Formation pizzaiolo

Nouvelle rencontre avec Patrick Guigueno qui avait déjà exposé ses photos sur le Kiosque.bzh en décembre 2017 (voir l’exposition)

A 52 ans, il a décidé d’ajouter une nouvelle corde à son arc. Habitant du quartier Frébault, il a réussi à trouver une formation et un stage à proximité  : il a appris le métier de piazziolo pendant 2 mois avec Agora Services, rue Amiral Courbet et il a ensuite effectué deux stages de trois semaines dont un à la pizzeria Ludo Pizza, avenue Général de Gaulle.

Il pense continuer avec une formation de cuisinier pendant 5 mois chez Agora Services. Il a en projet de travailler sur une plateforme de forage où il alternerait 4 mois de travail et 2 mois de vacances qu’il pourrait consacré à la photographie. « La cuisine mène à tout et me permettra de voyager, de faire des saisons…J’aimerai travailler comme cuisinier sur un bateau de pêche ou de commerce…et pourquoi pas travailler sur une île…J’apprécie les horaires de ce métier, d’avoir les après-midi de libre…» raconte Patrick. Les qualités requises pour ce métier selon lui « rigueur, discipline, propreté, ponctualité ».

Plus d’informations sur les formations d’Agora services dans la restauration en cliquant ICI

Toutes leurs offres d’emploi et formations sur http://emploi-formation.agoraservices.fr

Par Nicolas

Azul, un jeu de réflexion

Je vais vous présenter un jeu de réflexion qui sait rester très ludique. Les parties sont longues, c’est pour cela qu’il faut se montrer tactique, mais… le hasard peut parfois se montrer au rendez-vous et chambouler toute la partie. Effectivement, ce n’est pas celui qui a le meilleur score ou qui prend le meilleur départ qui remporte au final.

Au début, chaque joueur démarre avec un support cartonné qu’il faut remplir, intelligemment, de jetons et les points sont calculés sur la position de ceux-ci et les différents bonus et malus.

Enfin, pour résumer, nous nous sommes bien marrés !

Plus d’informations sur ce jeu de société primé à Cannes en cliquant ICI

Par Olivier

N-B : Azul, le jeu de Michael Kiesling publié par Plan B est en rupture de stock de puis avril mais devrait être disponible fin juin, début juillet à la boutique Les Balivernes, 57 cours de chazelles à Lorient, ouvert du mardi au samedi, nouveaux horaires: de 10h à 12h30 et de 13h30 à 19h : www.lesbalivernes.fr

Qu’elle se le dise.

Je ne veux plus jamais que l’on me brandisse des vérités brillantes comme des poignards dans le dos

Je ne veux plus jamais que l’on me martèle d’un savoir à sens unique & sans issue

Je ne veux plus jamais que l’on m’étourdisse d’interdictions cinglantes

Je ne veux plus jamais que l’on m’empêche de dire ce qui me semble valoir la peine d’être dit

Je ne veux plus jamais que l’on m’ordonne de ne pas bouger

Je ne veux plus jamais encaisser sans comprendre dans quelle caisse on m’enferme

Je ne veux plus jamais que l’on m’incite à la violence

Je ne veux plus jamais que l’on m’oblige à la morsure

Je ne veux plus jamais que l’on m’érige en Reine des Idiotes

Je ne veux plus jamais que l’on me mette plus bas que Terre

Je ne veux plus jamais que l’on me parle comme si j’avais 10 ans & que je ne comprenais rien parce qu’à 10 ans j’étais déjà très maline

Je ne veux plus jamais que l’on se serve de moi, de mon travail, de mes ami(e)s, de ma famille comme d’un rehausseur parce que l’on est bien trop petite pour oser regarder le monde droit dans les yeux

Je ne veux plus jamais que l’on se serve de mes yeux pour regarder le monde

Je ne veux plus jamais que qui-que-ce-soit décide à ma place de ce que pourrait être le bien, de ce que pourrait être le mal

Je ne veux plus jamais que l’on m’empêche de m’endormir, de dormir, de me rendormir

Je ne veux plus jamais qu’on me réveille la nuit, sauf si c’est pour faire l’amour ou partir en vacances

Je ne veux plus jamais que l’on m’aveugle, que l’on me fasse douter, vaciller.

Je veux douter seule. De ma propre volonté.

Je veux vaciller seule. & retrouver seule, mon équilibre.

 

Je ne veux plus jamais que l’on m’aide à être quelqu’un d’autre.

Je ne sais même pas encore qui je suis.

Par Mademoiselle De

11 septembre 2017

https://mademoiselledeblog.wordpress.com

Dessin: Frédéric Malet

 

Les Racontés d’histoire

         

La Ludothèque du centre social du Polygone organise régulièrement pendant les vacances scolaires des ateliers « Raconte une histoire » destinés aux petits et grands.

Les séances sont menées par des bénévoles :

« C’est le plaisir de lire et de raconter qui nous a réuni. A travers une sélection de livres adaptés à toutes les tranches d’âge, nous mettons en scène les histoires, de manière à rendre le moment encore plus ludique. Nous utilisons divers supports empruntés à l’Association Amélire à laquelle le centre social est adhérent (tapis de lecture, illustrations…), le tout dans un décor qu’on essaie de faire vivre pour captiver le jeune public. C’est également une autre façon de faire venir les parents. »  Françoise, Joëlle et Cécile

Différents partenaires sont mobilisés lors des ateliers : les centres de loisirs, le SAJ, la crèche, les assistantes maternelles…

D’autres animations découvertes autour du Livre sont prévues cet été, sur le quartier ; programmation à venir, renseignez-vous auprès du centre social.

La Ludothèque participera notamment à Partir en Livre au mois de juillet.

 

 

Et pourquoi pas vous ?

Un espace pour raconter des anecdotes sur notre quartier, découvrir son actualité, se rencontrer virtuellement et en direct, voire partager des valeurs telles que solidarité, écoute : communauté Merville, c’est un peu tout cela.

Inscrite auprès de l’association des commerçants du secteur, qui est toujours très motivée pour développer l’animation de Merville, j’ai souhaité élargir cette dynamique auprès des habitants : la page Facebook (et le site/blog) sont nés en quelques jours.

Merville, des commerces, des voisins, des familles, des animaux de compagnie, des artisans, des écoles, dont une bilingue, un quartier universitaire vivant proche du centre-ville et des sites touristiques que je découvre maintenant depuis plus de 2 ans. L’histoire du CDDB riche en surprise, la lorientaise et des artistes qui prennent le temps de partager leur art (Pierre VARESI, aquarelliste et auteur), des créateurs d’entreprise, un tournage aux Halles de Merville et les gourmandises bretonnes ne sont pas en reste avec les restaurants et vitrines artisanales.

Si vous souhaitez participer, n’hésitez pas, une seule chose à faire ! Raconter vos anecdotes sur la page Facebook ! Elles seront reportées sur le blog. Vous êtes les bienvenu(e)s !

Par Lyne

Lien du site : https://communautemerville.wixsite.com/merville

Lien de la page facebook : https://www.facebook.com/CommunauteMerville56/

Adresse mail : communautemerville@gmail.com

Une vague…

Je ne connais pas assez le vocabulaire musical. Lire une portée, quelques notes … Mais ce samedi soir il n’était pas nécessaire de « savoir », il fallait simplement fermer les yeux et se laisser emporter, comme une vague, entre les différents enchaînements musicaux qui nous ont été présentés (messes, motet, etc) par l’ensemble Vokaléïs du Conservatoire de Lorient autour d’œuvres de Bach et Teleman.

Dans l’église d’Arzano (Finistère), rénovée en 2016, l’acoustique offre toute l’amplitude pour s’imprégner de ce chœur : sourire aux lèvres, chair de poule s’invitent jusqu’aux yeux qui pétillent.

Comment vous expliquer cette émotion que la musique baroque soulève ? C’est une musique classique particulière et les voix sont parfois enjouées puis assombries selon le répertoire. Je lis sur le visage de cette soprano comme une histoire qui se déroule…voix cristalline, douce, élégante tout en étant concentrée, elle vit son interprétation.

Le concert fut court (1h) mais il nous a ravit et nombreux spectateurs espèrent les revoir prochainement dans ce lieu parfaitement approprié.

Par Lyne

N-B: Les chœurs en scène du Conservatoire de Lorient :

http://emdl.lorient.fr/voix/les-choeurs-en-scene/

Le café solidaire

Arrivé devant ce lieu : il n‘est pas accessible au fauteuil roulant, problème !

Les occupants du lieu munies d’une bonne volonté contactent le voisin pour se faire prêter une planche afin de l’utiliser en guise de «pont ».

En attendant se déroule les présentations ! Léna qui me connaît assure ce rôle et cela dans une ambiance très conviviale.

Faut dire que chacun avait son histoire à raconter. Pas le temps, le monte-trottoir est arrivé ! Je peux donc rentrer. Une fois sur place, je découvre une salle où les réalisations picturales de Léna sont exposées, émerveillement ! Une exposition colorée et naïve qui frappe beaucoup notre imaginaire d’enfant et pour cela j’étais très content.

Sur une grande table sont disposés des victuailles et chacun se sert. Une exposition colorée et naïve qui frappe beaucoup notre imaginaire d’enfant et pour cela j’étais très content.

Les « Jeannes » m’ont reçu avec enthousiasme, je reviendrai certainement avec des copains pour partager un moment agréable.

Le site du café association Comment Ksé : http://commentkse.fr/

Le site de Léna Couëdo : https://lenacouedo.weebly.com

Par Louis

Le 24 mai, c’est la fête des voisins au Polygone

Sortez les gâteaux maison, les salades composées et les bouteilles de cidre, la fête des voisins revient comme les hirondelles, au beau milieu du printemps ! C’est un moment festif pour prendre le temps de connaître les personnes qui vivent près de nous et à qui généralement, nous ne lançons qu’un vague bonjour quand nous les croisons dans le couloir de l’immeuble.

Il faut savoir que cette fête a été créée en 1999 dans le 17éme arrondissement de Paris par Atanase Périfan qui avait été choqué par le décès d’un de ses voisins, retrouvé dans son appartement 4 mois après sa mort. Il avait donc lancé cette idée de rencontre festive pour lutter contre l’individualisme des grandes villes. Le succès fut immédiat et s’est généralisé à la France entière et même dans d’autres pays comme le Japon, la Tunisie, le Canada ou le Togo. Cette année, ce sont 9 millions de personnes qui sont attendues lors des dix mille événements organisés en France avec la participation de 1250 bailleurs et mairies partenaires.

À Lorient, au Polygone, c’est aux Grands Larges que ça se passera jeudi 24 mai à partir de 19h00 ; musique, danse, défilé de mode, jeux en bois, tout pour passer une agréable soirée ! Alors, venez avec votre cake aux olives et votre quatre-quart et rencontrez vos voisins !

Par Cyril

Seriez-vous un voisin solidaire ?

En lien avec la fête des voisins qui se déroulera les 24 et 25 mai prochains, l’idée de « voisins solidaires » fait son chemin. Le projet est de lutter contre l’indifférence et l’individualisme qui font souvent le quotidien de nos relations aux autres dans les villes, petites ou grandes.

Lancée par les créateurs de la « Fête des Voisins », l’association Voisins Solidaires développe un dispositif national de mobilisation dont l’objectif est de renforcer les solidarités de proximité et de développer les petits services et l’entraide entre voisins qui facilitent la vie au quotidien. Monter le courrier, prêter sa perceuse, mille petits services que l’on peut rendre et qui ne coûte que de la bonne volonté.

Pour en savoir plus, allez sur le site :

http://www.voisinssolidaires.fr

Une consultation en organisée en ligne :

http://www.voisinssolidaires.fr/grande-consultation-nationale

Par Cyril

Le développement durable ?

Lucie, animatrice aux Grands Larges, est venue nous présenter la vidéo réalisée par des jeunes de la Résidence au concours T’as la tchatche. Nous en avons profité pour jouer à un jeu sérieux sur le développement durable pendant que Louis nous écrivait quelques pensées…

Nés quelque part est un jeu pour comprendre les enjeux du développement durable et s’engager pour un monde meilleur : http://nesquelquepart.fr/the-game.html

Le site de l’Education à l’environnement pour un développement durable :  www.education-developpement-durable.fr

Le respect de soi et des autres couplés au respect de Terre, par Louis

Toute vie repose sur la matrice qu’est la Terre. Aujourd’hui, en 2018, une prise de conscience planétaire rayonne sur toutes les sphères de la société. Actualisant toutes les sources d’informations des plus anciennes aux plus modernes. Comme faisaient les indiens ou les habitants de nos villages Français nous réfléchissons tous à vivre de manière responsable.  Et durable car nous agissons pour les générations futures…Je viens de voir un film réalisé par des jeunes des Grands Larges qui démontre comment et pourquoi œuvrer, oui mais pas que pour soi !

Pour aller plus loin sur le développement durable, consultez Wikipédia