Je m’appelle Cyrille, j’ai 56 ans et j’habite le quartier du Polygone depuis 2010. Pendant plusieurs années, j’étais médiateur social et représentant des locataires auprès de Lorient Habitat au sein d’une association de défense des locataires et des consommateurs. Ayant une formation en informatique, j’ai trouvé un emploi à l’Université Sociale de Caudan pour animer l’atelier informatique. C’est là que j’ai compris que beaucoup de personnes avaient besoin de mieux comprendre les outils que nous apportent les nouvelles technologies numériques. Comment se servir d’un ordinateur, écrire une lettre, un CV, mais aussi communiquer avec les banques, les services publics, faire des achats en ligne, etc.
De fait, Nous sommes en train de vivre la révolution de la dématérialisation des échanges et des services. Lorsque la formation Digiskol, Grande École du Numérique, s’est ouverte à Lorient, j’ai passé les tests de recrutement et j’ai été reçu. Depuis janvier, notre groupe de 18 personnes de 20 à 56 ans (c’est moi le plus vieux !), venues d’horizons très divers, suivent les cours des différents intervenants qui nous initient aux nouveaux métiers du numérique : la médiation, bien sûr, mais aussi la programmation, la robotique, la domotique, le reconditionnement, la sécurité… Nos locaux sont situés à la fois dans l’enceinte du collège Jean le Coutaller, au Bois du Château, et au lycée Colbert.
Cette formation est soutenue par l’état, la région, le département, l’agglomération et les villes de Lorient, Lanester et Hennebont. Des partenaires comme Orange, Audélor mais aussi le centre de Kerpape, l’UBS ou l’association Défis participent au projet. Tout ce monde nous porte une grande attention puisque nous avons reçu la visite du Ministre de la Ville, de la Jeunesse et des sports, Monsieur Patrick Kanner en février !
Nous effectuons également des stages en entreprise pour mieux appréhender notre avenir et la réalité des métiers.
Ainsi, j’ai pu travailler en février au Cyberlan de Lanester avec Stéphane et, aujourd’hui, j’ai le plaisir d’assister Nicolas qui m’accueille à l’espace multimédia du Centre Social P.L.L. au Polygone.
Si ces métiers d’avenir vous intéressent, guettez la prochaine session de recrutement !
Pour plus d’informations, contactez le GRETA au 02 97 87 15 60 ou sur http://digiskol.fr/
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/digiskol4.png400600Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2017-04-12 10:54:262018-04-25 18:20:46Formation aux métiers du numérique
Dans le cadre du renouvellement du projet du centre social Polygone, nous avons besoin de connaître votre vision du quartier et des priorités d’actions à mettre en œuvre .
Rendez-vous lundi 24 avril 2017 à 17h30, au centre social.
D’ores et déjà, vous pouvez contribuer à l’évaluation du projet des dernières années en répondant en ligne et de manière anonyme à ce rapide questionnaire :
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/Image1.png291407Centre Social du Polygonehttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngCentre Social du Polygone2017-04-07 16:30:512017-04-07 16:30:51Votre avis compte pour nous !
Dans l’esprit de tous, l’entreprise Monsanto est associée au « Round-up », aujourd’hui l’herbicide le plus utilisé dans le monde. Mais la multinationale est aussi le numéro 1 mondial sur le marché des semences. Elle subit depuis plusieurs années la foudre des opposants au brevetage et à la privatisation du vivant. Ce sont ces militants associatifs qui accueillent les Rencontres Internationales de Résistances aux OGM (organismes génétiquement modifiés) les 28, 29 et 30 avril 2017 à Lorient.
Deuxième édition du genre, les rencontres de Lorient suivent celles organisées en avril 2016 à Ouagadougou, au Burkina Faso, dont l’économie a subi la présence de Monsanto. Installée dans le pays grâce à Blaise Compaoré, ils sont en passe de le quitter d’ici peu suite au soulèvement populaire de 2014 ayant entraîné le renversement du gouvernement. Entre temps, les petits producteurs de coton, rendus dépendants, ont beaucoup perdu. Le magazine Bastamag explique : « l’introduction de son coton OGM en 2009 ne s’y est pas vraiment passée comme prévu : présentée comme une solution miracle aux attaques de ravageurs, la nouvelle variété a surtout fini par ravager la qualité et la réputation du coton burkinabè. » (27 février 2017)
Cette réalité, souvent méconnue du grand public, c’est ce que souhaitent présenter les organisateurs, l’association Ingalan, les faucheurs volontaires et la Coordination des Associations de Solidarité Internationale ( CASI) : « Fin avril 2016, une dynamique internationale s’est enclenchée au Burkina Faso. Née d’une lutte nationale burkinabè contre le diktat des multinationales de l’agrochimie, elle s’était connectée à l’initiative qui se préparait à La Haye pour le mi-octobre, le Tribunal International Monsanto et l’Assemblée des Peuples ». Et de poursuivre : « aujourd’hui, alors que la culture du coton BT a dû être stoppée, d’autres comme le maïs, le niébé OGM sont prêts à sortir des laboratoires. La société civile burkinabè a montré que, face à la conquête OGM en cours en Afrique, une résistance est possible. » Lors de ces Rencontres Internationales de Résistance aux OGM organisées à Lorient, l’objectif est clairement de « construire ensemble la résistance et les alternatives ».
Autour de plusieurs ateliers et conférences au centre culturel Amzer Nevez (Ploemeur) et à l’Université Bretagne Sud, une rencontre réunissant des acteurs du monde entier à ne pas rater, assurément.
Une projection de vidéos humoristiques, suivie d’un débat autour des clichés sur la femme (dans le cadre du projet « La place des femmes », avec la participation du groupe « bien-être » du Centre social Albert Jacquard de Lanester, les femmes du quartier Polygone – Frébault, le Centre social du Polygone, la Maison pour tous de Kervénanec, les animatrices, les associations et institutions partenaires)
« Croisons les regards un instant sur la théorie du genre, les a priori, les jugements, l’estime de soi… »
Une rencontre entre femmes, un moment d’échanges sur un ton d’humour, de conscientisation sur la place des femmes dans la société actuelle, mais aussi des questionnements sur l’éducation à transmettre pour le respect des femmes.
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/place-femmes.jpg396705Centre Social du Polygonehttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngCentre Social du Polygone2017-04-07 11:48:042017-04-26 21:28:39Nous, les femmes, « que rien n’arrête »….
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/ptitlu2.png202361Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2017-04-07 10:06:332017-04-07 14:32:44Le P’tit lu du Polygone
Vendredi 31 mars 2017 : l’atelier de cuisine a rassemblé différentes cultures, dans une ambiance conviviale.
Un moment de partage, d’amusement, la découverte d’une cuisine qui nous a fait voyager…
« C’était trop bon…! »
« Chaque participant a mis du sien pour concocter ce repas. Ce projet, initié par Rehsan, Senal et Sevgi, nous a permis d’apprendre quelques techniques de façonnage de boulettes à base de boulghour, et de réaliser des desserts avec de la pâte filo, du beurre, des noix et du sucre de canne. »
« Un bon moyen de découvrir d’autres saveurs culinaires , à nous faire titiller les papilles.
Amateurs de cuisine, nous avons pris le vol direct pour Turquie. Le soleil et les épices étaient au rendez-vous. »
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/20170331_100544.jpg480640Centre Social du Polygonehttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngCentre Social du Polygone2017-04-07 09:56:592018-05-15 15:15:02Au RDV des parents : cuisine turque
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/1024px-Restos_du_coeur_Logo.svg_.png10241024Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2017-04-05 16:55:212017-04-05 21:38:27Les restos du coeur, c’est du bonheur !
Dans le cadre du renforcement de la solidarité à travers les échanges sportifs l’association SOLIDARITE PLUS a initié un programme « NZANGO SPORT » exclusivement féminin sans distinction de religion, d’origine ethnique ou d’orientation sexuelle.
Partant du constat fait sur la faible participation des fille africaines aux activités physiques et sportives, il est important de changer le regard que les femmes du monde en général portent sur le sport, pour cela, il faut d’une part, médiatiser et mettre en valeur les sportives d’origine africaine qui ont réussi dans le sport en France afin qu’elles servent d’exemple.
D’autre part, il est nécessaire de créer des clubs NZANGO SPORT dans les quartiers afin de permettre aux filles de ne pas faire de longs déplacements avant de pratiquer ce sport.
Ce programme se veut une passerelle par laquelle passent les jeunes filles qui ne peuvent pas faire face aux dépenses qu’exige la pratique des sports classiques.et qui ne sont pas non plus intéressées à faire le sport compétitif.
Le manque d’argent crée le manque d’intérêt pour le sport et le plonge donc dans l’inactivité de pratiquer le sport de loisir et de prévention des maladies. Nous voulons qu’à travers le jeu NZANGO SPORT, que les bénéficiaires deviennent actives, ce qui est un objectif du programme.
En pratiquant ce sport, les participantes développent des habilités motrices fondamentales qui leur permettront de se maintenir en forme et de prévenir les maladies chroniques tel que le diabète du type 2, la tension artérielle, les maladies du coeur, etc…
HISTORIQUE
Le Nzango traditionnel était un jeu loisir pratiqué par les jeunes filles dans les cours des écoles pendant la recréation, aux villages et dans les rues. Il tire son origine de Sango, langue vernaculaire de la République Centrafricaine, est apparu au Congo Brazzaville vers les années 1932, pendant la construction du chemin de fer Brazzaville – Pointe-Noire. La construction de cette infrastructure nécessitait une main d’œuvre et les exploitants expatriés avaient eu recours à des ouvriers de la sous région Afrique Centrale, notamment des pays tels que le Congo, le Cameroun, la Centrafrique, le Gabon et le Tchad.
Le soir après un travail de dur labeur les femmes centrafricaines qui habitaient le village «Sahara» dans le Mayombe, pour se divertir prenaient plaisir à jouer à ce jeu, dont bon nombre de personnes ignorait le nom. Ainsi, un jour quand un européen posa la question à d’autres communautés, qui ignoraient le nom du jeu, elles répondaient qu’elles jouent au jeu de Sango en rapport avec la langue des Centrafricaines qui jouaient à ce jeu. Et par défaut de prononciation des expatriés blanc prononçaient «N’zango» c’est ainsi que le nom de Nzango a pris son fondement.
EVOLUTION DE NZANGO TRADITIONNEL EN NZANGO MODERNE
Ce jeu qui était autrefois la panache des adolescentes africaines dans la cours des écoles fait maintenant parti des disciplines sportifs officiels dans quelques pays d’Afrique notamment le Congo, le Cameroun, le Congo Démocratique, la Centrafrique, le Gabon et le Tchad.
Depuis 2005, il est devenu une discipline à part entière qui intéresse de plus en plus les adultes. Plus de 190 équipes sont aujourd’hui enregistrées au Congo Brazzaville et participent à des différentes compétitions sous l’impulsion de l’Association Sportive Innovatrice du Nzango Moderne.
DEFINITION
Le Nzango est un jeu essentiellement féminin qui se traduit en la confrontation de deux équipes à effectif restreint et identique. L’objectif de chaque équipe est de marquer des points en se servant de la technique des pieds pour tromper l’adversaire. Chaque équipe est basé sur son espace de jeu limité et pose des actions réglementées, accompagnées des chants.
COMMENT SE PRATIQUE LE NZANGO
Une partie de NZANGO oppose deux équipes dont les joueuses s’affrontent individuellement à tour de rôle sous le contrôle d’arbitres sur un terrain de 16 mètres sur 8 délimité par une bande rouge au niveau central et deux bandes bleues de part et d’autre.
Les équipes (onze joueuses et six réservistes) se font face de part et attaquent ou défendent alternativement au rythme de chansons chantées en cœur par toutes les participantes et rythmées par des battements de mains. Le rythme de celle-ci va d’ailleurs de pair avec la chanson entonnée. Si la chanson est rapide, le jeu l’est aussi; et inversement, si la chanson est lente, le jeu le devient également.
Les joueuses marquent des points, aussi appelés « pieds », en fonction de la position de leurs pieds par rapport à ceux de leur adversaire. L’équipe gagnante est celle qui a marqué le plus de points à l’issue des 50 minutes que dure la partie, divisée en deux mi-temps de 25.
Au début de la partie, chaque camp choisit un pied d’attaque, le droit ou le gauche, étant entendu que ce ne peut être le même pour les deux équipes. A un moment donné, les deux joueuses qui s’affrontent avancent en même temps un pied vers la ligne. La joueuse qui attaque avec le pied droit marque par exemple un ou plusieurs points chaque fois que son adversaire en face répond avec le pied gauche. En revanche, si la joueuse avance le pied droit et que l’adversaire répond elle aussi du droit, elle perd.
Ces mouvements de pieds sont habituellement précédés de sautillements, sauts ou figures aériennes, pour la seule « beauté du jeu » (elles ne rapportent aucun point).
Le Nzango est un sport qui se joue en claquant les mains, au rythme d’un chant. La joueuse saute en l’air et lance en avant le pied gauche ou droit pour marquer un point selon que l’équipe est déterminé « croisé » ou « parallèle » au tirage au sort du départ par l’arbitre en présence de la capitaine de chaque équipe.
VENEZ NOUS DÉCOUVRIR ET VOIR COMMENT ON PEUT PAR LA SOLIDARITÉ PERMETTRE A NOS JEUNES FILLES AVOIR UN DÉVELOPPEMENT ÉQUITABLE ON TRAVAIL A CHANGER LE QUOTIDIEN
Contact : 07 83 07 88 36 / 07 71 69 21 17
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/Nzango.jpg432634Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2017-04-05 12:23:192017-04-06 12:58:36Nzango, sport au féminin
Comme nous avons eu le plaisir de vous le communiquer par les réseaux sociaux et par mail, Le Self-Garage Solidaire a été sélectionné pour intégrer La Fabrique – Aviva qui soutient les projets utiles et innovants.
Suite à cette première sélection, l’ensemble des projets est soumis au vote du public du 13 mars au 11 avril 2017.
A l’issue de ces votes, les 200 projets les plus populaires* recevront un soutien financier et un accompagnement de la part de La Fabrique Aviva.
Nous avons donc besoin de vos votes pour faire partie des finalistes et donner ainsi un coup de pouce important pour le Self-Garage Solidaire !
Nous avons besoin de 3000 votes pour ouvrir le self-garage. Nous sommes à 800 votes. Chaque votant peut donner 10 votes à notre projet.
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/logo-sgs-kiosque.png7512000Nicolashttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2017-04-03 11:26:182017-04-06 13:00:19Le Self-Garage Solidaire a besoin de vous
Krieurs publics par le « Klak » : « C’est vous Ki éKrivez, c’est nous Ki Krions. »
Atelier de réparation de vélo
Atelier d’échange de savoirs …
Un projet d’embellissement du quartier, concocté par le conseil citoyen Polygone – Frébault, en partenariat avec la Ville de Lorient et le Centre social du Polygone.
Venez nombreux, pour un quartier fleuri !!!
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/04/frebault-en-fleurs.jpeg592579dinahttp://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngdina2017-04-03 11:02:592018-02-07 10:58:05« Frébault en fleurs »