Testez vos connaissances sur la laïcité
C’est aujourd’hui les 120 ans de la loi du 9 décembre 1905. La laïcité, tout le monde en parle… Mais la connaît-on vraiment ? Et savez-vous ce qu’elle implique au quotidien ?
C’est aujourd’hui les 120 ans de la loi du 9 décembre 1905. La laïcité, tout le monde en parle… Mais la connaît-on vraiment ? Et savez-vous ce qu’elle implique au quotidien ?
Une nouvelle carte postale toutes les semaines pour mieux connaître l’histoire de Lorient :

Carte postale, datant de 1935/1939, Gaby éditeur à Nantes, collection personnelle.
Au premier plan, les arbres de la place, et le kiosque à musique, celui-ci étant inauguré le 24 novembre 1933 (en remplacement d’un premier kiosque, datant de 1885 et détruit en janvier 1933) avec sur son toit les armes de la Ville de Lorient et des cartouches avec le nom de compositeurs célèbres. Rescapé des bombardements de 1943, il sera démoli après guerre, lors de la reconstruction de la place.
Au second plan, les immeubles de la place, à gauche, la rue de Turenne (de nos jours on y trouve l’église Notre-Dame de Victoire), à droite, les rues des Fontaines et de La Patrie, avec les magasins Fashion House et Novoprix (de nos jours, les Galeries Lafayette ) et à droite le magasin de vétements Saint Remy (de nos jours le magasin Burton)
Il y avait deux autres kiosques à musique à Lorient, un place d’Armes et un place de La République, dans le quartier de la Nouvelle-Ville.

Le jeu des 7 différences et plus : Sur ces deux cartes postales, nous voici devant le bassin à flot, avec à l’arrière plan, le cours des Quais (notre quai des Indes actuel), dont l’arrière du théâtre du cours de la Bôve, et au premier plan des marins qui réparent une voile de bateau.
Vous vous demandez pourquoi mettre deux fois la même carte postale, la 2012 de la collection Villard ?
Si vous regardez bien, il y a des différences entre les deux cartes postales…

Au premier plan, des enfants et des marins posent devant la statue de Stanislas Dupuy de Lôme; à droite la Préfecture Maritime de Lorient, avec sa marquise, ses souches de cheminée, et ses sculptures du 18e siècle, et sa grille, notre actuelle galerie Le Lieu . Au fond la tour de La Découverte et les arbres de la colline du Faouëdic.
Carte Postale, collection Villard, Quimper, éditeur.

Sur cette carte postale, nous voici rue Beauvais, à gauche, cachée par les arbres se trouve la gare, à droite, au fond l’école de Kerentrech, le tabac de l’hôtel Saint Christophe, hôtel qui sera a reconstruit dans les années 30, l’hôtel Terminus, avant son agrandissement et une belle villa, qui existe toujours. On notera la publicité pour les vêtements Saint Rémy
J. Nozais, éditeur, Nantes

Nous voici avenue de Merville (de nos jours avenue Jean Jaurès) au niveau du carrefour avec les rues de Kerlin et Claire Droneau, en direction de la Nouvelle-Ville. Notre regard est attiré tout d’abord par la foule qui pose pour le photographe sur la chaussée et le trottoir de droite, avec principalement des enfants, puis par le tramway, avec sa publicité pour le triple-sec Poulain, qui roule en direction de Ploemeur. Sur le trottoir de droite, un kiosque ou une vespasienne, avec une publicité pour le Grand Théâtre Delemarre, « prochainement à Vannes? »
Carte postale, collection Villard, éditeur, Quimper.

Sur cette carte postale, nous voyons au premier plan trois vedettes, reliant Lorient à Port-Louis, ancêtres de nos batobus, à droite le Pont-Tournant, reliant le cours de Quais à la Nouvelle-Ville. Sur le quai côté Nouvelle-Ville, deux bateaux, dont « Le Redoutable » à droite. Enfin, nous voyons quai de Rohan, des entrepôts, dont ceux des Bateaux à Vapeur du Nord et ceux des Messageries de l’Ouest & Union Belliloise et celui du Charbon de Terre, aux angles de la rue Carnot et du quai, un café et un tabac.
H. Laurent, Port-Louis, éditeur


Nous voyons ici la rue Maréchal Foch, par temps ensoleillé, avec une grande animation, automobiles, cyclistes, piétons, dont des marins. Parmi les commerces, on remarque « A l’Ours Polaire », une quincaillerie, un magasin vendant des articles de chasse. Au fond l’église Saint Louis, à droite, à l’angle de la rue Paul Bert, la fontaine monumentale dit aussi fontaine de Neptune, oeuvre du sculpteur Auguste Nayel et de architecte Stephen Gallot.
Carte postale, de la série « Lorient Moderne », Nozais, éditeur, Nantes Bon dimanche

Voici la plage de Port-Maria à Larmor-Plage, vers 1910, un jour d’été, avec de nombreux promeneurs.
Au premier plan sur les rochers des femmes avec leurs ombrelles, ainsi que des militaires en uniforme.
Au second plan, les promeneurs, mais peu de baigneurs, on remarque des tentes et cabines de plage
Au fond, de droite à gauche, la terrasse d’un café ou d’un glacier, la villa Les Sables qui agrandie deviendra le Celtic Hôtel et la villa Les Hermines, construite en 1910
Collection H Laurent, Port-Louis, éditeur

Au premier plan, le pont suspendu Saint Christophe, inauguré en 1847, et remplacé par le pont actuel en 1960, avec les voies du tramway, à droite une villa, au fond le Scorff avec le parc à bois Saint Isidore et Lanester.
Collection personnelle, J. Nozais, éditeur à Nantes
Au premier plan, le pont suspendu Saint Christophe, inauguré en 1847, et remplacé par le pont actuel en 1960, avec les voies du tramway, à droite une villa, au fond le Scorff avec le parc à bois Saint Isidore et Lanester.

Collection personnelle, J. Nozais, éditeur à Nantes
Au premier plan, des enfants posent devant le photographe, à gauche le magasin de chapellerie et chemiserie Fashion House, à droite les Modern Galeries, avec une belle façade en pierres de taille et une marquise, et une calèche qui stationne devant l’entrée du magasin. A noter les enseignes sur le toit, qui étaient peut être lumineuses.
Sur la place on voit un kiosque à journaux, devant Fashion House, et une vespasienne, à l’angle de la place avec les rues de La Patrie et des Fontaines.
Au fond la rue des Fontaines, une des rues les plus commerçante de Lorient, qui va de la place Alsace Lorraine, jusqu’à la place Bisson .

Carte postale, Collection H. Laurent à Port-Louis, collection personnelle.

Au premier plan, la gare routière de Lorient, mise en service en 1938, avec ses cars Chausson; à gauche le cours de Chazelles et la place Georges Clémenceau. Au fond, la ville déblayée et non reconstruite, avec la tour de l’église Saint Louis, la colonne Bisson, les immeubles de la rue Poissonnière et celui de la rue des Fontaine, ainsi que la chapelle provisoire en baraque, de la paroisse Notre Dame de Victoire.

Sur cette photo datant du 4 septembre 1887, nous assistons à l’inauguration de la statue du compositeur Victor Massé, cours de La Bôve, en présence de nombreux lorientais.
La statue en marbre, est l’œuvre du sculpteur toulousain Antonin Mercié, et le socle de l’architecte lorientais Stephen Gallot.
Fortement endommagée par les bombardements de 1943, ce qu’il en restait sera détruit en 1953.
Enfin notre attention est attirée par le salon de coiffure à l’angle de la Bôve et de la rue du Port.
Photo : Médiathèque François Mitterrand, fonds Bretagne,

La foule de spectateurs regardant passer un char sur le thème de l’aviation, à droite le café du Morbihan, et la fontaine de Neptune, oeuvre conjointe du sculpteur Auguste Nayel et de l’architecte Stephen Gallot. Au fond l’église Saint Louis.
Album photo, conservé à la Médiathèque de Lorient, Fonds Bretagne.

A gauche les arbres du cours des Quais, actuel quai des Indes, au centre l’Hôtel des Postes, à l’angle de la rue Molière, la Poste déménagera en 1909, rue Poissonnière. Enfin à droite, l’arrière du Théâtre.
Carte postale datant d’avant 1907, Médiathèque François Mitterrand, fonds Bretagne

Construit entre 1890 et 1896, le quartier Frébault était le casernement des troupes de l’artillerie coloniale, endommagé lors des bombardements de 1943, il sera démoli en 1961, excepté un bâtiment qui a servi de prison jusqu’en 1982.
Carte postale, collection A. Waron, Saint-Brieuc, médiathèque François Mitterrand de Lorient, Fonds Bretagne

Au premier plan les casernes des équipages de la Flotte, qui sont les anciens magasins de la Compagnie des Indes, bâtiments, aussi appelés le Péristyle et oeuvre de l’architecte Jacques V Gabriel.
Le Péristyle sera détruit lors des bombardements de 1943.
Au fond le Scorff et la rade de Lorient
Carte Postale, fonds Bretagne, médiathèque de Lorient

Au premier plan le Pont-Tournant et l’écluse du bassin à flot. Sur le pont les passants regardent le photographe, au fond le quartier de la Nouvelle-Ville, avec le quai Rohan, et la rue Carnot. A noter à droite la publicité pour le célèbre Chocolat Menier
Carte Postale, Artaud et Nozais, Nantes, éditeur, collection personnelle.

Au premier plan, le quai de la Pointe, avec des bâtiments en bois , des charettes à bras et un attelage, se trouvant devant un petit édifice, qui pourrait être un octroi. Au fond les maisons de la rue de la Pointe, avec de gauche à droite, une épicerie, le débit (de tabac ?) de V. le Quer ou le Guen, l’Hôtel Belle Vue et la Buvette du Port.
Carte Postale, collection H. Laurent, Port-Louis, éditeur, collection personnelle

Sur le pont les passants regardent le photographe, au fond le quartier de la Nouvelle-Ville, avec le quai Rohan, et la rue Carnot. A noter à droite la publicité pour le célèbre Chocolat Menier
Carte Postale, Artaud et Nozais, Nantes, éditeur, collection personnelle.

Au premier plan, le bassin de Commerce (le bassin à flot) avec un bateau à vapeur et un bateau à voile, au second plan, le Cours des Quais (actuellement place Jules Ferry), avec la Salle des Fêtes, inaugurée en 1905, et l’École Primaire Supérieure. Au fond, les remparts de la Ville.
Carte Postale, H. L. éditeur

Au centre , un bataillon qui défile, à droite le kiosque à musique, qui était au centre de la place. Au fond, le mur, avec sa balustrade, datant de 1742, qui se trouve face à l’Hôtel Gabriel.
Carte postale, Collection H. Laurent , Port-Louis, collection de la Médiathèque de Lorient, fonds Bretagne.

Érigée, près de la Porte du Morbihan, face tournée vers le Cours de Chazelles, la statue en bronze de Jules Simon, est inaugurée en 1905, elle est l’œuvre du sculpteur Denys Puech. La statue sera fondue par les allemands pendant la guerre, mais on peut voir à Paris, place du Guatemala, la même statue en pierre.
Carte Postale, Lefeuvre, éditeur, Lorient, collection personnelle
Derrière la statue , on voit derrière les remparts de Lorient, les maisons de la place du Morbihan

A droite la rue des Fontaines, à gauche , l’immeuble du magasin Fashion House, à l’angle de la place Alsace-Lorraine . Tous ces immeubles disparaîtront lors des bombardements de 1943.
Carte postale, Fonds Bretagne, Médiathèque François Mitterrand

Au premier plan, le Cours de La Bôve, avec ses bancs et ses arbres qui viennent d’être replantés, à gauche, on aperçoit la terrasse d’un café, à droite des immeubles reconstruits avec divers commerces , dont une charcuterie, le photographe Crolard, et un électricien.
Au fond on voit le clocher de l’ancienne église Saint Louis, qui sera démoli entre le 5 et le 31 octobre 1957. On notera que les immeubles de la rue Clairambault ne sont pas encore construits.
Carte Postale, Gaby, éditeur à Nantes

Sur cette photo, prise du Quai de Rohan, on voit à gauche, le Pont-Tournant avec ses deux maisonnettes, l’écluse de l’entrée du Bassin-à-Flot , et à droite, une vedette de La Rade, à quai, qui partira à destination soit de Port-Louis ou de Locmiquélic.
Sur le Quai des Indes, on voit à gauche, des baraques, et à droite, un blockhaus, ainsi que le bureau de la Compagnie des Vedettes de la Rade.
Au fond, la Chambre de Commerce, avec son fronton orné de la sculpture d’un Caducée, symbole du dieu Mercure, qui est le dieu romain du commerce. La rue Pasteur, avec le pignon d’un immeuble qui a des publicités pour le cirage Lion Noir et pour l’apéritif Byrrh et deux immeubles de la fin du XVIIIe siècle, qui ont survécu aux bombardements de 1943.
Carte Postale, Artaud, père et fils, éditeurs à Nantes

Au premier plan, le terre plein de la Place Bisson avec la Colonne Bisson à gauche et des marchands ambulants dont un qui s’appelle « A la renommée », à droite , le Cours de La Bôve, au fond , la rue de Pontcarré et dans le lointain la rue de La Marine. Derrière la Colonne Bisson, l’église Saint Louis, les Halles et l’immeuble du journal , « Le Nouvelliste du Morbihan »
Carte Postale, Cie des Arts Photomécaniques, Paris, éditeur, collection personnelle.
Au premier plan, le terre-plein de la place, avec son kiosque à musique, des bancs, et des automobiles en stationnement. A droite la rue Victor Massé, avec, à l’angle, le « Grand Café », la rue de Clisson, avec l’Hôtel Beauséjour, la rue Hoche, avec à l’angle, un chirurgien dentiste.
Carte Postale, Cie des Arts Photomécaniques, Paris, éditeur, collection personnelle



La statue en bronze, du philosophe et homme politique, Jules Simon, est l’oeuvre du sculpteur Denys Puech. Elle est inaugurée le 25 juin 1905, ce qui explique la foule et les drapeaux sur la Porte du Morbihan, et la couronne de fleurs sur le socle en granit.
La Porte du Morbihan a été démolie à partir du 6 mars 1907. La statue sera fondue pendant la seconde guerre mondiale.
Carte postale, collection H Laurent, Port-Louis, collection personnelle.

Au premier plan, les voies de la ligne de Savenay à Landerneau, avec le passage à niveau fermé du Cours de Chazelles. Une locomotive à vapeur se dirige vers le photographe et passe sous la Passerelle, qui permet aux piétons de pouvoir franchir la voie ferrée. Celle-ci est en ciment armé, a une hauteur de 7 mètres, elle est mise en service le 13 octobre 1900.
Au fond à droite, la Gare de Lorient avec sa marquise.
Carte Postale, Phototype Vasselier, Nantes, collection personnelle

A droite, l’église Saint Louis, avec un autobus de la Compagnie des Tramways, et la Place Saint-Louis.
A gauche, la rue des Fontaines, avec une automobile au premier plan, et un autre autobus de la Compagnie des Tramways.
Au centre la Colonne Bisson, et les immeubles de la place dont le cinéma Select Palace, inauguré en 1920.
Carte Postale, Loïc, éditeur, collection personnelle

Au premier plan, le Pont Saint-Christophe se reflétant dans le Scorff. Il va bientôt etre remplacé par l’actuel pont. Au fond le quartier de Kerentrech et les maisons de l’impasse Saint Christophe.
Artaud Père et fils, éditeur à Nantes.

Au premier plan, la place Alsace-Lorraine, avec l’Hôtel Restaurant Beauséjour, et l’immeuble du Crédit Lyonnais, en fin de construction.
Au fond, la rue de Clisson, avec l’Hôtel Astoria

Un train est en train de traverser le pont du chemin de fer, qui est vu ici en direction de Lanester.
Ce pont, sur la ligne Savenay-Landerneau, a été construit en 1861/1862, pour la compagnie ferroviaire Paris Orléans, et permet aux trains de traverser le Scorff.
Carte Postale, ND et LL éditeur.

Au premier plan, le Cours de La Bôve et la statue du compositeur Victor Massé, au second plan, la rue du Port, en direction de l’Arsenal, dont on voit la Grande Porte et la Tour de La Découverte.
Carte postale, ND et LL éditeurs, Paris

Au premier plan, les arbres de la place Saint-Louis, avec un kiosque et un lampadaire, l’église Saint-Louis et son clocher. D’architecture Néoclassique, elle sera victime des bombardements de 1943. A droite un des bâtiments des Halles de Lorient. A droite la Place Bisson, avec ses arbres et les immeubles à l’angle de la rue des Fontaines et du Cours de La Bôve.

Au premier plan, le lavoir de la Côte d’Alger, le long du Scorff, avec des femmes et des enfants, certaines femmes lavant leur linge. A gauche on voit le linge qui sèche.
Au fond on voit , à gauche, la butte de la chapelle Saint-Christophe, dont on voit le toit, et à droite, le pont suspendu, et au loin, les arbres du Château du Diable.
Carte Postale, Collection Villard, Quimper, éditeur. Collection personnelle.
Au premier plan, les maisons à l’angle du quai de Rohan, un coiffeur à gauche et un tabac à droite. Des hommes et des enfants posent pour le photographe.
Carte postale, H. Laurent, Port-Louis, éditeur.

Voici la façade de l’Hôpital Maritime, inauguré le 6 août 1936.
Le bâtiment existe toujours, englobé dans l’Hôpital du Scorff.
Carte postale, série « Lorient Moderne », J. Nozais, Nantes, éditeur

Nous voyons ici le côté nord de l’église, vu de la place Notre-Dame, et sa fontaine .
Carte Postale, Fond Bretagne, Médiathèque François Mitterand de Lorient

Nous voici Place de La République, dans le quartier de La Nouvelle-Ville, avec sa statue de la République, qui a été inaugurée le 14 juillet 1904, et son kiosque à musique. Au fond les bâtiments de la société Marcesche & Cie.
La statue existe toujours.
Carte postale, Fonds Bretagne, Médiathèque François Mitterrand

Sur cette carte postale, qui met à l’Honneur la Maison Crucer, nous voyons une gravure des places Bisson et Saint-Louis. Celle ci est l’oeuvre de L. Radigois de Rennes.
Au premier plan à gauche, les immeubles de la place Bisson, au premier plan à droite, le centre de la place Bisson avec ses arbres, et le porche de l’église Saint Louis. Au fond la place Saint-Louis.
La spécialité de la Maison Crucer, est le Gâteau Lorientais, mais ils faisaient aussi des Gâteaux Armoricains, et des paquets de petits gâteaux.
Carte postale, Maison Crucer, éditeur.

Au premier plan l’Arsenal de Lorient, avec le bassin numéro 2, la grue et des baraques. Au deuxième plan le Scorff ,Lanester, et le Blavet.
Carte postale, La Pie, Service Aérien, Editions Lapie-St-Maur, éditeur

Au premier plan, le centre de la place, avec son kiosque à musique, des arbres, et des automobiles.
Au fond , les immeubles de la place, dont l’Hôtel Beauséjour.
Carte postale, LL éditeur , Paris

Sur cette photo, nous voyons que le pont n’a que deux câbles de chaque côté. On en rajoutera lors des travaux d’adaptation au passage des tramways, pour qu’il puisse supporter le poids des tramways.
Photo sur support cartonné, ND éditeur, Paris

La Place de Ploemeur est devenue la place Aristide Briand.

Au premier plan, la place du Morbihan, avec deux tramways et un kiosque de la compagnie des Tramways de Lorient. A droite , la rue Victor Massé, avec au fond le kiosque à musique de la place Alsace-Lorraine, et à gauche la rue du Morbihan (Maréchal Foch actuelle) avec l’église Saint-Louis.
Carte Postale, A. Waron éditeur à Saint-Brieuc. Collection personnelle.

Situé entre les rues Racine, à gauche, et Molière, à droite, sa façade donnant sur le Cours de La Bôve, le Théâtre de Lorient, de style Néoclassique, œuvre de l’architecte Detaille, est inauguré en 1780. Il sera bombardé le 23 janvier 1943.
Collection personnelle

Voici une belle carte au beau décor floral, et pleine de couleurs , qui met à l’honneur trois lieux de Lorient : le pont Suspendu, qui est le pont Saint Christophe; la statue de Victor Massé, cours de la Bôve, devant le Théatre; et le Bâtiment du 3e Dépôt, à l’emplacement de l’actuelle Maison de l’Agglo.
Carte postale, Arthaud et Nozais éditeur à Nantes. Collection personnelle

Carte postale, Lemire, éditeur à Lorient. Collection personnelle

Carte postale, collection Laurent-Nel, éditeur

Au premier plan, des thoniers, au fond à gauche, le Manoir de Keroman, et le Slipway, et à droite le quai avec de nombreux bateaux et les locaux des mareyeurs.
Carte postale, Compagnie des Arts Photomécaniques, éditeur à Paris

L’œil décalé de la photographe Kourtney Roy Sur l’architecture contemporaine en Morbihan
Un voyage architectural en image qui raconte l’histoire d’un territoire en mutation
À découvrir dès maintenant sur le parvis de la Cité de la Voile Eric Tabarly

La fête d’Halloween remonte à plus de 2 500 ans, sous le nom de Samain (qui signifie « réunion » en langues celtes et gauloises). Elle était célébrée à la fin octobre et au début novembre, lors d’une nuit de pleine lune (du 31 octobre au 1er novembre), en Irlande, en Grande-Bretagne et dans le nord-ouest de la Gaule, notamment en Bretagne.
À cette époque, le climat était doux et humide, et l’année ne comptait que deux saisons :
La fête de Samain marquait le début de la saison froide et la fin de l’été, au moment où le bétail rentrait à l’étable et les récoltes étaient entreposées. Des pommes étaient utilisées pour prédire l’avenir, notamment en matière d’amour et de prospérité.
Un festin était obligatoire, composé de viande de porc sacrée censée conférer l’immortalité, de bière, de vin et d’hydromel (boisson fermentée à base de miel et d’eau).
Cette fête visait à créer des passerelles entre les vivants et les morts. Les Celtes, qui croyaient au retour des défunts et à la réincarnation, se vêtissaient de peaux de bêtes pour se dissimuler des esprits. Ils déposaient des offrandes à l’extérieur pour apaiser les âmes et se protéger.
Lors de la conquête romaine de la Gaule, une fête des moissons fut instaurée en l’honneur de la nymphe Pomone, déesse des fruits et des vergers. Elle protégeait les récoltes des arbres fruitiers et était l’épouse du dieu étrusque Vertum, dieu du printemps.
À cette période, les Gaulois devaient éteindre le feu dans leur maison, qui était ensuite rallumé par les druides pour célébrer la nouvelle année. Ces feux servaient à éloigner les esprits et à protéger les vivants. Cette fête, à la fois religieuse, politique, militaire et commerciale, était aussi l’occasion de signer des contrats.
La coutume des citrouilles évidées et sculptées en forme de masque, avec une bougie à l’intérieur, remonte à cette époque.
En 837, le christianisme rejeta cette fête « païenne » et la transforma en fête de la Toussaint. Le pape Grégoire III déplaça la Toussaint du mois de mai au 1er novembre, inscrivant Halloween au 31 octobre dans le calendrier liturgique. Les gens commencèrent à prier pour les âmes des défunts et à honorer les saints.

Entre 1845 et 1852, la maladie de la pomme de terre causée par le mildiou, combinée à un climat froid et humide, provoqua une grande famine en Irlande. Un million de personnes moururent et deux millions émigrèrent vers les États-Unis, emportant avec eux leurs traditions, contes et légendes.
Parmi ces légendes figure celle de Jack O’Lantern, personnage emblématique d’Halloween. Jack Stingy, ivrogne avare de Wicklow, invita un jour le diable à boire un verre, refusa de payer et demanda au diable de se transformer en pièce de monnaie. Il garda la pièce près d’une croix d’argent dans sa poche. Plus tard, il libéra le diable à condition qu’il ne le dérange pas pendant dix ans. L’année suivante, il le trompa à nouveau en lui demandant de grimper dans un arbre gravé d’une croix. À sa mort, Dieu refusa de l’accueillir au paradis, et le diable tint parole en ne le prenant pas en enfer. Jack fut condamné à errer éternellement avec un charbon ardent placé dans un navet évidé pour éclairer son chemin.
Le terme « Jack O’Lantern » désignait aussi les veilleurs de nuit portant des lanternes en Angleterre au XVIIe siècle. Le prénom « Jack » était souvent utilisé pour désigner un homme inconnu. Au XIXe siècle, les émigrants irlandais remplacèrent les navets par des citrouilles pour créer leurs lanternes aux États-Unis.
L’expression « Trick or Treat » signifie « un sort ou une friandise ». Elle est d’origine irlandaise : au Moyen Âge, les pauvres frappaient à la porte des riches pour demander nourriture, argent ou bois, en échange de prières pour les morts — une tradition appelée souling. Les familles qui refusaient étaient parfois victimes de mauvais tours.
Le mot « Halloween » est une contraction de l’anglais All Hallows’ Eve, qui signifie « la veille de tous les saints ».
Au XXe siècle, Halloween est devenu un événement commercial mondial, avec la vente de costumes et de bonbons spécifiques.
Enfin, El Día de los Muertos n’est pas la version mexicaine d’Halloween, mais une fête distincte célébrée les 1er et 2 novembre au Mexique, où les familles honorent leurs défunts avec respect et recueillement.
Accompagné d’Aldo Ripoche au violoncelle, tantôt conteur, tantôt personnage, Achille Grimaud s’attaque aux Légendes autour de la Mort d’Anatole Le Braz. Il nous amène dans la Bretagne du XIXe siècle, hantée par l’ombre de la mort.
De cette œuvre littéraire déjà riche, Achille Grimaud y ajoute des personnages hauts en traditions qui ont façonné notre imagerie bretonne.
Bien sûr, aborder la mort sur scène, même par les légendes et les traditions en a fait reculer plus d’un. Mais qu’à cela ne tienne, Achille Grimaud fait le pari d’en rire, de nous en faire rire. Alors pour une fois, rions ensemble de la mort.
Ces représentations s’inscrivent dans le cadre de la quatrième édition de la « Semaine mortelle » proposée par le collectif « Les oiseaux ne se cachent plus pour mourir », avec le soutien de la Conférence des Financeurs et de la ville de Lorient, qui a pour objet d’aborder la thématique de la mort de manière éthique, juridique, philosophique, à l’échelle du quartier de Kervénanec et plus, avec cette volonté de contribuer à un mieux vivre ensemble en permettant la rencontre, l’échange sur une thématique plutôt tabou.
Jeudi 30 octobre 2025 de 15h00 à 16h30, de 19h00 à 20h30 à la Balise, 2, rue Eugène-Varlin, Kervénanaec

Restitution finale du projet « Les Baraques, à peu de choses près », coordonné par la Mission Action Culturelle de Proximité, dans le cadre des commémorations de la Libération et de la reconstruction de Lorient, ainsi que de l’anniversaire de l’association Baraques An Oriant.
Entre 2024 et 2026, ce projet a mêlé recueil de témoignages, création artistique et participation citoyenne. Pour cette étape, la compagnie La Bande à Grimaud propose un spectacle conférence mêlant conte et réalité, où comédiens et spectateurs deviennent acteurs d’une mémoire encore vive.
La représentation sera suivie d’un temps d’échanges avec le public.
Jeudi 16 octobre à 19h
La Balise, 2 rue Eugène Varlin, Lorient
Entrée libre et gratuite (dans la limite des places disponibles)
Infos : Direction de la culture et du patrimoine
02 97 02 23 16 | directionculture@lorient.bzh

Les Journées Européennes du Patrimoine, le 21 septembre 2025, on été l’occasion d’une promenade, sur le site des Forges d’Hennebont, sur le territoire de la commune d’Inzinzac-Lochrist, avec ses friches industrielles au bord du Blavet. Bonne balade.
Site de l’Écomusée des Forges : https://inzinzac-lochrist.fr/ma-ville/vie-culturelle/ecomusee-des-forges/
Plus d’infos sur les Forges d’hennebont : https://fr.wikipedia.org/wiki/Forges_d’Hennebont
La Sécurité sociale, née en 1945, incarne un tournant majeur dans l’histoire sociale française. Universelle et solidaire, elle protège chaque citoyen face aux aléas de la vie. À l’heure de ses 80 ans, son avenir dépend de notre capacité à préserver son esprit tout en l’adaptant aux défis d’aujourd’hui.
Avant 1945 : En France, pas de protection universelle. Seuls quelques salariés bénéficient de caisses de secours. La guerre et la crise révèlent l’urgence d’un système plus juste.
1945 : Naissance de la Sécurité sociale, portée par le Conseil national de la Résistance. Le 4 octobre, les ordonnances sont signées : un système solidaire, universel et géré par les salariés et employeurs voit le jour. Tous les citoyens sont couverts, quel que soit leur statut.
Années 1950-1970 : Le système s’étend aux agriculteurs, indépendants, et se diversifie (retraite, famille, santé). La France devient un modèle de protection sociale.
Depuis les années 1980 : Vieillissement, chômage et hausse des dépenses de santé mettent le système sous tension. Réformes et débats s’enchaînent pour le préserver.
Aujourd’hui : Malgré les défis, la Sécurité sociale reste un pilier de la solidarité nationale, garantissant soins, retraites et allocations pour tous.
Et demain ? Son avenir dépendra de notre capacité à l’adapter, sans perdre son âme : la protection de tous.
Connaissez-vous la branche maladie ? Testez vos connaissances sur ce quiz :
https://www.musee-assurance-maladie.fr/quizz-connaissez-vous-la-branche-maladie
Plus d’informations sur https://80ans.securite-sociale.fr
Les Journées Européennes du Patrimoine 2025 ont été l’occasion, pour moi de redécouvrir la Basilique Notre-Dame de Paradis d’Hennebont, grâce à la visite du Clocher, de la Basilique et de la Sacristie.
Construite entre 1514 et 1530, par François Michart, le chœur et la nef étant achevés en 1524, la tour et le le clocher probablement en 1530. Simple chapelle à l’époque, elle devient l’église paroissiale en 1590. Elle devient en 1913, Basilique Mineure.
Avec cette sélection de photos vous verrez donc l’intérieur de la Basilique, la Nef et le Chœur, la Sacristie, l’orgue, le clocher, la tribune d’orgue, et les cloches. Enfin au sommet de la tour, on a une très belle vue sur la ville et ses environs.
Bonne visite.
Pour en savoir plus : https://lesamisdelabasiliquehennebont.fr/
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