Scène ouverte de la Mutualité française
Scène ouverte de la Mutualité Française 29-56, le mercredi 2 octobre à à la salle Océanis de Plœmeur.

L’art sera à l’honneur mercredi 2 octobre à l’Océanis pour le concours Incroyable Talendicape organisé par le centre de rééducation de Kerpape.
La première partie du concours artistique et solidaire autour du handicap a eu lieu le 6 juin où trois structures ont remporté le premier prix : les foyers Soleil et Jean Couloigner ainsi que l’Ehpad Pascot . Quatre autres établissements ont participé au concours : les Ehpad Soleil Levant, Tal Ar Mor, Men Glas et Liot.
Scène ouverte de la Mutualité Française 29-56, le mercredi 2 octobre à à la salle Océanis de Plœmeur.

Par Jean-Yves

Roland Becker à Amzer nevez le jeudi 3 octobre à 20h30 pour un concert exceptionnel d’un des plus grands musiciens de Bretagne pour sa nouvelle création. Voici le déroulé de l’œuvre :
« Dans la collecte de Joseph Mahé (1760-1831), premier collecteur breton de musique paysanne ou dans l’œuvre d’Olivier Perrin (1761-1832), premier peintre breton du monde paysan, chaque image est sonore. On y entend des paysans, des colporteurs, des marchands, des sonneurs et des noceurs. Aussi habiles que fins observateurs, Mahé et Perrin enrichissent leurs carnets de petits airs pour l’un et de dessins pour l’autre, entretenant une sorte de correspondance imaginaire fabuleuse avec Roland Becker qui a rêvé, écrit et réalisé ce nouveau concert et nouvel album de musique bretonne aux confins du 18e siècle »
Les créations de Roland Becker ont marqué le paysage musical Breton et pour ce nouveau concert, il sera entouré de musiciens talentueux .Les amateurs et les passionnés de musique reconnaîtront tout le talent et l’humilité de l’Artiste. Une soirée inoubliable à l’écoute d’une œuvre musicale d’un musicien rare. Les cd et livres de Roland Becker sont en vente à la Coop Breizh et seront en vente sur place.
Roland Becker (bombardes)
Alan Letenneur (biniou, veuze)
Jean-Felix Hautbois (tambour)
Tarifs : 15 €/ 12 € / 10€

Le 20th Century Club, club d’écriture destiné à faire découvrir les littératures de l’imaginaire, pratiquer l’écriture créative pour le plaisir et aborder des sujets de société, en prise avec les préoccupations actuelles sont l’essence de ce nouveau club d’écriture.
Club d’écriture et de l’imaginaire | Médiathèque François Mitterrand de Lorient | Premiers samedis de chaque mois
« Aie pitié de mon chagrin. Ô présence enfouie, rassure-moi, hante-moi, toi que j’ai perdu. Reviens, sois une ombre, un rêve, un fantôme. »
Seamus Heaney
Longtemps, les littératures de l’imaginaire furent associées aux lectures pour enfants, ou comme des romans de gare sans grand intérêt. Mais avec l’essor d’une culture populaire de masse, des auteurs, des genres, et des modes d’expression ont fini par trouver leur public, en touchant un certaine presse autrefois critique. L’autre côté du miroir, pour emprunter la plume de Lewis Carroll, est enfin reconnue parce qu’elle interroge, mieux que quiconque, la nature humaine et le monde qui nous entoure.
Le 20th Century Club va essayer de poursuivre cet élan, faire raconter des histoires divertissantes, en interrogeant l’environnement dans lequel nous vivons. Un monde en profondes mutations, sujets à de nombreuses interrogations, peurs, espoirs.
Le 20th Century se présente comme un atelier d’écriture made in culture pop, entièrement gratuit, qui s’adresse aux petits et aux grands, passionnés ou non par l’écriture et les mondes de l’imaginaire.
Comme toujours, l’expérience de l’écriture créative dans les univers de l’imaginaire se déroule sur trois heures.
Deux jeux d’écriture préliminaires, pour faire naître les idées et nourrir l’envie de fabriquer une histoire, puis un exercice d’écriture sous contraintes, accompagnée d’une lecture et d’échanges, voilà comment se déroulera chacun des neuf ateliers.
« La magie existe-t-elle ? » Le 05 octobre 2019
Jolie question pour aborder le sujet du merveilleux et de la fantasy, pour cartographier un nouveau monde imaginaire, découvrir de nouveaux héros, raconter de nouvelles légendes.
Pour entretenir la flamme du conteur qui sommeille en nous, dans une réalité peuplée de fantômes et d’ombres, et que l’on décrit parfois comme désenchantée.
« Comment naissent les légendes urbaines ? » Le 02 novembre 2019
Après les terres du milieu, retour dans le monde réel. On continue d’aborder la thématique des légendes, modernes cette fois, des mythes modernes aux rumeurs qui se propagent tel des virus sur les réseaux sociaux et le biais des nouvelles technologies.
Pour respecter la tradition d’Halloween, place aux histoires qui foutent la chair de poule !
« Les ados d’aujourd’hui, génération perdue ? » Le 07 décembre 2019
L’école fait débat, pour les enseignants, les parents et plus encore, pour les enfants.
Les années collège ou les années lycée ressemblent souvent à un parcours du combattant, semé d’embûches qui laissent de traces chez les jeunes longtemps après. Lieux hantés, ou se cachent des monstres et où naissent les premiers élans romantiques, l’école et les adolescents font des sujets passionnants pour raconter des histoires incroyables.
Franchissons à nouveau les portes de l’école pour rencontrer les ados d’hier ou d’aujourd’hui.
« C’est quoi un monstre ? » Le 04 janvier 2020
Monstres d’hier et d’aujourd’hui au programme de la nouvelle année. Des démons et merveilles qui hantent les pages des romans fantastiques aux monstres à visages humain, à quoi reconnait-on un monstre ?
Un atelier d’écriture pour apprendre à connaître le monstre qui sommeille en chacun de nous, et plus encore, comme le maîtriser.
« Que feriez-vous si vous pouviez voyager dans le temps ? » Le 01 février 2020
Retour vers le futur, voilà un titre qui pourrait convenir pour cette cinquième date. Raconter des histoires en empruntant la machine à voyager dans le temps de Herbert George Wells, pour revivre le passé ou penser l’avenir.
Comment conjuguer le passé, le présent et le futur, c’est ce que nous allons tenter d’écrire.
« Prêt pour une odyssée moderne ? » Le 07 mars 2020
Les nouveaux voyages extraordinaires constituent le cœur de cet atelier qui va clôturer l’hiver. Des univers parallèles aux mondes virtuels, sujets de nombreuses œuvres de fiction et préoccupations du vingt-et-unième siècle, partons découvrir des contrées lointaines.
Une histoire est un voyage, autant pour les personnages qui la composent, que pour les auteurs, tentons de faire de cet atelier la plus extraordinaire des invitations.
«Vivre ou jouer ? » Le 04 avril 2020
Pourquoi cette question, parce que nous vivons dans une société ou le divertissement est partout, comme si nous étions-nous aussi, des personnages vivant dans une grande fiction, un grand jeu ou une grande compétition et que seul les plus forts survivent.
De nombreux auteurs ont essayé de répondre en fiction, notamment dans la littérature jeunesse ou jeune adulte dans les univers dystopique. Marche et rêve, voilà un leitmotiv auquel nous tenterons nous aussi, de répondre.
« Rester jeune pour toujours ? » Le 02 mai 2020
Ne jamais mourir, une quête impossible qui pourtant, a nourri de nombreux romans de l’imaginaire. Fantasme de l’espèce humaine qui se rêve en égal de dieux, cela constitue une quête du Graal pour certains savants fous, cachés dans les laboratoires de grandes firmes pharmaceutiques.
Mythe classique des mondes de l’imaginaire, tentons de gagner l’immortalité en composant de fantastiques textes.
« La fin du monde est-elle aussi proche qu’on le dit ? » Le 06 juin 2020
Vous connaissez la Doomsday Clock, l’horloge de la fin du monde ? Horloge conceptuelle créée par des scientifiques en 1947 après la Seconde Guerre Mondiale sur laquelle Minuit représente la fin du monde. En 2018, elle indique 23h58.
Ecrire des fins du monde, des menaces imminentes de guerres nucléaires aux catastrophes climatiques, voilà une conclusion en guise d’apothéose pour cette première salve d’ateliers d’écriture.

Pour les débutants et plus, de l’accompagnement de chansons franco -anglaise tous styles (folk, variété, blues, rock, reggae..). L’apprentissage progressif de la théorie musicale.
Pour les niveaux plus confirmés, de l’accompagnement dans les styles bossa nova, jazz manouche, guitare celtique ainsi que des cours d’harmonisation. Musique traditionnelle bretonne et irlandaise, jeu en open tuning au médiator (flat picking) et en picking.
Contact: 02 97 65 14 02 / guitareandco@yahoo.fr

L’atelier Manon Moy, va bientôt ouvrir ses portes à Keroman sur le port de pêche de Lorient !
L’atelier Manon Moy, c’est un atelier de céramique, dans lequel sera fabriquée de la vaisselle pour les restaurateurs mais aussi les particuliers. Y seront également donnés des cours de tournage et de modelage pour adultes et enfants !
Mais pour vivre l’atelier a besoin d’un petit coup de pouce. En effet il faut investir dans un four et le montant de l’investissement s’élève à 5000 euros ! C’est pourquoi nous avons créé un financement participatif sur la plate-forme Kengo.bzh…
Le projet est soutenu par la région Bretagne à hauteur de 30% à condition d’atteindre la somme de 3500 euros !
La cagnotte s’élève actuellement à un peu plus de 2000 euros, donc tout est possible !
Si vous souhaitez participer au projet ou tout simplement en savoir un peu plus sur Manon et ses céramiques, c’est par ici :
https://kengo.bzh/projet/2087/manon-et-ses-ceramiques
Merci à tous pour vos soutiens, et surtout parlez-en autour de vous !
À bientôt
Me rendant compte de l’évolution permanente des bâtiments des ports de LORIENT ainsi que certains destinés à la démolition, l’idée met venue de croquer certaines rues, j’ai également effectué un reportage sur la déconstruction du bâtiment des défis à la base qui avait pris feu lors d’une nuit orageuse.

Producteur du film Artistes de la Vie, On passe à l’acte est un projet innovant qui oeuvre en faveur du changement sociétal, à travers les outils de l’audiovisuel et du numérique.
Créé il y a 12 ans, On passe à l’acte a d’abord démarré par la création d’un web-média de journalisme positif. Partout en France, l’équipe est partie à la rencontre de centaine d’individus inspirants et de projets à impact sociétal positif pour rendre visible et valoriser les initiatives positives dans tous les domaines (environnement, éducation, santé, numérique, économie, habitat, culture, coopération etc.). L’idée, c’était d’inspirer le grand public et montrer que c’est possible d’agir pour améliorer le monde.
Un espace en ligne pour se mettre en mouvement : https://www.placealacte.fr
Unique en son genre
Place à l’acte est une plateforme innovante qui donne accès gratuitement à plus de 250 outils et services pour trouver sa voie et lancer son projet à impact positif
Espace d’entraide
Elle comporte aussi un espace d’entraide communautaire où chacun peut partager son projet, faire équipe ou encore aider des projets existants
Espace de partage
Sur cette plateforme participative, chacun peut partager ses outils et ses bons plans pour s’entraider

La photographe et journaliste Élisabeth Blanchet expose ses photographies des préfabriqués d’après-guerre et leurs habitants jusqu’au 22 septembre, à deux pas de la cité provisoire reconstituée depuis 2007, par l’association Mémoire de Soye. Exposition de diptyques imprimées sur des bâches grand format associant des intérieurs et extérieurs de baraques. Pendant les journées du Patrimoine, visites de la cité de l’habitat provisoire de 14h à 18h, toutes les 20 minutes.
Voir l’exposition virtuelle sur le site de Élisabeth Blanchet

« Les préfabriqués d’après-guerre en France constituent un “trésor national” très peu documenté et en voie de disparition. Les “baraques” étaient censées durer une dizaine d’années mais 70 ans plus tard, il en reste quelques centaines, toujours habitées. Le succès de ces “baraques” est étonnant d’autant plus qu’elles étaient censées être temporaires… L’attachement des habitants des préfabriqués pour leur maison est fascinant au point que de générations en générations, des familles y vivent toujours !Après la deuxième guerre mondiale, le MRU décide d’utiliser des préfabriqués pour reloger les sinistrés. Plus de 150 000 baraques sont érigées dans les villes qui ont le plus souffert de bombardements, créant des quartiers entiers appelés “cités provisoires”. Les sinistrés sont logés dans différents types de préfabriqués : les baraques françaises, les canadiennes, les suédoises, les finlandaises, les suisses… Et les américaines. Ces dernières sont celles qui ont le plus de succès car elles ont un design hyper moderne pour l’époque et elles sont toutes équipées (eau courante, eau chaude permanente, cuisine toute équipée, toilettes à l’intérieur, une grande clarté, des placards intégrés…).
Soixante-dix années plus tard – alors qu’elles n’étaient censées que durer entre 10 et 15 ans – il reste des centaines de baraques éparpillées du sud de la Bretagne aux Hauts de France… certaines étant étonnamment bien conservées et arrangées aux goûts de leurs propriétaires.
A travers des rencontres et des portraits de personnes qui ont vécu ou vivent encore dans des baraques d’après-guerre, je propose de raconter non seulement l’histoire de ces petites maisons temporaires, de rappeler le contexte de la reconstruction mais aussi d’évoquer la vie sociale, l’esprit de communauté et tout ce qui a pu contribuer au succès des cités provisoires. Je propose également d’interroger des experts tels qu’un historien social de cette période d’après-guerre et Mickaël Sendra, président de l’association Mémoire de Soye qui a reconstruit trois baraques en micro-musées – un musée unique en France – à Lorient, pour étoffer l’analyse
Enfin, j’envisage une ouverture sur le présent et l’avenir. Les préfabriqués ne pourraient-ils pas de nouveau aider à lutter contre la crise du logement ? »

La chaîne Youtube du projet Elémen’Terre
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