Jeux Paralympiques d’hiver 2018

Les Jeux paralympiques réunissent des athlètes en situation de handicap de tous les pays pour des épreuves handisports. Y participent des athlètes handicapés physiques ou visuels (amputés, aveugles, infirmes moteurs, cérébraux ou en fauteuil roulant, ou tout autre handicap physique) ainsi que les athlètes handicapés mentaux. Ils sont organisés par le Comité international paralympique (et non pas par le Comité international olympique) et ont lieu tous les 4 ans à la suite des Jeux olympiques. Source

Les Jeux Paralympiques d’hiver se tiendront pendant 10 jours, du 9 au 18 mars 2018, à PyeongChang, situé dans la province de Gangwon, en République de Corée. C’est au bout de trois tentatives que PyeongChang a réussi à accueillir les Jeux Paralympiques d’hiver en remportant la majorité des voix lors de la 123e Session du CIO tenue le 7 juillet 2011. C’est donc la République de Corée qui accueillera ses premiers Jeux Paralympiques d’hiver, 30 ans après les Jeux Olympiques d’été de Séoul en 1988. Les cérémonies d’ouverture et de clôture, ainsi que la plupart des épreuves des sports de neige se dérouleront à PyeongChang, tandis que toutes les épreuves des sports de glace et celles de la descente du ski alpin se joueront respectivement à Gangneung et à Jeongseon. Source

Calendriers et résultats sur https://www.pyeongchang2018.com/fr/paralympics/index

France Télévisions, diffuseur exclusif des Jeux Paralympiques d’hiver de PyeongChang 2018, propose près de 100 heures de programmes sur quatre de ses chaînes nationales, France 2, France 3, France 4 et France Ô.Les 9 et 18 mars, respectivement sur France Ô et France 4, Cérémonies des d’Ouverture et de Clôture en direct du stade olympique de PyeongChang.Neuf nuits blanches attendront les téléspectateurs qui suivront l’intégralité des compétitions sur France 2 et France 3 dès 2h du matin.Le Journal des Paralympiques, diffusé tous les soirs à partir de 20h sur France 3, reviendra sur les temps forts de la journée avec des reportages et des portraits de ces athlètes incroyables.

Par Saiko

Batailles d’histoires

Un club d’écriture où fabriquer une histoire devient un jeu.

Une bataille d’histoire c’est quoi ?

Une nouvelle discipline ou chaque participant doit construire une histoire à partir de cartes: thèmes, lieux et temps, ingrédients mystères pour 64 jeux d’écriture sélectionnés selon quatre niveaux de difficultés.

Ce club d’écriture a fait la part belle à l’écrit, la plume qui sommeille en chacun de nous, et la tradition orale, le conteur amené à s’exprimer au cours de cet atelier.

Les règles du jeu

Construire une histoire devient un jeu d’enfant, appréhender sa conception et développer la créativité, attirer d’autres publics, et créer une nouvelle discipline, au carrefour des univers ludiques (jeux de société) de l’atelier d’écriture ou des guildes d’improvisation.

Pour construire une histoire, il faut tirer des cartes: 64 jeux d’écriture notées de une à quatre étoiles selon leur niveau de difficulté, le choix des étoiles est subjectif et complètement personnel. Puis, il faut tirer plusieurs cartes pour fabriquer une histoire: des cartes personnages (c’est nouveau), des cartes thématiques (en toile de fond de l’histoire), des cartes contextuelles (pour donner un cadre à votre histoire, nous avons défini des indications d’espace et de temps), et pour terminer, des cartes ingrédients mystères, pour donner un niveau de difficulté supplémentaire (et que ça devienne plus drôle).

Pour construire une histoire, il est aussi possible de tirer deux cartes de jeux d’écriture (une histoire doit posséder l’une et l’autre des contraintes indiquées).

Pour construire une histoire, c’est essentiel, il faut un début (une exposition), un milieu (une péripétie), et une fin. Il ne faut pas uniquement l’écrire, la raconter, la jouer, est tout aussi important. Ainsi, le joueur travaille l’expression écrite comme orale, c’est essentiel.

Le temps de préparation, puis celui de lecture, doit être à définir. Ce doit être synthétique pour permettre de le rendre intéressant dans le cadre d’une animation, d’une manifestation, d’une compétition. Les premiers tests effectués démontrent qu’il est relativement simple d’en faire le théâtre d’une compétition entre plusieurs auteurs, au niveau individuel, et les avis divergent pour la transformer en jeu par équipe. Il faut retravailler les règles, pour les améliorer, et voir si cette voie peut être intéressante. Il semble possible de composer plusieurs équipes si chacun de ses membres se voit attribué, successivement, l’un des jeux d’écriture, et devra affronter sous forme de duel(s) un adversaire de l’équipe concurrente.

Un arbitre, un jury ou un public doit valider, ou pas, la prestation d’une équipe sur un jeu d’écriture. Certaines contraintes d’écriture sur les 64 paraissent claires, mais pas toutes, c’est surtout la prise de risque, l’inventivité et l’originalité de l’histoire fabriquée qui doit être jugée. D’autres règles verront le jour, quand d’autres tests auront validé nos progrès (par exemple, une épreuve ou les participants ou équipes tirent les mêmes cartes).

L’idée, c’est d’en faire une prestation au sein de l’association des Yeux Fermés, un concept original et efficace, d’animer des soirée à la rentrée et mensuellement sur Port-Louis, à la Peau de l’ours, et pourquoi pas, d’en faire l’un des contenus pour une production audiovisuelle dans le cadre d’une programmation radiophonique (projet appelé A point fermé).

Prochain rendez-vous au Centre social Polygone PLL :

Batailles d’histoire Pour Licornes Lunaires

Mardi 27 février de 17h45 à 20h15

Batailles d’histoires Pour Les Lili (ou Lulu, ou Lolo )

Mardi 27 mars de 17h45 à 20h15

 

 

Venez fêter les 10 ans du festival !

Rencontre avec Alain Le Sann, habitant du quartier Merville, ancien professeur d’histoire-géographie, président du Festival de films « pêcheurs du monde » et  du Collectif Pêche & Développement.

Du 19 au 25 mars 2018, c’est le 10ème anniversaire du Festival International de Films Pêcheurs du Monde ! « En 2008, on voulait que les pêcheurs réagissent aux regards posés sur eux » raconte Alain Le Sann. Ce festival a pour ambition aussi de donner envie aux jeunes de découvrir le monde de la pêche qui représente de nombreux emplois, 3000 à Lorient. « C’est un festival sur les pêcheurs plus que sur la pêche, pour découvrir des histoires de vie…Il y a des films sur le travail, les pêcheurs face à la mort, l’alcoolisme, les migrants…Nous traitons des questions de société à travers le regard des pêcheurs dans le monde entier, et des relations de l’homme à la nature… »

Le festival reçoit une centaine de films par an et une trentaine, représentant 15 pays, sont sélectionnés par les membres de l’association. Une dizaine de réalisateurs seront présents et échangeront avec le public à l’issue des séances. Le festival se clôturera par la traditionnelle remise de prix du jury Professionnels et du jury Jeunes, sous la présidence de Lucien Gourong et sera croquée par le dessinateur Nono. Les jeunes de 15 à 25 ans sont invités à participer à cette aventure. Une nouveauté pour les 10 ans, le public pourra voter et décernera lui aussi un prix.

Demandez le programme : www.pecheursdumonde.org

Alain est fier d’avoir contribué à la création d’un film comme « Océans, la voix des invisibles », né d’une rencontre dans le jury entre Mathilde Jounot (réalisatrice) et Robert Bouguéon (pêcheur de Saint Guénolé). Au cœur du débat, il s’autorise droit de réponse comme avec le journaliste Fabrice Nicolino ou invitation à la réflexion. Alain Le Sann est aussi auteur, il a publié l’ouvrage « Pêcheurs bretons, en quête d’avenir ». A 70 ans, il travaille à plein temps pour l’association Pêche et Développement…Son but est de promouvoir un développement durable et solidaire du secteur de la pêche et de l’aquaculture. Plus d’informations sur http://peche-dev.org/. Après cette 10ème édition, le président souhaite passer la main, « Je continuerai à m’investir dans l’association mais j’aimerais ne plus avoir les mêmes responsabilités »…

 

Suivez sa veille documentaire et sa réflexion sur https://twitter.com/adlesann

 

Par Nicolas

Randonner le jeudi après midi pour s ‘aérer…

Vous désirez marcher, vous aérer le long des sentiers du bord de mer, sentiers des douaniers, ou dans les terres… Rando bleue est un club essentiellement de retraité(e)s, de 50 à 83 ans – et plus si affinités. Nous marchons de 9 à 11 km sur une demi journée. A la belle saison, départ à la journée, dès 8h du matin.

Le rendez-vous a lieu sur le parking des Halles de Merville. Nous procédons à un covoiturage, et partage des frais, à raison de 4 ou 5 personnes par véhicule.

Rando Bleue dépend de  Voyages Coopératifs, l’adhésion coûte 26€ pour une personne seule, 35€ pour un couple.

Parmi les accompagnateurs, bénévoles, certains sont photographes amateurs, d’autres férus d’histoire, de patrimoine local…

Pas d’équipement spécifique nécessaire, sinon la bonne volonté… Un peu d’endurance, et un sens réel de la convivialité.

Vous pouvez vous renseigner auprès de Lucien HELLEC
Par courriel : hellec.lucien275.56@gmail.com
Par téléphone : 0632135140

Chaque année, un voyage de 4 à 5 jours, cette année en Anjou, du 16 au 21 avril…
Séjour en Cap France, coût approximatif de 320 à 380 euros.

exposition « Des Gens Déjantés »

Toma et Aphöne présentent leurs créations et celles réalisées avec des résidents.

Ces deux artistes exposent leurs créations contemporaines, abstraites et street-art, du 19 février au 16 mars à l’Espace Les Grands Larges.

Plus d’infos sur les artistes :

www.facebook.com/DGDdesgensdejantes/

www.facebook.com/aphonedsp71/

www.facebook.com/tomadgd/

Contact : desgensdejantes@gmail.com

Les artistes et jeunes vous convient à découvrir leurs réalisations lors du vernissage qui se tiendra le Jeudi 22 février, à 19h30 Aux Grands Larges.

Journée mondiale de la Radio

 

L’Unesco invitait toutes les stations de radio du monde entier à prendre l’antenne et à célébrer, le 13 février, la puissance de la « Radio et du Sport » à l’occasion de la Journée mondiale de la radio. « Grâce à la couverture sportive, la radio peut reconnecter les communautés à leur patrimoine culturel, promouvoir la liberté d’expression et la diversité. La couverture sportive joue un rôle puissant dans le façonnement des normes et stéréotypes liés aux genres. En favorisant l’équilibre dans la couverture des sports masculins et féminins, ainsi qu’une représentation plus paritaire des sportifs, la radio a le pouvoir de bousculer les stéréotypes » explique l’Unesco.

 

 

La Journée mondiale de la radio 2018 se concentrait sur les sous-thèmes de l’UNESCO suivants :

  • La diversité dans la couverture sportive: Grâce à la couverture médiatique des sports traditionnels et populaires, la radio peut jouer un rôle dans la relation entre les populations et leur patrimoine culturel, notamment en promouvant la liberté d’expression et la diversité à travers l’expression culturelle;
  • L’égalité des genres dans la couverture sportive: La couverture médiatique sportive est puissante dans le façonnement des normes et des stéréotypes liés au genre. La radio a la capacité de défier ces normes, de promouvoir une couverture plus équilibrée des sports masculins et féminins, ainsi qu’une représentation plus équitable et objectifs des sportifs, sans distinction de genre;
  • La paix et le développement à travers la couverture sportive: Grâce à une plus grande couverture médiatique des initiatives sportives en faveur de la paix et du développement, les valeurs universelles de non-violence, de solidarité et de tolérance sont reconnus et célébrés.

Plus d’infos sur http://www.diamundialradio.org/fr/accueil

 

Profitez-en pour découvrir STADIUM, la nouvelle émission sportive de Antoine, habitant du quartier, et son chroniqueur Kévin. Ecoutez l’émission sportive tous les 4 ème mardis du mois à 19h sur le 99.8 FM ou en rediffusion sur le site de la nouvelle radio associative morbihannaise : http://radiobalises.com/artists/stadium/

Par Nicolas

 

Rencontres avec les frères Pablof

Jeudi 18 janvier 2018 : les comédiens Stéphane et Raoul Pablof ont présenté un extrait de leur création intitulée « Ma place à table », un spectacle interactif qui nous replonge dans nos souvenirs d’enfance…

« Ma place à table », actuellement en cours de production, est un projet autour de la relation à table et des histoires de famille et de fratrie des jeunes adolescents.

Les deux artistes ont passé un peu de temps avec les ados du quartier pendant l’atelier cuisine (RDV des ados – mercredi 31 janvier après-midi), une prise de contact en quelque sorte.

Prochainement durant la semaine du 5 mars, les frères Pablof seront en résidence au centre social du Polygone. Par le biais d’entretiens individuels filmés, ils vont récolter des paroles du quotidien. Les différents témoignages seront la matière brute utilisée pour l’écriture du spectacle.

Plus d’infos :

https://www.facebook.com/freres.pablof/

http://www.16ruedeplaisance.org/

Le plaisir de la musique buissonnière…

Rencontre avec Marie-Astrid Arnal, pianiste classique, professeure au conservatoire de Lorient et humaniste !

Le projet de rendre la musique accessible lui trottait dans la tête, « Le piano est un médiateur qui va à la rencontre de tous. Tout le monde peut être touché. Je veux apporter la musique classique partout, montrer que ce n’est pas élitiste, qu’il n’y a pas besoin de la connaître pour ressentir des émotions. J’essaye de donner le meilleur de moi, même si mes partitions doivent s’envoler au vent ! ». L’écoute d’une émission radio avec Marc Vella l’a renforcé dans cette idée. Elle contacte le pianiste nomade pour suivre la « Caravane amoureuse », un projet musical et humaniste soutenu par l’UNESCO. Marc Vella a parcouru avec son piano à queue environ 200 000 km sur les routes et chemins de plus de quarante pays pour célébrer l’humain…

En 2010, après avoir obtenu un congé sans solde, elle rejoint une cinquantaine d’autres musiciens pour partir sur les routes avec Marc Vella et traverser Bulgarie, Turquie, Syrie, jusqu’au Liban, avec un sac à dos rempli de partitions. « Pendant deux mois, nous sommes allés à la rencontre des gens, apporter la paix et la musique, avec des artistes de tous âges et tous milieux. C’est là que j’ai découvert comment jouer et faire jouer les gens ». Revivez cette caravane sur www.caravaneamoureuse2010.fr et sur le site Musique Buissonnière

Fort de cette expérience, Marie-Astrid rachète l’ancienne camionnette de Marc Vella, équipée d’un treuil, la boutique Clavissimo à Lanester lui prête un piano qui se pose sur un socle à roulettes. À l’improviste au cimetière de bateaux de Kerhervy, ou sur la place de l’Hôtel-de-ville à Lorient, pour le droit d’asile, au pied des tours de Bois-du-Château ou encore au centre mutualiste de Kerpape, elle fait essayer le piano à ceux qui le désirent…

Son projet est de continuer d’organiser des rencontres entre la musique et d’autres arts : Arts plastiques (peinture), poésie (lecture), théâtre (contes, marionnettes) et danse…N’hésitez pas à la contactez pour tous projets artistiques ou pour l’inviter à initier les gens à jouer, toucher, découvrir l’acoustique ! Peut être rencontrerez vous bientôt Marie-Astrid  dans le quartier…

En juin 2017, elle a enregistré un disque avec Thierry Besnard, des œuvres pour clarinettes et piano, en écoute ICI

Plus d’infos sur le site de l’artiste, contact : mayarnal@wanadoo.fr

Par Nicolas

Festival breton au coeur de l’hiver

Deizioù, est le festival breton, se déroulant de janvier à mars, au pays de Lorient, depuis 33 ans. Il est organisé par Emglev Bro An Oriant et ses 60 associations membres, ainsi que les communes du pays de Lorient. Plus de 100 événements sont proposés : concerts, fest-noz, ateliers de broderie, de cuisine, de danse, spectacles, expositions, conférences, concours, stages, théâtre… Toute structure, même non membre, peut proposer une animation ou un événement durant cette période, en lien avec la culture bretonne. Par exemple, certaines médiathèques et salles de spectacle du Pays de Lorient, se joignent à nous pour dynamiser ce festival en programmant des animations et des concerts.

Tout le programme en cliquant ICI