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La Corse, une île magique !

L’île de beauté est chargée d’histoire, de paysages époustouflants, de gens accueillants, de produits régionaux délicieux…Bref, la Corse a tout pour elle !

Les citadelles y sont nombreuses et offrent des panoramas sur une nature sauvage et inviolée. On peut y admirer les tours génoises parsemant le littoral (tours de surveillances datant de l’époque où la corse était rattachée à l’Italie et à la ville de Gênes en particulier).

En quelques mots : c’est l’île idéale pour revenir à la vie sauvage ou pour les amoureux de la nature.

Olivier Graveleau au Comment Ksé

Olivier Graveleau expose au café associatif le Comment Ksé

Vernissage le  jeudi 3 octobre, 19h30 au 19 rue Talvas à Keroman

 

 

 

 

23ème Rencontres Photographiques

Les Rencontres photographiques se déploient sur Hennebont, Lanester et sur quatre lieux à Lorient, sur le thème de l’engagement.

INAUGURATION : Vendredi 11 octobre 2019 à 18h30 à la Galerie Le Lieu – Hôtel Gabriel – Enclos du port – 56100
Journée Rencontre en présence des artistes  le samedi 12 octobre 2019 de 10h30 à 19h30

Réserver vos places avant le 8 octobre / contact@galerielelieu.com – Objet : réservation Rencontres

Les expositions à Lorient :

Le combat et l’ordinaire, une exposition collective avec 25 artistes sélectionnés dans les collections du Cnap (Centre national des arts plastiques) : Jane Evelyn Atwood, Samuel Bollendorff, Alexandra Boulat, Pierre Boulat, Oliver Coret, Gilles Coulon, Raymond Depardon, Claudine Doury, Gilles Favier, Rip Hopkins, Tim Hetherington, Henri Huet, Pieter Hugo, Yong Quan Jin, Mimmo Jodice, Daido Moriyama, William Klein, Didier Lefèvre, Helen Levitt, Martin Parr, Marc Riboud, Xavier Ribas, Johann Rousselot, Sebastião Salgado.

-Le dernier Tsaatan, de Rémi Chapeaublanc, portraits réalisés en Mongolie auprès d’un peuple nomade d’éleveurs de Rennes.

Galerie Le Lieu – Hôtel Gabriel. Du mardi au dimanche de 14 h à 18 h. Ouverture à 15 h le week-end  – 02 97 21 18 02

– Le naufrage, de Lola Hakimian La photographie comme fiction.

Médiathèque François Mitterrand (Jusqu’au 14/12). 02 97 84 33 60

Stéphane Lavoué et Nicolas Hergoualc’h. Stéphane Lavoué photographie l’univers de la pêche sans partir en mer (conserveries, chantiers navals, forges, etc. ). Nicolas Hergoualc’h présente des photos issues de sa résidence à Kervénanec.

EESAB, 1 av. de Kergroise (Jusqu’au 13/12). 9 h à 12 h et 14 h à 19 h. 02 97 35 31 70.

Guillaume Herbaut et Ambroise Tézénas. Guillaume Herbaut présente Ukraine, de Maïdan au Donbas. Ambroise Tézénas expose I was here, anthologie d’images prises sur des lieux de mémoire.

Galerie du Faouëdic / Hors les murs à la Maison de l’agglomération. Mercredi au dimanche de 14 h à 19 h.

Tout le programme en cliquant ICI

« Les photographies sont à l’épreuve du temps et l’engagement est long.  Les deux sont volontaires et insoumis, le photographe est obstiné, l’engagement est entier.  Ils se rejoignent dans l’absolu… Photographie et engagement : un pari nécessaire et utile pour parler du monde et l’aimer. »

Raymond Depardon

VISITES COMMENTÉES

Durée environ 1 heure accompagnées par un médiateur

Mardi      29  Octobre      13h30      Médiathèque, Lorient

Mardi       5  Novembre   12h30      Galerie du Faouëdic hors les murs, Lorient

Vendredi   8 Novembre  17h00      Médiathèque, Lorient

Samedi     9 Novembre    15h30      Galerie Le Lieu, Lorient

Samedi     9 Novembre    17h00      Galerie Tal-Coat, Hennebont

Samedi    16 Novembre   15h00       Galerie du Faouëdic hors les murs, Lorient

Jeudi        21 Novembre   18h30       EESAB, Lorient

Samedi    23 Novembre   10h00       Galerie la Rotonde, Lanester

Vendredi 29 Novembre   12h30       Galerie Tal-Coat, Hennebont

renc’art autour d’œuvres de la collection de l’artothèque en lien avec l’exposition

Vendredi  6 Décembre     13h30      Galerie la Rotonde, Lanester

Dimanche 15 Décembre    15h30     Galerie du Faouëdic hors les murs, Lorient

Dimanche 15 Décembre   17h00      Galerie Le Lieu, Lorient

Le Graffiti, de l’art dans la rue !

J’apprends que les collectifs se concertent avant de graffer des merveilles en écho avec le terroir. Celui-ci tels des racines vivifiera ce spontanéisme artistique qu’est le graff. Quand j’observe ces lancés de jet de bombes qui selon la couleur approfondissent et mettent en valeur certaines attitudes ou expressions, je jubile. Cela me rappelle un art universel qui palpite au cœur d’un quartier, tel que Frébault. J’ai assisté à la décoration d’un blockhaus avec l’artiste Oscar Yana et je n’en reviens pas de la résonance émotionnelle que cela produit. C’est un art qui agit au cœur de soi, donc c’est un art vivant. La spontanéité règne dans toute cette expression.

Des photos de graffitis sur lekiosque.bzh :

L’art graffiti avec Diaspora Crew

L’art dans la ville, Lorient sud

Un livre est sorti en juin 2019 :

Street art au pays de Lorient

 

La fête au jardin partagé « Les Coccinelles »

Retour en images sur le 10ème anniversaire du jardin partagé « Les coccinelles » célébré le 21 septembre…avec Vert le Jardin 56, Happy Syklett, Belles de bitume, Les Petits Débrouillards Lorient, La Confédération Syndicale des Familles, Asso Leil, Incroyables Comestibles Lorient, Cap’arbres, L’orgu’amis, les poneys, le Conseil citoyens, la ville de Lorient, le collectif habitants et les jardiniers !

 

 

 

“My beautiful baraque”

 

La photographe et journaliste Élisabeth Blanchet expose ses photographies des préfabriqués d’après-guerre et leurs habitants jusqu’au 22 septembre, à deux pas de la cité provisoire reconstituée depuis 2007, par l’association Mémoire de Soye. Exposition de diptyques imprimées sur des bâches grand format associant des intérieurs et extérieurs de baraques. Pendant les journées du Patrimoine, visites de la cité de l’habitat provisoire de 14h à 18h, toutes les 20 minutes.

Voir l’exposition virtuelle sur le site de Élisabeth Blanchet

Christophe Wuillemin devant sa baraque française de Lanester

« Les préfabriqués d’après-guerre en France constituent un “trésor national” très peu documenté et en voie de disparition. Les “baraques” étaient censées durer une dizaine d’années mais 70 ans plus tard, il en reste quelques centaines, toujours habitées. Le succès de ces “baraques” est étonnant d’autant plus qu’elles étaient censées être temporaires… L’attachement des habitants des préfabriqués pour leur maison est fascinant au point que de générations en générations, des familles y vivent toujours !Après la deuxième guerre mondiale, le MRU décide d’utiliser des préfabriqués pour reloger les sinistrés. Plus de 150 000 baraques sont érigées dans les villes qui ont le plus souffert de bombardements, créant des quartiers entiers appelés “cités provisoires”. Les sinistrés sont logés dans différents types de préfabriqués : les baraques françaises, les canadiennes, les suédoises, les finlandaises, les suisses… Et les américaines. Ces dernières sont celles qui ont le plus de succès car elles ont un design hyper moderne pour l’époque et elles sont toutes équipées (eau courante, eau chaude permanente, cuisine toute équipée, toilettes à l’intérieur, une grande clarté, des placards intégrés…).

Soixante-dix années plus tard – alors qu’elles n’étaient censées que durer entre 10 et 15 ans – il reste des centaines de baraques éparpillées du sud de la Bretagne aux Hauts de France… certaines étant étonnamment bien conservées et arrangées aux goûts de leurs propriétaires.

A travers des rencontres et des portraits de personnes qui ont vécu ou vivent encore dans des baraques d’après-guerre, je propose de raconter non seulement l’histoire de ces petites maisons temporaires, de rappeler le contexte de la reconstruction mais aussi d’évoquer la vie sociale, l’esprit de communauté et tout ce qui a pu contribuer au succès des cités provisoires. Je propose également d’interroger des experts tels qu’un historien social de cette période d’après-guerre et Mickaël Sendra, président de l’association Mémoire de Soye qui a reconstruit trois baraques en micro-musées – un musée unique en France – à Lorient, pour étoffer l’analyse

Enfin, j’envisage une ouverture sur le présent et l’avenir. Les préfabriqués ne pourraient-ils pas de nouveau aider à lutter contre la crise du logement ? »

Élisabeth Blanchet, photographe et journaliste

Nouvelles de l’équipe d’Elemen’Terre

La newsletter N°1 des Açores
Lorient, jeudi 22 Août 19h….Voilà, ça y est, la délivrance ! Enfin nous partons vivre ce que nous avons mis en place pendant de longs mois. Après des semaines à passer plus de temps à Paris qu’en Bretagne, l’horizon, tout autour de nous.
Nous reprenons nos marques et nos habitudes : c’est toujours un moment un peu spécial les premiers jours. C’est un peu comme revivre en colocation avec Pen-Duick VI et l’équipage. On alterne gîté, pas gîté, très gîté, on réaprend à  vivre au rythme du bateau.
À bord, notre premier spationaute, Jean-Jacques Favier alias PS1 STS 78 (Paylod specialist n°1, STS du nom de la navette spatiale et 78 pour le n° de vol), retrouve de nombreuses similitudes  entre le quotidien dans une navette et la vie à bord de Pen-Duick VI. Durant les trois heures de nos quarts de nuit, nous écoutons Jean-Jacques plaider pour défendre la recherche spatiale, si utile pour mieux comprendre la Terre et, surtout, la Mer.

 

La fête de quartier se prépare…

Au Polygone, on prépare la fête de quartier avec humour. Nos amis les nains de jardins seront au rendez-vous samedi 21 septembre à partir de 14h au jardin partagé, après une petite visite de Lorient…

 

 

 

A bicyclette sur les routes d’Europe

Les Maraudeurs et Compagnie étaient venu.e.s au jardin partagé en 2018 jouer leur spectacle de théâtre de rue et assemblage d’Objets dans leur vieille caravane…Cette année, Chloé, Thomas et Elouan voyagent à bicyclette sur les routes d’Europe en suivant la piste cyclable Eurovélo 6.

Kolelo, le spectacle spécialement créé pour l’occasion, fait des escales dans les villes, les villages, les ateliers de réparation de vélo…Début juin 2019, ils vont rejoindre 12 autres compagnies de théâtre itinérant en Bulgarie à Plovdiv, capitale Européenne de la culture 2019. Ce projet d’essaimage artistique, à l’initiative du  Centre International pour les Théâtre Itinérants (CITI) s’appelle Odyssée Karavana.

Affiche réalisée par Brice Postma, artiste du quartier 😉

Plus d’informations sur le spectacle : http://maraudeursetcompagnie.weebly.com/kolelo.html

En février, la compagnie de théâtre de rue était en résidence au Scénith à Lorient pour la création du spectacle. Le samedi 2 mars, les Maraudeurs étaient à l’atelier Pignon à Nantes, atelier participatif et solidaire d’auto-réparation de vélo, la veille de leur départ :

Photos : Marion, Yann, Nicolas

Nous leur souhaitons bonne route !

Des nouvelles fraîches, au fil de leur voyage le long de la piste cyclable EuroVélo :

02 avril 2019: Tchao la France, Hallo Deutschland!

19 avril 2019: Sweiss und Deuschtland.

30 avril: Wien, Bratislava, Budapest…

14 mai: Belgrade

​17 juin 2019: Kiten, Bulgarie, Mer Noire

4 juillet 2019: Istanbul

21 juillet 2019: Zonguldak 

20 août 2019 : Tbilissi, Georgie

10 septembre 2019: Izmir, Turquie

Le temps d’un click

Première exposition virtuelle de la saison par Mathieu, habitant-photographe du Polygone.Vous pouvez découvrir l’artiste en ce moment avec l’association GPL au château de Kerdurand à Riantec et le 14 et 15 septembre pendant les Ateliers Ouverts, 10 rue Jean Stéphan à Lorient, le samedi de 14 à 19h et le dimanche, de 10h à 18h. Le 28 et 29 septembre, il exposera avec Dominique Haab-Camon à la Galerie du coin, 1 rue de la Marine, Port-Louis, pendant le festival Rad’Art. Retenez la date, Mathieu exposera ses photos de New-York au Château de Kerdurand en juin 2020 !

Le site de l’artiste : www.dmatphotos.com

Bonne visite virtuelle de 4 musées New-Yorkais : Le Guggenheim Museum, One World Observatory, Le Metropolitan Museum, Museum of Natural History

« Preuves Cyber-Tangibles.

Loin, bien loin, le 24e ou 36e déclenchement qui marquait la fin du voyage.
Aujourd’hui, il est impératif de se montrer ou de montrer ce qu’on a vu, ici et là. Il faut avoir un bon alibi.

Le Kodak est remplacé par la Pomme. Les œuvres d’art, les paysages, les concerts, l’architecture et les jours de fête sont déjà partagés et re-partagés avant même d’avoir été estimés à l’œil nu. 2 secondes d’(in)attention avant le « click, clack » offre toute une vie de preuves cyber-tangible.

Après tout, pourquoi vouloir apprécier l’instant T ? Si la réalité peut être embellie et disponible à tout moment sur l’écran bleuté du téléphone. »