Journée mondiale pour l’abolition de l’esclavage

 

La Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage, célébrée par plusieurs pays du monde le 02 décembre chaque année, commémore l’adoption, le 2 décembre 1949, par l’Assemblée générale des Nations unies de la Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui.

2020 : un appel à la lutte contre les formes contemporaines d’esclavage.

L’esclavage n’est pas seulement un vestige du passé, mais une réalité actuelle.

L’Assemblée Générale des Nations Unies lance un appel pour mettre fin aux nouvelles formes d’esclavagisme contemporain.

Il y a actuellement plus de 40 millions de victimes du travail forcé dans le monde. L’esclavage moderne est un terme recouvrant diverses pratiques : le travail forcé, la servitude pour dettes, le mariage forcé et la traite d’êtres humains

Ces formes d’esclavage sont toujours  d’actualité, en grande partie à cause de la pauvreté, de la discrimination et de l’exclusion sociale.

On estime à plus de 250.000 le nombre d’enfants exploités aujourd’hui comme enfants soldats dans une trentaine de zones de conflit dans le monde.

Chaque année, 700.000 femmes, filles, hommes et garçons font l’objet d’une traite transfrontalière et sont réduits en esclavage.

 

Sexualités info santé

Sida info service lance une nouvelle plateforme d’information à la santé sexuelle : www.sexualites-info-sante.fr

Une écoute spécialisée pour une meilleure prise en charge de votre santé sexuelle : bien-être physique, mental et social. Son but : parler de toutes les sexualités dans une démarche inclusive. Le site ne s’en tient pas à des conseils médicaux, mais aborde aussi les questions psychiques.

Bénéficiez d’une écoute singulière, sans jugement, par équipe pluridisciplinaire formée aux spécificités de l’écoute en santé sexuelle. Questions par livechat  ou e-mail

Exposition évènement du Diaspora crew

Une vingtaine d’artistes du collectif breton Diaspora Crew ont eu quartier libre pour travailler sur le thème “La nature reprend ses droits”. Plus de 600 m²  de peinture et d’installation  dans cette exposition temporaire du 19 au 27 décembre 2020, 32 cours de Chazelle à Lorient !

Le Diaspora crew est bien connu à Lorient, un article d’avril 2019 sur ce collectif d’artistes peintres en cliquant ICI

Réservez dès maintenant votre créneau sur https://www.linscription.com/pro/activite.php?P1=58062

En partenariat avec Seemo, dans le respect des normes sanitaires.

 

Une nouvelle lanterne pour la Tour de la Découverte

La Tour de la découverte, bâtiment emblématique de Lorient a retrouvé une nouvelle jeunesse. Après un long chantier, cet édifice du 18ème siècle qui domine la ville et la rade depuis la colline du Faouëdic a revêtu une « coiffe » toute neuve jeudi dernier.

L’opération était délicate, mais  s’est déroulée sans accroc. Ce bâtiment emblématique de Lorient situé dans l’enclos du port, a retrouvé une deuxième jeunesse avec une lanterne flambant neuve : Le résultat de plus de deux ans de travail.

En février 2018, la coupole avait été enlevée car en très mauvais état, elle était rongée par la rouille.

La nouvelle coupole a été fabriquée sur le modèle de celle qui existait en 1891 et qui avait été détruite par les bombardements alliés pendant la Seconde Guerre mondiale.

La Tour de la Découverte que nous connaissons aujourd’hui est la deuxième construite par la Compagnie des Indes. La première fut construite entre 1737 et 1744 pour surveiller le trafic des bateaux dans la rade de Lorient, elle avait été détruite par un incendie en 1751 après avoir été  deux fois touchée par la foudre. Les travaux de construction d’ une nouvelle tour ont débuté en 1785 dans l’enclos du port pour s’achever en 1786.

Au XIXe siècle, la Tour a été équipée d’une coupole abritant un projecteur de signalisation optique, permettant des communications optiques entre les établissements maritimes de la ville. Puis elle accueillera également un système de boule horaire permettant de relayer l’heure officielle à la flotte du port militaire, calculé par un observatoire de marine.

Mais Attention petite subtilité , c’est une tour de guet, et non un phare, car elle n’est pas équipée d’un feu. Elle mesure plus de 38 mètres de haut et il vous faudra monter 286 marches pour arriver à son sommet.

Fermée au public depuis 2015, la Tour de la Découverte devrait à nouveau être accessible aux visiteurs à partir de  mars 2021, pour nous  permettre de profiter à nouveau d’un des plus beaux panoramas sur la ville et la rade de Lorient.

« imMERsif  » à bord de Tara océan

Nouvel épisode concernant le Tara sur votre webjournal avec le documentaires imMERsif, en vidéo 360 et son 3D !

Embarquement à bord de Tara, le plus grand dériveur polaire du monde. Le voilier, est un véritable laboratoire scientifique flottant. En mai 2019, le bateau est parti pour six mois parcourir les quatre façades maritimes européennes à la recherche des microplastiques.

Une immersion à vivre en vidéo 360 et son 3D…avec un casque !

Un documentaire de Radio France en partenariat avec la Fondation Tara et Ocean, OceanView VR :

Avez-vous déjà entendu parler du son 3D ?

Documentaires, fictions ou musique : grâce à cette nouvelle technologie, Radio France vous propose de nouvelles expériences d’immersion.

A la découverte de toutes les solidarités au Festisol

 

Le Festival des Solidarités est maintenu malgré le confinement et propose, à l’occasion de cette édition un peu particulière, de nombreuses animations qui se tiendront majoritairement en ligne et à distance : projections-débat, conférences, café-philo et ateliers en ligne, parcours numériques et expositions, émissions de radio et podcasts, ateliers pour jeune public… Les solidarités ne se laisseront pas confiner !

Tout le programme sur www.festivaldessolidarites.org

Cette année les questions de justice climatique sont à l’honneur au Festisol : comment répondre aux inégalités face aux changements climatiques avec la solidarité en France et à l’international ?

« La solidarité se base d’abord sur une réalité : à l’échelle d’un quartier, d’un pays ou du monde, nos vies sont interdépendantes et nos actions ont un impact global. Mais la solidarité, c’est avant tout un choix : c’est décider de voir les autres comme une richesse, et comme des allié·e·s pour transformer ensemble le monde. » Jean-Marc Delaunay, coordinateur du Festisol, le Festival des Solidarités.

Un podcast du Festival des Solidarités qui aborde les questions d’inégalités, de solidarités entre les luttes et de justice climatique. Comment et pourquoi s’engagent celles et ceux qui œuvrent à transformer le monde. Quels sont leurs rêves ? Quelles alternatives se dessinent derrière le bruissement des solidarités ?

Épisode 1 : Les migrations environnementales.

Le changement climatique accélère la dégradation des conditions de vie des populations les plus vulnérables, alors même qu’elles en sont les moins responsables. Abordé sous l’angle de la justice sociale et environnementale, ce podcast donne la parole à Anzoumane Sissoko, malien, réfugié climatique et porte-parole de la Coordination parisienne des sans-papiers.

Avec Marine Denis, doctorante en droit international public à l’Université Sorbonne Paris Cité et enseignante à Sciences Po Grenoble et Lucie Pélissier, bénévole de Youth on the Move.

https://podcast.ausha.co/a-l-ecoute-des-solidarites/episode-1-les-migrations-environnementales

Épisode 2 : Écologie et pauvreté.

Les injonctions à participer à la transition écologique appartiennent pour les plus pauvres et vulnérables à une autre réalité. Comment faire quand on n’a pas un logement stable ? Comment sauvegarder son environnement quand son pays est déchiré par la guerre ?

Avec les témoignages de David Mahenda Kithoko, engagé pour la défense de la jeunesse et le reboisement en République Démocratique du Congo, Céline Vercelloni et Nicolas Charoy d’ATD Quart monde.

https://podcast.ausha.co/a-l-ecoute-des-solidarites/episode-2-ecologie-et-pauvrete

 

Le livre sur l’art du graffiti au pays de Lorient

Une idée cadeau pour les fêtes de fin d’année : Le livre « Street art Lorient » de Gwenaël Dréan

L’auteur reverse ses droits d’auteur à des associations caritatives et propose même une promotion  :

« Vous qui n’avez pas encore mon livre Street art Lorient ou plutôt qui souhaitez l’offrir à vos proches qui ne l’ont pas encore (si si, je pense qu’il y en a encore 😁), voici ce que je vous propose pour les fêtes de fin d’année:
soit pour un 1 livre acheté, le 2e à 50% (!!!)
soit 2 livres achetés et le 3e offert (!!!!!)
Les exemplaires seront DÉDICACÉS au prénom de votre choix ET avec DESSIN en page de garde ! (Le livre seul reste à 30€)
Pour les frais de port je demande une participation de 5€ OU -ce que je préfère- je vous remets ceci en mains propres ( Lorient ou Hennebont) .
Pour ce faire, contactez-moi par Messenger »

https://www.facebook.com/StreetArtLorient56

La webradio du Petit Paradis

Radio Goéland a été rebaptisé Radio 162. La webradio lorientaise est installée au quartier du Petit paradis en partenariat avec LB Habitat et la Ville de Lorient.

Une émission produite localement :
Jean Marc anime tous les midis en direct La vie con[f]inue, l’émission est rediffusée à 18h30.

La webradio rediffuse des émissions connues :
Le Grand Banquet se veut être un regard sur les jeux, le cinéma, la littérature, les séries, les bandes dessinées…
British Connection, L’Emission Rock qui passe ce qu’on n’entend pas sur les Radios Rock !

Comment les écouter ?

www.radio162.fr / Les podcasts /Les playlists sur La chaîne Youtube

Pour soutenir l’association et ses projets, adhérez ICI

L’art inuit avec Kenojuac Ashevak

L’artiste canadienne Kenojuac Ashevak est considérée comme LA femme Inuit dessinatrice…Sollicitée par la coopérative des dessinateur, elle a la chance de gagner en visibilité et est la première femme inuit  subventionnée par le gouvernement Canadien…Son dessin spontané outre sa valeur affective a aussi une valeur économique. Dans le monde du 21ème siècle son expression intéresse, entre autres, les éthnologues…Cette science humaine par ce qu’elle a pour objet l’étude des civilisations et leurs modes de vie selon les époques peut puiser dans cet Art ancestral qui transmet une façon de s’adapter au changement climatique…

En 1963, quand Kenojuak avait 35 ans, le National Film Board du Canada a effectué un court métrage documentaire sur sa vie, sa famille et son travail artistique, intitulé ′′ Eskimo Artist : Kenojuak « , qui a été nominé aux Oscars d’Hollywood En 2004

Plus d’informations sur Kenojuak Ashevak et sur l’art inuit

Sensibilisation au handicap

Découvrez la formation en ligne proposée par l’association régionale pour l’intégration des personnes en situation de handicap ou en difficulté (ARI). Une sensibilisation pour lutter contre les idées reçues, accessible gratuitement à tous les publics.

Au programme trois modules pour découvrir ou en savoir plus sur les divers handicaps et les personnes concernées ainsi que sur leurs vies en société. Le handicap est encore en 2020 la première cause de discrimination en France, ce type de démarche est essentielle pour favoriser l’inclusion des personnes concernées en prévenant et en évitant les situations discriminantes.

Pour accéder au cours, inscrivez vous sur https://sensibilisation-au-handicap.the-mooc-agency.com

Bonne formation à tous !