Fête de la musique 2021

La Fête de la musique, c’est le samedi 19 juin à partir de 11h.

Fanfares, compagnies professionnelles et musiciens amateurs seront au rendez-vous

Jardins de l’Hôtel Gabriel // À partir de 11h :
(Accès par l’angle des rues Jules Legrand et de la Cale Ory)
Espace scénique mis à disposition des musiciens amateurs ayant répondu à l’appel à participation !

11h : Conservatoire de Lorient / Élèves violonistes, violoncellistes et les Archets Dansants

13h : Beurdazeu / Musiques traditionnelles bretonnes et irlandaises

14h : Céline C. / Chanson française

15h : Les musiciens des Gabiers d’Artimon / Chants marins

16h : Coconut Crash / Duo 100% féminin pop rock et folk

17h : Bang Up Blues / Trio musical dans la BLUES humeur !

18h : Working Class Trio / Swing, rythm’n blues & rockn‘roll des années 40/50

19h : Wapiti Show / Titres originaux de dance music, teintés de pop & hip hop

20h : Z’apéro / Chanson française

21h : Alice Reize / Live set technoEn présence des DJ’s lorientais Breizh Sound et Bearfa

Concert assis : à vos chaises ou vos coussins !

Centre-ville // À partir de 15h

  • Le Roller Brass Band, fanfare funk sur rollers
  • L’Ethno Machine, spectacle musical ambulant
  • La Guinguette de Peggy, spectacle musical ambulant

Kolelo, le voyage à vélo des Maraudeurs et Cie

La compagnie de théâtre de rue Maraudeurs et Compagnie fait le tour de Lorient…à vélo ! Nouvelle étape dans le quartier Frébault jeudi 17 juin au square de Siam à 17h30

Après un tour d’Europe avec l’Odyssée Karavana en 2019, une pause en 2020, la compagnie se remet en selle avec Kolelo, spectacle tout public avec du théâtre, de la danse, de la musique et de l’assemblage d’objet : « Ce spectacle qui nous a fait suer de Nantes à Tbilissi, ce spectacle qui passe partout, qui séduit les enfants et les vieux, les bobos et les sportifs, les fleurs bleues et les mains sales… »

Vlad et Mir voyagent à bicyclette avec leur carriole et leur boîte à musique… Quand l’une des roues de leur convoi crève ! Évidemment, ils ne trouvent pas de rustine…Évidemment, ils sont distraits…Évidemment c’est drôle et poétique…Et évidemment, c’est une déclaration d’amour à la petite reine ! Vlad est maniaque et aime organiser son petit univers, Mir est lunaire et se laisse emporter par ses jeux… jusqu’à ce qu’elle réussisse enfin à embarquer Vlad avec elle, loin des petits soucis du quotidiens !

Le Patronage Laïque de Lorient les invite avec le Service Action Culturelle de Proximité de la Ville de Lorient

Plus d’informations sur la compagnie  : http://maraudeursetcompagnie.weebly.com

Projet de fresque rue Pontois

Du 26 au 30 juillet 2021, Faustine et Jeannie vous proposent de participer à la valorisation du blockhaus rue Pontois (dans la suite de la fresque du jardin partagé des Coccinelles) en collaboration avec le centre social du Polygone PLL.

Il faut tout d’abord choisir le thème de cette nouvelle fresque.

3 thèmes vous sont proposés. Lequel vous plaît le plus ???????

1

2

3

 

 Date limite de dépôt de votre choix : 9 juillet 2021

 

Vous pouvez voter en déposant votre choix dans les boites aux lettres présentes aux jardins partagés de Frébault et des Coccinelles, au CMS (boulevard Herriot), au Saje et au centre social du Polygone PLL.

Les bulletins de vote sont disponibles au Centre social du Polygone PLL 

Vous pouvez aussi voter sur le Kiosque.bzh en indiquant par message Projet Fresque et le numéro de votre projet préféré.

Merci de votre participation

 

 

Pour la mémoire de l’esclavage à Lorient

Rencontre avec Valérie Valey, professeure d’histoire au Lycée Dupuy de Lôme, très impliquée dans un projet pour la mémoire de l’esclavage à Lorient.

Certaines villes ont accepté leur histoire, d’autres essaient de l’occulter. Peu de lorientais sont au courant du passé lié à la traite négrière. En effet, Lorient fut bien entre 1723 et 1725, le premier port négrier car la Compagnie des Indes avait le monopole de ce négoce.152 expéditions négrières sont partis de Lorient.

La conférence de Jean-Marc Eyrault qui a eu lieu dans le cadre du carrefour des humanités (Plus d’infos) a provoqué la mobilisation au lycée Dupuy de Lôme de Mme Valey et Mr Cado, professeur d’Arts plastiques. Avec trois classes de première et deux classes de seconde, ils ont écrit un projet concernant la mémoire de l’esclavage. Une classe a pu discuter avec l’ancien maire de Nantes, fondateur de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage

Tout va se dérouler sur trois ans :

La première année 2020-2021, a pour but de sensibiliser les élèves, 94 élèves de première ont fait une fresque, aidés par le graffeur EZRA

Ce fut pour 3/4 des élèves une découverte de ce pan de l’histoire de Lorient. J’ai eu la chance de parler à quelques élèves qui m’ont fait part de leurs expériences. Il s’en dégage des points importants :

Du point de vue de l’expression artistique, les adolescents décrivent l’activité de graff. Ils ont découvert que graffer est « un véritable métier ». Pour l’un des élèves, la pratique du graff est « géniale ». Un autre élève a été surpris de l’implication de Lorient dans la traite négrière. Cela dit, ce chapitre de l’histoire est enseignée en cours. Tous ont été très intéressés par la médiatrice culturelle des Archives départementales venu présenté des documents de la traite.

La deuxième année, 2021- 2022, a pour but d’élargir autour des lycées : Des interventions dans les collèges, une exposition itinérante sont à l’étude ainsi qu’un partenariat avec les Archives départementales de Vannes pour le prêt de documents.

La troisième année, 2022-2023, les élèves proposeront un projet mémoriel pour la Ville, une pièce de théâtre…

Plus d’informations sur le site du Patrimoine de la Ville de Lorient :

Lorient, les Compagnies des Indes et l’esclavage

Borne interactive concernant la traite et l’esclavage

Les photos des silhouettes abolitionnistes réalisées par les élèves de 2ndes en option Arts plastiques avec M. Cado exposées dans les couloirs du lycée.

Pour agrandir : Clic droit > Ouvrir dans un nouvel onglet

Fracture.s, création du Collectif l’EsKampette

Avec la réouverture des lieux culturels, Le Collectif l’EsKampette se réjouit de jouer son spectacle Fracture.s, ce samedi 19 juin à 16h au Comment Ksé.

Le Collectif l’EsKampette est une compagnie de théâtre créée en 2017, à Lanester. Plutôt orienté jeune public, le Collectif s’adresse cette fois-ci à un public adulte, en expérimentant le théâtre subversif : un théâtre choc qui bouleverse les idées reçues et l’ordre établi. « Nous avons choisi de provoquer, mettre au défi le spectateur afin d’entamer collectivement une réflexion sur la vie et la société. » explique Pauline Vermeulen, auteure et metteure en scène de spectacle.

Fracture.s n’en est pas à sa première représentation. Pendant le confinement, le Collectif a proposé de jouer ce spectacle chez l’habitant, respectant le protocole sanitaire en vigueur. « Nous avons passé quatre mois à monter le spectacle et puis, il y a eu le confinement. C’était frustrant de ne pas pouvoir partager notre création avec le public. Nous avons alors eu l’idée de proposer, dans un premier temps, des représentations chez moi afin de donner, par la suite, envie aux spectateurs, d’organiser le spectacle chez eux. C’était à la fois, une alternative artistique et un acte de résistance », raconte Jean-Philippe Brard, comédien associé du Collectif.

Le Comment Ksé, café associatif alternatif se prête tout à fait à l’esprit du spectacle. Les spectateurs, tels des scientifiques, sont invités à observer un être humain dans son habitat naturel. Ici, les fractures peuvent représenter les troubles psychiques du personnage unique de la pièce, qui interprète une série de personnages contemporains dans des situations ou des réflexions de notre quotidien. Les fractures sont aussi la métaphore d’une planète toujours plus fragmentée. Ce spectacle tente de raviver l’attention de chacun sur un quotidien que l’on ne remet plus en question car trop ancré dans nos comportements : le discours sacro-saint de la télé, la déstructuration du langage, la banalisation de la violence, le sexisme et le racisme ordinaire, la déshumanisation générale… Le texte se veut percutant, volontairement provoquant afin de vider le spectateur de tout préjugé (d’autres fractures) et laisser la pièce secouer sa sensibilité, briser ses conceptions et bousculer le réel. Vous l’aurez compris, vous n’en sortirez pas indemnes mais rassurez-vous bien vivants !

Pour plus de renseignements :

collectif.eskampette@gmail.com
Page Facebook : Collectif l’Eskampette

Comment Ksé : 3 Rue de l’Industrie, 56100 Lorient
http://commentkse.fr/

La radio, comment ça marche ?

A l’occasion des 100 ans de l’invention de la radio, quelques petites explications sur son fonctionnement s’imposent !

En espérant être le plus compréhensible possible…

Emetteur

Le micro qui reçoit en premier lieu la voix transforme celle-ci en signal électrique. Les éléments de l’émetteur traitent par étape ce signal qui ira ensuite à l’antenne-émetteur à travers un câble. Cette antenne le transforme à son tour pour en faire une onde électromagnétique. Ces ondes voyageront par la suite depuis l’antenne-émetteur vers l’antenne-récepteur sur la surface de la Terre en se reflétant sur des couches de l’atmosphère à une certaine vitesse.
Transmission

Une fois émises par l’émetteur à une fréquence précise, les ondes électromagnétiques seront propagées dans l’espace afin d’être reçues par le récepteur.Ces ondes voyageront à une certaine vitesse. Pendant leur voyage, elles se réfléchissent sur la surface de la Terre et sur la couche ionosphère de l’atmosphère. Les charges électriques qui évoluent dans l’ionosphère agissent comme des miroirs pour transporter les ondes vers le récepteur. Si le récepteur se situe trop loin et si les ondes doivent traverser des montagnes pour y arriver, des relais terrestres ou des satellites entrent en jeu pour relayer les ondes.

Récepteur

Du côté du récepteur, son antenne transforme l’onde électromagnétique qui lui est parvenue à nouveau en un signal électrique. Transmis par câble au récepteur, ce signal sera traité par les éléments du récepteur qui le transformeront en signal sonore, celui que l’on peut entendre sortant des haut-parleurs.

Source : http://tout-sur-tout.info

 

Les grandes découvertes de l’homme qui l’ont conduit à la radio :

En 1774, Lesage installe un télégraphe rudimentaire, à Genève, au moyen de vingt-quatre fils de métal plongeant dans autant de tubes de verre.
•  En 1796, Volta invente la première vraie pile.
•  En 1812, le premier télégraphe est actionné au moyen d’un courant électrique.
•  En 1832, Joseph Henry invente le premier télégraphe électromagnétique pratique.
•  En 1858, est posé le premier câble télégraphique entre Terre-Neuve et l’Irlande.
•  En 1887, Hertz détecte des ondes électromagnétiques qui circulent à la vitesse de la lumière. Elles seront appelées ondes radiophoniques.
•  En 1895, Marconi expérimente les premières liaisons hertziennes sur une distance de 2400 m. Popov fait fonctionner un télégraphe sans fil.

•  En 1900, Gustave Auguste Ferrié met au point le détecteur électrolytique. Plus sensible que le cohéreur de Branly (1890), il permet l’écoute au casque des messages télégraphiques. Ferrié, ingénieur et général, est président d’honneur du Réseau des Émetteurs Français, principale association française des radioamateurs.
•  En 1905, est inventée la télévision.
•  En 1912, le 15 avril, le premier SOS est lancé par l’opérateur radio du Titanic.
•  En 1957, le premier satellite « Spoutnik » est mis sur orbite. Il émet des signaux captés par le monde entier.

Source : https://promocom.r-e-f.org/

 

Plus d’infos sur http://100ansderadio.free.fr/

Dans le sillage de la goélette Tara

Nous suivons avec attention la Mission Microbiomes de la Fondation Tara Océan à l’espace multimédia. Mettons le cap sur l’Atlantique Sud, chaque nouvelle mission de la Fondation nous permet d’en apprendre plus sur l’océan, 70% de notre planète, le plus grand endroit inexploré sur Terre !

La goélette continue donc son étude des microbiomes (virus, bactéries, micro algues et planctons) et sa sensibilisation au réchauffement climatique.En parallèle à ces études, Tara continue sa lutte contre la pollution plastique. Bientôt, Tara va continuer d’étudier les upwellings (remontées d’eau des profondeurs de l’océan), au large des côtes chiliennes.

Avec l’opération Dans le sillage de TARA, nous avons l’opportunité d’échanger tout au long de l’année avec l’équipe de la fondation Tara Océan : avec les membres d’équipage de la goélette, mais aussi avec des scientifiques ou l’équipe à terre.Nous bénéficions de ressources pédagogiques que nous partagerons sur cette page.

N-B : Tara Junior sur Youtube est accessible à tous, cliquer ici

Pour le mois de l’Histoire des Femmes et la Journée Internationale des Droits des Femmes, la Fondation Tara a partagé, tout au long de la semaine, le portrait de Femmes qui font la Fondation Tara Océan. Du 8 au 12 mars sur Facebook

L’ONU a lancé sa décennie d’action pour protéger l’océan, Tara y sera partie prenante, plus d’infos

Un live très intéressant concernant la vie à bord a été diffusé sur Instagram, n’hésitez pas à vous abonner !

Visioconférence « Plastiques en mer »

Le plastique impacte directement les animaux marins dans leurs développement (reproduction, croissance, mortalité). Mais les plastiques ne sont pas une matière inerte, ils hébergent une vie microbienne très riche ! Une visioconférence de Lata Soccalingame, chercheuse à l’Université de Lorient (IRDL), pour découvrir les espèces présentes sur le plastique, connaître leur dangerosité ou leurs capacités à dégrader le plastique :

 

En direct avec l’équipage du Tara

Nous avons eu la chance de participer à une visioconférence en direct du Panama avec deux membres de l’équipage du Tara, cette magnifique goélette scientifique, dont le port d’attache est Lorient

Miléna CERDA (technicienne microplastiques) et David Monmarché (officier de pont) nous ont fait faire un tour d’horizon à bord, en direct du cockpit ! Des enfants de plusieurs pays comme la France, le Brésil, la Bolivie ont posées toutes sortes de questions aux deux membres d’équipage.

Quelle est la motivation des membres de l’équipe qui les pousse à s’embarquer ?

Pour Milena, c’est une participation à des programmes internationaux, l’étude en elle-même, la possibilité d’utiliser un laboratoire à bord par toutes conditions de temps. Pour le David, ce sont les plongées.

Quel animal marin le plus grand avez-vous rencontré ?

La Tara a croisé en Patagonie de gros mammifères comme des baleines, des rorquals, des lions de mer. Les membres de l’équipage ont même vu des scènes de chasses de globicéphales (des dauphins). Il faut aussi souligner la présence de très beaux micro-organismes.

Travaillez-vous le jour comme la nuit ?

Les journées commencent à 6h et se terminent vers 23h pour les techniciens. Elle est continue pour les marins.

Qu’est-ce que le microbiome ? Dans quel océan se trouve t-il ?

Du grec micro, « petit », et bios, « vie », le microbiome océanique est un monde microscopique marin, élément clé de la vie sur Terre. Il fournit d’énormes services à notre planète, mais aussi aux êtres humains. On le trouve partout, plus ou moins en bonne santé…

Découvrez le nouveau podcast de la Fondation Tara Océan !

Une expérience à vivre avec ses écouteurs pour une immersion inspirante à la surface et à 20 000 lieux sous les mers.

Ecoutez Un hublot sur l’Océan le podcast de Tara en cliquant ICI

 

Suivez l’expédition sur https://oceans.taraexpeditions.org

 

Par Isabelle et Nicolas

Les croquis lorientais de Daniel Faurie

Nouvelle exposition virtuelle d’art graphique avec les croquis de Daniel Faurie. Cet ancien dessinateur en bureau d’études est bien connu des abonnés du groupe facebook lOrient vu par ou des lecteurs du magazine des gens de la rade de Lorient : Le Radier.

La curiosité d’une ville réside dans découverte du détail, son agencement, sa vitalité portuaire pour notre cité…Ce regard pour peu que l’on aime dessiner invite le crayon à courir sur la feuille…c’est jouissif , oui de voir que l’on maîtrise parfois ces éléments…Tiens, une grue c’est un mécano ! La répétition des fenêtres d’un immeuble, la justesse des ombres…Cet infini succession de détails parfois que l’on termine chez soi.

C’est un fait que j’étais assez seul à cette époque à croquer notre ville. Ah si je croisais Jean-Paul JAPPÉ, le peintre, il en laisse lui aussi des œuvres de notre ville…Ah que oui j’en ai fait des dessins, ils sont chez « tout un chacun », un peu partout, parfois très loin… Je n’ai pas toujours photocopié l’œuvre, ceux que nous voyons ont eu cette chance…Puis la photo facile, me détourne de ces poses qui parfois sont pénibles (vieillissement). Je vénère mes amis les Urban Sketchers qui œuvrent sans relâche, et si bien ! Talentueux artistes de nos rues, Lorient est une pépinière…

Allez, que vive l’Art dans notre LORIENT et comme je me tue à le redire « un musée, s’il vous plaît » et là j’aurai une bien belle joie !

Bien à vous, dessiner c’est témoigner.

Daniel Faurie

L’art de faire un film avec Jean-Marc Vachey

Rencontre avec le lorientais Jean-Marc Vachey, directeur de production pour la télévision et le cinéma.

Après des études de comptabilité, il décide accompagné d’amis artistes de créer « Le studio des 3 arts », autour du cinéma, du théâtre et de la musique. Il reprendra les études pour obtenir un diplôme d’administrateur de production avant de se lancer dans le monde du cinéma, voir la filmographie.

Cet homme de l’ombre, spécialiste de l’intendance d’un tournage, connaît tous les rouages pour financer un film et solliciter des subventions. Que ce soit en France avec le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) ou en Bretagne, le Fonds d’aide à la création cinématographique et audiovisuelle (FACCA). Il vient de créer une association de productions audiovisuelles Les films de haute mer, à suivre sur Facebook

Son nouveau projet est une fiction qui explique ce qu’est le métier de directeur de production.“La trame de l’histoire montre le processus d’un film, du 1er appel du producteur jusqu’au tournage, en passant par le travail du scénario, la préparation, les repérages, le casting des comédiens. Une manière donc de répondre à ces questions maintes fois posées : C’est quoi votre métier, comment on fait un film ?” explique JeanMarc Vachey. Victime d’un AVC il y a quelques années, Jean-Marc souhaite aussi démontrer notre capacité de résilience.

Avec Yann Dubois, scénariste et réalisateur, ils préparent le tournage du court-métrage « Au 2, rue des tilleuls » qui devait avoir lieu du 6 au 20 juillet.

Un financement participatif vient d’être lancé : https://www.proarti.fr/collect/project/au-2-rue-des-tilleuls-1/0

Pour accompagner les professionnels, plusieurs bénévoles intéressé.e.s sont recherché.e.s pour intégrer l’équipe :

– la mise en scène (réalisateur et sa première assistante)
– la photo (chef opérateur et 2 assistants opérateurs)
– les costumes
– la production

Les bénévoles sont défrayés (déjeuner, dîner si tournage de nuit) et les frais d’essence…Personnes n’est payé,  l’équipe artistique est défrayée et logée, certains comédiens viennent de Rennes et de Nantes.

Suivez  cette aventure cinématographie qui sera intégralement tournée dans le pays de Lorient. Vous trouverez photos, vidéos, interviews sur Facebook

Contactjeanmarc.vachey@gmail.com

Photos : Thierry Prat

Le Misanthrope revisité

Quel régal de voir ce Misanthrope revisité par le collectif artistique du Théâtre de Lorient.
Une collision d’époque enchanteresse, un spectacle riche en rire et en évasion !

Louis