Visite virtuelle du British Museum

Merveilleuse invitation au voyage culturel à l’espace multimédia mercredi 3 janvier.

J’ai pu ainsi avoir l’occasion de visiter notamment le British Muséum et parcourir les différentes salles. C’est une expérience merveilleuse que de découvrir des œuvres multi-millénaires, témoins d’autres civilisations.

Le British Museum a été fondé en 1753 et ouvert au public en 1759compte six millions de visiteurs par an et s’affiche comme le site touristique le plus fréquenté de Grande-Bretagne. Comme dans la plupart des musées et galeries d’art du Royaume-Uni, l’entrée est gratuite, à l’exception de certaines expositions temporaires ; les dons sont encouragés. Plus d’infos

Je vous invite à visiter le site Google art et culture pour découvrir les œuvres d’arts de toutes les pays et de toutes les cultures : https://artsandculture.google.com/partner

Un documentaire sur le Sénégal

NDAR, les fils de l’eau est le premier long métrage documentaire de Marie-Cécile Crance, produit par Les Films du Carry et Avril Films.

Une cagnotte st organisée pour  pour financer les derniers travaux de post-production, terminer le film dans de bonnes conditions et préparer sa diffusion. Participer à cette belle aventure et contribuer à sa réussite pour que le film puisse très bientôt voir le jour et trouver le chemin des salles et des festivals :

https://www.leetchi.com/fr/c/ndar–un-film-documentaire-de-marie-cecile-crance-1193652

Résumé

NDAR, c’est Saint-Louis, cette ville née de la rencontre entre la terre, le fleuve et l’océan. Les enfants de la bande Soussane, Baba, Seydou, Momodou, Aliou, Samba, Oumar m’emmènent de friches en ruelles, de la proue d’une pirogue aux ruines de maisons détruites par les eaux, sous le pont Faidherbe, à proximité́ de la digue, au bord du fleuve Sénégal. Ils vivent là leur enfance de jeunes talibés. A leurs côtés nous découvrons la vitalité́ silencieuse de ce petit peuple soumis à la mendicité́ quotidienne et aux enseignements religieux.

 

 

Expo virtuelle du street-artiste artjean13

Rencontre avec artJean13, pseudo de Jean-Yves Gauthé, autour de ses créations street-art :

Exposition jusqu’au 6 janvier 2024, Chez Éric Berlinson, 7, rue Brémond-d’Ars à Quimperlé.

Entrée libre, du mercredi au samedi, de 9 h à 19 h, 21 h 30 le jeudi. Le dimanche, de 9 h à 12 h 30, une semaine sur deux. Téléphone : 02 98 09 21 33.

Suivez artjean13 sur Instagram : https://www.instagram.com/artjean13/?hl=fr

Pierre Mollo, le compagnon du plancton

Comment un jeune ouvrier ajusteur en région parisienne, petit-fils de pêcheur gavrais, est-il devenu l’un des premiers scientifiques lanceur d’alerte sur la dégradation du plancton ?
Un récit de son parcours, basé sur les témoignages de rencontres marquantes extrêmement diverses permet de répondre à la question.

Lire la suite de l’article écrit par Alain Le Sann sur le site du Collectif Pêche et Développement en cliquant ici

Le livre sur Pierre Mollo, le créateur de l’Observatoire des planctons  à Port-Louis est disponible sur le site de l’éditeur Les Impliqués

Pierre Mollo, lanceur d’alerte sur la dégradation du plancton, base de la vie sur mer et sur terre, lors de la Journée mondiale des pêcheurs à Lorient en novembre 2021 :

 

Programme de fin d’année à LJprod

Venez fêter Noël avec nous !

 

 

L’aventure d’une photographie

Suite au projet photo avec la Galerie Le Lieu et Chiara Indelicato au printemps dernier, les participants vous invitent à venir profiter de l’exposition de leur travail au centre social du Polygone.

Au début de cette histoire, il y eut une rencontre entre Chiara, artiste photographe italienne, Katell une professeure d’arts plastiques au lycée Dupuy-de-Lôme à Lorient, et des adhérent.es du PLL sur le thème de la photographie argentique en noir et blanc…

A présent, nous vous proposons le résultat de notre travail étalé sur plusieurs semaines au travers des pellicules, des tests photos concernant le temps d’exposition ainsi que des photos en noir et blanc.

Lire l’article sur les différentes étapes du projet en cliquant ici

Nous vous souhaitons une bonne visite de l’exposition qui restera en place jusque début janvier 2024.

Où organiser une petite soirée ?

Location d’espaces privatif !

 L’histoire de l’arbre de Noël

Comme nous approchons de Noël, il est temps de s’intéresser aux symboles de Noël. Nous pouvons commencer par l’arbre de Noël, c’est- à dire notre sapin.

Dans l’antiquité

Il y avait des croyances païennes, l’arbre de vie a toujours été un symbole de protection contre les mauvais esprits. Les Germains, les Scandinaves et tant d’autres ont donc choisi des branches ou des arbres verts en la période sombre de l’hiver pour décorer leurs habitats et ainsi amener des esprits bienveillants chez eux. Parmi les espèces d’arbres figuraient le houx, le genévrier, le lierre et bien sûr du sapin.

Au Moyen-Age

Les représentations théâtrales que sont les Mystères montrent des sujets religieux avec notamment un Arbre du Paradis, symbole chrétien, décoré d’hosties et de pommes rouges. Ce n’était pas un sapin mais un pommier. Il fallut alors chercher en hiver, un arbre persistant pendant l’hiver, par exemple, au lieu du pommier. On lui préféra des conifères persistants. Les décorations ont été peu à peu remplacées par des boules de verre et des biscuits figuratifs.

Le superbe sapin du centre social Polygone décoré par les habitants !

Entre le 15e et le 16e siècle

C’est en 1510, qu’on parle d’une tradition en Lettonie où l’association de marchands, La Maison des Têtes noires, traversait la ville avec un sapin, le décorait avant de le brûler. Vers la même période, en 1441, on dit que cette même association aurait organisé une fête similaire à Tallinn, capitale de la Lestonie. Mais des historiens mettent ces revendications du premier sapin de Noël, en doute comme le souligne Gustavs Strenga de la Bibliothèque nationale de Lettonie, à Riga, même si une plaque commémorative du premier sapin a été posée sur la place de la mairie de Riga.

En fait, si on en croit les archives historiques et Carol Cusack, c’est au 16e, en 1539, en Alsace (qui faisait partie à l’époque du territoire Allemand), qu’un sapin s’élevait devant la cathédrale de Strasbourg. Et la tradition s’est répandue au point que la ville de Freiburg a du interdire l’abattage de sapins pour Noël en 1554.

Selon Carole Cusack, ce serait Martin Luther King, qui pour la première fois aurait mis des lumières dans le sapin peut-être à cause d’une balade sous les cieux. Les émigrants allemands ont relayer cette coutume dans d’autres pays. Et toute l’Europe fut conquise par les sapins au XVIIIe.

Lors de la guerre d’indépendance, les soldats allemands amenèrent la tradition du sapin de Noël aux Etats-Unis.

Au XIXe siècle

En 1825, il y eut une nouvelle coutume de mettre des bougies à côté de pommes, d’aliments dans du papier doré. C’est ce qui annonçait dans le futur nos décorations actuelles de Noël. La mode du sapin est aussi venue de princes et de rois Albert de Saxe-Cobourg ou la Reine Victoria, en 1848, pour se répandre chez les bourgeois, qui mettra des cadeaux au pied de l’arbre. Puis lors de l’occupation allemande de 1870, des sapins furent placés dans des écoles et des hôpitaux, avant de se répondre au XXième siècle. Depuis cette époque,  la coutume du sapin s’est répandu au Royaume-Uni. Actuellement, un sapin de Noël est installé à Trafalgar Square.

Sources :

https://www.nationalgeographic.fr/histoire/culture-histoire-paienne-tradition-sapin-noel

Le grand Livre des Esprits de Noël, Richard Ely et Frédérique Devos, éditions Véga, 2023