Concours Phot’Eau

L’association humanitaire Secours des Hommes organise un concours Phot’Eau sur le thème :

« A deux mains pour demain », pour aider un village de Madagascar à réaliser des travaux d’adduction en eau potable.

Jusqu’au lundi 3 février 2020, Lorient. Tarif : 5 € les trois photos. Inscription avant le 3 février.

Contact : 06 84 74 01 99, secoursdeshommes@orange.fr, http://secoursdeshommes.fr

Cybersécurité et puces électroniques

Jeudi 17 octobre 2019 à 20h, salle Ricœur, lycée Dupuy de Lôme, Lorient

Arnaud Tisserand (directeur de recherche CNRS, Lab-STICC)

La lutte contre le piratage et l’espionnage des systèmes informatiques et électroniques est un enjeu crucial pour les particuliers, les entreprises et l’état : communications sur Internet, commerce électronique, formalités administratives sur le web, etc. La cybersécurité est l’une des disciplines qui traite de ces aspects. À la base, tout système informatique s’exécute sur une puce électronique comme un processeur d’ordinateur. Ces puces sont souvent considérées comme difficilement piratables, mais ceci n’est pas toujours vrai.

Après une introduction sur la cybersécurité, nous présenterons quelques techniques pour espionner ou falsifier des informations sensibles qui se trouvent, en théorie, bien à l’abri dans la puce. Nous présenterons aussi quelques techniques de protection.

 

Ca sert à quoi le #Cybermois ?

Le début d’une vie numérique saine et sans problèmes : se poser les bonnes questions !

Toutes les possibilités et facilités offertes par le développement du numérique s’accompagnent de nouvelles tentations pour des acteurs plus malveillants. Sans renoncer à la technologie, il est primordial de prendre conscience que ces questions nous concernent toutes et tous et affectent notre comportement au quotidien, au travail, comme à la maison.

  • Est-ce que j’ai encore reporté à plus tard la mise en à jour de mon téléphone portable ?
  • A quand remonte la dernière sauvegarde de mes photos, mes documents importants ? et d’ailleurs c’est où le cloud exactement ?
  • Est-ce qu’il ne serait pas temps de changer mon mot de passe « 1.2.3.4 » …

Un kit de sensibilisation a été réalisé par Cybermalveillance.gouv.fr et vise à sensibiliser aux questions de sécurité du numérique.

 » Nos Ados et le Numérique »

 » Nos Ados et le Numérique » qui se déroulera le mardi 15 octobre au BIJ à 18h30.

 Il s’agit d’une soirée d’échanges animée par l’association Douar Nevez sur la compréhension des usages et la limitation des risques liés au numérique.

 Cette soirée se clôturera par un pot pour ceux qui souhaitent aller plus loin et échanger de manière plus individuelle avec le chargé de projet de Douar Nevez.

À la découverte de l’histoire européenne

Gratuit et pédagogique, ce jeu est développé par la Région Bretagne avec le soutien de l’Union européenne via le Fonds européen de développement régional. Destiné à une utilisation grand public et notamment à destination des jeunes de 15 à 29 ans, Legends of Europe permet d’approfondir les connaissances des jeunes sur l’Europe avec différentes thématiques (histoire, européens célèbres, arts et patrimoine, géographie etc). Le serious game saura surprendre les joueurs grâce au mode free-run permettant de quitter le scénario pour explorer plus de 110 lieux existants en Europe à 360°.

Jeu gratuit en ligne surhttps://legends.europe.bzh

Application disponible sur l’App Store Google Play

Voyage en Bretagne pour 5€ le samedi

Vos billets de TER à 5 euro pour voyager partout en Bretagne. Allez à Rennes pour découvrir, redécouvrir son quartier historique, les Lices , ses musées ou partez à Kemper pour une belle balade le long de l’odet ou à Brest , Saint-Brieuc : www.tourismebretagne.com

Choisissez votre date de voyage et achetez vos billets, en ligne uniquement :

https://www.ter.sncf.com/bretagne/offres/bons-plans/samedis-5euros

Prochain samedi éligible le 5 octobre 2019 Bon voyage ! Bouger c’est la santé !

Intelligence Artificielle

Tout sur l’IA à travers une exposition du Pôle Bretagne culture scientifique réalisée par l’Espace des sciences de Rennes

L’intelligence désigne un ensemble d’activités du cerveau relatives à la connaissance.Elle englobe la mémorisation, le raisonnement et la résolution de problèmes, l’expression langagière mais aussi la perception. Des ordinateurs sont conçus et programmés pour effectuer des tâches relevant de l’intelligence humaine. Sont-ils pour autant intelligents ?

Du lundi 23 septembre au vendredi 4 octobre, bibliothèque universitaire, UBS, 25, rue Armand-Guillemot, Lorient. Gratuit.

Projection du film « Des clics de conscience »

Dans le cadre de la La Fête des Possibles, L’association KerAmap Lorient, ainsi que Kamea Meah Films, Comunidée , sont heureux de vous inviter à la projection à prix libre du film Des Clics De Conscience – Le Film
Programme de la soirée :
19h : apéritif d’accueil et de présentation de Keramap.
20h : Nous diffuserons en exclusivité un extrait d’une dizaine de minutes du film « La Valeur de la Terre », film documentaire sur le projet Europacity, le plus grand parc de loisirs et de commerce d’Europe qui projette de s’installer sur les dernières terres agricoles du Triangle de Gonnesse ! Ce Film sortira début 2020.
20h15 : Projection du film « Des Clics de Conscience »
21h30 : échanges entre intervenants spécialistes et la salle, sur le thème des semences et autres problématiques d’agriculture
Le film, de Jonathan Attias et Alexandre Lumbroso, Durée : 1h17
Synopsis : Alexandre et Jonathan lancent une pétition sur internet pour redonner le droit aux agriculteurs de ressemer leur récolte et se promettent de la porter le plus loin possible. Armés de leurs dizaines de milliers de signatures, ils surmontent les épreuves grâce à des rencontres ingénieuses et s’interrogent pour impliquer davantage les citoyens dans les choix politiques. Leur aventure initiatique sèmera peut-être, les graines pour une future démocratie…
Vendredi 27 septembre 2019 de 19h00 à 22h30
La Balise, fabrique artistique et culturelle de Kervénanec, 2 Rue Eugène Varlin, Lorient

Place à l’acte…pour se mettre en mouvement !

Producteur du film Artistes de la Vie, On passe à l’acte est un projet innovant qui oeuvre en faveur du changement sociétal, à travers les outils de l’audiovisuel et du numérique.

Créé il y a 12 ans, On passe à l’acte a d’abord démarré par la création d’un web-média de journalisme positif. Partout en France, l’équipe est partie à la rencontre de centaine d’individus inspirants et de projets à impact sociétal positif pour rendre visible et valoriser les initiatives positives dans tous les domaines (environnement, éducation, santé, numérique, économie, habitat, culture, coopération etc.). L’idée, c’était d’inspirer le grand public et montrer que c’est possible d’agir pour améliorer le monde.

Un espace en ligne pour se mettre en mouvement : https://www.placealacte.fr

Unique en son genre

Place à l’acte est une plateforme innovante qui donne accès gratuitement à plus de 250 outils et services pour trouver sa voie et lancer son projet à impact positif

Espace d’entraide

Elle comporte aussi un espace d’entraide communautaire où chacun peut partager son projet, faire équipe ou encore aider des projets existants

Espace de partage

Sur cette plateforme participative, chacun peut partager ses outils et ses bons plans pour s’entraider

 

“My beautiful baraque”

 

La photographe et journaliste Élisabeth Blanchet expose ses photographies des préfabriqués d’après-guerre et leurs habitants jusqu’au 22 septembre, à deux pas de la cité provisoire reconstituée depuis 2007, par l’association Mémoire de Soye. Exposition de diptyques imprimées sur des bâches grand format associant des intérieurs et extérieurs de baraques. Pendant les journées du Patrimoine, visites de la cité de l’habitat provisoire de 14h à 18h, toutes les 20 minutes.

Voir l’exposition virtuelle sur le site de Élisabeth Blanchet

Christophe Wuillemin devant sa baraque française de Lanester

« Les préfabriqués d’après-guerre en France constituent un “trésor national” très peu documenté et en voie de disparition. Les “baraques” étaient censées durer une dizaine d’années mais 70 ans plus tard, il en reste quelques centaines, toujours habitées. Le succès de ces “baraques” est étonnant d’autant plus qu’elles étaient censées être temporaires… L’attachement des habitants des préfabriqués pour leur maison est fascinant au point que de générations en générations, des familles y vivent toujours !Après la deuxième guerre mondiale, le MRU décide d’utiliser des préfabriqués pour reloger les sinistrés. Plus de 150 000 baraques sont érigées dans les villes qui ont le plus souffert de bombardements, créant des quartiers entiers appelés “cités provisoires”. Les sinistrés sont logés dans différents types de préfabriqués : les baraques françaises, les canadiennes, les suédoises, les finlandaises, les suisses… Et les américaines. Ces dernières sont celles qui ont le plus de succès car elles ont un design hyper moderne pour l’époque et elles sont toutes équipées (eau courante, eau chaude permanente, cuisine toute équipée, toilettes à l’intérieur, une grande clarté, des placards intégrés…).

Soixante-dix années plus tard – alors qu’elles n’étaient censées que durer entre 10 et 15 ans – il reste des centaines de baraques éparpillées du sud de la Bretagne aux Hauts de France… certaines étant étonnamment bien conservées et arrangées aux goûts de leurs propriétaires.

A travers des rencontres et des portraits de personnes qui ont vécu ou vivent encore dans des baraques d’après-guerre, je propose de raconter non seulement l’histoire de ces petites maisons temporaires, de rappeler le contexte de la reconstruction mais aussi d’évoquer la vie sociale, l’esprit de communauté et tout ce qui a pu contribuer au succès des cités provisoires. Je propose également d’interroger des experts tels qu’un historien social de cette période d’après-guerre et Mickaël Sendra, président de l’association Mémoire de Soye qui a reconstruit trois baraques en micro-musées – un musée unique en France – à Lorient, pour étoffer l’analyse

Enfin, j’envisage une ouverture sur le présent et l’avenir. Les préfabriqués ne pourraient-ils pas de nouveau aider à lutter contre la crise du logement ? »

Élisabeth Blanchet, photographe et journaliste