Imprimez à la demande mes dessins

Je serai présente à l’occasion du marché de Noël du PLL, le 19 décembre 2018, de 14h à 18h30.

Vous aurez la possibilité de choisir le dessin que vous préférez sur lenacouedo.weebly.com

Je vous l’imprimerai au format de votre choix, tarifs de 5€ (format A4) à 15€ (format A3)

N’hésitez pas à me contacter par courriel pour plus de renseignements : l.couedo@laposte.net

 

« Filme ton quartier » 2018

La troisième édition de Filme ton quartier s’est terminée avec la remise des prix à dix lauréats.

Un jury présidé par Alice Diop (réalisatrice, César du court métrage 2017) et composé de professionnels de l’audiovisuel a visionné plus de 160 courts-métrages d’amateurs ou professionnels en provenance de métropole et d’Outre-mer sur le thème de la rencontre. Des univers très variés, allant de quartiers populaires dans de grandes villes, à des villes moyennes dans les régions françaises et même s’immerger dans une culture différente dans les territoires ultramarins.

Le prix de la Fondation Groupe France Télévisions est décerné à Marion Michel pour le collectif @Esp&R pour « Ma lettre d’un quartier de France », tourné à Mamoudzou (Mayotte). En un long travelling, la vie vécue et filmée à Mayotte, portée par l’espoir de la jeunesse.

« Les danses de Lazare », un film d’Anissa Kaki, tourné à Sartrouville (Yvelines) où tout le monde connaît Lazare. Quand le handicap incarne la joie et la danse.

Le grand prix est attribué à Mohamed Boubidar, pour le film Romé, le chant des briquets.

Le prix spécial des Nouvelles Ecritures de France Télévisions récompense Ibou N’diaye pour « Les enfants du Bois l’étang », tourné à La Verrière (Yvelines). Sous la forme d’une comédie, les enfants prennent en mains le monde des adultes tel que ceux-ci l’ont laissé.

Les autres films sont diffusés sur le site de France 3

Sankôfa et les Sandrofia à Keroman

21H00 – musique et rythmes africains avec Sankôfa et les Sandrofia

23H00 – soirée ELECTRO : DJ set swing & funk crossover
avec en première moitié de soirée :

Ouverture des portes à 19h. Entrée adhérents ou adhésion sur place (info/tarifs : lieunoirlieujaune.net)

Vente de peintures au profit d’une école à Haïti

L’association Soleil d’Haiti organise une vente de tableaux de peinture pour financer une école à Haïti.

Marie-Hélène Lestrohan, présidente de l’association est bénévole au centre social du Polygone (accompagnement scolaire et lecture à la ludothèque). A la suite de deux séjours de quatre mois en Haïti, en 2006 et 2007, au profit de différentes associations (Enfants Soleil, Missionnaires de la Charité …) pour lesquelles elle avait assuré diverses missions, Marie-Hélène Lestrohan crée Soleil d’Haïti à Lorient, en Septembre 2007, avec Eliane Balut, Maud David, Danielle Le Strat et Laurence Struillou.

Ses actions en Haïti : Prise en charge totale d’une école maternelle (55 élèves de 4 et 5 ans) et d’une école primaire (85 élèves de 5 à 14 ans) au cœur d’un bidonville, Cité Soleil 1 , à Port au Prince. (Salaires de 7 maîtres dont le directeur, manuels et fournitures scolaires des élèves : tout le matériel est acheté en Haïti, afin de participer au développement économique du pays)

Plus d’infos sur : https://soleildehaiti.weebly.com/

Contact : 02 97 21 23 51

Plus de tableaux sur https://soleildehaiti.weebly.com/peintures.html

Solidairement

EXPOEZIK

Un projet de création en « aud’mots visuels » a retenu notre attention à l’espace multimédia du Polygone PLL…Quelques adhérents seraient intéressé.e.s pour organiser le spectacle Expoezik du collectif Propaband 56 composé de 4 slameurs : Sophonie, Lautre, Slamuailes, J’ai rarement dit, 2 guitaristes : Ronan et Cyrille et DJ Lee Veira.

« Dans une contrée moderne ravagée par l’industrialisation 4 slameurs en quête de réponses sur l’existence s’unissent avec leurs mots pour tenter de retrouver leur chemin.
Un retour aux sources nécessaire qui les rapproche davantage sur le sens du mot vie.
C’est autour du cycle de l’eau ininterrompu qui berce la Terre depuis des millénaires que les quatre slameurs cherchent à faire éclore en eux l’expression d’un moi intérieur tourné vers l’essentiel, la nature. »

O TCHAK A YËK

Toujours vague, ce désert avance à grand pas
On marche sur un sol qui craque sous nos pas
Une lune qui s’consume, des étoiles sans éclat
Que se passera-t’il, quand la lumière s’éteindra ?

On s’fiche des priorités face à l’évolution
L’ego surdimensionné, on en perd la raison
Bienvenue aux pillages ainsi qu’aux illusions
Comment éteindre ce feu si on manque de solution ?

Centi après centimètre, année après année,
La croute terrestre n’a fait que se déchirer
Trop attaché aux habitudes, qui croit au changement ?
Si détruire est devenu notre nouveau passe-temps ?

On brûle souvent d’amour, mais là c’est l’désespoir
Avoir de l’eau, n’est plus une tendance mais un devoir
Quelque soit le genre, le nombre de perte humaine
Boire, c’est vital, il est temps qu’on s’inquiète !

O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK

Où sont les mers, tous ces fontaines et rivières ?
Ces sources en mouvement qui nourrissaient naguère ?
Où sont les efforts, ceux en direction de la Terre
Face aux puits de promesses qui brouillent l’atmosphère ?

A quand la pluie, celle dont on n’a plus idée
Celle qui nourrit, qui donne vie à l’humilité ?
A l’instant T, l’humanité a soif de renouveau
Face au réchauffement climatique, y a pas photo !

Où sont nos larmes, celles qui marquent la fin d’un cycle ?
« Le beau temps viendra », nous clament les utopiques
Où sont nos rêves, ceux qui touchaient des sommets
« Là où les possibles », toujours, en nous, résonnaient… ?

A quand la victoire, face à l’adversité ?
On r’fait l’histoire si on n’veut pas couler
Pour ça j’agirai bien des jours d’affilé
Quand on a espoir, cette étoile on n’la laisse pas filer !

O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK

Pour éviter que le désert avance davantage
Il va falloir puiser en nous c’qu’on de plus sage
Viser l’essentiel, passer à l’action
Lutter contre avec les bons moyens de prévention

Ca commence par le sol, sa restauration
Plus d’engrais, pour sa fertilisation
Pour l’bon développement de la végétation
Tout ça nécessite une bonne irrigation

Allons plus loin, la reforestation
Plantons des arbres pour son humidification
Penchons-nous sur l’coup d’l’opération
Si nous voulons viser une nette amélioration

Mais qu’est-ce qu’on laisse aux nouvelles générations ?
Seulement des rêves au stade de l’embryon
Pour ce « road treep » soyons en adéquation
Si on va au casse-pipe, n’attendons pas l’extinction !

O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK
O TCHAK A YËK

Gérard MENDY © Copyright – 2017

Plus d’infos sur https://expoezik.blogspot.com/

A suivre…

Comment Ksé – Décembre 2018

Tout le programme du café associatif Comment Ksé,  19 Rue Joseph Talvas, en cliquant ICI

L’association organise également un concours de cartes, vous trouverez toutes les infos ICI

L’adhésion est de 5€/mois. Tarif réduit de 2€ par mois pour les demandeurs d’emploi, les étudiants, les intermittents du spectacle et les personnes en situation de handicap.

Les Merlus ont du cœur – dernière semaine pour participer

La collecte de jouets organisée par le FCL au profit des Restos du Cœur s’achèvera le 8 décembre. Vous avez jusqu’à la fin de la semaine pour apporter à la boutique officielle des jouets neufs ou en bon état pour des enfants de 2 à 10 ans.

Pour célébrer la fin de l’opération, 3 joueurs pros (Julien Ponceau, Moussa Guel et Maxime Etuin) vous attendront samedi de 14h30 à 16h à la boutique.

Quid des déchets numériques ?

Les « déchets numériques », ça veut dire quoi ?

Moi direct j’pense à ces images de décharges d’ordinateurs et de télé en Afrique où on voit pleins d’gamins récupérer de l’alu et du cuivre pour les revendre pieds et mains nues, sans aucune protection, des produits toxiques pleins les poumons.

Mais j’avais jamais réfléchi au fait que moi aussi, quand je navigue sur le net, je produis des déchets.
Parce que pour l’ignorante que je suis, internet c’est un truc virtuel, or quoi de plus concret qu’un déchet ? Un déchet c’est visible, ça pue, ça s’entasse dans des bennes à ordures…

Un déchet ça peut pas être un email voyons !! Et ba si ça peut ! Le simple fait de stocker une trentaine d’emails dans notre messagerie électronique, ça consomme autant d’énergie que si on laissait allumée une ampoule électrique pendant toute une journée. Et une simple recherche, donc un simple clic, ça équivaut à 1 heure d’ampoule électrique allumée.

Pas chez nous, mais dans les data centers, ces méga hangars grands comme des terrains d’foot, qui contiennent en tout 45 milliards de serveurs qui chauffent à balles à cause des Big Data, toutes ces données des internautes du monde entier qui doivent être traitées ou stockées.

C’est ça, entre autres, qu’on appelle « déchets numériques », et ça pollue encore plus que l’aviation civile !

Alors comment on peut réduire nos déchets numériques ? Ba déjà on peut aller sur la plateforme cleanfox, pour supprimer et se désabonner de newsletters qu’on a jamais pris la peine d’ouvrir.
Moi j’l’ai fait, ça m’a pris 5 minutes, 5 minutes pour économiser 89 kilos de CO2, soit 588 kilomètres en voiture.

Oui je sais, dis comme ça, c’est un peu ridicule, ça fait trop la meuf auto-satisfaite qui croit qu’elle va sauver la planète avec ses p’tits gestes positifs, et ses nouvelles habitudes de consom’actrice numérique en plus de tout l’reste bien sûr, parce que je suis devenue végétarienne, j’me déplace plus qu’à vélo et j’fais de la récup pour lutter contre le gaspillage alimentaire !

Bref ! Tout ça pour dire que certes, mes centaines de kilos de CO2 économisés, c’est que dalle comparés aux 6 milliards de tonnes émises chaque année par Total, mais c’est pas une raison pour rien faire, sinon on se vautre dans un cynisme et un aquabonisme mortifères : « À quoi bon agir à mon niveau puisque ce sont les grosses entreprises qui polluent le plus, et malgré ça, elles ont le culot de nous culpabiliser en nous faisant porter le chapeau, et nous comme des cons, on rentre dans leur jeu, on est content parce qu’on applique le manuel du parfait écolo… »

En fait j’pense pas qu’il y ait d’un côté, les bonnes volontés individuelles un brin naïves, et de l’autre, les militants politisés hyper lucides qui luttent pour la remise en cause de tout le système capitaliste.

Comme le disait Gandhi, « l’écologie marche sur ses 2 jambes avec d’un côté, la contestation et de l’autre, les propositions ».

Par Manue

Formez-vous à la création sonore

Le 18 décembre, formez-vous à la création sonore avec Benjamin Le Baron !

Avec Electroni-k, MAPL propose cette formation professionnelle aux chargé(e)s de médiation, d’action culturelle, et plus généralement aux professionnels de la culture, des bibliothèques, de l’animation et de l’enfance.

Mardi 18 décembre de 9h30 à 17h, Domaine du Lain à Gestel

Tarif : 120 € / personne Inscriptions auprès de lucie@mapl.fr

L’association Electroni[k] est reconnue comme organisme de formation agrée : www.electroni-k.org