Maraudeurs et Compagnie sont de retour !

« Départ sous la pluie (Lorient) -> Arrivée sous la pluie (Lyon) ! On ne change pas une météo qui gagne! »

La Compagnie lorientaise de Théâtre de rue, Maraudeurs et Compagnie, vient de terminer un périple en vélo de plusieurs milliers de kilomètres ! Chloé, Thomas et Elouan voyagaient à bicyclette sur les routes d’Europe en suivant la piste cyclable Eurovélo 6.

Partis de Nantes le 2 mars 2019, la compagnie a fait plusieurs escales pour jouer leur spectacle et a rejoint, début juin 2019, 12 autres compagnies de théâtre itinérant en Bulgarie à Plovdiv. Ce projet d’essaimage artistique, à l’initiative du CITI (Centre International pour les Théâtre Itinérants) s’appelle « Odyssée Karavana ».
Si proche de l’Asie, leurs mollets n’ont pas résisté à l’envie d’aller un peu plus loin ! Ils ont donc pédalé jusqu’à Istanbul, puis ils ont plus ou moins longé la mer noire en direction de l’est jusqu’en Georgie! A Tbilissi, ils ont changé de cap: à Kars ils ont pris un train pour rallier Izmir et rejoindre la Grèce. Leur voyage s’est poursuivi en Italie et en Corse, avant de rejoindre Marseille et Lyon où ils ont joué leur spectacle Kolelo une dernière fois…Espérons qu’ils le joueront un jour à Lorient !
Revivez leur voyage en images sur leur site web ou sur leur page facebook

« Des nouvelles fraîches plus très fraîches mais des nouvelles qui sentent toujours la sueur et la pêche! » Les Maraudeurs

La Radio Télévision Suisse leur a consacré un reportage en écoute ICI

La fabrication de la carriole est à 100% lorientaise. Bravo à Serge Philippe et Charlotte

Rencontre photographique avec Jean Libert

Rencontre avec Jean Libert venu nous présenter ses photos.Cet autodidacte avoue volontiers qu’il utilise le mode rafale et les réglages automatiques. Tout est question de culture dans ses photos. Certains voient une sirène dans ses vagues lui y voit la danseuse Loïe Fuller…La peinture l’inspire pour créer ses images, Fernand Léger par exemple…Une photo prise sur le port de commerce peut aussi avoir une connotation politique…Les adhérents de l’espace multimédia ont apprécié comment l’artiste transmet sa passion :

« Jean Libert parle avec authenticité, transparence, fluidité émotionnelle…Il stimule la créativité. Il nous donne sa sensibilité par l’image et par les mots…Artiste au sens noble du terme avec une profondeur humaniste ! » Jean-Yves

« En jouant sur les mots, Jean Libert est vaguement profond, il prolonge l’instant T de la photo. Il nous pousse à avancer vers de nouvelles images… » Erik

« Jean Libert est la photo. Il s’est imprégné de son art. » Geneviève

« Photographe passionné qui sait mettre en valeur pour la postérité les instants T de la vie à travers des photos qui sont invisibles pour la plupart des gens » Isabelle

« J’ai adoré échanger avec Jean autour de ses très belles photos et en apprendre plus sur l’histoire de Lorient et sa région. Grâce à lui j’en sais un peu plus sur le territoire où j’habite. Il m’a donné envie de continuer à prendre des photos.» Saïko

Exposition « Vagues à l’âme » jusqu’au 15 novembre au centre social Polygone.

Exposition virtuelle «Orange river, instantanés de la vie des marins et des dockers» en cliquant ICI

Retrouvez Jean Libert sur sa page facebook :  Sur les pas de Mister M

 

Ferme solaire sur le toit du K2 à Keroman

Installée sur le toit du K2, l’un des bunkers de Lorient La Base, la ferme solaire produit l’équivalent de la consommation annuelle de 1 000 foyers.

Composée de 10 000 panneaux photovoltaïques, elle occupe une surface de 18 000 m2 (soit 2 terrains de football). Un projet unique en France en milieu urbain. Le Bloc K2 héberge aussi Plastimo, Hydrophone, le Port à sec, Le Musée du sous-marin Flore, etc.

Cette ferme solaire s’inscrit pleinement dans le Plan Climat Air Energie Territorial de Lorient Agglomération destiné à promouvoir les économies d’énergies et la production d’énergies renouvelables (photovoltaïque, hydroélectricité, éolien, énergie thermique).

Un site magnifique sur le plancton

Ce site extraordinaire nous ouvre les portes vers un monde qui n’est pas forcément connu de beaucoup mais dont nous dépendons tous :

planktonchronicles.org/fr

Le plancton est l’ensemble des multiples êtres vivants de petites dimensions vivant dans l’environnement aquatique. Un magnifique site existe sur ce thème, à l’initiative de différents organismes dont le CNRS, de l’Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-mer et d’un membre de l’expédition Tara Océan (2009).

La présentation du site comporte différents cadres illustrées par des photos remarquables. Ils sont classés en différents thèmes :
_ Les épisodes récents, où sont exposées des séries de photos. Chacune d’elles qu’il s’agisse des végimaux par exemple ou des appendiculaires
_ Les expositions récentes qui par des renvois en deux clics vous envoie a chaque fois sur des pages spécifiques,
_ Des passages sur de la documentation livres ou des commentaires sur l’origine du projet.

Qu’est-ce que le plancton ?

Comme nous l’avons vu grâce au site, le plancton comprend les nombreuses créatures de taille microscopique ou moyenne. Ils comportent de nombreuses variétés. Ils ont la caractéristique de dériver selon les courants aquatiques et d’être au début de la chaîne alimentaire. Mais c’est aussi un système naturel pour transformer le CO2 que rejettent les êtres vivants car le plancton fait partie des ressources des océans qui en font des puits de carbone, aussi important que les arbres de nos forêts. Ce CO2 transformé en oxygène donne aux hommes la possibilité de respirer.Pour survivre, ces « planktos», captent la lumière et par le biais de la photosynthèse créent de l’énergie et de la matière organique. A cela s’ajoute le fait que les planctons quand ils meurent s’agglutinent et forment une couche de sédiment, qui nous donne notre pétrole.

Pour exemple, on peut citer différents planctons. Certains derniers sont multiples : certains sont : des unicellulaires comme les protistes, dont certains ont des coques et ou des squelettes. Parmi eux, les végimaux sont en même temps animaux et végétaux. . Parmi les plus anciens planctons qui existent au monde, il est possible de citer les diatomées qui donnent à la terre un quart de son oxygène a notre terre. Mais il existe un nombre considérable, de planctons sur notre planète. Les explorations scientifiques en découvrent d’ailleurs de nouvelles régulièrement.

Il est bon de savoir que ces organismes rencontrent des problèmes de survie en raison du réchauffement climatique qui en augmentant la température des océans le rendent en certains endroits plus acides.

Nouvel enregistrement pour Sankôfa et les Sandrofia

Sankôfa et les Sandrofia puisent leur inspiration en Afrique, principalement en Côte d’Ivoire à travers chants, percussions et danses africaines. Leur répertoire est composé de sons éclectiques : latino, jazz, afro-celtique, afro-beat, reggae et leurs chansons sont de leur propre composition.

Ce groupe musical est né de l’initiative de Gérard Wognin en 2011 à Lorient. Son nom a toute une histoire que nous explique Gérard : « Utilisé en tant que symbole de l’Utilisation pédagogique de l’Histoire générale de l’Afrique, le concept du Sankôfa vient du peuple Akan de l’Afrique de l’Ouest.Le mot SANKÔFA dérive des mots « san » (revient), « ko » (va), « fa » (regarde, cherche, et prends).
Le Sankôfa nous enseigne que nous devons puiser dans nos racines pour mieux aller de l’avant. Cela signifie que nous devons retourner à nos sources pour prendre le meilleur de ce que le passé nous a enseigné, ce qui nous permettra d’exploiter tout notre potentiel pour avancer.
Visuellement et symboliquement, le mouvement Sankôfa représente un oiseau mythique le Sandrofia qui vole vers l’avant, la tête tournée vers l’arrière avec un œuf ou un brin d’herbe (symbolisant le futur) dans son bec. Il prend sa pitance dans sa queue. »

Concert au café associatif Comment Ksé en avril 2019

Le groupe vient d’enregistrer sa démo, Nadette Lenoir, nous raconte leur belle aventure : « Après 3 jours de studio dans cette structure magnifique qu’est l’Hydrophone et un accompagnement au top, notre maquette verra le jour et nous permettra de postuler auprès des festivals en musique du monde ! 6 titres pour notre bonheur et celui des gens qui nous soutiennent…Un clip vidéo de notre morceau phare « Libérez mon pays » été tourné par Emilien, notre vidéaste en live en studio ! Un album photos sortira grâce au talent photographique de Jean-Michel Baudry…A suivre !! Pause vacances en Côte d’Ivoire en vue de préparer une tournée africaine et nos prochains concerts auront lieu le 23 décembre avec Idées Détournées pour les Fêtes de Noël, en mars 2020 à la Balise dans le cadre d’une thématique sur les migrants avec la MPT de Kervénanec

Quelques exemplaires de leur maquette de démonstration seront bientôt disponibles à l’Espace Multimédia !

Suivez les sur Facebook et Soundcloud

Contact : 06 80 46 54 35 / sankofa.et.les.sandrofia@gmail.com

Sankôfa et les Sandrofia a participé cet été au festival Les Galettes du Monde

Le voyage de Magellan

Idées reçues et révélations sur le premier voyage autour du monde.
À l’occasion du 500e anniversaire du départ de Magellan.
Conférence enregistrée le 15 octobre par le Musée de la Compagnie des Indes

Exposition photo Jean Libert

Jean Libert viendra nous présenter ses photographies et sa démarche artistique de 15h à 17h à l’espace multimédia.

« La digue de Lomener est devenue au fil du temps un lieu mythique de Bretagne par l’émerveillement que provoque les vagues qui s’y fracassent. C’est un spot pour les photographes de tous horizons. » Jean Libert

Dîner conté au centre social PLL

Le dîner conté affichait complet samedi 12 octobre au centre social du Polygone.

Contes, poésies, chansons et cuisine d’Amérique latine ont enthousiasmé les habitants !

Fatiha était accompagnée sur  scène de Paméla, Maria, Sébastien, Oscar et Alberto

Lorient vu par Praa

L’artiste Praa est bien connue à Lorient sous le nom de Marion Meyer, depuis ses premières scènes au Moulin vert, au Manège et au Galion…Elle nous guide à travers Lorient dans ce premier épisode de la série City Sessions.

Le message de l’artiste sur facebook pour présenter la vidéo :

« Je suis super émue de partager avec vous ce mini doc qu’a réalisé Sourdoreille avec Culturebox et France Télévisions.
Je vous emmène tout droit dans mon intimité, à Lorient où j’ai grandi, je vous montre tout, je vous raconte tout.
Merci et bravo à l’incroyable team de Sourdoreille, c’est magnifique.
Merci Jean Baptiste Pin Le Galion, Le Moulin Vert, Mathias et Marion de Hydrophone.
Une énorme dédicace à toutes et tous mes ami-es du Collège, Lycée, vous vous reconnaitrez peut-être dans mon récit, au Club de Surf de Guidel Wsa Westsurfassociation qui ne se souvient très certainement pas de moi vu comme j’étais nulle, à Didier du Collège Brizeux, aux Strollers mon premier groupe de Rock (oui Strollers, aucun document trouvable sur internet n’essayez pas) et merci à mon Papa d’avoir bien voulu participer . A tous les Lorientais-es, Ploeumeurois-es, Larmoriens-iennes, qu’on ne nous dise plus que Lorient c’est moche!
Love, praa 💛 »

Suivez Praa sur sa page Facebook ou sur sa chaîne Youtube

Emilie et Faeza, une rencontre inattendue, un duo de battantes !

Vous avez sûrement déjà repéré la crêperie d’Emilie, MILIE CREPES, ouverte l’an dernier, dans notre quartier, entre la boulangerie et la pharmacie, avenue du Général de Gaulle. Humm… cette bonne odeur de crêpes qui se dégage le matin, dès le lever du jour ! Poussez la porte pour rencontrer Emilie, la jeune patronne et sa nouvelle employée, Faeza ! L’une est bretonne, l’autre irakienne. Comment se sont-elles rencontrées ? Les hasards et les aléas de la vie bien sûr, mais pas seulement !

Toutes les deux ont une même énergie, une même envie de s’en sortir et de gagner leur autonomie. Emilie a un an d’expérience à la rozell dans sa crêperie : levée avant l’aube et couchée tard dans la soirée pour assurer les commandes, elle avait besoin d’être secondée. Faeza, de son côté, rêvait de trouver un travail qui lui permette de subvenir aux besoins de sa famille. Professeur de comptabilité en Irak et excellente cuisinière, elle s’est lancé le défi d’apprendre à tourner les crêpes et les galettes. Avec l’aide de l’association lorientaise Nazaréens au Cœur, elle a entrepris de se former. Une ancienne crêpière, tout juste à la retraite, l’a initié à l’art de tourner crêpes et galettes sur la bilig ! Pari réussi puisqu’aujourd’hui Faeza officie derrière les galettières d’Emilie. La patronne et son employée s’entendent à merveille. L’équipe fonctionne bien, preuve que les différences culturelles sont aussi un enrichissement mutuel, et pas seulement un frein ou une barrière…Qu’on se le dise !

D’où vient Faeza ? De Bartella, un village situé près de Mossoul, au nord de l’Irak où l’on parle l’araméen (langue plus ancienne encore que l’arabe). Veuve avec deux enfants, elle est arrivée à Lorient en 2015, fuyant l’invasion de Daesh. Elle a vécu à Bagdad, puis fuyant les combats, à Bartella, son village natal qu’elle a dû quitter en catastrophe quelques jours avant un massacre…Depuis Erbil, où les réfugiés étaient nombreux, elle a pu obtenir un visa pour la France car une famille lorientaise (par le biais de l’association Nazaréens au Cœur) s’était engagée à l’accueillir chez elle. C’est ainsi que Faeza et ses enfants ont été hébergés…pendant 2 ans et demi chez M. et Mme Morin !

Autant dire qu’elle a trouvé là une seconde famille avec laquelle les liens tissés restent forts. Faeza tient à les remercier du fond du cœur et remercie également la France, terre d’accueil de son exil. Aujourd’hui veuve et émigrée, elle ne veut pas s’emmurer dans le poids du passé et garde son énergie pour assurer un bel avenir à ses enfants et témoigner de sa foi en un monde meilleur, à bâtir tous ensemble !

Aujourd’hui, avec Emilie, elle est heureuse de s’investir dans la vie du quartier ! Pour passer un bon moment, pour rencontrer ce duo de battantes, n’hésitez pas à pousser le porte de la boutique, histoire de faire connaissance et de goûter leurs délicieuses crêpes !