Lorientaise 2016

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« La Lorientaise » est organisée par l’Office des Sports : http://lalorientaise.oepslorient.org

les bénéfices récoltés sont remis à la Ligue contre le cancer du Morbihan.

La section « Collectif Habitants » du PLL organisait la pause rafraîchissement au Centre social Polygone !

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La chorale « Soleil d’Orient » dont les répétitions ont lieu chaque lundi, de 20 h à 22 h au centre social Polygone :

Le tour de France à vélo par Fabien pour le don du sang

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Don du sang, c’est urgent ! 

Par Marc

C’est à l’occasion d’une collecte de sang que l’idée lui est venue de faire son tour de France pour sensibiliser un maximum de personnes au don du sang.  Son projet a commencé le 17 août et s’est terminé le 25 septembre 2016.

Son trajet a commencé à Lorient, puis il a continué par Vannes, Saint-Nazaire, Nantes, La Roche-Sur-Yon, la Rochelle, Saintes, Angoulême, Périgueux, Villeréal, Agen, Montauban, Toulouse, une pause de deux jours à Rouvenac, Carcassonne, Murviel-lès-Béziers, Montpellier, Nîmes, Avignon, Montélimar. A Valence une Pause de 4 jours à mi-parcours.Ensuite il prit le train jusqu’à Bourg-en-Bresse et reprise du vélo jusqu’à Maçon, Moulin, Saint-Amand-Montrond, Loches, Candes-Saint-Martin, Angers, Châteaubriant, Rennes, Redon, Vannes et Lorient !

Dans la plupart des villes qu’il a parcouru, Fabien était accueillit et logé par des bénévoles qui le soutenaient dans son périple.

Fabien, à 100 pour sang !

 

Son objectif était avant tout de faire connaître et de inciter les habitants des villes étapes à donner leur sang, ce qui est primordial pour sauver des vies humaines.

Christian Le Clainche, Président départemental du don du sang l’a soutenu tout au long de son périple et a assuré la logistique.

Un comité d’accueil l’attendait à son arrivée à Lorient, les responsables et aussi beaucoup d’amis et de bénévoles.

 

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Fabien remercie sincèrement toutes les personnes qui l’ont soutenu et aidé tout au long de son odyssée, certainement qu’il en gardera de très bon souvenirs ainsi que de nouvelles amitiés.

Un blog a été réalisé à l’Espace multimédia du Polygone pour suivre son aventure : http://a100poursang.weebly.com/blog

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A Lorient, la Maison du don du Scorff, située dans l’enceinte du  Marc Centre Hospitalier, permet aux donneurs d’effectuer un don de sang tous les jours sur rendez-vous.A l’heure actuelle, aucun produit n’est capable de se substituer au sang humain. C’est pourquoi l’Etablissement français du sang et les acteurs de la transfusion sanguine comptent sur les donneurs.

A la découverte de Tropical Parc

Notre voyage nous conduit dans des jardins exotiques qui nous transportent aux 4 coins du monde, de la Thailande, en passant par l’Indonésie, le Mexique, le Brésil, l’Afrique, jusqu’en Australie.

Des décors naturels, des plantes, des fleurs, des oiseaux, bref, une profusion de couleurs qui nous en met plein la vue.

Le parc animalier a fait le bonheur des enfants : chèvres, moutons, wallabies, alpagas et bien d’autres… Même effet avec la visite de l’ère du Jurrassique qui rassemble une collection de dinosaures.

Pour finir notre journée, la surprise du parc : un spectacle d’oiseaux. Les perroquets, perruches et tous les autres oiseaux font leurs shows, spectacle admirablement orchestré et qui a émerveillé petits et grands.

Marches exploratoires de femmes

Quartier Polygone – Frébault :

Un projet porté par la Ville de Lorient, en collaboration avec le CIDFF (centre d’information sur les Droits des femmes et des familles), le Conseil citoyen et le Centre Social du Polygone.

C’est l’occasion pour les femmes de s’exprimer sur ce qui va et ce qui ne va pas dans leur quartier, et de proposer des solutions d’améliorations et d’aménagements.

Pour cela, un travail de cartographie en groupes a été réalisé en amont le mardi 31 mai 2016 :

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sur le plan détaillé du secteur à arpenter, on indique point par point le lieu où on se sent bien ainsi que ceux où on se sent mal à l’aise.

A l’aide du parcours délimité sur le plan, nous avons fait notre première marche le 28 juin en début d’après-midi, une promenade suivie d’un bilan pour échanger nos premières impressions autour d’un café.

RDV le jeudi 15 septembre à 17h30 au Centre Social pour la deuxième marche.

 

Ballades sur l’île d’Arz

dscn2715Le mercredi 21 juillet 2016

Après un trajet en car pour Vannes, notre voyage commence par une petite traversée en mer pour atteindre l’île. S’en suit une petite marche pour une visite incontournable du moulin à marée de Berno.

Après un petit tour dans le Bourg, le pique-nique était le bienvenu. Un petit apéro dans les bars – restaurants pour certains (avec modération bien sûr…), et une dégustation de fruits de mer pour d’autres…. un régal !

Puis, nous avons poursuivi notre découverte de l’île ; une petite halte sur la plage de Penera qui avait réjoui les plus petits, un petit détour vers le Grand Chemin, puis Penero, et nous revoilà sur une autre plage.

Enfin, en attendant l’heure du retour, pourquoi pas une bonne glace bien méritée, pour tout le monde !

Nous reviendrons, peut-être, pour faire un tour complet de l’île cette fois-ci…

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Le Camping Partagé – 06 au 25 juillet 2016

20160721_102956Cet été, l’équipe d’animation du Centre social et les habitants du quartier ont installé le campement à Plouharnel, dans le camping de Loperhet.

Ce projet existe depuis une dizaine d’années ; les tentes, duvets, matériels de cuisine etc… sont mis à disposition des familles.

Le temps d’un week-end voire d’une semaine complète, chaque famille peut profiter du calme de la nature, non loin de la mer, ainsi que de toutes les activités proposées par le camping, comme la piscine, les terrains de jeux, et les soirées animées.

« le camping partagé, c’est une coupure du train-train quotidien lorientais, pour décompresser. En plus, cela nous permet d’avoir des moments privilégiés avec nos enfants.

les enfants trouvent facilement des amis avec qui jouer.

Les points négatifs ? Les relations avec les personnes sont parfois compliquées à gérer. Nous n’avons pas tous le même caractère. Cependant, on arrive toujours à faire abstraction de nos disputes et à s’amuser ensemble. »

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Le jardin partagé « Les Coccinelles »

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Le jardin partagé a été créé en 2010 sur volonté forte d’un groupe d’habitants du quartier de pouvoir cultiver un bout de terrain a proximité de chez eux.

Le projet est porté par le Centre Social du Polygone / Patronage laïque de Lorient et soutenu par la Caisse d’Allocation Familiales et le Contrat de ville.Le terrain appartient a Lorient habitat. Les travaux d’ aménagement ont été réalisés par le service espaces vert de Lorient qui assure un soutien technique et logistique régulier.

Le jardin se compose de douze parcelles individuelles et quatre bacs. Nous avons trois parcelles pour des associations partenaires (SSESAD du scorff, SAJ de Sauvegarde 56, Multi-accueil Anne Franck)

Une parcelle est dédiée a un projet collectif, chaque année, tous les jardiniers se mettent d’accord sur un thème de culture : cucurbitacées, légumes du monde, pommes de terre et choux, rhubarbes et fraises…Toutes les récoltes sont suivies d’une dégustation : les légumes cuisinés, soupe, tarte confiture, tout se passe dans le jardin.

C’ est un lieu convivial où sont proposés des temps d’ animations, atelier, portes ouvertes, spectacles, musique, théâtre de rue, contes…C est aussi un espace public ouvert à tous dans un esprit de rencontres, de découvertes, de partages et d échanges

Pour plus d’information contactez l’animatrice Morgane Even

PLL/ Centre social du Polygone
80, avenue Général De Gaulle 56100 Lorient
02 97 83 69 64
ludotheque.polygone@orange.fr

Carnaval 2016

Cette année est particulière pour Lorient puisque la ville fête ses 350 ans. Pour le Patronage Laïque de Lorient aussi c’est une année spéciale puisque cela fait 90 ans que l’association a vu le jour. L’atelier habitant du centre social a donc travaillé sur ce thème «  Le Patronage Laïque de Lorient fête ses 90 ans….une belle histoire … »

Le char représentait différentes sections sportives telles que le kayak, la boxe, le foot, le tennis, la danse…les sections nous ont aidé dans la réalisation en nous fournissant du matériel représentatif des différents sports. Les personnes qui défilaient quant à elles étaient habillées en écoliers des années 30, en effet une des premières actions menées par le PLL était de proposer aux petits Lorientais au centre de loisirs de Soye. Les accueils de loisirs quant à eux ont proposé plusieurs thématiques en relation avec l’histoire du PLL : le marché aux légumes, le tramway qui emmenait les enfants en vacances,…Le rendez-vous des ados a proposer une chorégraphie qui a emmener le défilé tout au long du parcours sur un thème charleston.

Merci à tous de votre participation.

Auto-portrait

J’avais aux alentours de 18 ans lorsque après un départ de chez mes parents je m’aventurai sur la route en stop en direction de Moustier Sainte Marie.Pourquoi ce choix ? Parce que j’étais convaincu que l’expression la plus authentique de ma personnalité était le dessin !

Inexpérimenté j’invitais avec mon doigt en évidence les conducteurs à me déposer dans cette ville. Mon aspiration était de trouver une activité épousant mon ressenti le plus profond, à savoir l’expression graphique.A l’époque, jeunesse oblige, j’étais insouciant mais convaincu de mon chemin

Rien ne pouvait m’en détourner. Arrivé sur place tel un vagabond aux cheveux longs et bouclés je frappais aux portes ! Il y avait des tas d’opportunités et l’on me prit à l’essai dans un atelier-magasin. Je dormais dans un studio qu’une jeune fille m’avait dégotée…

Dans ce studio, seulement l’essentiel pour vivre : Une pièce avec un coin cuisine, un espace pour dormir, un autre pour se soulager et pour se laver ! Je ne me souviens plus s’il y avait un coin de table dans ce lieu de vie exigu pour lire, quoi qu’il en était quand je me présentais face à la responsable, je devais exprimer mes talents artistiques. Naturellement j’exprimais le ressenti émotionnel qui perdurait au plus profond de moi-même, à savoir un état de quiétude. Je doute que cela correspondait aux attentes mercantiles de la maison. En moi-même, un moment de dualité comme toujours, mais bien vite ce qui constitue mon essentiel prit le dessus, à savoir mon aspiration naturelle libérée de tout contenu égocentrique.

Ce studio jouait plusieurs fonctions :
La première et la plus raisonnable était d’avoir un espace pour me loger le temps que la prise à l’essai soit concluante ou pas.
La seconde plus intime était l’occasion de me retrouver avec moi-même, vaste programme !

Donc apprendre à me connaître … Ce chemin à l’intérieur de moi devait être révélateur et essentiel pour me comprendre.A partir de ce moment-là j’ai pris conscience de mes freins et de mes potentialités ! A savoir qu’il faut que je sois authentique et pour cela il faut que je puisse déverrouiller mes freins.

Alors lorsque mon attention s’orientait vers l’intérieur de moi-même je découvrais avec étonnement que nombre de mes émotions étaient coincées ! Elles ne fournissaient donc plus le travail nécessaire à leur intégration dans l’organisme. Insouciant comme à l’habitude je ne m’interrogeais pas ! A tort car seule une prise de conscience m’aurait permit de domestiquer cet état tumultueux, état émotionnel qui une fois apprivoisée tel une créature obéissant à son maître devient compréhensive…

C’est un contenu personnel affranchit de toutes tensions familiales ! Ce qui demande d’être dans un exercice de détachement, autrement dit c’est se distancier peu à peu du cocon protecteur qui assure la protection de la larve humaine que nous sommes tous potentiellement. Comme personne ne me l’avait dit se fût une découverte quelque peu sauvage. Tel un enfant perdu dans la forêt tumultueuse de son intériorité, je m’aventurais parmi mes fantasmes en voie d’éclosion. Illisibles qu’ils étaient pourtant, ils devaient s’envoler pour s’émanciper ! Selon le temps passé dans cette prison doré les barreaux se durcirent…

Le cocon familial, c’est un foyer chaleureux dans lequel on voudrait vivre tout le temps. Mais l’appel de l’inconnu réveille les âmes sensibles. Alors pour s’émanciper et grandir intérieurement un envol est nécessaire. D’abord pour essayer ses ailes et voir comment on se situe par rapport à l’inconnu. Et c’est alors que le doute s’installe. Déjà au niveau température il fait froid. Mais il y a la chaleur humaine des rencontres secourables. Dans la vie il n’y a pas de hasard. Il y a un phénomène de résonance affective qui entre ligne de compte. Mais chaque rencontre n’est pas du hasard. Il y a une correspondance très étroite entre nous et les autres…

L’émancipation affective : A la sortie de l’adorable cocon familial qui sert de modèle à son épanouissement émotionnel, mental et spirituel, j’ai découvert le néant ! Le vide quoi ! Mes parents et leur secours indispensables m’invitaient à regretter mon enfance doré . C’est à ce moment que les façons de penser parentales s’ancrent durablement dans le for intérieur de tous individus. Telle une chenille nous avons tous besoin de devenir papillon ! C’est alors qu’apparaît la peur de cet inconnu indispensable à nôtre évolution, des rencontres incontournables…

Devant l’inconnu plusieurs solutions s’offraient à moi ! La première, la plus simple et la plus directe, était d’être pragmatique. La seconde, être rationnel, plus confortable car le mental s’immerge dans nôtre désordre émotionnel. La troisième, être spirituel parce qu’elle propose l’inversement de toutes nos valeurs. Et pour finir celle qui demande le plus d’investissement affectif parce qu’il faut être entier, ce qui veut dire être dans l’instant présent. Cette dernière est la plus exigeante mais nécessaire à la compréhension de soi-même,  autrement dit être authentique !

Louis Manrique

http://louismanrique.weebly.com

Marins pêcheurs

Travailleurs de la mer
Cultivateurs de l’océan , laboureurs
Visages burinés ,de cicatrices ,de rides
Marqués par le poids des marées
Des coups de vents , des tempêtes
Des années à trimer, à souffrir en silence
Caractères durs, dos courbés par la tâche
Mains calleuses, par les cordages, les corvées
Pour seul horizon , la mer
Leur seul amour ,leur seule passion
Cette chienne qui vous prends dès l’enfance
Qu’ils ont dans la peau
Qui s’accapare toute leurs vies
Et quelquefois leurs vies
ils continuent et retournent en pêche
à cœurs vaillants, rien d’impossible
Ce sont les chevaliers de la mer

Marc

http://invitationalapoesie.blogspot.fr/