Le PLL Volley a parfaitement lancé sa saison en Nationale 3.

Fraîchement promus, les Lorientais ont remporté leurs premiers matchs avec autorité. Face à Vannes, Saint-Renan ou Héol Santec, ils ont confirmé leur solidité collective. Leur sixième victoire consécutive a marqué les esprits. Invaincus, ils dominent leur poule et s’imposent comme leaders incontestés. Le collectif, soudé et ambitieux, affiche une régularité impressionnante. Les supporters, fidèles, vibrent à chaque rencontre au Moustoir. Jamais depuis plus de trente ans le club n’avait connu un tel départ. Cette dynamique ouvre la voie vers une possible accession en Nationale 2. Le PLL Volley incarne désormais la fierté sportive de Lorient et vise plus haut.

Quelques images de leur match contre Vannes dimanche 30 novembre

Restitution des Assises de la Culture dans le Pays de Lorient

Un nouveau cap franchi avec l’adoption d’un Pacte Culturel Breton

Le mardi 25 novembre 2025, les acteurs de la culture bretonne, les élus locaux ainsi que le Conseil de Développement du Pays de Lorient et de Quimperlé se sont réunis dans les locaux de l’établissement municipal La Balise à Kervénénac pour présenter la restitution des Assises de la Culture, organisées en mars 2025 à Quimperlé.

Lors de cette rencontre, les différents acteurs locaux de la culture – parmi lesquels JVD, STER et d’autres intervenants de la conférence-débat – ont rappelé la nécessité d’une véritable synergie entre les structures culturelles et les élus locaux.

Le Conseil de Développement, à l’origine de cette initiative, est une autorité locale consultative qui participe aux grandes thématiques de la vie publique dans le cadre de l’auto-saisine ou à la demande expresse d’une entité administrative locale. Ses champs d’action sont variés : enjeux liés à l’eau, problématiques du logement, défis de la maritimité ou encore stratégies géopolitiques locales. Sa mission consiste à créer des passerelles entre les pouvoirs publics et la population, en formulant avis et recommandations utiles à la prise de décision. Parmi ses travaux emblématiques : le SCOT et la ZAN (Zone d’Artificialisations Nettes).

Document disponible sur cdpl.bzh

L’organisation de cette conférence-débat par le Conseil de Développement du Pays de Lorient témoigne de l’engouement suscité par une question centrale : dans quelle perspective la culture bretonne s’inscrit-elle dans l’histoire des modes de vie, traditions, mœurs et coutumes des Bretons, tout en restant ouverte au monde ?

Les acteurs culturels conviés ont chacun pu témoigner des enjeux et défis auxquels sont confrontés les professionnels de la culture contemporaine.

Exemple emblématique : l’Association JVD

L’association J’ai Vu un Documentaire (JVD), reconnue d’utilité publique et labellisée JEP (Jeunesse Éducation Populaire), œuvre principalement pour l’éducation par la culture documentaire, et plus largement pour le décryptage de l’image et du son. Après treize années d’itinérance éducative et culturelle, JVD s’installe désormais à Lorient avec l’ouverture d’un établissement communal géré par une association. Cette implantation illustre le dynamisme de la culture éducative bretonne.

L’Association STER

De son côté, l’association STER, récemment créée, vient en soutien à un établissement désormais communal. Sa démarche incite les acteurs culturels à renforcer leur coordination afin de préserver l’âme d’une large part de la culture bretonne contemporaine.

Nous sommes ainsi à l’aube d’une nouvelle ère avec l’adoption du Pacte Culturel Breton. La vice-présidente à la Culture bretonne, Gaëlle Le Stradic, a éclairé les participants sur les enjeux majeurs liés à ce pacte et sur les perspectives qu’il ouvre.

 

Rendez-vous dans nos prochaines publications pour poursuivre cette réflexion commune.

 

L’Embarcadère en décembre

L’Embarcadère n’est pas un café comme les autres. Ce lieu chaleureux, géré par l’association  Optim’ism, mêle restauration responsable, insertion professionnelle et vie de quartier. On y vient pour déguster une cuisine locale, bio et inventive, mais aussi pour rencontrer, échanger, et parfois… se reconstruire.

Mais L’Embarcadère, c’est aussi un lieu ressource de plus de 100 m², dédié aux droits culturels et à l’inclusion par le travail. On y organise des ateliers, des rencontres, des événements culturels et citoyens, dans une ambiance conviviale et inclusive.

Et ce n’est pas tout : le marché de légumes locaux, bio et solidaires vous attend aux mêmes horaires que le bar. Issus des fermes d’insertion du réseau Optim’ism, ces produits de saison sont cultivés avec soin et vendus à prix juste, favorisant une alimentation saine et accessible à tous.

En semaine, on y croise des habitués, des étudiants, des familles, des travailleurs en pause déjeuner, tous attirés par l’ambiance bienveillante et les valeurs du lieu. En somme, L’Embarcadère est bien plus qu’un café : c’est un point d’ancrage pour celles et ceux qui veulent consommer autrement, s’impliquer localement, ou simplement savourer un bon plat dans un cadre humain et inspirant.

Epi56, Arti-Zanat, Défis, la Mission locale, l’Afpa, Ti Mouv et C2Sol comptent parmi les partenaires de cette démarche.

Tout le programme du mois de novembre en cliquant ici

Plus d’infos sur leur site web ou leur page facebook

Le bar est ouvert du lundi au samedi 10:15 à 24:00 (1:00 le WE)

Le restaurant est ouvert les midis du lundi au samedi et restauration froide le soir (tartinade, planche de fromages…)

Les droits culturels, c’est quoi ?

Qu’est-ce que sont les droits culturels ?

Selon la définition issue de la Déclaration de Fribourg de 2007  : « ce sont les droits, les libertés et les responsabilités pour une personne, seule ou en commun, de choisir et d’exprimer son identité tout en accédant aux références culturelles perçues comme des ressources nécessaires à son processus d’identification, de communication et de création ».

 

Petit historique : 

Les origines des droits culturels remontent à la période de l’après-guerre, dans une volonté de défendre les droits fondamentaux des hommes afin de lutter contre les idéologies destructrices et totalitaires.

 

Il existe plusieurs textes importants dans le monde (1948 – 2015) :

1948 : La Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 stipule que « tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». (Article 1)

1966 : Le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels de 1966 garantit « le droit de chacun de participer à la vie culturelle ». (Article 15)

2001 : la Déclaration Universelle sur la Diversité Culturelle réaffirme que la diversité culturelle est un patrimoine commun de l’humanité qui « s’incarne dans l’originalité et la pluralité des identités qui caractérisent les groupes et les sociétés composant l’humanité ». (Article 1)

2005 : deux textes fondamentaux :

  • la convention UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles ;
  • la Convention-cadre du Conseil de l’Europe dite Convention de Faro sur la valeur du patrimoine culturel pour la société.

2007 : la Déclaration de Fribourg sur les droits culturels de 2007,

2015 : la Déclaration de Namur qui réaffirme la place du patrimoine culturel dans la construction de la société européenne.

 

En France, la prise en compte des droits culturels s’est faite à partir de la loi Notre de 2015 et de la loi CAP de 2016.

2015 : La loi NOTRe définit que : « La responsabilité en matière culturelle est exercée conjointement par les collectivités territoriales et l’État dans le respect des droits culturels énoncés par la convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles du 20 octobre 2005 » (Article 103).

2016 :  La loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine dite LCAP déclare que : « L’État, à travers ses services centraux et déconcentrés, les collectivités territoriales et leurs groupements ainsi que leurs établissements publics définissent et mettent en œuvre […] une politique de service public construite en concertation avec les acteurs de la création artistique ». (Article 3)

Illuminations de Noël à Rochefort-en-Terre

Jusqu’au 4 janvier 2026, Rochefort-en-Terre, élu village préféré des Français en 2016, s’illumine tous les jours à la tombée de la nuit. La magie de Noël s’invite dans les rues et boutiques d’artisans de la Petite Cité de Caractère.

Pour en savoir plus : https://www.rochefortenterre-tourisme.bzh/explorer/la-magie-de-noel/illuminations-noel-rochefort-en-terre/

Le Manège rouvre ses portes à Lorient

Le 6 décembre 2025 marquera une date importante pour la vie culturelle lorientaise.

Après plusieurs années de silence, le Manège rouvre enfin ses portes au public. Cette salle emblématique, nichée au cœur de la ville, retrouve une nouvelle vocation. L’association J’ai vu un documentaire est à l’origine de cette renaissance.

Son ambition est claire : faire du Manège une véritable maison de l’image. La programmation mettra en avant le cinéma d’art et d’essai, ainsi que le documentaire. Une centaine de spectateurs pourront profiter de fauteuils neufs et d’un cadre rénové.

Mais cette réouverture n’est pas seulement une inauguration, c’est aussi une mémoire retrouvée. Autrefois, le lieu abritait le cinéma éducateur du Patronage Laïque de Lorient. Ce cinéma avait pour mission de former l’esprit critique des jeunes face aux images. Il proposait des projections accompagnées de débats et d’activités pédagogiques.

Le Manège reprend aujourd’hui ce flambeau, en prolongeant l’esprit éducatif du PLL. Des ateliers, des rencontres et des débats viendront enrichir la programmation. Ainsi, le cinéma ne sera pas seulement un divertissement, mais un outil de réflexion.

Les habitants attendent avec impatience de retrouver ce lieu de partage. Il incarne la continuité d’une tradition lorientaise d’éducation populaire. Le 6 décembre, les projecteurs s’allumeront à nouveau, avec émotion et fierté.

Le premier programme du Manège est disponible sur https://jaivuundocumentaire.fr/

F1 : Quand le sport devient une série télévisée !

La Formule 1, communément abrégée en ‘’F1’’ est un sport assez particulier. Glamour, luxe, voitures, la F1 sait comment tenir ses fans en haleine sur et en dehors de la piste ! Mais avant tout, décortiquons tout ça pour les non connaisseurs de ce sport.

• Une explication de la F1

« Déjà, qu’est-ce que la Formule 1 » ? Eh bien, la F1 est tout simplement l’un des sports du domaine de la course automobile où on retrouve également le karting, le rallye, les courses sur circuits (le sous-groupe dont fait partie la F1) : les 24h du Mans, l’une des plus connus également. En résumé, la F1 est donc une course que se disputent 20 pilotes pour tenter de finir champion du monde à la fin de la saison.

Mais ça ne s’arrête pas à une simple course ! Ce sont des voitures qui vont à plus de 350 km/h, des écuries qui investissent des centaines de millions, des circuits prestigieux. Vous l’aurez compris, la F1 est le sport le plus prestigieux au monde. Et quand on parle ‘’d’écuries’’, on ne parle pas de marques méconnues. Non, on parle de marques de légendes comme Ferrari, Mercedes, McLaren, Aston Martin ou encore Alpine et chacune de ces écuries ont chacune leur histoire et aura.

Par exemple, Ferrari représente la classe à l’italienne, le rouge mythique, la passion. RedBull, c’est l’agressivité et l’innovation. Mercedes, c’est la domination. Parlons également des courses se déroulant aux quatre coins du globe, sur des circuits tout aussi prestigieux : Spa-Francorchamps au cœur des forêts belges, Suzuka au Japon, Monza et Imola en Italie, Interlagos au Brésil ou encore Losail au Qatar. Tous ayant son lot de victoires et drames.

Et parmi tout ça : vingt des meilleurs pilotes au monde, tous prometteurs. Certains jeunes appelés ‘’les rookies’’. D’autres qui sont déjà des légendes affirmées comme Lewis Hamilton, l’un des plus connus, sextuple champion du monde au style affirmé et à la voix engagée. Max Verstappen, le conducteur aux nerfs d’acier. Charles Leclerc, le prince monégasque. Fernando Alonso, le vétéran qui n’abandonne rien. Lando Norris, le sourire d’une nouvelle génération. Esteban Ocon, Isack Hadjar, Pierre Gasly, les icônes françaises.

Et vous devez vous en doutez, la F1 n’est pas un sport calme avec tout ce beau monde.

• Entre stratégies, rivalités et…rupture d’amitiés.

Chaque saison a ses intrigues, chaque Grand Prix est un nouvel épisode, chaque pilote a ses fans et ses ennemis. Ce qui rend la F1 palpitante n’est pas seulement les moteurs et les dérapages, c’est aussi la perpétuelle tension qui règne : les radios qui explosent à chaque course, les stratégies ratées, les amitiés qui se brisent, les trahisons. La F1 n’a décidément rien à envier à Netflix !

Parlons de l’un des moments les plus cinématographiques : la pluie. Le ciel s’assombrit, l’eau inonde la piste, les voitures glissent, la nervosité s’installe et les pilotes les plus malins en profitent pour gagner. C’est le chaos organisé. La pluie est parfois la star imprévisible, certains l’aiment car elle rajoute du bazar tandis d’autres la détestent parce que la FIA est contrainte de reporter la course ou les qualifications.

Parmi ceux qui brillent ? Lewis Hamilton, encore lui. Brésil 2021 restera l’une de ses plus grandes merveilles ! Résumons tout ça : c’est la fin de saison, il est en pleine ‘’guerre’’ avec Max Verstappen et là, Mercedes se prend plusieurs pénalités. Tout le monde disait « C’est terminé, Lewis ne pourra jamais remonter… ». Le vendredi, il prend la première place pour le départ des qualifs de la course sprint du samedi mais est pénalisé en raison d’une défaillance sur sa voiture. Conséquence ? Il part DERNIER de la course sprint. Le samedi, il est 20e et…remonte jusqu’à la 5e place en 24 tours. Mais…nouveau problème, il se prend encore une autre pénalité en raison d’un changement d’une pièce de moteur non conforme. Résultat ? Il est pénalisé de cinq places et part 10e le dimanche. Et jour de la course, il fait une remontée mythique. Il dépasse tout le monde, défend comme un acharné, attaque et finit par remporter la course ! De P20 le vendredi à la victoire le dimanche.

2021, l’une des années les plus folles dans le monde du sport. Cette année est marquée par une rivalité gigantesque entre Lewis Hamilton et Max Verstappen, deux monstres de la F1. Cette année suffit à elle seule à convaincre une personne à se mettre à ce sport. Deux pilotes différents, deux styles différents, deux générations. Chaque course était une bataille. Silverstone ? Ils se crashent tous les deux ? Monza ? La RedBull de Verstappen monte littéralement sur la Mercedes de Lewis, le pneu arrière finit au niveau du crâne de Lewis et sans le HALO, cette protection en titane ? C’était la catastrophe assurée !

Cette rivalité se termine à Abu Dhabi, la dernière course très controversée. Ils sont à égalité parfaite, du jamais vu. Lewis mène toute la course, Max est en galère derrière. À cinq tours de la fin : un crash sans gravité. La course est ralentie, le peloton est resserré. Une décision encore inexplicable aujourd’hui est prise et Max qui avait chaussé de nouveaux pneus dépasse Lewis et gagne la course. Tous les fans de Lewis Hamilton crient au vol, au complot, RedBull célèbre. Une course que les fans n’oublieront jamais.

Et terminons cet article par une rupture d’amitié : Nico Rosberg et Lewis Hamilton. Deux amis élevés ensemble, des meilleurs amies devenus pires ennemis, coéquipier chez Mercedes et rivaux dans l’âme. Leur saison 2016 est l’une des plus légendaires, c’était une série Netflix. Des accrochages volontaires, des regards noirs en conférence de presse, une hostilité trop présente pour qu’on l’ignore. Le résultat de cette rivalité ? Nico gagne le championnat de justesse puis…annonce sa retraite cinq jours plus tard, une fin digne des meilleures séries. « J’ai pris ma revanche et je m’en vais comme un roi »

Et si vous souhaitez regarder le sport, il y a la dernière course de la saison à Abu Dhabi le 7 décembre diffusé sur Canal+ Sport.

Docu – débat sur l’alimentation

Vendredi 28/11/2025, de 20h à 22h, au Centre Social de Keryado, est présenté le documentaire « Manger pour vivre » suivi d’un débat sur l’alimentation.

Le documentaire, d’une durée de 52 mn, parle de la création d’une caisse alimentaire commune créé en 2025 à Montpellier par un collectif d’associations composés de 400 adhérents qui cotisent selon leurs moyens et reçoivent la même somme pour se nourrir : c’est l’expérimentation d’une sécurité sociale de l’alimentation concernant le droit à une alimentation digne pour tous.

Le débat, qui suivra, traitera de l’alimentation et du documentaire présenté d’autant que l’entrée est libre et gratuite.

Yannaël et la mer

Yannaël est heureux, car il aime la mer et la fréquente très souvent. Malgré son handicap, cela reste possible grâce à la bonne volonté de ceux qui l’entourent. Ainsi, la mer n’est plus un rêve pieux, mais une réalité vécue. En effet, tout devient possible !

Voir le film « Le monde de Yannaël » de Vanessa Le Reste :
https://france3-regions.franceinfo.fr/bretagne/programmes/7687128-le-monde-de-yannael.html

Découvrir l’association Le monde de Yannaël :
https://le-monde-de-yannael.com
https://www.instagram.com/le_monde_de_yannael/
https://www.facebook.com/p/Le-Monde-de-Yannael-100069550331749/?locale=fr_FR

Icônes et combattantes : l’ascension des femmes dans la musique

Elles sont partout ! Que ce soit dans nos écouteurs, à la radio, sur les réseaux sociaux ou encore à la télévision, les artistes féminines assoient de plus en plus leur domination sur les statistiques et battent tous les records possibles. Mais le plus beau dans l’histoire ? C’est qu’elles ne sont pas uniquement des chanteuses, elles représentent des modèles pour des adolescentes et même des adultes !

Avant d’être une superstar, Beyoncé est une femme qui s’est imposée dans un monde qui ne voulait pas d’elle en se battant durement et sans reculer devant rien. Nicki Minaj est également un exemple de détermination car elle est arrivée dans un milieu masculin (le rap) et très vite a conquis un large public, sans reculer devant le sexisme qu’elle a subi. À seulement 17 ans, Rihanna a fait danser le monde avec le fameux Pon de Replay et est ainsi devenue l’une des chanteuses les plus populaires, bien qu’elle n’ait pas sorti d’album depuis neuf ans.

Contrairement à certaines stars, on peut facilement s’identifier à elles. Beyoncé est une femme noire qui a commencé sa carrière à une période où les artistes afro-américaines étaient peu représentées ou sexualisées par l’industrie mais elle a démontré par son talent qu’on peut être ambitieuse et talentueuse sans baisser les bras malgré les insultes racistes qu’elle subit quotidiennement. Elle est aussi un modèle pour certaines femmes car elle a subi plusieurs fausses couches dont elle a parlé publiquement, elle a subi les nombreuses infidélités de son mari et l’a aussi évoqué publiquement, permettant ainsi de montrer qu’on peut s’appeler ‘’Beyoncé’’ et être aussi confrontée à des difficultés.

Rihanna, originaire de la Barbade, a immigré aux États-Unis pour lancer sa carrière. Rihanna n’est pas une simple chanteuse, c’est aussi une survivante. Ayant grandi dans un environnement marqué par l’addiction à l’alcool, elle a trouvé refuge dans la musique mais son histoire ne s’arrête pas là ! Elle a été victime de violences conjugales par son ex, Chris Brown dont les photos ont été relayées publiquement mais comme une battante, elle s’est relevée, a sorti son album Rated R qui a marqué sa renaissance. Aujourd’hui milliardaire avec sa marque Fenty Beauty, ‘’RiRi’’ a su transformer sa douleur en art et représente un modèle pour toutes les femmes victimes de violences conjugales.

Nicki, beaucoup plus bruyante, a totalement retourné l’industrie du rap sans renier son identité. Rabaissée, classée comme vulgaire, trop colorée, elle est restée debout et a continué d’assumer sa rage et insolence. Et ça a payé car elle est considérée comme la femme qui a ouvert le rap à toutes les rappeuses d’aujourd’hui. Elle est la représentation des femmes qui ont été marginalisées, voire moquées.

 

Beyoncé : https://www.beyonce.com

Rihanna : https://www.rihannanow.com

Nicki Minaj : https://www.nickiminajofficial.com