Dans l’optique de privilégier un autre mode de consommation et de développer les produits locaux, un projet de maraîchage bio est en projet au quartier de Bois du Château.
L’association Optm-ism avec le soutien d e la ville de Lorient et Lorient agglomération, travaille en lien avec le lycée du Grand chêne de Pontivy et le GAB (Groupement d’Agriculteurs Biologiques). Ils ont le projet de s’installer dans ce quartier et faire partie du paysage local.
Je croise les doigts pour ce très beau projet, suivez ces mains vertes sur leur site : www.faispoussertonemploi.fr
Saïko
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/11/faispoussertonemploi.jpg205335Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-11-15 11:33:082019-11-15 11:33:08Du producteur au consommateur, vive le circuit court !
David avait déjà crée des entreprises lorsque je l’ai rencontré, il avait son e-commerce de vente de produits mac mais cherchait un accompagnement dans le but de créer une deuxième structure et donc un local. Je l’ai orienté vers BGE. Mon rôle dans l’émergence n’est pas utile pour lui car c’est un entrepreneur déjà expérimenté, c’est donc en tant que témoin que j’ai fait appel à lui pour parler de son expérience auprès de collégiens, puis lors des cafés créateurs et enfin en tant que parrain pour aider un autre futur entrepreneur. Mon aide ici est de l’encourager dans le développement de son entreprise puis en tant que promoteur où il a pu disposer d’un temps de parole sur une radio Balise pour parler de son parcours. Sachant qu’il est avec CitésLab, il bénéficie aussi de la bienveillance des partenaires de l’éco-système dans lequel je travaille. Vous pouvez le retrouver dans son nouveau local en face du quai 9 à Lanester : Royal Tech. Il s’est diversifié et fait de la réparation de produits Apple. David est à l’écoute et vous proposera la solution qui vous convient le mieux : 02 30 91 98 58
Mickael et David étaient invités fin octobre sur Radio Balises, émission en écoute ICI
Nous vous invitons à un voyage dans l’univers extraordinaire de la goélette mythique Tara à travers 6 épisodes.
Episode 1
Lorsque que nous avons la chance d’admirer l’arrivée et le départ de Tara dans la ville aux six ports, c’est un bonheur d’accueillir ce magnifique bateau à la coque et aux mats gris et oranges.
Le récit des hommes à bord par vidéo conférence, les expositions et les journaux imprimés de Tara, illustrent et nous informent sur les multiples expéditions.
Pour information, de Peter Blake à Jean-Louis Etienne, Tara appartient aujourd’hui à Agnès b, une entreprise. Le navire a vu sa structure étudiée en fonction du modèle d’un ancien navire qui a affronté la dérive au sein des glaces arctiques.
La dizaine d’expéditions réalisées par Tara marque l’objectif du propriétaire. «C’est un homme d’affaires préoccupé par les questions d’environnement et convaincu qu’il est de sa responsabilité de ne pas se taire sur les menaces qui pèsent sur les générations futures ». (1). Elles mènent des équipages et des passagers sur tous types d’océans et fleuves du monde pour étudier et constater un état de lieux du milieu marin.
Qu’il s’agisse de Endurance en 2004, en Géorgie du sud, où la chance fut donnée a des malentendants de visiter la Géorgie du sud, ou bien que Génésis, en 2005 de témoigner de la beauté originelle de l’Antarctique, par des photos en noir et blanc, Tara témoigne ainsi du lien entre l’homme et son adaptation respectueuse au milieu marin. Lors de Tara Arctic ou Tara Océan, Tara se penche sur l’évolution de l’environnement marin plus spécialement. Enfin les dernières expéditions ont pour objectif plus spécifiquement d’observer l’impact de la pollution par le plastique dans les océans. La dernière en date se clôture le 23 novembre 2019.
A chaque expédition, la ville de Lorient et la fondation Tara se mobilisent pour voir partir et ou accueillir Tara. Quelque soit le quai choisi pour le départ ou l’arrivée de cette fantastique goélette, tout est remarquablement fait pour que le nombreux public soit sensibiliser à la cause défendue a chaque expédition. Ainsi donc, la forte population présente sur le port de plaisance ou sur le quai de le citée de la voile, peut assister à des expositions en phase avec le ou les expéditions de l’année. Le 23 novembre prochain Tara revient ainsi de sa Mission Plastique.
Du simple voilier au bateau au service de l’écologie durable. La Tara fut donc au départ une goélette qui servit donc à de grands navigateurs à travers le monde dont Jean-Louis Etienne et Peter Blake. Ses mesures exactes au départ sont :
_ Une longueur de 36 mètres
_ Une largeur de 10 mètres
_ Un poids de 130 tonnes.
Sa structure est en aluminium et a une épaisseur de 4,5 cm d’épaisseur et comporte deux mâts de 27mètres et est doté d’une voilure de 400 mètres carrés.
Chaque explorateur a fait modifier différents éléments de structures et des équipements. J’ajoute qu’un ancien bateau nommé le Fram dont le propriétaire Fridtjof Nansen, inspira les créateurs de Tara. En effet, il s’agit du « seul navire à être jamais sorti intact d’un séjour hivernal dans les glaces dérivantes de l’Arctique. » (1)
La coque fut notamment équipée pour affronter les glaces des pôles et l’intérieur est équipé pour l’étude environnementale de divers écosystèmes marins du monde. De plus comme chaque expédition a un but précis, il faut parfois ajuster des aménagements intérieurs.
L’actuel propriétaire Agnès B, choisit Lorient, la ville au six ports comme port d’attache.
Ceux qui se trouvent devant Tara sont toujours impressionnés. Sa coque arrondie grise, son nom marque à l’avant en gris dans un rectangle orange est caractéristique du navire, tout comme ses deux mâts.
Parmi les dernières décennies, plus de dix expéditions ont marqué les scientifiques et le public. En effet, tout en parcourant le globe, les analyses scientifiques de Tara sont au service de la recherche.
Été 2004 : Ecopolaris au Groenland
Cette Odyssée avait pour but doublement de « combler certains vides dans les connaissances des écosystèmes arctiques terrestres ou marins et d’analyser les effets des réchauffements climatiques sur le monde vivant. » (1). Lors de cette expédition, furent étudiés 1500km de côtes entre le 68°et le 81,15’N pour répondre a la demande de chercheure du GREA.
2004 : Endurance, Géorgie du sud
Cette expédition a pour objectif de revivre un ancien périple effectué par Sir Ernest Shackleton en 1915, qui a vu son navire broyé dans les glaces en Antarctique, sauva tous ceux qui l’accompagnent et les mena en Géorgie du sud. Ce qu’il faut souligner c’est qu’une partie des membres de l’expédition sont des sourds, des malentendants et une osmose s’est créée, entre ces derniers et les membres d’équipage. Ce qui leur a permis de réaliser près de 80% de leur programme.
Celui qui tenait à ce projet était Daniel Buffard, un malentendant qui a « créé en 2002 l’association Les Montagnes du Silence »(2). Il cherchait un navire apte pour transporter un matériel spécifique pour l’aventure. C’est donc Tara qui fut choisi.
2005 (1 mois) : Génésis est une longue fresque de photos en noir et blanc de l’Antarctique.
Cette expédition se nomme exactement genesis in mobile
A bord du voilier légendaire, des photographes célèbres embarquent. L’un d’entre eux se nomme Sebastião Salgado pour le quatrième volet qu’il nomme Le monde d’avant l’homme, a décidé que l’Antarctique serait son terrain d’investigation pour le temps de l’expédition. Pour l’occasion, le bateau devient un studio mobile où le photographe peut se laisser aller à sa cause. En noir et blanc. Ses photos nous révèlent le paysage des origines, dans un voyage anthropologique.
La découverte de ces terres immaculée encore vierge où les jeux de lumière rendent ce décor On peut signaler que Le photographe a tiré de son expédition un livre magnifique, Genesis aux éditions Taschen qui rend hommage au sixième continent où l’homme n’a pas détruit l’harmonie.
2006– 2008 : Tara arctic qui fait écho à l’année Polaire internationale 2007-2008
Ce fut une expédition très instructive qui fut la dérive autour du pôle nord en Arctique pour étudier pour une des premières fois des données qui servent le programme européen dans la recherche climatique. Cela dura plusieurs années et des équipes se sont relayées a part peut être un membre. L’état des glaces du pôle nord est très important à étudier en raison du réchauffement climatique. C’est une étude qui s’effectue au niveau international, en parallèle avec l’année 2007-2008 qui fut l’Année Polaire Internationale.
L’éloignement de toute terre, les conditions extrêmes de température, et enfin les nuits polaires de quatre mois par an donnent un contexte difficile pour la réalisation de l’expédition. Pendant la phase de septembre 2006 et juillet 2008, Tara se laisse prendre dans la glace et c’est l’excellente structure du voilier qui permet cette résistance pour ce périple. Cette expédition fait écho au centenaire de l’expédition de Nansen, un des premiers explorateurs de l’Arctique, à bord du Fram.
2009 (5 septembre)- 2013, Tara Océans. En fait, il s’agit deux expéditions Tara Océans et Tara Océans Polar Circle
il faut souligner que Tara à partir de cette date commence à s’interroger sur l’impact du plastique dans l’environnement marin, tout en faisant des études sur d’autres thèmes.
Cette nouvelle expédition fut marquante par l’étude à travers tous les océans du monde du plancton.. Tara a décidé de faire un état des lieux de dénombrer ces organismes, et de les étudier. Soixante seize membres d’équipages et cent vingt six scientifiques participèrent à cette odyssée qui a duré 938 jours. Le parcours de ce périple commença entre 2009 et mars 2010 par la Méditerranée, l’océan Indien, puis en septembre 2010, il passe au sud de l’Afrique, rejoint l’océan Atlantique et arrive en mars 2011 dans l’océan Pacifique. Il y reste jusqu’en 2011. Puis par le canal de Panama, Tara retrouve l’Océan Atlantique en mars 2012.
En 2012, il retrouve Lorient, pour repartir dans une deuxième expédition, Tara Océans Polar Circle, en 2013. En juin de cette année, il navigue dans le nord de l’océan Atlantique, longe la Sibérie et contourne le pôle Nord pour rentrer à son port d’attache en décembre 2013.
Au final, un bilan sur le plancton marin du monde entier est réalisé, voir de nouvelles espèces identifiées.
Pour l’occasion, les invités à Lorient sont prestigieux. En effet Tara est accueillit par une élue nationale, qui dans la rade de Lorient monta à bord en compagnie d’élus locaux.
Cette mer est étudiée sur 15000 km pendant sept mois. 16 scientifiques et membres d’équipage montèrent à bord
Cette fois ce sont les enjeux environnementaux liés à cette mer qui sont examinés. 15 000 km furent étudiés en Méditerranée. Cette fois, il s’agit d’étudier d’une part, la répartition spatiale de tous les éléments de plastique de 0.3 à 50mm que l’on peut retrouver dans la Méditerranée. A bord, une journaliste reporter d’images, Noelie Pansiot, observe et témoigne de ce qu’elle voit et découvre entre autre à Port Cros. Mais le constat qu’elle fait le même pour toutes les zones observées. On remarque que 90% des déchets marins viennent de la terre.
En 2014, Tara fêta ses 10 ans d’expéditions. A cette occasion, des films et des revues furent réalisés comme la vidéo suivante par exemple :
Episode 5
2019 La dernière expédition en date, durant cette année 2019, depuis le 30 mai La Mission Plastique : aux origines de la pollution plastique.
Cette année, entre le 16 mai et novembre 2019 la ville aux six ports, port d’attache de Tara, a vu partir le navire autour de l’Europe à travers les différentes mers qui contournent le vieux continent. Cette fois, dix fleuves ont été étudiés : de la Tamise à l’Elbe et au Rhin, de la Seine à la Loire, de la Garonne au Rhône puis de la Tage, l’Ebre et la Tibre. Le but est d’examiner les dégâts de la pollution due au plastique et de leur insertion de facto dans la chaine alimentaire car celle-ci intègre par malheur ces éléments artificiels.
En effet déjà depuis 2010, Tara se penche sur les dégâts de la pollution de plastique dans l’environnement. Pour cela, il lui faut étudier la provenance, leur état de transformation en mer. En effet, dans le passé, la pollution plastique fut déjà constatée dans tous les océans du globe, même les zones polaires. En fait, près de 8 millions de plastique par an, dont 600 000 tonnes en Europe, se retrouvent en mer chaque année. Un problème vient des microplastiques, ces particules de 0.2 à 5mm de diamètre. Cette année, il faut comprendre le rôle des fleuves dans cette pollution. Le CNRS participe à cette expédition.
Les microplastiques
En effet ; il faut savoir, que ces microplastiques sont présents à plusieurs niveaux dans l’environnement marin et ont des conséquences diverses.
L’une d’entre elles est que le plastique peut servir d’habitats et générer de nouveaux écosystèmes pour des micro-organismes par exemple des bactéries. Quels sont donc les impacts sur l’environnement marin ?
C’est aussi un danger pour l’environnement marin et à force suri, pour la chaine alimentaire. En effet, on retrouve notamment ces microplastiques sous formes de particules ou de micro-éléments dans les organismes marins tels que les poissons, que les hommes pêchent et consomment. Quand, on découpe des poissons par exemple dans les fleuves ou dans les mers, il n’est pas rare, d’y trouver piégés dans les organes des agglomérats de plastique, à chaque étape de la chaîne alimentaire et donc les hommes consomment aussi indirectement ces micro-plastiques
Il faudrait que les politiques fassent quelque chose contre ce fléau. Quelles sont les mesures que peuvent prendre les états, en faveur d’un recyclage du plastique dans l’environnement. Les études de cette année semblent être une des premières études systématiques des fleuves européens. De la même façon, des observations furent faites dans le passé. Ainsi, on remarqua le plastique présent notamment dans la Tamise était composé à 66% de microplastiques. Il faudrait savoir ce qu’il serait possible de faire pour lutter contre la pollution plastique.
Il semble résulter des analyses effectuées que la pollution plastique et des microplastiques en mer viendraient de, la terre. C’est donc une question importante à gérer au sein de nos quotidiens.
Nous en saurons davantage quand Tara reviendra à son port d’attache dans quelques jours.
Le retour de Tara le week-end, du 23 et du 24 novembre prochain à Lorient.
Nous aurons la chance de voir Tara revenir à son port d’attache le samedi 23 novembre à 15h30 à côte de la citée de la voile. Comme il se doit, la ville l’accueille chaleureusement avec des festivités qui dureront deux jours. Ces dernières se dérouleront sur ce 6ieme port de la ville. Nous pourrons voir des expositions, qui toucheront à la fois le bilan de l’expédition mais aussi le devenir du plastique. Cela se fera en parallèle avec des conférences réalisées par des spécialistes de l’expédition entre autres.
Plus exactement, pendant le week-end, dans l’espace Le Karré à la cité de la voile, nous pourrons voir une exposition. Elle nous montrera le plastique et toute l’importance des scientifiques à bord de Tara.
Le samedi 23 novembre, nous pourrons assister à une prise de paroles, lors de l’arrivée de la goélette entre 16h et 17h à la cité de le voile.
Au même endroit, le dimanche 24 novembre, au rez-de-chaussée cité de la voile, il sera possible de voir une exposition supplémentaire en accès libre.
De plus, il sera possible de visiter le Tara le dimanche après-midi. Pour pouvoir monter à bord de la goélette, il faut s’inscrire via internet, en cliquant ICI
Par ailleurs, toute la journée, à l’auditorium de la cité de la voile, quatre conférences et documentaires se dérouleront :
_ Océans, le mystère plastique entre 10h15 et 11h (documentaire).
_ Plastique en mer, les solutions sont à Terre, entre 11h30 et 12h30 (conférence)
_ Réduction des emballages, le territoire en action, entre 14h00 et 15h30 (table ronde)
_ Réduction des emballages, place à l’innovation, entre 16h00 et 17h30.(table ronde)
De plus, Lorient fête la semaine de réduction des déchets entre le 16 et 24 novembre 2019 et prépare à Lorient des animations à cet effet. Le constat de cette expédition, c’est que la pollution de plastique trouve sa source et ses solutions à terre.
Comme nous l’avons vu, le Tara revient samedi prochain et les festivités seront grandioses pendant le week-end. Cette fois, nous aurons par le biais des expositions et des plateformes et conférences, un bon bilan sur les micros-plastiques et un bilan sur le devenir de nos emballages.
Le succès et le retentissement des expéditions au service de l’écologie de ce voilier mythique attirent des personnalités parfois nationales dans son port d’attache. Et la population qui assiste aux arrivées et aux départs de cette magnifique goélette n’oublie jamais son enseignement.
En effet, à chaque fois, la ville de Lorient et la fondation Tara se mobilisent pour voir la goélette Tara. Quel que soit le quai ou est amarré par cette fantastique goélette, tout est remarquablement fait pour que le nombreux public soit sensibilisé à la cause défendue à chaque expédition. Ainsi donc, la forte population présente sur le port de plaisance ou sur le quai de le citée de la voile, peut assister à des expositions en phase avec l’expédition de l’année. Combien seront nous samedi prochain pour son arrivée ? Combien seront-nous à aller le week-end prochain à assister aux plates formes et/ou aux conférences ? Sans doute, serons-nous très nombreux encore une fois.
Chaque fois, le spectacle de la présence magistrale magnifique de Tara dans la rade de la ville aux six ports face aux nombreux spectateurs sensibilisés à l’environnement marin et ou aux missions de Tara. Parfois, quand il remonte la rade en totalité, une vue aérienne est réalisée par un drone. Toutes ces images vidéo sont bien sur retransmises sur grand écran pour le public réunis en masse près des pontons.
A l’occasion de l’événement, les élus parfois nationaux montent à bord, pour l’arrivée dans la rade. Il est toujours impressionnant de voir un navire prestigieux dans son port d’attache, entre des expéditions lointaines et des missions impressionnantes pour les humbles citoyens marins amateurs, professionnels, ou simples « terriens ». Qui sera là cette fois-ci ? Qui fera honneur au voilier mythique Tara ? Nous le verrons bien.
Tous ceux qui assistent aux passages de Tara dans la ville aux six ports, qui lisent les journaux Tara ou et fréquentent le site internet sont à leur tour des passeurs et relais d’informations. Ils agissent au profit de la sensibilisation pour la sauvegarde de l’environnement qu’il s’agisse de l’état de la mer et ou des océans, des glaces arctiques ou antarctiques, et du réchauffement climatique.
Parmi, tous ceux qui transmettent aux plus grands nombre le message de Tara, figure notamment la ville de Lorient elle-même bien sur, mais aussi l’université de Bretagne Sud à travers des conférences. L’une d’entre elles figure l’université de Bretagne Sud qui ouvre ses portes pour des conférences ponctuellement dont l’une d’entre elle est visible sur Youtube.
« Départ sous la pluie (Lorient) -> Arrivée sous la pluie (Lyon) ! On ne change pas une météo qui gagne! »
La Compagnie lorientaise de Théâtre de rue, Maraudeurs et Compagnie, vient de terminer un périple en vélo de plusieurs milliers de kilomètres ! Chloé, Thomas et Elouan voyagaient à bicyclette sur les routes d’Europe en suivant la piste cyclable Eurovélo 6.
Partis de Nantes le 2 mars 2019, la compagnie a fait plusieurs escales pour jouer leur spectacle et a rejoint, début juin 2019, 12 autres compagnies de théâtre itinérant en Bulgarie à Plovdiv. Ce projet d’essaimage artistique, à l’initiative du CITI (Centre International pour les Théâtre Itinérants) s’appelle « Odyssée Karavana ».
Si proche de l’Asie, leurs mollets n’ont pas résisté à l’envie d’aller un peu plus loin ! Ils ont donc pédalé jusqu’à Istanbul, puis ils ont plus ou moins longé la mer noire en direction de l’est jusqu’en Georgie! A Tbilissi, ils ont changé de cap: à Kars ils ont pris un train pour rallier Izmir et rejoindre la Grèce. Leur voyage s’est poursuivi en Italie et en Corse, avant de rejoindre Marseille et Lyon où ils ont joué leur spectacle Kolelo une dernière fois…Espérons qu’ils le joueront un jour à Lorient !
« Des nouvelles fraîches plus très fraîches mais des nouvelles qui sentent toujours la sueur et la pêche! » Les Maraudeurs
La Radio Télévision Suisse leur a consacré un reportage en écoute ICI
La fabrication de la carriole est à 100% lorientaise. Bravo à Serge Philippe et Charlotte
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/maraudeurs7.jpg7331100Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-31 13:29:442019-10-31 13:46:48Maraudeurs et Compagnie sont de retour !
Rencontre avec Jean Libert venu nous présenter ses photos.Cet autodidacte avoue volontiers qu’il utilise le mode rafale et les réglages automatiques. Tout est question de culture dans ses photos. Certains voient une sirène dans ses vagues lui y voit la danseuse Loïe Fuller…La peinture l’inspire pour créer ses images, Fernand Léger par exemple…Une photo prise sur le port de commerce peut aussi avoir une connotation politique…Les adhérents de l’espace multimédia ont apprécié comment l’artiste transmet sa passion :
« Jean Libert parle avec authenticité, transparence, fluidité émotionnelle…Il stimule la créativité. Il nous donne sa sensibilité par l’image et par les mots…Artiste au sens noble du terme avec une profondeur humaniste ! » Jean-Yves
« En jouant sur les mots, Jean Libert est vaguement profond, il prolonge l’instant T de la photo. Il nous pousse à avancer vers de nouvelles images… » Erik
« Jean Libert est la photo. Il s’est imprégné de son art. » Geneviève
« Photographe passionné qui sait mettre en valeur pour la postérité les instants T de la vie à travers des photos qui sont invisibles pour la plupart des gens » Isabelle
« J’ai adoré échanger avec Jean autour de ses très belles photos et en apprendre plus sur l’histoire de Lorient et sa région. Grâce à lui j’en sais un peu plus sur le territoire où j’habite. Il m’a donné envie de continuer à prendre des photos.» Saïko
Exposition « Vagues à l’âme » jusqu’au 15 novembre au centre social Polygone.
Exposition virtuelle «Orange river, instantanés de la vie des marins et des dockers» en cliquant ICI
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/JL3.jpg456600Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-30 17:44:202019-11-06 12:36:37Rencontre photographique avec Jean Libert
Installée sur le toit du K2, l’un des bunkers de Lorient La Base, la ferme solaire produit l’équivalent de la consommation annuelle de 1 000 foyers.
Composée de 10 000 panneaux photovoltaïques, elle occupe une surface de 18 000 m2 (soit 2 terrains de football). Un projet unique en France en milieu urbain. Le Bloc K2 héberge aussi Plastimo, Hydrophone, le Port à sec, Le Musée du sous-marin Flore, etc.
Cette ferme solaire s’inscrit pleinement dans le Plan Climat Air Energie Territorial de Lorient Agglomération destiné à promouvoir les économies d’énergies et la production d’énergies renouvelables (photovoltaïque, hydroélectricité, éolien, énergie thermique).
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/solaire.jpg9001200Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-30 10:39:202019-10-30 10:39:20Ferme solaire sur le toit du K2 à Keroman
Le plancton est l’ensemble des multiples êtres vivants de petites dimensions vivant dans l’environnement aquatique. Un magnifique site existe sur ce thème, à l’initiative de différents organismes dont le CNRS, de l’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-mer et d’un membre de l’expédition Tara Océan (2009).
La présentation du site comporte différents cadres illustrées par des photos remarquables. Ils sont classés en différents thèmes :
_ Les épisodes récents, où sont exposées des séries de photos. Chacune d’elles qu’il s’agisse des végimaux par exemple ou des appendiculaires
_ Les expositions récentes qui par des renvois en deux clics vous envoie a chaque fois sur des pages spécifiques,
_ Des passages sur de la documentation livres ou des commentaires sur l’origine du projet.
Qu’est-ce que le plancton ?
Comme nous l’avons vu grâce au site, le plancton comprend les nombreuses créatures de taille microscopique ou moyenne. Ils comportent de nombreuses variétés. Ils ont la caractéristique de dériver selon les courants aquatiques et d’être au début de la chaîne alimentaire. Mais c’est aussi un système naturel pour transformer le CO2 que rejettent les êtres vivants car le plancton fait partie des ressources des océans qui en font des puits de carbone, aussi important que les arbres de nos forêts. Ce CO2 transformé en oxygène donne aux hommes la possibilité de respirer.Pour survivre, ces « planktos», captent la lumière et par le biais de la photosynthèse créent de l’énergie et de la matière organique. A cela s’ajoute le fait que les planctons quand ils meurent s’agglutinent et forment une couche de sédiment, qui nous donne notre pétrole.
Pour exemple, on peut citer différents planctons. Certains derniers sont multiples : certains sont : des unicellulaires comme les protistes, dont certains ont des coques et ou des squelettes. Parmi eux, les végimaux sont en même temps animaux et végétaux. . Parmi les plus anciens planctons qui existent au monde, il est possible de citer les diatomées qui donnent à la terre un quart de son oxygène a notre terre. Mais il existe un nombre considérable, de planctons sur notre planète. Les explorations scientifiques en découvrent d’ailleurs de nouvelles régulièrement.
Il est bon de savoir que ces organismes rencontrent des problèmes de survie en raison du réchauffement climatique qui en augmentant la température des océans le rendent en certains endroits plus acides.
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/planctons.jpg6801024Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-23 17:38:342019-10-30 09:28:59Un site magnifique sur le plancton
Sankôfa et les Sandrofia puisent leur inspiration en Afrique, principalement en Côte d’Ivoire à travers chants, percussions et danses africaines. Leur répertoire est composé de sons éclectiques : latino, jazz, afro-celtique, afro-beat, reggae et leurs chansons sont de leur propre composition.
Ce groupe musical est né de l’initiative de Gérard Wognin en 2011 à Lorient. Son nom a toute une histoire que nous explique Gérard : « Utilisé en tant que symbole de l’Utilisation pédagogique de l’Histoire générale de l’Afrique, le concept du Sankôfa vient du peuple Akan de l’Afrique de l’Ouest.Le mot SANKÔFA dérive des mots « san » (revient), « ko » (va), « fa » (regarde, cherche, et prends).
Le Sankôfa nous enseigne que nous devons puiser dans nos racines pour mieux aller de l’avant. Cela signifie que nous devons retourner à nos sources pour prendre le meilleur de ce que le passé nous a enseigné, ce qui nous permettra d’exploiter tout notre potentiel pour avancer.
Visuellement et symboliquement, le mouvement Sankôfa représente un oiseau mythique le Sandrofia qui vole vers l’avant, la tête tournée vers l’arrière avec un œuf ou un brin d’herbe (symbolisant le futur) dans son bec. Il prend sa pitance dans sa queue. »
Concert au café associatif Comment Ksé en avril 2019
Le groupe vient d’enregistrer sa démo, Nadette Lenoir, nous raconte leur belle aventure : « Après 3 jours de studio dans cette structure magnifique qu’est l’Hydrophone et un accompagnement au top, notre maquette verra le jour et nous permettra de postuler auprès des festivals en musique du monde ! 6 titres pour notre bonheur et celui des gens qui nous soutiennent…Un clip vidéo de notre morceau phare « Libérez mon pays » été tourné par Emilien, notre vidéaste en live en studio ! Un album photos sortira grâce au talent photographique de Jean-Michel Baudry…A suivre !! Pause vacances en Côte d’Ivoire en vue de préparer une tournée africaine et nos prochains concerts auront lieu le 23 décembre avec Idées Détournées pour les Fêtes de Noël, en mars 2020 à la Balise dans le cadre d’une thématique sur les migrants avec la MPT de Kervénanec
Quelques exemplaires de leur maquette de démonstration seront bientôt disponibles à l’Espace Multimédia !
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/sankofa2.jpg297600Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-23 12:41:162019-10-31 14:33:49Nouvel enregistrement pour Sankôfa et les Sandrofia
Idées reçues et révélations sur le premier voyage autour du monde.
À l’occasion du 500e anniversaire du départ de Magellan.
Conférence enregistrée le 15 octobre par le Musée de la Compagnie des Indes
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/magellan.jpg682497Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-16 17:11:352019-10-16 17:11:35Le voyage de Magellan
Jean Libert viendra nous présenter ses photographies et sa démarche artistique de 15h à 17h à l’espace multimédia.
« La digue de Lomener est devenue au fil du temps un lieu mythique de Bretagne par l’émerveillement que provoque les vagues qui s’y fracassent. C’est un spot pour les photographes de tous horizons. » Jean Libert
https://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2019/10/Jean_Libert.jpg480677Nicolashttps://lekiosque.bzh/wp-content/uploads/2017/03/logo-kiosque-mar2017-1.pngNicolas2019-10-16 11:46:532019-10-25 14:51:37Exposition photo Jean Libert