Illuminations de Noël à Rochefort-en-Terre

Jusqu’au 4 janvier 2026, Rochefort-en-Terre, élu village préféré des Français en 2016, s’illumine tous les jours à la tombée de la nuit. La magie de Noël s’invite dans les rues et boutiques d’artisans de la Petite Cité de Caractère.

Pour en savoir plus : https://www.rochefortenterre-tourisme.bzh/explorer/la-magie-de-noel/illuminations-noel-rochefort-en-terre/

Rencontre avec Solidarité PloemeuRoumanie

 

Depuis plus de trente ans, l’association Solidarité PloemeuRoumanie s’engage dans la solidarité internationale.

Créée en 1989 à Plœmeur, elle a pour mission de soutenir les populations défavorisées du nord-ouest de la Roumanie. Son fondateur, Loïc Thétio, a initié les premiers convois humanitaires après la chute du régime communiste.

Depuis, près de 90 missions ont été réalisées, représentant plus de 500 000 kilomètres parcourus. Les bénévoles acheminent vêtements, médicaments, matériel orthopédique et équipements scolaires. Les aides sont distribuées dans plusieurs communes du Maramures, en partenariat avec les autorités locales.

Au-delà de l’aide matérielle, elle favorise une véritable amitié entre la Bretagne et la Roumanie. Solidarité PloemeuRoumanie incarne aujourd’hui la fraternité européenne.

N’hésitez pas à participez aux collectes et aux appels aux dons, contactez l’association :  loic.thetio@libertysurf.fr

Suivre l’association sur http://asso.ploemeuroumanie.free.fr

F1 : Quand le sport devient une série télévisée !

La Formule 1, communément abrégée en ‘’F1’’ est un sport assez particulier. Glamour, luxe, voitures, la F1 sait comment tenir ses fans en haleine sur et en dehors de la piste ! Mais avant tout, décortiquons tout ça pour les non connaisseurs de ce sport.

• Une explication de la F1

« Déjà, qu’est-ce que la Formule 1 » ? Eh bien, la F1 est tout simplement l’un des sports du domaine de la course automobile où on retrouve également le karting, le rallye, les courses sur circuits (le sous-groupe dont fait partie la F1) : les 24h du Mans, l’une des plus connus également. En résumé, la F1 est donc une course que se disputent 20 pilotes pour tenter de finir champion du monde à la fin de la saison.

Mais ça ne s’arrête pas à une simple course ! Ce sont des voitures qui vont à plus de 350 km/h, des écuries qui investissent des centaines de millions, des circuits prestigieux. Vous l’aurez compris, la F1 est le sport le plus prestigieux au monde. Et quand on parle ‘’d’écuries’’, on ne parle pas de marques méconnues. Non, on parle de marques de légendes comme Ferrari, Mercedes, McLaren, Aston Martin ou encore Alpine et chacune de ces écuries ont chacune leur histoire et aura.

Par exemple, Ferrari représente la classe à l’italienne, le rouge mythique, la passion. RedBull, c’est l’agressivité et l’innovation. Mercedes, c’est la domination. Parlons également des courses se déroulant aux quatre coins du globe, sur des circuits tout aussi prestigieux : Spa-Francorchamps au cœur des forêts belges, Suzuka au Japon, Monza et Imola en Italie, Interlagos au Brésil ou encore Losail au Qatar. Tous ayant son lot de victoires et drames.

Et parmi tout ça : vingt des meilleurs pilotes au monde, tous prometteurs. Certains jeunes appelés ‘’les rookies’’. D’autres qui sont déjà des légendes affirmées comme Lewis Hamilton, l’un des plus connus, sextuple champion du monde au style affirmé et à la voix engagée. Max Verstappen, le conducteur aux nerfs d’acier. Charles Leclerc, le prince monégasque. Fernando Alonso, le vétéran qui n’abandonne rien. Lando Norris, le sourire d’une nouvelle génération. Esteban Ocon, Isack Hadjar, Pierre Gasly, les icônes françaises.

Et vous devez vous en doutez, la F1 n’est pas un sport calme avec tout ce beau monde.

• Entre stratégies, rivalités et…rupture d’amitiés.

Chaque saison a ses intrigues, chaque Grand Prix est un nouvel épisode, chaque pilote a ses fans et ses ennemis. Ce qui rend la F1 palpitante n’est pas seulement les moteurs et les dérapages, c’est aussi la perpétuelle tension qui règne : les radios qui explosent à chaque course, les stratégies ratées, les amitiés qui se brisent, les trahisons. La F1 n’a décidément rien à envier à Netflix !

Parlons de l’un des moments les plus cinématographiques : la pluie. Le ciel s’assombrit, l’eau inonde la piste, les voitures glissent, la nervosité s’installe et les pilotes les plus malins en profitent pour gagner. C’est le chaos organisé. La pluie est parfois la star imprévisible, certains l’aiment car elle rajoute du bazar tandis d’autres la détestent parce que la FIA est contrainte de reporter la course ou les qualifications.

Parmi ceux qui brillent ? Lewis Hamilton, encore lui. Brésil 2021 restera l’une de ses plus grandes merveilles ! Résumons tout ça : c’est la fin de saison, il est en pleine ‘’guerre’’ avec Max Verstappen et là, Mercedes se prend plusieurs pénalités. Tout le monde disait « C’est terminé, Lewis ne pourra jamais remonter… ». Le vendredi, il prend la première place pour le départ des qualifs de la course sprint du samedi mais est pénalisé en raison d’une défaillance sur sa voiture. Conséquence ? Il part DERNIER de la course sprint. Le samedi, il est 20e et…remonte jusqu’à la 5e place en 24 tours. Mais…nouveau problème, il se prend encore une autre pénalité en raison d’un changement d’une pièce de moteur non conforme. Résultat ? Il est pénalisé de cinq places et part 10e le dimanche. Et jour de la course, il fait une remontée mythique. Il dépasse tout le monde, défend comme un acharné, attaque et finit par remporter la course ! De P20 le vendredi à la victoire le dimanche.

2021, l’une des années les plus folles dans le monde du sport. Cette année est marquée par une rivalité gigantesque entre Lewis Hamilton et Max Verstappen, deux monstres de la F1. Cette année suffit à elle seule à convaincre une personne à se mettre à ce sport. Deux pilotes différents, deux styles différents, deux générations. Chaque course était une bataille. Silverstone ? Ils se crashent tous les deux ? Monza ? La RedBull de Verstappen monte littéralement sur la Mercedes de Lewis, le pneu arrière finit au niveau du crâne de Lewis et sans le HALO, cette protection en titane ? C’était la catastrophe assurée !

Cette rivalité se termine à Abu Dhabi, la dernière course très controversée. Ils sont à égalité parfaite, du jamais vu. Lewis mène toute la course, Max est en galère derrière. À cinq tours de la fin : un crash sans gravité. La course est ralentie, le peloton est resserré. Une décision encore inexplicable aujourd’hui est prise et Max qui avait chaussé de nouveaux pneus dépasse Lewis et gagne la course. Tous les fans de Lewis Hamilton crient au vol, au complot, RedBull célèbre. Une course que les fans n’oublieront jamais.

Et terminons cet article par une rupture d’amitié : Nico Rosberg et Lewis Hamilton. Deux amis élevés ensemble, des meilleurs amies devenus pires ennemis, coéquipier chez Mercedes et rivaux dans l’âme. Leur saison 2016 est l’une des plus légendaires, c’était une série Netflix. Des accrochages volontaires, des regards noirs en conférence de presse, une hostilité trop présente pour qu’on l’ignore. Le résultat de cette rivalité ? Nico gagne le championnat de justesse puis…annonce sa retraite cinq jours plus tard, une fin digne des meilleures séries. « J’ai pris ma revanche et je m’en vais comme un roi »

Et si vous souhaitez regarder le sport, il y a la dernière course de la saison à Abu Dhabi le 7 décembre diffusé sur Canal+ Sport.

Docu – débat sur l’alimentation

Vendredi 28/11/2025, de 20h à 22h, au Centre Social de Keryado, est présenté le documentaire « Manger pour vivre » suivi d’un débat sur l’alimentation.

Le documentaire, d’une durée de 52 mn, parle de la création d’une caisse alimentaire commune créé en 2025 à Montpellier par un collectif d’associations composés de 400 adhérents qui cotisent selon leurs moyens et reçoivent la même somme pour se nourrir : c’est l’expérimentation d’une sécurité sociale de l’alimentation concernant le droit à une alimentation digne pour tous.

Le débat, qui suivra, traitera de l’alimentation et du documentaire présenté d’autant que l’entrée est libre et gratuite.

Yannaël et la mer

Yannaël est heureux, car il aime la mer et la fréquente très souvent. Malgré son handicap, cela reste possible grâce à la bonne volonté de ceux qui l’entourent. Ainsi, la mer n’est plus un rêve pieux, mais une réalité vécue. En effet, tout devient possible !

Voir le film « Le monde de Yannaël » de Vanessa Le Reste :
https://france3-regions.franceinfo.fr/bretagne/programmes/7687128-le-monde-de-yannael.html

Découvrir l’association Le monde de Yannaël :
https://le-monde-de-yannael.com
https://www.instagram.com/le_monde_de_yannael/
https://www.facebook.com/p/Le-Monde-de-Yannael-100069550331749/?locale=fr_FR

Icônes et combattantes : l’ascension des femmes dans la musique

Elles sont partout ! Que ce soit dans nos écouteurs, à la radio, sur les réseaux sociaux ou encore à la télévision, les artistes féminines assoient de plus en plus leur domination sur les statistiques et battent tous les records possibles. Mais le plus beau dans l’histoire ? C’est qu’elles ne sont pas uniquement des chanteuses, elles représentent des modèles pour des adolescentes et même des adultes !

Avant d’être une superstar, Beyoncé est une femme qui s’est imposée dans un monde qui ne voulait pas d’elle en se battant durement et sans reculer devant rien. Nicki Minaj est également un exemple de détermination car elle est arrivée dans un milieu masculin (le rap) et très vite a conquis un large public, sans reculer devant le sexisme qu’elle a subi. À seulement 17 ans, Rihanna a fait danser le monde avec le fameux Pon de Replay et est ainsi devenue l’une des chanteuses les plus populaires, bien qu’elle n’ait pas sorti d’album depuis neuf ans.

Contrairement à certaines stars, on peut facilement s’identifier à elles. Beyoncé est une femme noire qui a commencé sa carrière à une période où les artistes afro-américaines étaient peu représentées ou sexualisées par l’industrie mais elle a démontré par son talent qu’on peut être ambitieuse et talentueuse sans baisser les bras malgré les insultes racistes qu’elle subit quotidiennement. Elle est aussi un modèle pour certaines femmes car elle a subi plusieurs fausses couches dont elle a parlé publiquement, elle a subi les nombreuses infidélités de son mari et l’a aussi évoqué publiquement, permettant ainsi de montrer qu’on peut s’appeler ‘’Beyoncé’’ et être aussi confrontée à des difficultés.

Rihanna, originaire de la Barbade, a immigré aux États-Unis pour lancer sa carrière. Rihanna n’est pas une simple chanteuse, c’est aussi une survivante. Ayant grandi dans un environnement marqué par l’addiction à l’alcool, elle a trouvé refuge dans la musique mais son histoire ne s’arrête pas là ! Elle a été victime de violences conjugales par son ex, Chris Brown dont les photos ont été relayées publiquement mais comme une battante, elle s’est relevée, a sorti son album Rated R qui a marqué sa renaissance. Aujourd’hui milliardaire avec sa marque Fenty Beauty, ‘’RiRi’’ a su transformer sa douleur en art et représente un modèle pour toutes les femmes victimes de violences conjugales.

Nicki, beaucoup plus bruyante, a totalement retourné l’industrie du rap sans renier son identité. Rabaissée, classée comme vulgaire, trop colorée, elle est restée debout et a continué d’assumer sa rage et insolence. Et ça a payé car elle est considérée comme la femme qui a ouvert le rap à toutes les rappeuses d’aujourd’hui. Elle est la représentation des femmes qui ont été marginalisées, voire moquées.

 

Beyoncé : https://www.beyonce.com

Rihanna : https://www.rihannanow.com

Nicki Minaj : https://www.nickiminajofficial.com

 

Se préparer à une situation d’urgence

Un guide officiel est mis à disposition pour accompagner chacun dans sa préparation aux situations de crise. De la prévention à l’action, il présente les réflexes essentiels à adopter :  https://www.info.gouv.fr/risques/se-preparer-a-une-situation-durgence

Selon Grégory Clément, moniteur de survie, le kit d’urgence proposé par le gouvernement est trop minimaliste. Il manque des éléments essentiels comme des moyens de purification d’eau, de cuisson, de protection contre le froid, ainsi que des outils pratiques pour l’autonomie réelle en cas de crise

Plus d’infos sur https://www.wildtactic.com/blogs/news/kit-urgence-72h-analyse-guide-gouvernemental-francais

 

 

L’Éthiopie, terre de contrastes et de couleurs

Un pays d’une richesse historique exceptionnelle : berceau de l’humanité, connu notamment pour la découverte de Lucy, il fascine par la profondeur de son histoire et la diversité de ses paysages.

Entre sites naturels classés à l’UNESCO et plus de 80 ethnies aux langues, traditions et cultures singulières, l’Éthiopie offre une variété humaine et géographique unique. Pays du café par excellence, elle séduit aussi par une cuisine parfumée, aussi généreuse que ses panoramas.

Ce qui m’a le plus marqué, ce sont ses paysages à couper le souffle, chacun plus puissant que le précédent, et la beauté de ce peuple.

La COP 30 à Belém, au Brésil

En 1992, lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro, au Brésil, 154 États ont reconnu l’existence d’un changement climatique d’origine humaine et ont décidé d’unir leurs efforts pour limiter le réchauffement global. Depuis, une Conférence des Parties (COP) réunit chaque année 198 pays. Du 11 au 22 novembre 2024, la COP 29 s’est tenue à Bakou, en Azerbaïdjan.

Du 6 au 21 novembre 2025, 194 pays représentés, ONG, entreprises, scientifiques, responsables politiques ainsi que la société civile, se sont réunis à Belém, dans l’État du Pará, au nord du Brésil, sous l’égide des Nations Unies, afin d’échanger sur les enjeux liés au changement climatique.

Objectifs de la conférence

  • Limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,5 °C
  • Lutter contre la déforestation
  • Présenter de nouveaux plans d’action contre le réchauffement climatique
  • Faire le point sur les progrès réalisés
  • Examiner les engagements financiers pris lors de la COP 29
  • Développer les énergies propres
  • Réduire l’usage des énergies fossiles
  • Promouvoir la justice climatique
  • Renforcer le financement de l’action climatique (soutien aux pays pour l’adaptation au réchauffement)
  • Établir un bilan éthique mondial

Décisions prises à Belém

L’année 2025 a été la deuxième plus chaude jamais enregistrée. Chaque pays a présenté un plan d’action concret pour limiter le réchauffement climatique. À l’issue de la COP 30, les décisions suivantes ont été adoptées :

  • Mise en place d’un financement à grande échelle pour les pays en développement d’ici 2035
  • Renforcement des mesures d’adaptation au changement climatique
  • Création d’un fonds pour les pertes et dommages
  • Lancement de nouvelles initiatives : l’Accélérateur mondial de la mise en œuvre et la Mission de Belém vers l’objectif de 1,5 °C
  • Intensification de la lutte contre la désinformation (fake news)

En 2026, la COP 31 se tiendra à Antalya, en Turquie, et sera présidée par l’Australie.

Le Lorient d’antan

Une nouvelle carte postale toutes les semaines pour mieux connaître l’histoire de Lorient :

1. La place Alsace-Lorraine dans les années 30

Carte postale, datant de 1935/1939, Gaby éditeur à Nantes, collection personnelle.

Au premier plan, les arbres de la place, et le kiosque à musique, celui-ci étant inauguré le 24 novembre 1933 (en remplacement d’un premier kiosque, datant de 1885 et détruit en janvier 1933) avec sur son toit les armes de la Ville de Lorient et des cartouches avec le nom de compositeurs célèbres. Rescapé des bombardements de 1943, il sera démoli après guerre, lors de la reconstruction de la place.

Au second plan, les immeubles de la place, à gauche, la rue de Turenne (de nos jours on y trouve l’église Notre-Dame de Victoire), à droite, les rues des Fontaines et de La Patrie, avec les magasins Fashion House et Novoprix (de nos jours, les Galeries Lafayette ) et à droite le magasin de vétements Saint Remy (de nos jours le magasin Burton)

Il y avait deux autres kiosques à musique à Lorient, un place d’Armes et un place de La République, dans le quartier de la Nouvelle-Ville.

2 – Le cours des Quais

Le jeu des 7 différences et plus : Sur ces deux cartes postales, nous voici devant le bassin à flot, avec à l’arrière plan, le cours des Quais (notre quai des Indes actuel), dont l’arrière du théâtre du cours de la Bôve, et au premier plan des marins qui réparent une voile de bateau.

Vous vous demandez pourquoi mettre deux fois la même carte postale, la 2012 de la collection Villard ?

Si vous regardez bien, il y a des différences entre les deux cartes postales…

 

3 -La place d’Armes et l’Hôtel Gabriel vers 1905

Au premier plan, des enfants et des marins posent devant la statue de Stanislas Dupuy de Lôme; à droite la Préfecture Maritime de Lorient, avec sa marquise, ses souches de cheminée, et ses sculptures du 18e siècle, et sa grille, notre actuelle galerie Le Lieu . Au fond la tour de La Découverte et les arbres de la colline du Faouëdic.

Carte Postale, collection Villard, Quimper, éditeur.

4 -La rue Beauvais et Hôtel Terminus vers 1920

Sur cette carte postale, nous voici rue Beauvais, à gauche, cachée par les arbres se trouve la gare, à droite, au fond l’école de Kerentrech, le tabac de l’hôtel Saint Christophe, hôtel qui sera a reconstruit dans les années 30, l’hôtel Terminus, avant son agrandissement et une belle villa, qui existe toujours. On notera la publicité pour les vêtements Saint Rémy

J. Nozais, éditeur, Nantes

5 – L’avenue de Merville vers 1905

Nous voici avenue de Merville (de nos jours avenue Jean Jaurès) au niveau du carrefour avec les rues de Kerlin et Claire Droneau, en direction de la Nouvelle-Ville. Notre regard est attiré tout d’abord par la foule qui pose pour le photographe sur la chaussée et le trottoir de droite, avec principalement des enfants, puis par le tramway, avec sa publicité pour le triple-sec Poulain, qui roule en direction de Ploemeur. Sur le trottoir de droite, un kiosque ou une vespasienne, avec une publicité pour le Grand Théâtre Delemarre, « prochainement à Vannes? »

Carte postale, collection Villard, éditeur, Quimper.

6 – Le Quai de Rohan, la rue Carnot et le Pont Tournant vers 1905

Sur cette carte postale, nous voyons au premier plan trois vedettes, reliant Lorient à Port-Louis, ancêtres de nos batobus, à droite le Pont-Tournant, reliant le cours de Quais à la Nouvelle-Ville. Sur le quai côté Nouvelle-Ville, deux bateaux, dont « Le Redoutable » à droite. Enfin, nous voyons quai de Rohan, des entrepôts, dont ceux des Bateaux à Vapeur du Nord et ceux des Messageries de l’Ouest & Union Belliloise et celui du Charbon de Terre, aux angles de la rue Carnot et du quai, un café et un tabac.

H. Laurent, Port-Louis, éditeur

7 – Quartier de Kerentrech,vers 1900, rue de Brest (Pierre-Paul Guieysse)

Nous voici devant l’église Notre Dame de Bonne Nouvelle, avec son porche et son clocher. A gauche, la future place de l’Yser avec ses arbres, le kiosque d’un marchand de journaux et une cheminée d’usine. A droite un banc et une charrette à bras.
Carte postale, H. Laurent, Port-Louis, éditeur

8 – La rue du Maréchal Foch vers 1935

Nous voyons ici la rue Maréchal Foch, par temps ensoleillé, avec une grande animation, automobiles, cyclistes, piétons, dont des marins. Parmi les commerces, on remarque « A l’Ours Polaire », une quincaillerie, un magasin vendant des articles de chasse. Au fond l’église Saint Louis, à droite, à l’angle de la rue Paul Bert, la fontaine monumentale dit aussi fontaine de Neptune, oeuvre du sculpteur Auguste Nayel et de architecte Stephen Gallot.

Carte postale, de la série « Lorient Moderne », Nozais, éditeur, Nantes Bon dimanche

9 – La plage de Port-Maria vers 1910

Voici la plage de Port-Maria à Larmor-Plage, vers 1910, un jour d’été, avec de nombreux promeneurs.
Au premier plan sur les rochers des femmes avec leurs ombrelles, ainsi que des militaires en uniforme.
Au second plan, les promeneurs, mais peu de baigneurs, on remarque des tentes et cabines de plage
Au fond, de droite à gauche, la terrasse d’un café ou d’un glacier, la villa Les Sables qui agrandie deviendra le Celtic Hôtel et la villa Les Hermines, construite en 1910

Collection H Laurent, Port-Louis, éditeur

10  – Vue générale du Port de Commerce vers 1920

Aujourd’hui je vous propose une vue de l’avant port de Lorient, avec des bâtiments qui existent toujours, pour la majorité d’entre-eux
Au premier plan, le quai de Rohan, avec ses bateaux à voile et à vapeur, avec un train de marchandises, chargeant la cargaison d’un bateau.
Le port de Lorient, était desservi par deux lignes ferroviaires à usage de fret, une de la compagnie du P.O. et l’autre de la Compagnie des Chemins de Fer d’Intérêt Local du Morbihan.
Dans l’avant port, une vedette à vapeur vient de quitter Lorient et va en direction de Port-Louis ou de Larmor-Plage. Ce sont les ancêtres de nos bateaux-bus actuels.
Au second plan, le Cours des Quais (Quai des Indes), avec un bateau de pêche, à gauche,les hôtels particuliers du XVIIIe siècle, dont la maison natale de l’écrivain Ernest Hello, à droite, la Cale Ory et l’Hôpital Maritime, les casernes de la Gendarmerie Maritime et au fond, le jardin de l’Hôtel Gabriel, la villa Frégate, et la tour de la Découverte
Carte Postale, faisant partie d’un album souvenir de Lorient, édité vers 1920, J. Nozais, éditeur à Nantes.

Au premier plan, le pont suspendu Saint Christophe, inauguré en 1847, et remplacé par le pont actuel en 1960, avec les voies du tramway, à droite une villa, au fond le Scorff avec le parc à bois Saint Isidore et Lanester.

Collection personnelle, J. Nozais, éditeur à Nantes

11 – Le pont Saint Christophe vers 1920

Au premier plan, le pont suspendu Saint Christophe, inauguré en 1847, et remplacé par le pont actuel en 1960, avec les voies du tramway, à droite une villa, au fond le Scorff avec le parc à bois Saint Isidore et Lanester.

Collection personnelle, J. Nozais, éditeur à Nantes

 

12 – la place Alsace-Lorraine et les rues des Fontaines et de La Patrie, vers 1905

Au premier plan, des enfants posent devant le photographe, à gauche le magasin de chapellerie et chemiserie Fashion House, à droite les Modern Galeries, avec une belle façade en pierres de taille et une marquise, et une calèche qui stationne devant l’entrée du magasin. A noter les enseignes sur le toit, qui étaient peut être lumineuses.

Sur la place on voit un kiosque à journaux, devant Fashion House, et une vespasienne, à l’angle de la place avec les rues de La Patrie et des Fontaines.

Au fond la rue des Fontaines, une des rues les plus commerçante de Lorient, qui va de la place Alsace Lorraine, jusqu’à la place Bisson .

Carte postale, Collection H. Laurent à Port-Louis, collection personnelle.

13 – La gare routière vers 1948

Au premier plan, la gare routière de Lorient, mise en service en 1938, avec ses cars Chausson; à gauche le cours de Chazelles et la place Georges Clémenceau. Au fond, la ville déblayée et non reconstruite, avec la tour de l’église Saint Louis, la colonne Bisson, les immeubles de la rue Poissonnière et celui de la rue des Fontaine, ainsi que la chapelle provisoire en baraque, de la paroisse Notre Dame de Victoire.

14 – Inauguration de la statue de Victor Massé en 1887

Sur cette photo datant du 4 septembre 1887, nous assistons à l’inauguration de la statue du compositeur Victor Massé, cours de La Bôve, en présence de nombreux lorientais.

La statue en marbre, est l’œuvre du sculpteur toulousain Antonin Mercié, et le socle de l’architecte lorientais Stephen Gallot.
Fortement endommagée par les bombardements de 1943, ce qu’il en restait sera détruit en 1953.

Enfin notre attention est attirée par le salon de coiffure à l’angle de la Bôve et de la rue du Port.

Photo : Médiathèque François Mitterrand, fonds Bretagne,

15 – La rue Maréchal Foch , lors de la Cavalcade du 5 mars 1933

La foule de spectateurs regardant passer un char sur le thème de l’aviation, à droite le café du Morbihan, et la fontaine de Neptune, oeuvre conjointe du sculpteur Auguste Nayel et de l’architecte Stephen Gallot. Au fond l’église Saint Louis.

Album photo, conservé à la Médiathèque de Lorient, Fonds Bretagne.

16 – L’Hôtel des Postes

A gauche les arbres du cours des Quais, actuel quai des Indes, au centre l’Hôtel des Postes, à l’angle de la rue Molière, la Poste déménagera en 1909, rue Poissonnière. Enfin à droite, l’arrière du Théâtre.

Carte postale datant d’avant 1907, Médiathèque François Mitterrand, fonds Bretagne

17 – L’intérieur du quartier Frébault vers 1900

Construit entre 1890 et 1896, le quartier Frébault était le casernement des troupes de l’artillerie coloniale, endommagé lors des bombardements de 1943, il sera démoli en 1961, excepté un bâtiment qui a servi de prison jusqu’en 1982.

Carte postale, collection A. Waron, Saint-Brieuc, médiathèque François Mitterrand de Lorient, Fonds Bretagne

18 – Les casernes des équipages de la Flotte, vues de la Tour de la Découverte, vers 1900

Au premier plan les casernes des équipages de la Flotte, qui sont les anciens magasins de la Compagnie des Indes, bâtiments, aussi appelés le Péristyle et oeuvre de l’architecte Jacques V Gabriel.

Le Péristyle sera détruit lors des bombardements de 1943.

Au fond le Scorff et la rade de Lorient

Carte Postale, fonds Bretagne, médiathèque de Lorient

 

19 – Le Pont Tournant et la rue Carnot vers 1910

Au premier plan le Pont-Tournant et l’écluse du bassin à flot. Sur le pont les passants regardent le photographe, au fond le quartier de la Nouvelle-Ville, avec le quai Rohan, et la rue Carnot. A noter à droite la publicité pour le célèbre Chocolat Menier

Carte Postale, Artaud et Nozais, Nantes, éditeur, collection personnelle.

20 – Port-Louis, la rue de la Pointe vue du quai de la Pointe, vers 1900

Au premier plan, le quai de la Pointe, avec des bâtiments en bois , des charettes à bras et un attelage, se trouvant devant un petit édifice, qui pourrait être un octroi. Au fond les maisons de la rue de la Pointe, avec de gauche à droite, une épicerie, le débit (de tabac ?) de V. le Quer ou le Guen, l’Hôtel Belle Vue et la Buvette du Port.

Carte Postale, collection H. Laurent, Port-Louis, éditeur, collection personnelle

21 – Le Pont-Tournant et l’écluse du bassin à flot

Sur le pont les passants regardent le photographe, au fond le quartier de la Nouvelle-Ville, avec le quai Rohan, et la rue Carnot. A noter à droite la publicité pour le célèbre Chocolat Menier

Carte Postale, Artaud et Nozais, Nantes, éditeur, collection personnelle.

22 – Le Bassin de Commerce vers 1905

Au premier plan, le bassin de Commerce (le bassin à flot) avec un bateau à vapeur et un bateau à voile, au second plan, le Cours des Quais (actuellement place Jules Ferry), avec la Salle des Fêtes, inaugurée en 1905, et l’École Primaire Supérieure. Au fond, les remparts de la Ville.

Carte Postale, H. L. éditeur

 

23 – Revue sur la Place d’Armes : défilé d’un bataillon, vers 1900

Au centre , un bataillon qui défile, à droite le kiosque à musique, qui était au centre de la place. Au fond, le mur, avec sa balustrade, datant de 1742, qui se trouve face à l’Hôtel Gabriel.

Carte postale, Collection H. Laurent , Port-Louis, collection de la Médiathèque de Lorient, fonds Bretagne.

24 – La statue de Jules Simon et les remparts de Lorient vers 1910

Érigée, près de la Porte du Morbihan, face tournée vers le Cours de Chazelles, la statue en bronze de Jules Simon, est inaugurée en 1905, elle est l’œuvre du sculpteur Denys Puech. La statue sera fondue par les allemands pendant la guerre, mais on peut voir à Paris, place du Guatemala, la même statue en pierre.

Carte Postale, Lefeuvre, éditeur, Lorient, collection personnelle

Derrière la statue , on voit derrière les remparts de Lorient, les maisons de la place du Morbihan

25 – Les Nouvelles Galeries, vers 1900

A droite la rue des Fontaines, à gauche , l’immeuble du magasin Fashion House, à l’angle de la place Alsace-Lorraine . Tous ces immeubles disparaîtront lors des bombardements de 1943.

Carte postale, Fonds Bretagne, Médiathèque François Mitterrand

26 – Le Cours de La Bôve vers 1955

Au premier plan, le Cours de La Bôve, avec ses bancs et ses arbres qui viennent d’être replantés, à gauche, on aperçoit la terrasse d’un café, à droite des immeubles reconstruits avec divers commerces , dont une charcuterie, le photographe Crolard, et un électricien.

Au fond on voit le clocher de l’ancienne église Saint Louis, qui sera démoli entre le 5 et le 31 octobre 1957. On notera que les immeubles de la rue Clairambault ne sont pas encore construits.

Carte Postale, Gaby, éditeur à Nantes

27 – Le Pont Tournant et le Quai des Indes vers 1950

Sur cette photo, prise du Quai de Rohan, on voit à gauche, le Pont-Tournant avec ses deux maisonnettes, l’écluse de l’entrée du Bassin-à-Flot , et à droite, une vedette de La Rade, à quai, qui partira à destination soit de Port-Louis ou de Locmiquélic.

Sur le Quai des Indes, on voit à gauche, des baraques, et à droite, un blockhaus, ainsi que le bureau de la Compagnie des Vedettes de la Rade.

Au fond, la Chambre de Commerce, avec son fronton orné de la sculpture d’un Caducée, symbole du dieu Mercure, qui est le dieu romain du commerce. La rue Pasteur, avec le pignon d’un immeuble qui a des publicités pour le cirage Lion Noir et pour l’apéritif Byrrh et deux immeubles de la fin du XVIIIe siècle, qui ont survécu aux bombardements de 1943.

Carte Postale, Artaud, père et fils, éditeurs à Nantes

 

28 – Un Coin de Place Bisson, vers 1930

Au premier plan, le terre plein de la Place Bisson avec la Colonne Bisson à gauche et des marchands ambulants dont un qui s’appelle « A la renommée », à droite , le Cours de La Bôve, au fond , la rue de Pontcarré et dans le lointain la rue de La Marine. Derrière la Colonne Bisson, l’église Saint Louis, les Halles et l’immeuble du journal , « Le Nouvelliste du Morbihan »

Carte Postale, Cie des Arts Photomécaniques, Paris, éditeur, collection personnelle.

 

29 – La Place Alsace-Lorraine, vers 1930

Au premier plan, le terre-plein de la place, avec son kiosque à musique, des bancs, et des automobiles en stationnement. A droite la rue Victor Massé, avec, à l’angle, le « Grand Café », la rue de Clisson, avec l’Hôtel Beauséjour, la rue Hoche, avec à l’angle, un chirurgien dentiste.

Carte Postale, Cie des Arts Photomécaniques, Paris, éditeur, collection personnelle

 

30 – La rue Beauvais vers 1938

Nous voici, rue Beauvais, peu de temps avant la Seconde Guerre Mondiale. Nous sommes devant l’Hôtel Saint Christophe et l’Hôtel Terminus.
L’Hôtel Saint Christophe a été reconstruit par l’architecte Louis Dutartre, et comme de nos jours, il y a un café, qtabac. L’Hôtel Terminus, agrandi au fil du temps, possédait aussi un café et un restaurant. Au fond le Cours de Chazelles et à droite la cour de la gare SNCF.
Carte Postale, Gaby, Artaud père et fils, éditeurs à Nantes, collection personnelle.

31 – La statue de Jules Simon et la Porte du Morbihan , le 25 juin 1905

La statue en bronze, du philosophe et homme politique, Jules Simon, est l’oeuvre du sculpteur Denys Puech. Elle est inaugurée le 25 juin 1905, ce qui explique la foule et les drapeaux sur la Porte du Morbihan, et la couronne de fleurs sur le socle en granit.

La Porte du Morbihan a été démolie à partir du 6 mars 1907. La statue sera fondue pendant la seconde guerre mondiale.

Carte postale, collection H Laurent, Port-Louis, collection personnelle.

32 – La Gare et la Passerelle, vers 1905

Au premier plan, les voies de la ligne de Savenay à Landerneau, avec le passage à niveau fermé du Cours de Chazelles. Une locomotive à vapeur se dirige vers le photographe et passe sous la Passerelle, qui permet aux piétons de pouvoir franchir la voie ferrée. Celle-ci est en ciment armé, a une hauteur de 7 mètres, elle est mise en service le 13 octobre 1900.

Au fond à droite, la Gare de Lorient avec sa marquise.

Carte Postale, Phototype Vasselier, Nantes, collection personnelle

 

33- La Place Bisson, en été, vers 1938

A droite, l’église Saint Louis, avec un autobus de la Compagnie des Tramways, et la Place Saint-Louis.

A gauche, la rue des Fontaines, avec une automobile au premier plan, et un autre autobus de la Compagnie des Tramways.

Au centre la Colonne Bisson, et les immeubles de la place dont le cinéma Select Palace, inauguré en 1920.

Carte Postale, Loïc, éditeur, collection personnelle

 

34 – Le Pont Saint-Christophe vu de Lanester vers 1950

Au premier plan, le Pont Saint-Christophe se reflétant dans le Scorff. Il va bientôt etre remplacé par l’actuel pont. Au fond le quartier de Kerentrech et les maisons de l’impasse Saint Christophe.

Artaud Père et fils, éditeur à Nantes.

35 – La rue de Clisson et la place Alsace-Lorraine vers 1955

Au premier plan, la place Alsace-Lorraine, avec l’Hôtel Restaurant Beauséjour, et l’immeuble du Crédit Lyonnais, en fin de construction.

Au fond, la rue de Clisson, avec l’Hôtel Astoria

Carte Postale, Gaby éditeur, collection personnelle

36 – Le Pont du Chemin de Fer, vers 1900

Un train est en train de traverser le pont du chemin de fer, qui est vu ici en direction de Lanester.

Ce pont, sur la ligne Savenay-Landerneau, a été construit en 1861/1862, pour la compagnie ferroviaire Paris Orléans, et permet aux trains de traverser le Scorff.

Carte Postale, ND et LL éditeur.

 

37 – La statue de Victor Massé et la rue du Port vers 1900

Au premier plan, le Cours de La Bôve et la statue du compositeur Victor Massé, au second plan, la rue du Port, en direction de l’Arsenal, dont on voit la Grande Porte et la Tour de La Découverte.

Carte postale, ND et LL éditeurs, Paris

 

38 – L’église Saint-Louis et la Place Bisson vers 1905

Au premier plan, les arbres de la place Saint-Louis, avec un kiosque et un lampadaire, l’église Saint-Louis et son clocher. D’architecture Néoclassique, elle sera victime des bombardements de 1943. A droite un des bâtiments des Halles de Lorient. A droite la Place Bisson, avec ses arbres et les immeubles à l’angle de la rue des Fontaines et du Cours de La Bôve.

39 – Le lavoir de la Côte d’Alger et le pont Saint Christophe, vers 1900

Au premier plan, le lavoir de la Côte d’Alger, le long du Scorff, avec des femmes et des enfants, certaines femmes lavant leur linge. A gauche on voit le linge qui sèche.

Au fond on voit , à gauche, la butte de la chapelle Saint-Christophe, dont on voit le toit, et à droite, le pont suspendu, et au loin, les arbres du Château du Diable.

Carte Postale, Collection Villard, Quimper, éditeur. Collection personnelle.

40 – La rue Carnot vers 1901

Au premier plan, les maisons à l’angle du quai de Rohan, un coiffeur à gauche et un tabac à droite. Des hommes et des enfants posent pour le photographe.

Carte postale, H. Laurent, Port-Louis, éditeur.

 

41 -L’Hôpital Maritime, vers 1937

Voici la façade de l’Hôpital Maritime, inauguré le 6 août 1936.

Le bâtiment existe toujours, englobé dans l’Hôpital du Scorff.

Carte postale, série « Lorient Moderne », J. Nozais, Nantes, éditeur

 

42 – L’église Notre Dame de Larmor, vers 1900

Nous voyons ici le côté nord de l’église, vu de la place Notre-Dame, et sa fontaine .

Carte Postale, Fond Bretagne, Médiathèque François Mitterand de Lorient

43 – La Place de la République, vers 1905

Nous voici Place de La République, dans le quartier de La Nouvelle-Ville, avec sa statue de la République, qui a été inaugurée le 14 juillet 1904, et son kiosque à musique. Au fond les bâtiments de la société Marcesche & Cie.

La statue existe toujours.

Carte postale, Fonds Bretagne, Médiathèque François Mitterrand

 

44 – La Maison Crucer et les places Bisson et Saint-Louis, vers 1900

Sur cette carte postale, qui met à l’Honneur la Maison Crucer, nous voyons une gravure des places Bisson et Saint-Louis. Celle ci est l’oeuvre de L. Radigois de Rennes.

Au premier plan à gauche, les immeubles de la place Bisson, au premier plan à droite, le centre de la place Bisson avec ses arbres, et le porche de l’église Saint Louis. Au fond la place Saint-Louis.

La spécialité de la Maison Crucer, est le Gâteau Lorientais, mais ils faisaient aussi des Gâteaux Armoricains, et des paquets de petits gâteaux.

Carte postale, Maison Crucer, éditeur.

 

45 – L’Arsenal vers 1950

Au premier plan l’Arsenal de Lorient, avec le bassin numéro 2, la grue et des baraques. Au deuxième plan le Scorff ,Lanester, et le Blavet.

Carte postale, La Pie, Service Aérien, Editions Lapie-St-Maur, éditeur

46 – La Place Alsace-Lorraine vers 1925

Au premier plan, le centre de la place, avec son kiosque à musique, des arbres, et des automobiles.

Au fond , les immeubles de la place, dont l’Hôtel Beauséjour.

Carte postale, LL éditeur , Paris

 

47 – Le Pont Saint Christophe vers 1890, en direction de Lorient

Sur cette photo, nous voyons que le pont n’a que deux câbles de chaque côté. On en rajoutera lors des travaux d’adaptation au passage des tramways, pour qu’il puisse supporter le poids des tramways.

Photo sur support cartonné, ND éditeur, Paris

 

48 – La Place de Ploemeur et la rue de l’Assemblée Nationale vers 1920.

La Place de Ploemeur est devenue la place Aristide Briand.

49 – La Place du Morbihan vers 1905

Au premier plan, la place du Morbihan, avec deux tramways et un kiosque de la compagnie des Tramways de Lorient. A droite , la rue Victor Massé, avec au fond le kiosque à musique de la place Alsace-Lorraine, et à gauche la rue du Morbihan (Maréchal Foch actuelle) avec l’église Saint-Louis.

Carte Postale, A. Waron éditeur à Saint-Brieuc. Collection personnelle.

50 – Le Théâtre de Lorient, vers 1920

Situé entre les rues Racine, à gauche, et Molière, à droite, sa façade donnant sur le Cours de La Bôve, le Théâtre de Lorient, de style Néoclassique, œuvre de l’architecte Detaille, est inauguré en 1780. Il sera bombardé le 23 janvier 1943.

Collection personnelle

51 – Une pensée de Lorient , vers 1920.

 

Voici une belle carte au beau décor floral, et pleine de couleurs , qui met à l’honneur trois lieux de Lorient : le pont Suspendu, qui est le pont Saint Christophe; la statue de Victor Massé, cours de la Bôve, devant le Théatre; et le Bâtiment du 3e Dépôt, à l’emplacement de l’actuelle Maison de l’Agglo.

Carte postale, Arthaud et Nozais éditeur à Nantes. Collection personnelle

 

52 – La Grue électrique de 150 tonnes du Port de Guerre vers 1915.

Carte postale, Lemire, éditeur à Lorient. Collection personnelle

 

53 – Ploemeur : le Sanatorium de Kerpape vers 1920.

Carte postale, collection Laurent-Nel, éditeur

 

 54 – Le Bassin Long du Port de Pêche de Keroman, vers 1935

Au premier plan, des thoniers, au fond à gauche, le Manoir de Keroman, et le Slipway, et à droite le quai avec de nombreux bateaux et les locaux des mareyeurs.

Carte postale, Compagnie des Arts Photomécaniques, éditeur à Paris