Lorientraide des Quartiers : la Solidarité

Lorientraide des Quartiers est née en septembre 2020 de la volonté d’agir de quelques copains habitants du quartier de Kervénanec à Lorient.

Depuis, l’association s’est développée très rapidement et a attiré des personnes de tout âge ( le plus jeune a 13 ans) et de tous horizons .

Actuellement, l’association compte une quarantaine de membres actifs et est composée à 70 % de femmes.

Tous les membres se retrouvent autour d’objectifs communs : donner de l’espoir, améliorer le vivre ensemble, retrouver de la solidarité dans les quartiers de Lorient, permettre aux habitants d’échanger, permettre à chacun d’agir pour changer les choses et développer  l’éducation populaire.

Comme le disent, Abdelmagid, Amine, Rony, Gorgui et Karim , ils sont là pour compléter les associations existantes.

La paperasse, les différentes démarches à effectuer peuvent dissuader certaines personnes de faire appel aux organismes connus. D’autre part, certains demandeurs ne répondent pas aux critères financiers ou autres pour bénéficier des aides existantes et sont donc exclus du système.

Lorientraide veut  venir en complément des aides existantes, faciliter les relations mais également orienter les personnes vers le bon interlocuteur, associations ou institutions.

Ils veulent mettre en place des actions sur le long terme et ne pas être juste une étoile filante dans la vie associative lorientaise.

La conjoncture économique difficile renforcée par la crise sanitaire a augmenté sérieusement la précarité. Il fallait répondre aux situations de grande urgence rencontrées par de nombreuses personnes et familles. Le besoin est là , et Lorientraide tente d’y répondre. Ils sont eux mêmes surpris par l’ampleur de la demande malgré l’existence de plusieurs organismes sur la région lorientaise.

Ils occupent le terrain  dans plusieurs quartiers de Lorient  notamment  à Frébault, Bois du château , Kervénanec ,  …. .

Des jeunes, habitants dans chacun des quartiers, sont impliqués dans l’action de la jeune association, le but faire agir les jeunes pour leur quartier.

Des collectes sont lancées à la sorties de quelques supermarchés lorientais ( Netto, Ta2b ), la solidarité a très vite fonctionné.

Des produits alimentaires mais aussi d’hygiène sont ainsi récoltés chaque semaine puis distribués à une vingtaines de familles en souffrance.

Des cagettes sont également installées dans chaque quartier  avec comme principe : si tu peux tu mets, si tu ne peux pas tu prends.

La réalité  les a pourtant récemment rattrapé lorsque leurs demandes d’organiser des  récoltes à la sortie de certains  supermarchés ,  leurs ont été refusées car il n’avaient pas les autorisations nécessaires, les démarches sont donc en cours pour ré.

Soutenue par la directrice de Carrefour Lorient dans son action , la jeune association lorientaise devrait début 2021 , y organiser des récoltes de denrées alimentaires et de produits d’hygiène.

La jeune association a rencontré les équipes des centres sociaux de Lorient et travaille avec chacun d’eux sur les quartiers.

Lorientraide s’associe à la Maison pour Tous de Kervénanec tous les lundis et mercredis pour des distributions de crêpes solidaires et participe également à la distribution Des boîtes de Noël de Lorient aux familles ou personnes dans le besoin.

Leur besoin : un local, pour stocker les denrées récoltées et les dons mais également pour recevoir les familles ou personnes pour des échanges, des rencontres. Un rendez-vous est prévu début d’année avec Lorient Habitat.

Leurs projets :

  • Un travail avec la Mairie pour mettre en place un dispositif permettant aux jeunes de financer leur permis en échange de travail dans les services municipaux.
  • Le développement d’un accompagnement scolaire pour renforcer celui des centres sociaux qui pour certains se voient obligés de refuser des enfants : l’association compte parmi ses membres des étudiants et professeurs prêts à donner de leur temps.
  • Sur Kervénanec : redynamiser le Folclo, développer le sport et les activités sportivesen général notamment en direction des jeunes.

Pour tous ceux qui sont dans le besoin , qui ont besoin de quoique ce soit, n’hésitez pas à les contacter au 07.69.04.29.71 ou 06.21.86.36.87 ainsi qu’en message privé via leur compte Facebook Lorientraide des Quartiers .

Important !!!  Pour toute demande d’aide, laisser bien sur le répondeur ou par  sms vos coordonnées

 

Cram Cram ! Le magazine jeunesse qui fait voyager les 7-12 ans.

Cram Cram ! magazine collaboratif, invite les 7/12 ans à découvrir le monde. Tous les deux mois, les jeunes lecteurs explorent un nouveau pays à travers le récit d’une famille globetrotteuse.

Patrick et Valérie Flouriot ont toujours aimé voyager. En 2004 ils sont partis en Afrique avec leurs deux enfants, Mathieu et Marion qui avaient alors quatre et deux ans. Il  y sont restés cinq ans, surtout en Mauritanie. Ils ont l’idée de garder une trace de leur voyage, ainsi naît leur magazine ! « Cram Cram, c’est le nom d’une graminée du désert, qui s’attache aux pas du voyageur. Chaque numéro visite un pays…Au programme : reportage, conte traditionnel, recette de cuisine du pays, rubrique jouets rustiques… ». Ils accompagnent les familles dans la préparation et la rédaction de leur récit de voyage et rendent les enfants acteurs.

Éveiller la curiosité de leurs jeunes lecteurs, leur donner envie de découvrir de nouvelles cultures,  développer le respect des différences, animent Patrick et Valérie, qui fabriquent leur magazine bimenstriel à Lorient. « Plus on connaît les autres, plus on les comprend, plus on les accepte. Le message est peut-être plus facile à faire passer aux enfants… ». Par ailleurs, le couple est attentif à ne pas véhiculer d’idées reçues et sensibilise au respect de l’environnement.

Cram Cram est disponible en version papier ou numérique, en vente dans les magasins du réseau Biocoop et par correspondance.

Plus d’informations sur le site web : www.cramcram.fr

Bon voyage aux Galapagos avec le n°25,  en version numérique, cliquez ICI

Bon voyage sur l’ALTERTOUR en vélo en Bretagne, cliquez ICI, Joyeux Noël !

Simone de Bollardière, une grande humaniste

Simone de Bollardière, née le 10 février 1922 à Nantes, s’est éteinte à 98 ans. Elle nous laisse un formidable exemple à suivre, à travers tous les combats qu’elle a menés avec tant d’énergie. Mais qui est cette grande humaniste ? On ne pourra jamais parler d’elle au passé tant sa vie fut exemplaire. Elle vivait en Bretagne, à Guidel, depuis 1962 et fut décorée de la Légion d’honneur en juillet 2012.

 

Le mari de Simone était le Général Jacques Pâris de Bollardière, un homme remarquable qui  a combattu les nazis pendant la deuxième guerre mondiale, compagnon de la Libération, grand officier de la Légion d’honneur, ancien des SAS (sections administratives spécialisées) en Algérie, commandant des paras en Indochine, plus jeune général de France à 49 ansPlus d’infos ICI.  Le Général de Bollardière s’est particulièrement illustré lorsqu’il a combattu en Algérie où il s’est opposé magistralement à la pratique de la torture face notamment au Général Massu. En mars 1957, il demande à être relevé de son commandement en Algérie. C’est un combat exemplaire qui ressurgit en 2001 lors d’une opposition avec le Général Aussaresses. Simone de Bollardière fit même partie du groupe de 12 personnalités à l’époque dont Pierer Vidal-Naquet, et Germaine Tillon pour que «toute la vérité soit dite sur la torture». De plus, elle était présidente d’honneur de l’Association des anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre (www.4acg.org) Cette lutte contre la torture l’a conduite à faire de nombreuses interventions à travers la France, des  exemples ICI et LA

 

 

 

Simone de Bollardière, avec son mari, co-présidait le comité de soutien à l’école Diwan qui rassemblait de nombreuses personnalités. En 1984, ils écrivaient ce texte remarquable : « Faut-il désespérer de l’ avenir de l’Homme en ces années lourdes de menaces du 20eme siècle finissant ? C’est dans ce contexte que nous observons depuis quelques années avec un intérêt passionné la naissance des écoles basques de Seaska, de la Scola Corsa et de Diwan en Bretagne. Secouer notre hébétude devant une évolution que nous ne maîtrisons pas, retrouver à travers les langues des peuples qui refusent de mourir, une sagesse qui a su assurer la durée et l’épanouissement de la vie, c’est peut-être un des combats dont dépend l’avenir de l’Homme ». Source

 

Déjà pendant la guerre, cette grande Dame lisait Gandhi ou Martin Luther King. et pensait que la violence ne résout rien, n’est pas une solution pour les problèmes dans la société. Elle faisait partie du Mouvement pour une alternative non violente (https://nonviolence.fr) qui s’est mobilisé contre l’extension d’un camp militaire sur le causse du Larzac  de 1971 à 1981, contre le chantier de la centrale nucléaire à Plogoff, contre l’Apartheid en Afrique du Sud…Présidente d’honneur de l’association France-Palestine Solidarité Lorient , elle a participé à de nombreuses actions en faveur de la paix au Moyen Orient. Elle était  aussi des luttes pour l’environnement, en particulier contre les essais nucléaires dans le Sahara et le pacifique. Elle fut aussi militante d’eaux et Rivières une des associations pour l’environnement en Bretagne  et se présenta aux élections cantonales et régionales sous les couleurs écologistes.

 

Le dynamisme de Simone de Bollardière, sa combativité ont fait merveille auprès de ceux qui l’ont côtoyé de près ou de loin. J’ai la chance et ma mère plus encore d’avoir croisé sa route. Ce fut une grande joie pour toutes les deux de l’avoir rencontrée. La vie de cette dame hors du commun est un exemple pour toutes les générations. Merci Simone !

 

Isabelle (avec la complicité de Yann-Erwan et Nicolas)

Expo photo « Comme les autres » de Michel Dumergue

« Que ce soit un accident ou une maladie, l’amputation est toujours difficile à admettre et continuer de vivre est une épreuve de tous les jours. C’est comme si vous recommenciez une autre vie, il faut réapprendre les choses de la vie. Le courage, la force, le mental sont des éléments indispensables pour gagner un combat et parfois surmonter le regard des autres.

Pendant 2 ans, j’ai pu suivre, grâce au cabinet de prothèses Mathieu Jouvet à Montpellier (Mauguio), des personnes amputées. J’ai eu la chance de partager le quotidien de nombreuses personnes, de comprendre leur combat et les difficultés qu’ils peuvent rencontrer. J’ai été époustouflé de voir la force, la motivation, le courage de tous ces amputés pour que leurs vies soient « Comme les autres ».

Michel Dumergue / www.micheldumergue.fr

 

 

 

Lorient en croquis

 

Un livre de mes croquis sur Lorient est sorti en novembre 2019. Il est édité par Liv’éditions, il comprend 128 pages et 95 croquis, répartis en 3 chapitres : Ville, Ports, Environs.
J’appartiens au mouvement des Urban Sketchers, qui réunit de par le monde des passionnés du dessin en plein air. Mes croquis sont conformes à la charte de ce mouvement : réalisés uniquement sur le vif, en un temps limité, ils cherchent à traduire des ambiances urbaines quotidiennes. Ces croquis sont rassemblés aussi dans ma galerie numérique (sur le site de partage de photos Flickr), ce qui permet d’échanger avec des croqueurs du monde entier.

A Lorient, un groupe d’Urban Sketchers se retrouve tous les vendredis matins pour dessiner pendant 2 heures, puis nous nous réunissons dans un café pour montrer nos carnets de dessin. Les croquis rassemblés dans le livre sont en partie issus de ces séances collectives.

Les derniers exemplaires sont à vendre à moitié prix, soit 15€ (au lieu de 29€)

1 exemplaire : 15€ + 5€ (envoi en lettre suivie)

2 exemplaires : 30€ + 7€ (envoi colissimo)

3 exemplaires : 45€ + 8€ (envoi colissimo)

Commande par mail à mon adresse : gerard.darris@orange.fr

Et pour consulter ma galerie numérique : www.flickr.com/photos/106785043@N02

« imMERsif  » à bord de Tara océan

Nouvel épisode concernant le Tara sur votre webjournal avec le documentaires imMERsif, en vidéo 360 et son 3D !

Embarquement à bord de Tara, le plus grand dériveur polaire du monde. Le voilier, est un véritable laboratoire scientifique flottant. En mai 2019, le bateau est parti pour six mois parcourir les quatre façades maritimes européennes à la recherche des microplastiques.

Une immersion à vivre en vidéo 360 et son 3D…avec un casque !

Un documentaire de Radio France en partenariat avec la Fondation Tara et Ocean, OceanView VR :

Avez-vous déjà entendu parler du son 3D ?

Documentaires, fictions ou musique : grâce à cette nouvelle technologie, Radio France vous propose de nouvelles expériences d’immersion.

A la découverte de toutes les solidarités au Festisol

 

Le Festival des Solidarités est maintenu malgré le confinement et propose, à l’occasion de cette édition un peu particulière, de nombreuses animations qui se tiendront majoritairement en ligne et à distance : projections-débat, conférences, café-philo et ateliers en ligne, parcours numériques et expositions, émissions de radio et podcasts, ateliers pour jeune public… Les solidarités ne se laisseront pas confiner !

Tout le programme sur www.festivaldessolidarites.org

Cette année les questions de justice climatique sont à l’honneur au Festisol : comment répondre aux inégalités face aux changements climatiques avec la solidarité en France et à l’international ?

« La solidarité se base d’abord sur une réalité : à l’échelle d’un quartier, d’un pays ou du monde, nos vies sont interdépendantes et nos actions ont un impact global. Mais la solidarité, c’est avant tout un choix : c’est décider de voir les autres comme une richesse, et comme des allié·e·s pour transformer ensemble le monde. » Jean-Marc Delaunay, coordinateur du Festisol, le Festival des Solidarités.

Un podcast du Festival des Solidarités qui aborde les questions d’inégalités, de solidarités entre les luttes et de justice climatique. Comment et pourquoi s’engagent celles et ceux qui œuvrent à transformer le monde. Quels sont leurs rêves ? Quelles alternatives se dessinent derrière le bruissement des solidarités ?

Épisode 1 : Les migrations environnementales.

Le changement climatique accélère la dégradation des conditions de vie des populations les plus vulnérables, alors même qu’elles en sont les moins responsables. Abordé sous l’angle de la justice sociale et environnementale, ce podcast donne la parole à Anzoumane Sissoko, malien, réfugié climatique et porte-parole de la Coordination parisienne des sans-papiers.

Avec Marine Denis, doctorante en droit international public à l’Université Sorbonne Paris Cité et enseignante à Sciences Po Grenoble et Lucie Pélissier, bénévole de Youth on the Move.

https://podcast.ausha.co/a-l-ecoute-des-solidarites/episode-1-les-migrations-environnementales

Épisode 2 : Écologie et pauvreté.

Les injonctions à participer à la transition écologique appartiennent pour les plus pauvres et vulnérables à une autre réalité. Comment faire quand on n’a pas un logement stable ? Comment sauvegarder son environnement quand son pays est déchiré par la guerre ?

Avec les témoignages de David Mahenda Kithoko, engagé pour la défense de la jeunesse et le reboisement en République Démocratique du Congo, Céline Vercelloni et Nicolas Charoy d’ATD Quart monde.

https://podcast.ausha.co/a-l-ecoute-des-solidarites/episode-2-ecologie-et-pauvrete

 

L’art inuit avec Kenojuac Ashevak

L’artiste canadienne Kenojuac Ashevak est considérée comme LA femme Inuit dessinatrice…Sollicitée par la coopérative des dessinateur, elle a la chance de gagner en visibilité et est la première femme inuit  subventionnée par le gouvernement Canadien…Son dessin spontané outre sa valeur affective a aussi une valeur économique. Dans le monde du 21ème siècle son expression intéresse, entre autres, les éthnologues…Cette science humaine par ce qu’elle a pour objet l’étude des civilisations et leurs modes de vie selon les époques peut puiser dans cet Art ancestral qui transmet une façon de s’adapter au changement climatique…

En 1963, quand Kenojuak avait 35 ans, le National Film Board du Canada a effectué un court métrage documentaire sur sa vie, sa famille et son travail artistique, intitulé ′′ Eskimo Artist : Kenojuak « , qui a été nominé aux Oscars d’Hollywood En 2004

Plus d’informations sur Kenojuak Ashevak et sur l’art inuit

Le mois du doc c’est toute l’année sur KuB !

L’édition 2020 du Mois du documentaire est annulée… Une nouvelle contrariété pour les équipes qui travaillent à la rencontre entre les auteurs, leurs œuvres et les publics. Des manifestations se préparent pour le printemps, pour que ce lien indispensable se renoue, lieu par lieu, à la ville comme à la campagne.

En attendant les beaux jours, vous pouvez étancher votre soif de documentaires parmi les 50 disponibles sur KuB actuellement :

Attentif au regard que portent les artistes sur le monde, KuB sélectionne les meilleurs documentaires d’auteurs issus de Bretagne et vous ouvre la porte sur leur fabrication et intentions.

 

 

Migrant’screen – le festival Migrant’scène online. 

Le festival de la Cimade Migrant’scène devait démarrer le samedi 14 novembre,  avec 200 évènements un peu partout en France. Malheureusement, confinement oblige, ils  ont dû annuler tous les événements en métropole. Mais parce qu’il leur tenait à cœur de ne pas complètement annuler ce temps fort de sensibilisation, et parce qu’ils voulaient honorer toute l’énergie déployée ces derniers mois par les bénévoles du festival de La Cimade, ils lancent : Migrant’screen – le festival Migrant’scène online. 

Avec une programmation inédite de projections-débats 100% en ligne, pour tout le monde et accessible  directement depuis chez vous.

Au programme sur vos écrans :

• Le mercredi 18 novembre à 19h30

projection du documentaire « Just kids » de Mathias Pardo

Suivez pendant 1h30 le parcours émouvant de l’équipe de football Melting Passes, composée de jeunes en danger isolés.

Cette projection sera suivie d’un débat avec des membres de l’équipe du film et Violaine Husson, responsable nationale des questions Genre et Protections à La Cimade.

La projection aura lieu sur cette page !

• Le samedi 21 novembre à 17h

projection du documentaire « Je m’anime pour mes droits » de Ludovic Versace

Des enfants vivant dans des bidonvilles de la Seine-Saint-Denis ont décidé de raconter au travers de ce court film d’animation leur vécu d’enfant, entre précarité et exclusion.

La projection sera suivie d’un débat avec le réalisateur, Ludovic Versace, et Clara Pichon, chargée de médiation et d’accompagnement des familles de culture Rom à La Cimade
à Montpellier.

Pour vous inscrire à cette projection : cliquez ici !

 

D’autres projections-débats seront également prévues tout au long du festival, nous vous informerons des futures projections :

Le mercredi 25 novembre à 19h : projection du documentaire « Tata Milouda » de Nadja Harek
Le vendredi 27 novembre à 19h : projection du film « Roads » de Sébastian Schipper
Le samedi 28 novembre à 17h : projection-débat du documentaire « Les nouveaux habitants » d’Emmanuel Chevilliat et Victorien Tardif
Le mardi 1er décembre à 19h : projection-débat du documentaire « Demain est si loin » de Muriel Cravatte
Le vendredi 4 décembre à 19h30 : projection-débat du documentaire « D’après Arnal » de Christophe Vindis et Rubi Scrive-Loyer

 

www.migrantscene.org