“My beautiful baraque”

 

La photographe et journaliste Élisabeth Blanchet expose ses photographies des préfabriqués d’après-guerre et leurs habitants jusqu’au 22 septembre, à deux pas de la cité provisoire reconstituée depuis 2007, par l’association Mémoire de Soye. Exposition de diptyques imprimées sur des bâches grand format associant des intérieurs et extérieurs de baraques. Pendant les journées du Patrimoine, visites de la cité de l’habitat provisoire de 14h à 18h, toutes les 20 minutes.

Voir l’exposition virtuelle sur le site de Élisabeth Blanchet

Christophe Wuillemin devant sa baraque française de Lanester

« Les préfabriqués d’après-guerre en France constituent un “trésor national” très peu documenté et en voie de disparition. Les “baraques” étaient censées durer une dizaine d’années mais 70 ans plus tard, il en reste quelques centaines, toujours habitées. Le succès de ces “baraques” est étonnant d’autant plus qu’elles étaient censées être temporaires… L’attachement des habitants des préfabriqués pour leur maison est fascinant au point que de générations en générations, des familles y vivent toujours !Après la deuxième guerre mondiale, le MRU décide d’utiliser des préfabriqués pour reloger les sinistrés. Plus de 150 000 baraques sont érigées dans les villes qui ont le plus souffert de bombardements, créant des quartiers entiers appelés “cités provisoires”. Les sinistrés sont logés dans différents types de préfabriqués : les baraques françaises, les canadiennes, les suédoises, les finlandaises, les suisses… Et les américaines. Ces dernières sont celles qui ont le plus de succès car elles ont un design hyper moderne pour l’époque et elles sont toutes équipées (eau courante, eau chaude permanente, cuisine toute équipée, toilettes à l’intérieur, une grande clarté, des placards intégrés…).

Soixante-dix années plus tard – alors qu’elles n’étaient censées que durer entre 10 et 15 ans – il reste des centaines de baraques éparpillées du sud de la Bretagne aux Hauts de France… certaines étant étonnamment bien conservées et arrangées aux goûts de leurs propriétaires.

A travers des rencontres et des portraits de personnes qui ont vécu ou vivent encore dans des baraques d’après-guerre, je propose de raconter non seulement l’histoire de ces petites maisons temporaires, de rappeler le contexte de la reconstruction mais aussi d’évoquer la vie sociale, l’esprit de communauté et tout ce qui a pu contribuer au succès des cités provisoires. Je propose également d’interroger des experts tels qu’un historien social de cette période d’après-guerre et Mickaël Sendra, président de l’association Mémoire de Soye qui a reconstruit trois baraques en micro-musées – un musée unique en France – à Lorient, pour étoffer l’analyse

Enfin, j’envisage une ouverture sur le présent et l’avenir. Les préfabriqués ne pourraient-ils pas de nouveau aider à lutter contre la crise du logement ? »

Élisabeth Blanchet, photographe et journaliste

Le tour du monde avec le projet Elémen’Terre

Le projet Elémen’Terre réfléchit aux grands défis de l’humanité. Pour ce faire, son équipe parcoure le monde avec Pen-Duick VI et ses invités remarquables, afin d’aller à la rencontre d’autres Terriens. L’équipage associe la devise “Liberté Egalité Fraternité” aux trois piliers du développement durable : économique, écologique et social pour que tous aient droit à un futur vivable, équitable et pérenne . A bord, leurs échanges ont permis de formuler les quatre objectifs du projet :
  • Participer à l’élaboration d’un mieux-être commun
  •  Mettre en lumière les grands défis de l’Humanité
  • Se (re)connecter à nos natures
  • Créer un réseau de valeurs

 

Le site web de l’expédition

La chaîne Youtube du projet Elémen’Terre

 

Semaine de la mobilité 2019

Voyagez malin avec la plateforme de la Région : mobibreizh.bzh permet de programmer son trajet en transport collectif (train et bus) ou en covoiturage sur toute la Bretagne. Vous connaîtrez même votre bilan carbone comparé à un voyage seul en voiture.

Une autre plateforme, Ouestgo.fr, a été lancée il y a un peu plus d’un an par plusieurs collectivités ou intercommunalités de l’Ouest, considérant que le covoiturage de proximité était jusqu’à maintenant très fractionné. L’objectif est de développer cette forme de mobilité sur la Bretagne dans des perspectives d’aménagement du territoire, de développement durable et de cohésion sociale. Vous pouvez rechercher un trajet, en proposer un ou rejoindre une communauté d’intérêt, généralement basée sur le lieu de travail, l’employeur, une activité sportive ou un événement.

Tout le programme sur le site de Lorient agglomération

 

Formation aux premiers secours

Moins d’un Français sur deux (46%) déclare être formé aux gestes qui sauvent, pourtant en cas d’urgence, intervenir le plus rapidement possible est vital. Si vous souhaitez vous former aux premiers secours, prévention et secourisme, petite enfance, personnes âgées, dans le Morbihan : www.premiers-secours-bretagne.com

Une application pour recenser les « citoyens-sauveteurs » formés aux premiers secours . Le SAMU prévient les secouristes référencés en cas d’accidents cardiaques dans leur secteur : www.sauvlife.fr

Le temps d’un click

Première exposition virtuelle de la saison par Mathieu, habitant-photographe du Polygone.Vous pouvez découvrir l’artiste en ce moment avec l’association GPL au château de Kerdurand à Riantec et le 14 et 15 septembre pendant les Ateliers Ouverts, 10 rue Jean Stéphan à Lorient, le samedi de 14 à 19h et le dimanche, de 10h à 18h. Le 28 et 29 septembre, il exposera avec Dominique Haab-Camon à la Galerie du coin, 1 rue de la Marine, Port-Louis, pendant le festival Rad’Art. Retenez la date, Mathieu exposera ses photos de New-York au Château de Kerdurand en juin 2020 !

Le site de l’artiste : www.dmatphotos.com

Bonne visite virtuelle de 4 musées New-Yorkais : Le Guggenheim Museum, One World Observatory, Le Metropolitan Museum, Museum of Natural History

« Preuves Cyber-Tangibles.

Loin, bien loin, le 24e ou 36e déclenchement qui marquait la fin du voyage.
Aujourd’hui, il est impératif de se montrer ou de montrer ce qu’on a vu, ici et là. Il faut avoir un bon alibi.

Le Kodak est remplacé par la Pomme. Les œuvres d’art, les paysages, les concerts, l’architecture et les jours de fête sont déjà partagés et re-partagés avant même d’avoir été estimés à l’œil nu. 2 secondes d’(in)attention avant le « click, clack » offre toute une vie de preuves cyber-tangible.

Après tout, pourquoi vouloir apprécier l’instant T ? Si la réalité peut être embellie et disponible à tout moment sur l’écran bleuté du téléphone. »

 

 

concours radio Paroles Partagées

Le thème choisi par les fédérations d’éducation populaire* qui le portent est :
« Partager la parole pour agir ensemble et changer les choses »

Depuis 8 ans, ce concours met en lumière, à travers le média radio, des personnes ou des groupes de personnes qui œuvrent à la construction d’une parole collective dans l’espace public. L’espace médiatique étant trop souvent réservé à une élite, Paroles Partagées s’engage auprès des radios associatives dans la défense d’une parole libre et diversifiée. Partager la parole, c’est avant tout la donner à ceux que l’on n’entend généralement pas.
Les créations radiophoniques inscrites au concours et portées par des radios associatives, doivent illustrer la manière dont la parole peut être un vecteur d’émancipation et de dépassement des inégalités sociales et culturelles. Il s’agit, pour les participants, de proposer des créations documentaires originales montrant la construction d’une parole collective en actes et l’impact sur l’environnement.

Date limite de dépôt des dossiers : 31 DÉCEMBRE 2019.

Télécharger le règlement et le dossier d’inscription du concours.

*Fédération Française des MJC, Peuple et Culture, la Confédération Nationale des Foyers Ruraux, la Fédération des Centres Sociaux de France

Paroles de lorientais sur le podcast Mylk

De Merville, Appoline, nous parle de nourriture sur son podcast avec des invités lorientais…

MYLK est un podcast d’interviews bi-mensuelles qui part à la rencontre des acteurs de l’alimentation durable et responsable. Quelle que soit l’échelle de son engagement, chaque invité se livre quant à son rapport à la nourriture et participe à démystifier un peu plus le sujet de l’éco-responsabilité dans nos assiettes.

Archives en écoute sur https://www.deezer.com/fr/show/358842

Nouvelle saison en écoute dès septembre. Premier épisode sur l’agriculture urbaine :

https://mylkpodcast.com/mylk-podcast/

8 circuits pour découvrir Lorient !

Ambiance maritime, champêtre ou citadine…la ville dans toute sa diversité.

En version papier, sur www.lorient.fr ou sur l’appli (Android / Iphone)

 

Un Espace jeux vidéo à Lorient !

Mardi 23 juillet, première visite de l’Espace jeux vidéo. Nous en avons profité pour présenter la Médiathèque à Geneviève, nouvelle lorientaise, et parcourir l’exposition « 21 juillet 1969, l’épopée lunaire ».

Depuis fin janvier l’espace jeux vidéo met à disposition quatre consoles, à partir de 7 ans : La switch (la dernière née Nintendo) et des consoles PS4 et WiiU. L’espace a une centaine de jeux,  sans compter les jeux de réalité virtuelle, à partir de 12 ans. Consulter la liste des jeux disponibles

Josiane a expérimenté la réalité virtuelle avec le jeu Apollon 11. Elle a pu vivre l’expérience du voyage sur la Lune qui a eu lieu en 1969. De la base de lancement jusqu’au sol lunaire ! Geneviève s’est initiée à la manette PS4 avec un magnifique jeu contemplatif indépendant. Olivier, notre chroniqueur Jeux vidéo a pu tester des jeux sportifs sur la Switch et la WiiU. Petite partie de Wii-bowling pour se rappeler aux bons souvenirs de la compétition amicale de juin…Corinne nous a défié à un jeu de karting pour terminer la matinée ! Merci à Michelle pour l’accueil, rendez-vous le 31 juillet pour de nouveaux tests !

L’espace jeux vidéo est ouvert le mardi, mercredi, vendredi de 14h à 18h et le samedi de 14h à 17h.

Pensez à réserver, sur place, par téléphone au 02 97 84 33 50 (demander le secteur Jeunesse) ou par mail : ml_jeunesse@mairie-lorient.fr

 

 

 

L’art dans la ville, Lorient sud

Où en est l’art dans l’espace public à Lorient ? Reportage photo dans le secteur de Lorient sud, un des rares endroits à voir fleurir des fresques…Fin du circuit par Frébault et ses blockhaus. La fresque réalisée en 2010 par le rendez-vous des ados avec Krysta commence à noircir, elle était magnifique, dommage…Celle réalisée en 2018 par les habitants avec Oscar Yana illumine le quartier !

Eric

Geneviève

Jean

Nicolas

Plus d’infos, lire l’article consacré au Diaspora Crew et leur fresque sur la pollution maritime

Vous en saurez plus sur l’art urbain au pays de Lorient avec l’indispensable livre, Le street art au pays de Lorient, à travers les 450 photographies de Gwenaël Dréan sur les traces des artistes qui embellissent nos paysages urbains et créent des musées à ciel ouvert ! Livre disponible dans toutes les bonnes librairies, au Café-galerie Dubail ou sur le site de Liv’Edition

L’auteur s’engage à reverser l’intégralité de ses droits d’auteur à plusieurs associations caritatives du pays de Lorient.

La page facebook pour suivre l’art urbain en Bretagne sud : https://www.facebook.com/StreetArtLorient56