerveillement du souvenir et du rêve et que celui-ci se grave dans mon cœur à tout jamais.
Les informations m’ arriveraient au moment opportun au fur et à mesure de mon évolution future.
Une fois le message compris, entendu, elle disparut soudainement laissant un léger parfum de fleur derrière son passage.
Tous mes sens étaient en éveil.
Je ne parvint pas tout de suite à retrouver ma réalité d’enfant que j’étais.
Il me fallut m’asseoir au bord du ruisseau pour savourer le cadeau reçu ce jour là.
Souvent je l’ai appelé près de ce lieu magique en jetant d’autres galets pour la faire venir à moi.
Jamais je ne l’ai revu.
À présent je ne l’appelle plus car je sais que c’était elle, c’était moi, nous ne faisions qu’une, et je peux dire que oui, je la connaissais depuis très longtemps .
Très souvent, ce sont nos deux sourires réunis qui s’ouvrent et communiquent pour laisser apparaître le lien qui nous uni et ne forment qu’un seul et unique cœur.
Le 3 juin
Bonjour,
cette semaine je vous partage un texte de 2023 mais qui reste intemporel, il parle à nouveau de présence, sujet qui est tellement vaste puisque l’inspiration ne se trouve que dans un état de présence, à soi, à l’environnement et aux autres…
LA GRÂCE D’UN INSTANT AU COEUR DU VIVANT
Il est des instants parfaits d’harmonie,
Sans habitudes,
neufs…
Même les gestes déjà visités, les visages connus, les mains tendues, les sons apparemment déjà entendus sont renouvelés par la profondeur du moment, par la présence à ce qui émerge.
Par le vivant
Depuis la guidance du coeur
Hors d’état de prévision
En transparence
En vulnérabilité totale
Abandon des schémas de peurs, de jugements.
Retrouvailles avec soi et la nature de l’être
L’état tant recherché !
Une grâce vécue est une puissance digne d’une soie et d’un ressenti velours, qui fait fondre les digues des eaux intérieures.
Elle est d’une douceur qui touche et guérit,
Rien ne résiste à sa force de transmutation.
Elle est métamorphose, intensité et s’imprime à jamais en soi .
Ne reste alors qu’une profonde gratitude creusée au terreau du coeur.
Isabelle
Le 27 mai
Bonjour,
Cette semaine, j’ai l’élan de partager avec vous quelques mots qui expriment la présence et les moments vrais que j’ai vécus, des souvenirs de grâce qui surgissent souvent dans la simplicité de l’instant :
Douceur d’un instant Fraîcheur d’un moment
Ici, rien ne ment, Tout est vivant.
Quoi qu’il se passe, Quoi que je fasse,
Ici,
Il y a plus d’espace… de grâce, Plus rien ne se défend, Tout est important, Pas de tourments. Le mouvement s’étend, s’expanse.
Tour à tour, le temps joue avec le vent, Et s’envole dans l’espace-temps.
Ici,
La présence se fait cadeau, De l’évidence apparaît le beau.
Là où tout existe sans pourquoi, Sans question, Sans raison.
Là où l’amour EST,
Sans convoitise, Sans projection, Simple, Naturel.
Ici,
Là où l’amour est substance, Là où l’amour est créativité, Là où l’amour est créateur, Là où l’amour est créature.
Là où l’amour n’est pas ce qu’on imagine, Là où l’imagination crée des mondes, Là où l’essence de la manifestation se contemple.
Là où mes yeux découvrent le vrai don, Celui de voir vraiment, Sans filtre.
L’essentiel…
Le 6 mai
Cette semaine, j’ai tenté un petit parallèle entre l’un de mes dessins et mes mots… Que ce soit le dessin ou les mots, je laisse libre cours à mon écoute intérieure pour laisser émerger ce qui veut se dire en moi ; c’est le même processus. Je vous laisse découvrir.
Tenter de poétiser mes mots et ma pensée
Laisser de côté l’intellect, écouter autre chose
Percevoir, sentir l’instant qui invite
Tirer sur le fil
Se dépouiller, désencombrer la tête
Découvrir
Imaginer l’art du langage
Oublier les règles apprises
Inventer les siennes
Expression simple et vécue
Choisir les mots qui sonnent dans leurs fréquences, leur harmonie
Suivre la résonance, laisser la raison
Lâcher la comparaison qui étouffe l’audace
J’aime la liberté !
Poétiser l’instant
Fragile, fugace
Intense
Douceur en mouvement
Rythme
Espace du vide
Dérouler l’invitation
Activer le feu qui jamais ne consume, mais nourrit
Sensible
Vivant
Vibrant
Exaltant, enthousiasmant
Emprunter au vide l’espace qu’il m’ouvre pour m’y lover
Pour activer le feu déclencheur de joie
N’avoir pour dessein aucune règle qui freine ma créativité et laisser libre le champ des possibles imaginaires
Il y a un charme fou à s’autoriser cela…
Instants funambules
Aucun préambule
Puiser au-delà de l’apparence
Naviguer à vue, par-delà la brume intérieure
Et s’abandonner, faire acte de confiance
Passer les murs de papier, au-delà du visible
Décanter les lourdeurs du passage
Comme un voyage pour la recherche
Incarner des mots
Extraire l’essence du vécu et assembler ces mots
Ne me suis pas, mais viens avec moi…
Et regarde les traces que font tes pas dans le sable mouvant de la vie : aucune empreinte ne se ressemble, toutes ont leur spécificité
Traduis ton incarnation en une expression sensible qui puisse s’offrir en partage
Pour jouer à se donner l’illusion qu’une vie personnelle est particulière et rêver le rassemblement des âmes complémentaires
Dans tes instants fragiles, puise une force qui n’a de cesse de te grandir en humanité et grave dans ta chair cette vulnérabilité, pour en faire un éphémère qui restera à jamais dans le souffle des temps…
Désormais, laisse émaner ce qui doit, détache-toi et ouvre tes couleurs à d’autres harmonies à venir…
Le 29 avril
Cette semaine, pour vous, mes mots convoquent l’intuition, cette forme de sagesse intérieure accessible à tous…
L’intuition… Elle te saisit aux confins de l’inconnu. Elle t’entraîne sur une voie parallèle à celles mille fois empruntées. On dira de toi que tu as de la chance ! Non ! On t’enviera, mais n’écoute pas, car il t’a fallu de l’audace pour la suivre. Tu as simplement osé l’écouter. Toi aussi, tu le peux…
Il t’a fallu du courage pour la suivre, car jamais elle ne t’a donné le carnet de route correspondant. Jamais elle ne t’a offert les moyens matériels d’y parvenir. Non… Elle te les dévoile et les déploie au fur et à mesure que tu oses lui tendre la main et lui laisser les pleins pouvoirs d’action.
Elle ne t’a jamais promis que ce serait facile, mais, avec l’expérience, tu peux désormais affirmer qu’avec elle, tout devient bien plus simple. Elle ne te donne pas les outils pour te libérer des idées étriquées de ton mental apeuré. Tu devras toi-même dire à ton égo, craintif face à l’inconnu : « NON, cela n’est pas vrai ! Je ne te crois plus. Mais tu feras partie de l’aventure, car tu m’es très utile pour l’action directe. »
Elle t’entraîne sur des sentiers déraisonnables, sur le fil de l’aventure. Elle émet des signaux fulgurants, mais aussi parfois très doux. À la limite de l’écoute, tu l’entendras. Ne te fie pas toujours à sa douceur, car elle est toujours puissante ! Elle sait mieux que toi : calque tes pas sur elle, et tu ne seras jamais déçu. Elle s’expérimente comme un diamant que l’on cisèle.
Plus tu expérimenteras, plus tu reconnaîtras ses signaux avant-coureurs. C’est à ce stade que tu façonneras ta patience, car plus tu l’écoutes et la suis, plus ses messages, même diffus, te paraîtront clairs, bien qu’ils soient très en avance sur le temps linéaire. Mais jamais, au grand jamais, elle ne te dévoilera les moyens d’y parvenir à l’avance.
Mystère parmi les mystères, elle révèle et déroule le plan du Grand Plan. Mystère qui active une magie accessible à tous !
Le 22 avril
Cette semaine je vous partage un texte que j’ai mis en audio qui vous parlera si vous aussi n’avez pas été vus ou reconnus, dans votre enfance…
Le thème en est la reconnaissance, un mot que j’entends comme re-co- naissance.N’hésitez pas à mettre un commentaire, je vous répondrai. Belle découverte
Le 8 avril
Je crée, je t’écris et m’écris aussi… J’essaie et j’efface, Mais rien à faire, je continue et garde les traces.
Quelques pensées…
Et souvent, viennent quelques mots d’ici et sûrement d’ailleurs aussi.
Alors,
J’écris l’étincelle, Celle qui allumera le rouge et le jaune qui se reflétera dans les yeux qui lisent. Peut-être le feu qui réchauffe et rallume la flamme et l’audace.
Ode à ceux qui osent !
Petites envolées de jeux de lettres contemporaines, complètement folles de légèreté.
Tellement de désinvolture qu’aucune aspérité ne trouve place.
Éprise de liberté ou emprise à la liberté… Est-ce juste un mot ou une réalité…
Sans réponse, ça continue d’écrire, Sans scrupule. Les lettres se jouent de moi et moi, je joue avec.
Libérer la recherche ou trouver et permettre de vivre, de sentir, de savourer ce qui est déjà présent.
Et toujours tenter de sublimer, Voir l’à-côté. C’est devenu une seconde nature, Ou une première, tiens oui, c’est pas mal ça !
Ça rit tout seul et remplit ma feuille. J’écris vite pour éviter l’écueil. Parfois, je prends le risque et arrive juste au seuil.
Petites envolées avec leurs sonorités libres de notoriété. Puisque ce qui rassasie est le plein qui ne dure pas, pour continuer encore le jeu, Juste pour l’envie et la vie.
Car l’âme est légère et audacieuse, Elle prône la volupté et la joie du sans raison, Sans rythme et cadre imposés. Là est sa maison !
Petites envolées non destinées à retomber dans les affres du monde, mais à accomplir leur rôle de voler aux vents et de se poser là où la place est libre pour la fantaisie essentielle…
Le 1 avril
Parfois, il m’arrive de relire un texte que j’ai écrit il y a longtemps, pour me donner l’audace de faire un pas dans la direction de mon élan, comme pour me rappeler quelque chose que je sais pourtant : un élan véritable est toujours juste et soutenu par plus grand que moi. Voici celui qui m’a inspiré :
À l’instant le plus incertain, le plus trouble, existe simultanément une autre version. Potentiellement et concomitamment, un choix se profile, un vrai choix non-confortable mais vivant et passionnant au plus haut point ! Se dessine alors une ligne droite sans saveur : la sécurité promise, sans résultat garanti ; la voie la plus communément incitée et suivie, ou…
Une extravagance, suivie d’un élan, d’une folie joyeuse, celle de ne rien savoir et pourtant avoir foi en un quelque chose d’impalpable : sentir un invisible familier qui fait sourire et danser, suivre une force qui se révèle seulement aux pas franchis, aux actes accomplis, tel un génie sortant de sa lampe… Être porté par une légèreté qui soutient, être appelé par un souffle nouveau… Être étonné par l’enthousiasme de l’inconnu…
L’UN connu, peut-être !
Sa lumière ayant retrouvé la liberté ne peut plus revenir en arrière, la lampe est devenue une coquille vide, une matrice étroite.
Il lui est indispensable de s’expanser : sa croissance est infinie, ses élans colorés.
RÊVER, ACTER, RÉALISER : processus de matérialisation d’un appel intérieur voulant s’extraire du rêve pour être vécu…
La sagesse est folie du cœur qui chante, qui n’attend pas la fin de l’histoire pour être comme tout le monde, mais se languit de se découvrir ÊTRE le monde !
Incitation à la joie, débauche débordante de parfums enivrants, contagion de santé sans les peurs, alchimie du mage qui se découvre puissant d’amour…
Combattre les facilités d’apparence et d’appartenance, libérer nos valeurs qui dorment dans leurs cages dorées !
Naître pour changer et oser, puis renaître jusqu’à ÊTRE.
Le 25 mars
Cette semaine j’ai envie de vous partager un texte que j’ai mis en audio …
Je vous souhaite une bonne écoute et une bonne semaine.
Le 18 mars
Bonjour à tous !
Cette semaine je vous partage un texte que je viens de retrouver et que j’ai grand plaisir à vous offrir…
Parce qu’une personne m’a récemment posé la question :
C’est quoi la poésie ?
Je n’ai pas su répondre dans l’instant, aussi parce que je ne suis pas poète !
En recherchant un texte, je suis « tombée » sur celui-ci que j’avais écrit il y a quelque temps, sans m’en souvenir vraiment, alors ça n’est qu’un point de vue et non une véritable définition, je vous laisse découvrir.
La poésie, c’est quand tu restes coi, tant sa douceur inonde tes yeux de larmes qui nettoient.
La poésie, c’est en noir et blanc, sublimant l’absence de rien et surtout, la présence du tout.
La poésie, c’est la couleur du don qui s’ignore.
La poésie, c’est l’imperfection qui se donne en spectacle et la transcende.
La poésie, c’est tout proche du quotidien, mais pas trop, pour avoir assez d’espace pour la contempler.
La poésie, c’est ne pas la voir et pourtant en être profondément touché.
La poésie, c’est tout, sauf le poète, qui n’est là qu’à son service pour sa plus grande joie.
La poésie, c’est quand tu ne la cherches pas, car c’est elle qui te trouve.
La poésie, c’est s’écarter d’un millième de centimètre pour qu’elle puisse ôter l’étau de ta tristesse.
La poésie, c’est quand tu pleures, et que même cela, ça fait du bien parce que son aura n’est pas très loin de toi.
La poésie, c’est elle qui te touche sans jamais poser une main dans la tienne.
La poésie, c’est la musique d’une âme qui a faim.
La poésie, c’est quand c’est beau de ne pas l’être.
La poésie, c’est cet indéfinissable qui pourtant me fait écrire des mots…
La poésie, c’est tout ce qui se passe dans un espace totalement éphémère… Et que pourtant tu gardes à jamais !
Du mercredi 15 au vendredi 18 juillet 2025, un atelier créatif et participatif a attiré l’attention des passants du quartier Frébault. Pour l’occasion, Jade, Mélanie et Solène sont venues partager leurs savoir-faire avec les habitants afin de créer des mobiliers et des accessoires « Do It Yourself » (DIY).
Ces trois artistes font partie du collectif de designers-plasticiennes Millemains, basé à Brest. Cet atelier, gratuit et ouvert à tous, a été soutenu par le service de l’Action culturelle de proximité de la Ville de Lorient.
Les bénévoles du collectif « Tous ensemble pour… » ont répondu favorablement à l’appel.
Certaines bénévoles douées en couture se sont attelées à la fabrication des toiles à partir de toiles de tente. Ainsi, Hélène, Victoire et Mélanie ont fait preuve de beaucoup d’imagination pour coudre des motifs sur les toiles, évoquant les souvenirs des habitants de leur quartier (terrain de football ou de pétanque, trottinettes, toboggans…).
D’autres bénévoles se sont quant à eux occupés de la partie menuiserie. Ils ont poncé, coupé et assemblé le bois pour construire la structure robuste des transats.
Venez tester la solidité de nos transats flambants neufs ! Ils vous attendent à côté de la guinguette, place de Madagascar, au cœur du quartier Frébault. Un petit jeu amusant vous y attend : saurez-vous deviner à quelle représentation/souvenir correspond chaque motif de toile des transats ?
En bonus, un mini-film retraçant toute la fabrication des transats sera projeté ce mercredi 23 juillet lors de la soirée tapas en fanfare au quartier Frébault ! C’est l’occasion parfaite de découvrir les coulisses de ce beau projet. On vous y attend nombreux !
Retrouvez les réseaux sociaux du collectif Millemains en cliquant sur les liens ci-dessous : Site internet / Facebook / Instagram
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2025/07/DSCF5953.jpg10021500Alicehttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngAlice2025-07-22 11:47:082025-09-05 18:12:10Création de transats et de coussins DIY avec le collectif Millemains