Comptage des oiseaux des jardins les 30 et 31 janvier

La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) vous invitent à participer au Comptage national des oiseaux des jardins. En savoir plus sur le week-end  de comptage, cliquez ICI

Lekiosque.bzh organise un jeu pour l’occasion : Voici quelques espèces que l’on rencontre fréquemment au jardin.

Trouvez le plus de noms de ces oiseaux et gagnez L’oiseau Mag, offert par la LPO

Postez votre réponse à multimedia.polygone@gmail.com, rendez-vous mercredi 2 février pour connaître les bonnes réponses. A vous de jouer !

 

Les bonnes réponses :

1. Chardonneret élégant 

2. Mésange nonnette 

3. Etourneau sansonnet 

4. Moineau domestique 

5. Grive musicienne 

6. Pinson des arbres 

7. Troglodyte mignon 

8. Tourterelle turque 

9. Pinson du Nord.

 

Quelques explications sur la façon d’écrire les noms d’oiseaux, ou d’autres espèces vivantes, par Yves Guiter, délégué du Morbihan à la LPO :  https://morbihan.lpo.fr :

Les noms d’oiseaux (en français et en latin) sont binomiaux, c’est-à-dire qu’ils sont composés d’un nom de genre (exemples : aigle,  mésange) et d’un nom d’espèce (exemples : royal, charbonnière). Ces deux termes sont appelés respectivement nom générique et  nom spécifique (ou épithète spécifique) et ils forment le nom complet.

Le genre prend une majuscule et tous les autres mots sont en minuscule (Moineau domestique) sauf s’ils sont placés devant le nom du genre (Grand Cormoran), ou si c’est un nom qui prend une majuscule en français comme un nom propre (Tadorne de Belon)

 

Bravo à Isabelle qui gagne  “l’oiseau magazine”, une des revues de la LPO  : www.lpo.fr/revues/

Pensez à la boutique de la LPO pour vos cadeaux écoresponsables et utiles : https://boutique.lpo.fr

Devenir membre de la LPO (individuel  30€, famille  42), faire un don, s’abonner à une revue : www.lpo.fr

Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste

Le 27 janvier commémore l’anniversaire de la libération du camp allemand nazi de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau par les troupes soviétiques en 1945. En 2005, l’Assemblée générale des Nations Unies  proclame officiellement cette date journée internationale du souvenir de l’Holocauste et de prévention des crimes contre l’humanité.

La communauté internationale réaffirme ainsi l’engagement  à lutter contre l’antisémitisme, le racisme et les autres formes d’intolérance qui peuvent conduire à la violence ciblée sur un groupe.

L’Holocauste a non seulement profondément meurtri les pays dans lesquels les crimes nazis ont été perpétrés, mais il a également eu  des conséquences  dans de nombreux autres endroits du monde.

Soixante-dix ans après le génocide, les États membres partagent la responsabilité collective de remédier aux traumatismes résiduels, en maintenant des politiques de mémoire efficaces, en préservant les sites historiques et en encourageant l’enseignement, la documentation et la recherche. Cette responsabilité suppose d’enseigner les causes, les conséquences et la dynamique de ces crimes afin de renforcer la résilience des jeunes face aux idéologies de haine. Alors que des génocides et des atrocités continuent de se produire dans plusieurs régions du monde, cet enseignement n’a jamais été aussi pertinent qu’aujourd’hui.

Quelques extraits de textes qui illustre cette journée de commémoration :

« Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli » (Elie Wiesel)

« Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l’esprit d’en comprendre le sens, de les écrire sur le papier » Abraham Lewin.

Une mémoire qui reposait principalement sur des témoignages et sur les travaux des historiens.

Mais les survivants disparaissent, au fil des années et ils ont  à cœur, s’ils ne l’ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer.

Les historiens  accèdent à de nouvelles archives, affinent leurs connaissances et s’efforcent d’expliquer ce qui semble parfoissi difficile à comprendre.

Prévention des crimes contre l’humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d’intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l’humanité.

Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus que jamais d’actualité. Aujourd’hui comme hier, aujourd’hui comme demain, aucune forme de racisme et d’antisémitisme quelle qu’elle soit ne saurait être tolérée. Et pourtant des faits récents perpétrés nous rappellent qu’il faut rester vigilants.

Une vigilance qui souligne que l’enjeu de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, camp de concentration et « centre de mise à mort » (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes. Elle est le lieu de mémoire commun d’une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l’horizon d’une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance

« A Blind Legend », un jeu vidéo 100% sonore

Le 1er jeu d’action-aventure mobile sans image, où l’ouïe remplace les yeux ! Découvrez l’expérience sensorielle inédite et innovante du son 3D binaural.

« A Blind Legend s’inscrit dans un univers médiéval légèrement teinté de fantastique, inspiré par les légendes arthuriennes et la littérature du Moyen-Âge.Il s’adresse autant à un public non-voyant qu’à des joueurs valides désireux de vivre une expérience de jeu inédite, en utilisant l’ouïe comme unique moyen de repérage et de prise de décision. Nous voulons offrir aux non-voyants la possibilité de jouer à un vrai jeu vidéo, profond dans son scénario et adapté dans son gameplay, qui soit aussi intéressant pour ce public que pour un public valide. »A Blind Legend s’inscrit dans un univers médiéval légèrement teinté de fantastique, inspiré par les légendes arthuriennes et la littérature du Moyen-Âge.Il s’adresse autant à un public non-voyant qu’à des joueurs valides désireux de vivre une expérience de jeu inédite, en utilisant l’ouïe comme unique moyen de repérage et de prise de décision. Nous voulons offrir aux non-voyants la possibilité de jouer à un vrai jeu vidéo, profond dans son scénario et adapté dans son gameplay, qui soit aussi intéressant pour ce public que pour un public valide. »

Pour jouer à A Blind Legend , téléchargez gratuitement le jeu sur iPhone ou Android

Vous pouvez également découvrir le premier niveau du jeu sur votre PC ou sur votre Mac : www.ablindlegend.com

Premier clip pour EM à découvrir sur Youtube

Une ancienne élève du collège Anita Conti fait parler d’elle…Emma Kelbert, aussi connue sous le nom de EM vient d’enregistrer une chanson, F.R.E.E, un hymne à la liberté.

Son parcours artistique a commencé dans une chorale dès l’âge de 6 ans. Elle a continué le chant au conservatoire de musique de Lorient pendant plusieurs années. En parallèle elle faisait du Hip-Hop dans une école de danse. Adolescente, Emma a découvert le logiciel GarageBand qui permet d’enregistrer des voix et de composer de la musique. Elle commence à écrire vers l’âge de 15 ans ses propres chansons mais arrête à cause du sport (elle s’illustre dans des compétitions de judo et d’athlétisme). Reprise de la musique pendant ses études supérieures, qu’elle va poursuivre  bientôt en Espagne pour décrocher un master en ressources humaines.

Petite explication de texte avec l’artiste sur cette chanson qui colle à notre actualité et est un message d’espoir : « C’est un jeu de miroir, elle est confrontée à ses mots et ses pensées en permanence. Je pense que tous les jeunes ressentent du doute et de la confusion, surtout sans école. À la fin de la chanson, la fille parvient à se libérer de l’emprise de son double et revit enfin, car ce n’est pas parce qu’on est entouré sur les réseaux sociaux qu’on ne peut pas être seul en réalité ».

Inspirée par Amy Winehouse, Selah Sue et Mickaël Jackson, Emma est aussi fan de rap français (Laylow, Damso, Josman…). Cet enregistrement en appelle d’autres, on ne peut que l’encourager à continuer !

Suivez EM sur Facebook, Youtube et Instagram

Freedom !!! Du Gospel virtuel pour la liberté

FREEDOM !!! Un nouveau chœur gospel virtuel pour célébrer la liberté

Artistes, amateurs d’art, de spectacles, de musiques, de joie, nous sommes tous SANS VOUS et SANS VOIX jusqu’à nouvel ordre » comme ils disent. Le Chœur lorientais Sounds of Freedom  a décidé de chanter la liberté, de scander ce mot « Freedom » comme pour exprimer à tous, à sa manière, qu’il nous faut continuer à agir chaque jour pour notre liberté.

Liberté d’expression, liberté de vivre ensemble, liberté de se réunir, de se réjouir, de s’embrasser, de danser, de croire en la beauté de l’être humain, de jouer, de s’amuser, de manger, de boire, de travailler, d’être amoureux, de courir, de marcher, de sauter, de jouir ensemble de la vie.

Retrouvez donc la chanson « Freedom » que le choeur lorientais « Sounds of Freedom » s’approprie ici, titre de Pharell Williams. Réalisé pendant le mois de décembre, 18 chanteurs et chanteuses amateurs du pays de Lorient ont travaillés de chez eux sur ce projet avec la cheffe de chœur Cécile Andrault.

Le montage et le mixage ont été réalisé bénévolement par José Baloche et Benoit Guillemot.

Retrouvez la chorale Sounds of Freedom sur www.cecileandraultphenix.com
Et pour l’actualité sur https://www.facebook.com/cecileandraultphenix

Wood street, l’exposition du Diaspora crew

7000 réservations en quelques jours pour cet événement en décembre à Lorient. Le musée éphémère a été rebaptisé galerie d’art pour pouvoir accueillir du public en cette fin d’année 2020 mouvementée…

En deux mois 24 artistes du Diaspora crew se sont approprier un local mis à disposition par le promoteur immobilier Seemo. Ils ont doublé la surface d’exposition en installant une centaine de portes pour réaliser des cloisons et son passés de 600 m2 de murs  à 1500 m2 d’exposition ! Le collectif n’a pas chômé, les artistes étaient sur le pont jusqu’au 31 décembre pour accueillir les heureux propriétaires d’un billet d’entrée. Pour mieux connaître les organisateurs Ezra et Kaz, lire L’art graffiti avec Diaspora Crew

Beau cadeau de noël pour des adhérents du centre social PLL qui se sont rendus en groupes ou en individuels à la découverte de l’art du collectif Diaspora. Voici quelques témoignages en images ou en textes…Merci et bravo aux artistes, espérons que cet événement donnera des idées aux villes du pays de Lorient…Pourquoi pas un parcours artistique comme à Saint-Brieuc à l’échelle du pays de Lorient ? 25 communes à enchanter par des fresques hautes en couleurs !

Ces artistes avaient un message à nous faire passer avec cette exposition “Wood Street, quand la nature reprend ses droits”, espérons que nous saurons les entendre…

Suivez Diaspora crew sur facebook

N-B: le Livre Street Art Lorient a été réédité…Plus d’infos sur la page facebook

Erik

 

Saïko

 

Etienne

 

Delphine

 

Frédéric

 

Isabelle

 

Stéphane

 

Maxime

 

Jean

 

Josiane

 

Nicolas

 

Louis  

Au-delà des immenses peintures qui ne peuvent être exécutées qu’avec l’aide d’un échafaudage, j’ai pu contempler cet assemblage de métaux qui donnent lieu à un personnage expressif. Celui-ci tend son bras amical comme pour nous inviter à découvrir ce lieu original ! Mais au-delà du climat enthousiasmant qui active toutes curiosités, le point d’orgue à été quand j’ai pu discuter avec un artiste (Ezra) présent dans ce lieu. Ses explications m’ont conforté dans l’idée que cet art invite au voyage ! Dès lors je voyage avec de nouvelles perspectives ! Cela pour dire que cette exposition s’insinue dans tout for intérieur et l’alimente pour peu que l’on soit sensible et à l’art et au monde de la rue…

 

Yannael

Yannael a trouvé le travail des graffeurs époustouflant. Il a aimé aussi bien les dessins que les signatures et il a adoré les sculptures !
Ses mots : «  C’est génial ce que l’on peut faire avec une bombe de peinture ! »
Rêvez est alors juste essentiel. Les explications et la disponibilité de Kaz et Ezra étaient très intéressantes.

 

Erik

C’est avec impatience que j’attendais le moment d’entrer dans l ‘exposition pour voir les magnifiques graffs qu’il y avait comme l’annonçaient ceux qui étaient sur la façade de l’immeuble du 32 cours de Chazelles ! Je fus complètement ravi de ce que je découvris à l’intérieur et mon objectif également. Je dois dire que la situation actuelle limitant la circulation intérieure me permis de déclencher selon mes découvertes progressives. Les graffeurs dévoilent leurs talents dans une galerie dite éphémère , où leurs œuvres aussi divers que magnifiques se côtoient pour former un passage évolutif ou des personnages et des paysages se croisent dans un milieu très futuriste par leurs couleurs et leurs formes. Les photographes ne sont pas loin par leur différentes visions pour les restituer sous plusieurs angles et dimensions et surtout de leurs interprétations qui permettent d’augmenter la puissance de ces œuvres majestueuses qui seraient pour cet ensemble perdues dans l‘avenir par leur position d’ éphémère…Si vous remarquez des graff quelque part saisissez l‘instant et fixez leurs existences par vos photos pour leur conservation dans le futur !

 

Jeanne

Que cette expo fait du bien dans cette période morose ! De véritables œuvres d’art et une vraie découverte d’artistes talentueux qui savent donner de nouvelles couleurs à une ville !

Thalassa, le magazine de la mer

Une soirée spéciale sera consacrée à Georges Pernoud à la barre de l’émission télévisée Thalassa* pendant plus de quarante ans. Rendez-vous sur France 3 vendredi 15 janvier à 21h pour l’hommage au créateur de Thalassa, décédé ce dimanche 10 janvier.

Ancien caméraman de l’ORTF, Georges Pernoud souhaitait partager sa passion de la vie maritime avec l’émission Thalassa. On lui doit aussi le magazine « Faut pas rêver »  qui  propose de voyager à travers le monde.

L’émission qui vous raconte la mer, c’est tous les dimanches dès 15h20 sur France 3

Retrouvez Thalassa sur Youtube  et sur le site de France 3

*Thalassa est un nom propre ou commun, signifiant « mer » ou « océan » en grec ancien

 

 

Les actualités de Breizh’Event

Pour cette année 2021, Breizh’Event démarre fort. Depuis son studio qui se trouve au 50 rue Louis Braille à Lorient, l’entreprise propose diverses activités et programmations pour les jeunes sur tout le territoire du Morbihan.

Depuis sa création, Breizh’Event est en constante évolution. Du référencement à l’organisation d’événements sur l’application, aux animations d’ateliers et production de série…Breizh Event ne cesse de surprendre. Parmi les projets proposés que nous proposons cette année, il y a le studio d’enregistrement LJPROD. L’objectif de ce studio est de permettre qu’il soit accessible à tous les jeunes du Morbihan passionnés de musique pour pouvoir enregistrer leurs créations facilement à un  tarif minimum. Mais surtout d’être accompagnés dans leurs projets artistiques.

Nous proposons aussi un atelier d’improvisation théâtrale pour ceux qui sont passionnés de la comédie, du stand-up. Divers ateliers de danses (hip-hop, afro dance, zumba, salsa…) et un atelier d’écriture (poèmes, nouvelles, romans…).

Et pour donner une continuité aux projets de production des fictions jeunesse, Breizh’event lance encore un nouveau projet de série. L’objectif est de faire en sorte que cette série de fiction soit
encore plus réussie et travailler avec encore plus de jeunes du territoire. Le casting débute dès le vendredi 15 janviers 2021 dans les locaux de l’entreprise.

Et pour encore plus donner des chances aux jeunes de vivre leurs passions, nous proposons aux jeunes qui font des études dans le domaine de la musique et artistique de faire un stage dans le studio. Le but de ce stage sera de permettre à ces jeunes de gagner en expérience dans le domaine.

Suivez Breizh’Event sur www.facebook.com/breizhevent56

Contact : 07 86 88 32 39 / breizhevent56@gmail.com

Application disponible sur Android et Iphone

 

Les ateliers Breizh’Event

Breizh’Event vous présente ses programmations/ateliers.

L’atelier d’écriture :

L’art d’écrire n’est plus réservé aux écrivains
Savoir écrire a toujours été une qualité convoitée. Signe extérieur d’intelligence, de culture, de distinction, d’élégance, de raffinement. Ce savoir est un atout capital pour réussir sa vie personnelle et professionnelle.
Pourtant, apprendre à écrire est difficile notamment parce que cet enseignement est mal connu et inaccessible.
Breizh’event a conçu des formations afin de dispenser ces savoirs et de faciliter leur l’accès.
Que ce soit pour votre épanouissement personnel ou le développement de vos activités professionnelles, ou la sorti d’un livre etc .
Nous vous aiderons à concrétiser vos envies et à trouver des solutions aux difficultés que vous pouvez rencontrer.
Pour les plus ambitieux, nous vous guiderons pour percer dans le milieu de l’édition.

Atelier de danse :

Tout le monde se fiche de votre habilité à bien danser. Levez-vous et dansez. Les grands danseurs sont grands grâce à leur passion. ALORS inscrivez vous sans plus tardé à votre atelier de danse chez breizh’event pour libérer le danseur qui est en vous !!! SHOW MUST GO ON !!!

Le studio LJPROD de Breizh’Event :

DU NOUVEAU À LORIENT. breizhjeune56 Breizh’event vous présente le LJPROD (Votre nouveau studio d’enregistrement ) Autour de Notre sphère, nouveau studio d’enregistrement ouvert à Lorient , gravitent déjà de jeunes talents vocaux et musicaux en devenir. LJPROD se veut être un lieu de rencontres et d’échanges pour tous, quel que soit le style musical. Alors n’hésitez plus retrouvez nous au studios pour un projet haut en couleur !!

Pour vous inscrire à ces ateliers, contactez-nous : breizhevent56@gmail.com / 07 86 88 32 39

Ou rendez-vous dans les locaux de Breizh’Event : 50 Rue Louis Braille, 56100 Lorient

 

Exposition « Les têtes au carré »

Photographies plasticiennes de Allain  VALADA RAVALLEC découvertes en octobre aux Grands Larges pendant l’exposition du collectif Phot’Image.

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« Sortir des placards, de très vieilles photos, des diapos, leur redonner vie par recadrage, association, empilement, fusion, telle est l’idée qui a germé pour donner vie et sens à cette série.

Le portrait est la base du processus.
L’exécution peut demander des heures.
C’est le fruit du hasard et de la patience.

Sans trop détourner l’esprit initial et dénaturer le sujet, l’imaginaire  s’active, un traitement s’élabore, une fusion s’opère.
Le burlesque prend forme, les formes se réinventent, le sujet se déploie, les couleurs se dynamisent.
Alors formes et couleurs se conjuguent, se diluent comme une aquarelle, s’adoucissent comme un pastel, se mélangent comme une huile.

La magie agit, traite sans maltraiter.
Alors, un premier titre jaillit, ce sera « Rêverie ».

L’interaction aboutie, le mariage accompli, l’œil décide de la chirurgie esthétique effectuée.
Si le mélange dérange parfois, le mélange des genres peut aussi séduire.

L’esprit du photographe s’harmonise esthétiquement à celui du peintre. »

Allain  VALADA RAVALLEC

 

 

Les photographes de l’espace multimédia s’inspireront de cette exposition début 2021…A suivre !