Dîner conté au centre social PLL

Le dîner conté affichait complet samedi 12 octobre au centre social du Polygone.

Contes, poésies, chansons et cuisine d’Amérique latine ont enthousiasmé les habitants !

Fatiha était accompagnée sur  scène de Paméla, Maria, Sébastien, Oscar et Alberto

Lorient vu par Praa

L’artiste Praa est bien connue à Lorient sous le nom de Marion Meyer, depuis ses premières scènes au Moulin vert, au Manège et au Galion…Elle nous guide à travers Lorient dans ce premier épisode de la série City Sessions.

Le message de l’artiste sur facebook pour présenter la vidéo :

« Je suis super émue de partager avec vous ce mini doc qu’a réalisé Sourdoreille avec Culturebox et France Télévisions.
Je vous emmène tout droit dans mon intimité, à Lorient où j’ai grandi, je vous montre tout, je vous raconte tout.
Merci et bravo à l’incroyable team de Sourdoreille, c’est magnifique.
Merci Jean Baptiste Pin Le Galion, Le Moulin Vert, Mathias et Marion de Hydrophone.
Une énorme dédicace à toutes et tous mes ami-es du Collège, Lycée, vous vous reconnaitrez peut-être dans mon récit, au Club de Surf de Guidel Wsa Westsurfassociation qui ne se souvient très certainement pas de moi vu comme j’étais nulle, à Didier du Collège Brizeux, aux Strollers mon premier groupe de Rock (oui Strollers, aucun document trouvable sur internet n’essayez pas) et merci à mon Papa d’avoir bien voulu participer . A tous les Lorientais-es, Ploeumeurois-es, Larmoriens-iennes, qu’on ne nous dise plus que Lorient c’est moche!
Love, praa 💛 »

Suivez Praa sur sa page Facebook ou sur sa chaîne Youtube

Emilie et Faeza, une rencontre inattendue, un duo de battantes !

Vous avez sûrement déjà repéré la crêperie d’Emilie, MILIE CREPES, ouverte l’an dernier, dans notre quartier, entre la boulangerie et la pharmacie, avenue du Général de Gaulle. Humm… cette bonne odeur de crêpes qui se dégage le matin, dès le lever du jour ! Poussez la porte pour rencontrer Emilie, la jeune patronne et sa nouvelle employée, Faeza ! L’une est bretonne, l’autre irakienne. Comment se sont-elles rencontrées ? Les hasards et les aléas de la vie bien sûr, mais pas seulement !

Toutes les deux ont une même énergie, une même envie de s’en sortir et de gagner leur autonomie. Emilie a un an d’expérience à la rozell dans sa crêperie : levée avant l’aube et couchée tard dans la soirée pour assurer les commandes, elle avait besoin d’être secondée. Faeza, de son côté, rêvait de trouver un travail qui lui permette de subvenir aux besoins de sa famille. Professeur de comptabilité en Irak et excellente cuisinière, elle s’est lancé le défi d’apprendre à tourner les crêpes et les galettes. Avec l’aide de l’association lorientaise Nazaréens au Cœur, elle a entrepris de se former. Une ancienne crêpière, tout juste à la retraite, l’a initié à l’art de tourner crêpes et galettes sur la bilig ! Pari réussi puisqu’aujourd’hui Faeza officie derrière les galettières d’Emilie. La patronne et son employée s’entendent à merveille. L’équipe fonctionne bien, preuve que les différences culturelles sont aussi un enrichissement mutuel, et pas seulement un frein ou une barrière…Qu’on se le dise !

D’où vient Faeza ? De Bartella, un village situé près de Mossoul, au nord de l’Irak où l’on parle l’araméen (langue plus ancienne encore que l’arabe). Veuve avec deux enfants, elle est arrivée à Lorient en 2015, fuyant l’invasion de Daesh. Elle a vécu à Bagdad, puis fuyant les combats, à Bartella, son village natal qu’elle a dû quitter en catastrophe quelques jours avant un massacre…Depuis Erbil, où les réfugiés étaient nombreux, elle a pu obtenir un visa pour la France car une famille lorientaise (par le biais de l’association Nazaréens au Cœur) s’était engagée à l’accueillir chez elle. C’est ainsi que Faeza et ses enfants ont été hébergés…pendant 2 ans et demi chez M. et Mme Morin !

Autant dire qu’elle a trouvé là une seconde famille avec laquelle les liens tissés restent forts. Faeza tient à les remercier du fond du cœur et remercie également la France, terre d’accueil de son exil. Aujourd’hui veuve et émigrée, elle ne veut pas s’emmurer dans le poids du passé et garde son énergie pour assurer un bel avenir à ses enfants et témoigner de sa foi en un monde meilleur, à bâtir tous ensemble !

Aujourd’hui, avec Emilie, elle est heureuse de s’investir dans la vie du quartier ! Pour passer un bon moment, pour rencontrer ce duo de battantes, n’hésitez pas à pousser le porte de la boutique, histoire de faire connaissance et de goûter leurs délicieuses crêpes !

Fight for dignity, avancer la tête haute

L’association Fight for dignity s’est donnée comme mission d’aider les femmes vulnérables ou victimes de violence à reprendre confiance en elles, repartir dans la vie et avoir des projets.

Cette association parisienne a été créé par la championne du monde de karaté Laurence Fischer. Elle s’est associée avec la maison des femmes de St Denis et des missions au Congo ou en Afghanistan pour leur apprendre à se défendre et à oublier leur traumatisme.

Autres actions, la récupération de tenues de karaté ou de judo abîmées ou non utilisées pour les recycler en sac à main ou en trousse. Si vous avez des kimonos qui dorment dans vos placards, vous ferez une bonne action en les donnant à Fight of dignity qui les transformera en sac ou porte monnaie !

Bonne chance à cette très belle association, vous pouvez adhérer sur https://www.helloasso.com/associations/fight-for-dignity

Saiko

Site web : https://www.fightfordignity.net/
Facebook : https://www.facebook.com/Fight4Dignity/

Triporteurs de bonheur : pédaler pour s’évader !

Par Happy Syklett

Nous lançons une campagne de financement participatif sur Human&Go et avons besoin de votre soutien !

Notre objectif est de collecter 4000 euros afin d’assurer la saison prochaine et développer plus encore l’activité. L’entreprise Malakoff Médéric Humanis multiplie par deux la somme collectée : chaque euro compte !

Pour participer à la réalisation de ce projet, rendez-vous sur le lien ci-dessous :

https://www.humanandgo.fr/fr/projects/happy-syklett

Les premiers soutiens sont décisifs avant une communication à plus grande échelle, alors merci pour votre générosité et n’hésitez pas à solliciter vos proches !

Atelier land art à la fête du jardin

Par Hélène

Atelier land art avec des matériaux de la nature que j’ai collecté pendant mes promenades cet été : des feuilles, des immortelles, des pommes de pins, des coquillages…Pendant la fête du jardin partagé « les coccinelles » à Frébault qui fêtait ses 10 ans, j’ai proposé cet atelier qui a enchanté petits et grands…Une belle expérience à refaire ! Attention, des visages se cachent dans ces œuvres d’art…

Place à l’acte…pour se mettre en mouvement !

Producteur du film Artistes de la Vie, On passe à l’acte est un projet innovant qui oeuvre en faveur du changement sociétal, à travers les outils de l’audiovisuel et du numérique.

Créé il y a 12 ans, On passe à l’acte a d’abord démarré par la création d’un web-média de journalisme positif. Partout en France, l’équipe est partie à la rencontre de centaine d’individus inspirants et de projets à impact sociétal positif pour rendre visible et valoriser les initiatives positives dans tous les domaines (environnement, éducation, santé, numérique, économie, habitat, culture, coopération etc.). L’idée, c’était d’inspirer le grand public et montrer que c’est possible d’agir pour améliorer le monde.

Un espace en ligne pour se mettre en mouvement : https://www.placealacte.fr

Unique en son genre

Place à l’acte est une plateforme innovante qui donne accès gratuitement à plus de 250 outils et services pour trouver sa voie et lancer son projet à impact positif

Espace d’entraide

Elle comporte aussi un espace d’entraide communautaire où chacun peut partager son projet, faire équipe ou encore aider des projets existants

Espace de partage

Sur cette plateforme participative, chacun peut partager ses outils et ses bons plans pour s’entraider

 

“My beautiful baraque”

 

La photographe et journaliste Élisabeth Blanchet expose ses photographies des préfabriqués d’après-guerre et leurs habitants jusqu’au 22 septembre, à deux pas de la cité provisoire reconstituée depuis 2007, par l’association Mémoire de Soye. Exposition de diptyques imprimées sur des bâches grand format associant des intérieurs et extérieurs de baraques. Pendant les journées du Patrimoine, visites de la cité de l’habitat provisoire de 14h à 18h, toutes les 20 minutes.

Voir l’exposition virtuelle sur le site de Élisabeth Blanchet

Christophe Wuillemin devant sa baraque française de Lanester

« Les préfabriqués d’après-guerre en France constituent un “trésor national” très peu documenté et en voie de disparition. Les “baraques” étaient censées durer une dizaine d’années mais 70 ans plus tard, il en reste quelques centaines, toujours habitées. Le succès de ces “baraques” est étonnant d’autant plus qu’elles étaient censées être temporaires… L’attachement des habitants des préfabriqués pour leur maison est fascinant au point que de générations en générations, des familles y vivent toujours !Après la deuxième guerre mondiale, le MRU décide d’utiliser des préfabriqués pour reloger les sinistrés. Plus de 150 000 baraques sont érigées dans les villes qui ont le plus souffert de bombardements, créant des quartiers entiers appelés “cités provisoires”. Les sinistrés sont logés dans différents types de préfabriqués : les baraques françaises, les canadiennes, les suédoises, les finlandaises, les suisses… Et les américaines. Ces dernières sont celles qui ont le plus de succès car elles ont un design hyper moderne pour l’époque et elles sont toutes équipées (eau courante, eau chaude permanente, cuisine toute équipée, toilettes à l’intérieur, une grande clarté, des placards intégrés…).

Soixante-dix années plus tard – alors qu’elles n’étaient censées que durer entre 10 et 15 ans – il reste des centaines de baraques éparpillées du sud de la Bretagne aux Hauts de France… certaines étant étonnamment bien conservées et arrangées aux goûts de leurs propriétaires.

A travers des rencontres et des portraits de personnes qui ont vécu ou vivent encore dans des baraques d’après-guerre, je propose de raconter non seulement l’histoire de ces petites maisons temporaires, de rappeler le contexte de la reconstruction mais aussi d’évoquer la vie sociale, l’esprit de communauté et tout ce qui a pu contribuer au succès des cités provisoires. Je propose également d’interroger des experts tels qu’un historien social de cette période d’après-guerre et Mickaël Sendra, président de l’association Mémoire de Soye qui a reconstruit trois baraques en micro-musées – un musée unique en France – à Lorient, pour étoffer l’analyse

Enfin, j’envisage une ouverture sur le présent et l’avenir. Les préfabriqués ne pourraient-ils pas de nouveau aider à lutter contre la crise du logement ? »

Élisabeth Blanchet, photographe et journaliste

Kevin l’handicap

 

Le handicap n’est pas qu’en fauteuil roulant, c’est beaucoup plus large ! Par exemple, je prends les malvoyants, la personne qui peut pas rester longtemps debout, etc… sans oublier les non visibles qui représentent 80 % des handicaps !

Un exemple de difficulté au quotidien, les voitures garées sur les trottoirs pour une personne en fauteuil. elle fait demi tour pour allez sur la route avec le risque de se faire renverser ! Petit rappel, une voiture sur un trottoir c’est 135 euro d’amende. Personnellement, je mets des autocollant sur les voitures qui me gênent…Même si vous en avez pour 5 min, je vous rappelle qu’il faut moins de 5 minutes pour se faire renverser sur la route !

Je cherche une société ou une entreprise pour faire une grand sensibilisation sur le handicap en ville…

Ma page facebook, ma chaîne Youtube où je poste une ou deux vidéos par semaine : Kevin l’handicap

 

Artistes de la vie – Mettre son potentiel au service du monde

Programmation  en avant-première mercredi 18 septembre à 20h au Cinéville du documentaire Artistes de la vie – Mettre son potentiel au service du monde , en présence de personnalités apparaissant dans le film (Brigitte et Patrick Baronnet de La maison autonome Ecohameau du Ruisseau) qui échangeront avec le public à la suite de la projection.

La soirée est co-organisée par 3 associations : Nature & Culture, Aloen et Les Colibris.

Un monde s’effondre. Un monde se créé. L’équipe d’On Passe à l’Acte nous restitue dans un film d’actualité 12 années de rencontres avec les « Artistes de la Vie », ces pionniers du vivant qui inventent une nouvelle histoire, en questionnant le sens du travail et la mission que nous nous donnons pour le monde.

Le film sera également projeté dans le cadre de la programmation « Art et essai » du 19 au 24 septembre à 18h. Réservation possible ici