Victime de violence et confinée ?

En cette période de confinement, la permanence téléphonique du CIDFF sera toujours ouverte du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h à 16h. Vous pouvez les contacter au 02.97.63.52.36. En dehors de ces horaires vous pouvez toujours contacter le 3919.

Si vous vous trouvez dans une situation d’urgence appelez le 17 pour joindre la police. Par SMS le 114 pour alerter la police en silence.

Vous êtes témoin de violence : intervenez, la distanciation sociale ne doit pas vous en empêcher. Vous pouvez aussi contacter le 17 (ou le 119 si les violences sont dirigées vers un enfant).

Associations : faire face à la crise

Depuis plus d’une semaine, Le Mouvement associatif se mobilise pour permettre aux associations de faire face :

www.lemouvementassociatif.org/covid-19-associations-faire-face-a-la-crise/

Pour poser une question, contactez l’équipe du Mouvement associatif : contact_AT_lemouvementassociatif.org

Confinement en France : l’attestation de déplacement

Depuis janvier 2020, une épidémie de Coronavirus COVID-19 (ex 2019-nCoV) s’est propagée depuis la Chine.
Retrouvez toutes les réponses officielles aux questions que vous vous posez sur ce qu’est le Coronavirus COVID-19 et les recommandations pour votre santé sur la plateforme sur gouvernement.fr/info-coronavirus

Le 16 mars 2020, le Président de la République a décidé de prendre des mesures pour réduire les contacts et déplacements au strict minimum sur l’ensemble du territoire à compter du mardi 17 mars à 12h00, pour quinze jours minimum.

L’attestation de déplacement dérogatoire est téléchargeable ou peut être rédigée sur papier libre :

[PDF] Attestation de déplacement dérogatoire

[PDF] Justificatif de déplacement professionnel

Attestation disponible sur smartphone  : https://media.interieur.gouv.fr/deplacement-covid-19

Source

[PDF] Attestation dérogatoire de déplacement avec pictogrammes pour les personnes ne parlant pas français

[PDF] Attestation dérogatoire de déplacement en Facile à lire et à comprendre

Etude sur les victimes de violences conjugales

Participez jusqu’au 23 mars à une étude action sur la prise en charge des femmes dans le pays de Lorient, organisée par le Centre d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF). Cette étude est menée à la demande de la préfecture et cofinancé par l’État pour permettre d’identifier les besoins des victimes de violences conjugales.

« Dans le cas où un projet serait présenté, le CIDFF veillerait à ce que celui-ci ne se limite pas aux traitements des violences mais s’orienterait vers une approche plus globale pour les femmes dans différents domaines : social, juridique, emploi, violence, santé, citoyenneté. » indique le CIDF. Plus d’infos

Participer en ligne :

http://www.cidff-morbihan.fr/nos-missions/etude-action-lorient-agglomeration/questionnaires-en-ligne

 

La protection des données personnelles

Le règlement général sur la protection des données (RGPD) est une règlementation  en Union Européenne depuis 25 mai 2018. Elle ajoute de nouvelles exigences aux organismes qui utilisent des données personnelles (comme ton nom, ton adresse email, où tu habites, ce que tu regardes sur internet, etc.). En France, elle remplace alors la loi Informatique et libertés de 1978.

Ce sont les sites internet et les applications mobiles qui sont concernés en premier lieu car ils stockent souvent des informations personnelles sur leurs utilisateurs, pour de la publicité, des statistiques ou sur leur application elle-même.

Ces organismes doivent désormais être plus transparents sur la façon d’utiliser les données. Ils doivent aussi demander à l’utilisateur s’il est d’accord avec l’utilisation qui va en être faite. Aussi, si la base de donnée d’un site contenant des données personnelles est piratée, l’entreprise est obligée de prévenir ses utilisateurs.

Plus d’informations :Donnée personnelle, traitement de données, RGPD, de quoi s’agit-il ? Êtes-vous concerné ?

Il est important de défendre les droits des femmes.

Je suis Hondurienne, je viens d’Amérique centrale et j’habite à Lorient. Dans mon pays j’ai beaucoup travaillé pour les droits des femmes et la prévention de la violence chez les femmes et les hommes.

Depuis mon arrivée, j’observe et écoute les conditions de vie des femmes et je respecte beaucoup ce que fait la République Française à cet égard, mais je considère qu’il y a beaucoup à faire encore. Il est important que des actions autour des droits des femmes soient menées par des organismes comme les centres sociaux…

Je ne vis dans ce beau pays que depuis un an et je connais plusieurs cas de femmes migrantes et non migrantes victimes de violences physiques et émotionnelles. Je connais également des institutions avec une approche sociale libre qui travaillent sur divers sujets et qui incluent ce thème comme un facteur important dans tous leurs objectifs de travail, comme le Centre social du Polygone, le Centre de formation pour adultes en Bretagne CLPS.

C’est grâce à ces institutions qu’en plus d’apprendre la langue française, j’ai pu m’intégrer dans cette société et m’épanouir, j’ai pu reconnaître à quel point cette société s’intéresse aux droits des femmes.

Bien qu’il semble que le nombre de plaintes soient faibles pour la proportion d’habitants au niveau régional, ce nombre est important et augmente sur le plan national avec celles qui n’ont pas été comptabilisées, comme les cas qui sont connus de bouche à oreille…

J’observe toujours qu’il est nécessaire de s’impliquer davantage dans la lutte pour l’égalité des droits des femmes dans un pays qui nous accueille et met à notre disposition tous les moyens pour faire respecter nos droits quel que soit notre pays d’origine.

Merci CLPS, IBEP et POLYGONE pour avoir accompagné ce devoir humain !!!

Pamela SANTOS

Vote par procuration

Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou être présent dans votre commune d’inscription électorale, vous avez la possibilité de confier un mandat à un autre électeur inscrit dans la même commune que vous. Ce dernier votera en votre nom.

Mise en ligne du formulaire de vote par procuration

Vous pouvez  remplir le formulaire CERFA de demande de vote par procuration sur votre ordinateur, l’imprimer et l’apporter à une autorité habilitée. Toutes les explications et le formulaire CERFA sont disponibles sous le lien suivant :

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1604

Pour les électeurs qui ne disposent pas d’un ordinateur connecté à internet et d’une imprimante, il est toujours possible d’obtenir le formulaire de procuration au guichet d’une autorité habilitée.

 

 

 

Moments pour Elles

Plus de lieu d’écoute, d’échanges, d’information et de détente pour les femmes victimes de violences à Lorient.

A Vannes, pour les femmes victimes de violences, le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) et la Sauvegarde 56 proposent des permanences d’accueil par une juriste, un travailleur social et des bénévoles dont des femmes ayant elles-même vécu des violences, des suivis par une psychologue et une juriste, et des ateliers collectifs (détente, soins, relaxation, arts créatifs, groupes de parole…).

A Lorient, plus de lieu pour l’instant mais des permanences d’écoute, d’accompagnement assurées par une juriste du CIDFF

à la Maison Pour Tous de Kervénanec (2 rue Maurice Thorez) les vendredi de 9h00 à 12h00.

Prochain rendez-vous  : 13 février /27 février / 12 mars / 26 mars / 09 avril

à la Boutique du Droit de Lorient (38 rue Dupuy de Lome) les jeudi de 13h30 à 17h30.

Prochain rendez-vous : 06 février / 13 février / 20 février / 27 février

Prise de rendez-vous au 02 97 63 52 36

Plus d’informations sur www.momentspourelles.fr

 

Rassemblement contre les violences conjugales

A l’initiative du collectif Nous Toutes Lorient, un rassemblement a eu lieu Place Aristide afin de dénoncer les violences à l’encontre des femmes

La page facebook du collectif : https://www.facebook.com/NousToutesLorient/

Où doivent rouler les trottinettes ou les gyropodes ?

Un arrêté municipal sera publié fin juin pour faire état de la réglementation à Lorient, un texte de loi étant attendu pour la rentrée avec intégration au Code de la route.

La trottinette classique non motorisée trouve naturellement sa place sur les trottoirs, où son utilisation est acceptée à l’allure de la marche (6 km/h). Elle ne peut en revanche ni emprunter les aménagements cyclables, ni la chaussée.

La trottinette électrique (plus de 6 km/h) est interdite sur les trottoirs et tolérée sur les aménagements cyclables (à l’exception des voies bus), sans gêner les vélos qui restent prioritaires. Conçue pour rouler à des vitesses parfois proches des limitations traditionnelles en ville, la trottinette électrique trouve sa place sur la chaussée. Leurs conducteurs doivent veiller à être bien visibles des automobilistes (équipements rétro-réfléchissant) et le port du casque est conseillé.

Les hoverboards, segways et monoroues sont tolérés sur les trottoirs à l’allure de la marche, et interdits sur la chaussée et les aménagements cyclables. Leurs usagers ont les mêmes obligations que les piétons, notamment celles de traverser la rue sur les passages  matérialisés et de respecter les feux tricolores.

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