Une aventure à vélo solaire en Bretagne

De Lorient à Saint-Malo, suivez la 1ère édition du Breizh Sun Trip, une vitrine des nouvelles formes de mobilités. Chacun des aventuriers est un ambassadeur du solaire et de l’eco-mobilité, en prouvant leur efficacité et leur dimension humaniste. Parcours sur 10 étapes de 60 à 120 km pour visiter quelque-uns des plus beaux sites de la région.

« Ce n’est pas une compétition. Il n’y a pas d’itinéraire précis. Les participants, au gré de leur niveau et de leurs envies, vont faire des détours ou iront au plus court » précise le Savoyard Florian Bailly, fondateur et organisateur d’un Sun Trip à travers l’Europe en  2013.

Plus d’infos sur cette vidéo enregistrée au départ de la course :

Tour de Bretagne à suivre sur https://www.facebook.com/BreizhSunTrip

Deux associations  basées à Concarneau, Explore et Low Tech Lab sont présentes dans  cette aventure pour trouver des solutions aux défis environnementaux, nous suivrons leurs recherches avec intérêt !

De nombreuses expérimentations existent en France autour de ces technologies solaires.Les nouvelles menaces climatiques nous obligent à revoir nos habitudes…Grégory Barrier, un ingénieur a imaginé un véhicule fonctionnant à l’énergie solaire capable de transporter plusieurs personnes. Plus d’infos sur le site de l’association « Vélo Solaire Pour Tous » qui  a pour objet de promouvoir, dans un esprit de partage, une nouvelle forme de mobilité douce et accessible au plus grand nombre. Elle est née sur la base du constat qu’il existe une carence dans la gamme des véhicules individuels disponibles sur le marché, entre le vélo cargo deux roues et la voiture électrique :  https://vhelio.org/

Cette course permettra  aussi de sensibiliser le public à la pratique du vélo et informer sur l’important réseau des voies vertes et vélo-routes de Bretagne. Plus d’infos : www.francevelotourisme.com/carte-des-veloroutes-et-voies-vertes-de-bretagne

Atelier du Mois de la Biodiversité au Centre social du Polygone PLL


Dans le cadre du mois de la biodiversité, le Centre social du Polygone PLL organisait le mercredi 9 juin dans  de 14h30 à 16h un atelier biodiversité au jardin partagé de Frébault :  Installation de nichoirs et d’hôtels à insectes autour du jardins partagés.    

Un petit article est d’ailleurs paru récemment dans Le TélégrammeLorient : un après-midi à Frébault autour de la biodiversité – Lorient – Le Télégramme (letelegramme.fr)


Laura (La fabrique de Malo) est venue animer cet atelier au jardin partagé de Frébault fac
e à un public attentif.

La semaine précédente, un autre atelier avait eu lieu, déjà animé par Laura, mais au jardin partagé des Coccinelles.

L’atelier avait pour but de fabriquer et d’installer des nichoirs et des hôtels à insectes dans le jardin partagé et d’observer insectes et oiseaux.

Les enfants et parents du quartier étaient encore une fois au rendez-vous.

L’appel des Nations Unies à une action citoyenne

L’heure du changement a sonné. La campagne Agissons est un appel des Nations Unies à une action citoyenne contre les changements climatiques et pour la durabilité.

En changeant nos habitudes et en faisant des choix qui ont moins d’effets néfastes sur l’environnement, nous avons le pouvoir de lutter contre les changements climatiques et de construire un monde plus durable.

Passez à un mode de vie plus durable. L’application mobile d’AWorld (en anglais) vous permet de choisir et de suivre un ensemble de gestes quotidiens durables et de voir leurs effets en termes d’économies de carbone, d’eau et d’électricité. Vous pouvez également effectuer des parcours éducatifs, participer à des défis en groupe, obtenir des conseils et répondre à des quiz, le tout dans le but de vivre de manière plus durable.

Télécharger l’application pour Android ou pour Apple

Pour sensibiliser les enfants, des activités à réaliser avec l’aide d’un adulte :

Deviens un super-héros de l’action pour le climat !

 

Pour plus d’informations sur les Objectifs de développement durable (ODD), cliquer ici.

Le buffet des idées avec les centres sociaux

« Buffet des idées » : 6 mois de réflexions en préparation du congrès fédéral de la Fédération des Centres Sociaux de France

Une démarche d’éducation populaire de grande qualité, un programme de musculation citoyenne !

Enjeux démocratiques, rôle des associations et pratiques collectives d’éducation populaire

Table ronde le 21 janvier 2021 animée par Jérémy Louis, avec Loïc Blondiaux, politologue spécialiste des questions de démocratie, Tarik Touahria, président de la FCSF, et Adeline de Lépinay – formatrice, autrice, artisane de l’éducation populaire

Démocratie, égalité et justice sociale

Etat des inégalités en France et contours de la notion de justice sociale (inégalités justes et injustes, principes, reconnaissance…)

Avec: Anne Brunner, directrice d’études à l’observatoire des inégalités, François Dubet, sociologue

L’écologie une affaire de centres sociaux ?

Capsule vidéo des interventions de Catherine Neveu, anthropologue et Jérémy Louis, docteur en études urbaines

 

Podcast “Histoires de…” !

Les aventures de Maïa, jeune actrice du réseau des centres sociaux, qui partage ses réflexions et questionnements sur la démocratie et la justice sociale 

Doit-on être formé.e et informé.e pour pouvoir participer?

Pour le premier épisode, Maïa  va à la rencontre de la Commission Nationale du Débat Public et d’Aequitaz.

C’est quoi, lutter contre les discriminations ?

Pour ce deuxième épisode, Maïa va à la rencontre de Mame-Fatou Niang, enseignante chercheuse intéressée par les questions de discriminations, et Solène Compingt, formatrice en éducation populaire.

L’écologie, c’est un problème de riches ?

Pour ce troisième épisode, Maïa se demande si l’écologie, ce ne serait pas problème de riches ? Elle va à la rencontre de Valérie Deldrève, directrice de recherche en sociologie à l’Institut national de recherche en agriculture, alimentation et environnement, et Malika Peyraut, militante à Alternatiba.

Dans le sillage de la goélette Tara

Nous suivons avec attention la Mission Microbiomes de la Fondation Tara Océan à l’espace multimédia. Mettons le cap sur l’Atlantique Sud, chaque nouvelle mission de la Fondation nous permet d’en apprendre plus sur l’océan, 70% de notre planète, le plus grand endroit inexploré sur Terre !

La goélette continue donc son étude des microbiomes (virus, bactéries, micro algues et planctons) et sa sensibilisation au réchauffement climatique.En parallèle à ces études, Tara continue sa lutte contre la pollution plastique. Bientôt, Tara va continuer d’étudier les upwellings (remontées d’eau des profondeurs de l’océan), au large des côtes chiliennes.

Avec l’opération Dans le sillage de TARA, nous avons l’opportunité d’échanger tout au long de l’année avec l’équipe de la fondation Tara Océan : avec les membres d’équipage de la goélette, mais aussi avec des scientifiques ou l’équipe à terre.Nous bénéficions de ressources pédagogiques que nous partagerons sur cette page.

N-B : Tara Junior sur Youtube est accessible à tous, cliquer ici

Pour le mois de l’Histoire des Femmes et la Journée Internationale des Droits des Femmes, la Fondation Tara a partagé, tout au long de la semaine, le portrait de Femmes qui font la Fondation Tara Océan. Du 8 au 12 mars sur Facebook

L’ONU a lancé sa décennie d’action pour protéger l’océan, Tara y sera partie prenante, plus d’infos

Un live très intéressant concernant la vie à bord a été diffusé sur Instagram, n’hésitez pas à vous abonner !

Visioconférence « Plastiques en mer »

Le plastique impacte directement les animaux marins dans leurs développement (reproduction, croissance, mortalité). Mais les plastiques ne sont pas une matière inerte, ils hébergent une vie microbienne très riche ! Une visioconférence de Lata Soccalingame, chercheuse à l’Université de Lorient (IRDL), pour découvrir les espèces présentes sur le plastique, connaître leur dangerosité ou leurs capacités à dégrader le plastique :

 

En direct avec l’équipage du Tara

Nous avons eu la chance de participer à une visioconférence en direct du Panama avec deux membres de l’équipage du Tara, cette magnifique goélette scientifique, dont le port d’attache est Lorient

Miléna CERDA (technicienne microplastiques) et David Monmarché (officier de pont) nous ont fait faire un tour d’horizon à bord, en direct du cockpit ! Des enfants de plusieurs pays comme la France, le Brésil, la Bolivie ont posées toutes sortes de questions aux deux membres d’équipage.

Quelle est la motivation des membres de l’équipe qui les pousse à s’embarquer ?

Pour Milena, c’est une participation à des programmes internationaux, l’étude en elle-même, la possibilité d’utiliser un laboratoire à bord par toutes conditions de temps. Pour le David, ce sont les plongées.

Quel animal marin le plus grand avez-vous rencontré ?

La Tara a croisé en Patagonie de gros mammifères comme des baleines, des rorquals, des lions de mer. Les membres de l’équipage ont même vu des scènes de chasses de globicéphales (des dauphins). Il faut aussi souligner la présence de très beaux micro-organismes.

Travaillez-vous le jour comme la nuit ?

Les journées commencent à 6h et se terminent vers 23h pour les techniciens. Elle est continue pour les marins.

Qu’est-ce que le microbiome ? Dans quel océan se trouve t-il ?

Du grec micro, « petit », et bios, « vie », le microbiome océanique est un monde microscopique marin, élément clé de la vie sur Terre. Il fournit d’énormes services à notre planète, mais aussi aux êtres humains. On le trouve partout, plus ou moins en bonne santé…

Découvrez le nouveau podcast de la Fondation Tara Océan !

Une expérience à vivre avec ses écouteurs pour une immersion inspirante à la surface et à 20 000 lieux sous les mers.

Ecoutez Un hublot sur l’Océan le podcast de Tara en cliquant ICI

 

Suivez l’expédition sur https://oceans.taraexpeditions.org

 

Par Isabelle et Nicolas

Journée mondiale de l’océan

Saviez-vous que notre océan couvre 70% de la surface de la Terre, abrite 80 % de la biodiversité, génère 50% de l’oxygène dont nous avons besoin  et absorbe  30% du CO2 produit par les humains mais est en danger à cause de l’activité humaine ?

Alerte ! L’océan a la capacité de réguler le climat mais à l’avenir il pourrait ne plus y parvenir et même avoir l’effet s’inverse. Le poumon bleu de notre  planète pourrait à terme contribuer à son réchauffement. Plus d’infos sur le site de l’UNESCO 

Programme marin du patrimoine mondial :

50 aires marines protégées  d’une valeur universelle exceptionnelle, des symboles d’espoir dans un océan en mutation

https://whc.unesco.org/fr/programme-marin/

Plateforme Océan & Climat :

La Plateforme Océan & Climat a pour mission de favoriser la réflexion et les échanges entre la communauté scientifique, la société civile et les décideurs politiques afin de mieux tenir compte de l’Océan dans la lutte contre le changement climatique.

https://ocean-climate.org/

Océans, le mystère plastique

Parmi tous les déchets plastiques déversés dans les mers, les scientifiques n’en retrouvent que 1 %. Où est passée l’immensité restante ? Enquête sur une pollution toxique devenue invisible.Réalisation :Vincent Perazio (2016)

Le blues des océans

Un voyage à la découverte des initiatives pour préserver la survie des écosystèmes marins du Pacifique. Avec des images à couper le souffle, une ode cinématographique aux océans doublée d’une plongée choc dans un univers en péril. Réalisation : Karina HOLDEN (2017)

Atelier Biodiversité au jardin partagé des coccinelles

 

Dans le cadre du mois de la biodiversité et du développement durable, les activités  continuent au Centre social du Polygone PLL.

Hier après-midi, Laura (La fabrique de Malo) est venue animer  un atelier biodiversité au jardin des coccinelles.

L’atelier avait pour but d’installer des nichoirs et des hôtels à insectes dans le jardin partagé.

Morgane et Gaël en ont profité pour sortir leurs kits d’observation afin que petits et grands puissent découvrir et étudier  insectes, oiseaux et végétaux au plus près.

– Prochains ateliers : 

  • Atelier Biodiversité :  Jeudi 03 juin  de 14h30 à 16h : fabrication de macérat huileux
  • Atelier Biodiversité : Mercredi 09 juin de 14h30 à 16h : Installation de nichoirs et hôtels à insectes autour des jardins partagés
  • Ateliers cosmétiques : Mercredi 16 juin de 14h30 à 16h  et vendredi 18 juin de 9h30 à 11h :  fabrication de baumes

 Pour participer à un atelier , l’inscription est obligatoire.

– Informations : 

Centre social du Polygone PLL – 80 avenue du Général de Gaulle – Lorient – 02 97 83 69 64

 

Mois de la Biodiversité au Centre social du Polygone

 

Dans le cadre du mois de la biodiversité et développement durable au Centre social du Polygone PLL, le premier atelier a eu lieu ce mardi sous un beau soleil.

Le thème : Fabrication de macérat huileux au romarin et à la fleur de soucis(Calendula) tout au naturel.

Laura (La fabrique de Malo) est venue animer cet atelier macérât au jardin partagé des coccinelles face à un public attentif .

 

 

Les prochains rendez-vous :

  • Atelier Biodiversité :  jeudi 03 juin  de 14h30 à 16h : fabrication de macérat huileux
  • Atelier Biodiversité : Mercredi 09 juin de 14h30 à 16h : Installation de nichoirs et hôtels à insectes autour des jardins partagés
  • Ateliers cosmétiques : Mercredi 16 juin de 14h30 à 16h  et vendredi 18 juin de 9h30 à 11h :  fabrication de baumes

 Pour participer à un atelier , l’inscription est obligatoire.

Information :  Centre social du Polygone PLL – 80 avenue du Général de Gaulle – Lorient – 02 97 83 69 64

Connaissez-vous votre empreinte sur le climat ?

Un Français émet en moyenne 11,2 tonnes de CO2 par an. Les experts estiment qu’il faudrait limiter ce chiffre entre 1,6 tonne et 2,8 tonnes de CO2 par an. Faites le test et découvrez où vous vous situez. Pour atteindre l’objectif des accords de Paris, il nous faut  arriver à 2 tonnes d’ici 2050…

Mais d’où vient cet impact ? Quels gestes et achats de mon quotidien en sont responsables ?

Ce convertisseur vous aide à y voir plus clair. Ainsi vous pouvez comparer facilement différents gestes et voir ce qui compte vraiment :

https://monconvertisseurco2.fr

Si vous souhaitez aller plus loin dans votre démarche, vous pouvez calculer votre empreinte sur le climat avec le simulateur de l’Agence de la transition écologique :

https://nosgestesclimat.fr/

 

 

Une forêt dans la mer

Un scoop scientifique sur les baleines a été révélé : Des scientifiques se penchaient depuis longtemps sans affirmer leurs thèses, sur ces géants des mers.

Tout d’abord, le repas favori de ces espèces est le krill, un phytoplancton.Ces organismes marins se développent en captant le CO₂ dans l’atmosphère. Quand elles meurent, après une vie de voyage et de repas « krill », les baleines coulent naturellement au fond de l’océan. Le fond marin va lui conserver en son sein, pendant des siècles toute cette matière (CO₂compris). Sur terre, ce sont les arbres qui une fois remplis leur rôle de poumon, (absorber le CO₂, pollution, etc…) se décomposent et minéralise le sol. Un arbre va piéger 22 kg contre une baleine 33 tonnes de CO₂.

Cela dit la comparaison n’a pas lieu d’être, chaque élément (terre/océan) ne fonctionne pas de la même façon, même si le but est commun : purifier l’air, favoriser la vie d’autres espèces.

En effet, la baleine, en montant et en descendant de la surface de l’eau, brasse le phytoplancton. Elle le répartit dans le monde à travers ses longues migrations. Dans ses déjections, plein de minéraux, elles régénèrent le phytoplancton qui s’en nourrit. Beaucoup d’espèces de poissons dans son sillage se nourrissent grâce à elles.

Son existence ravit donc tout le monde, elles assurent aux pêcheurs des ressources, elles purifie l’air de l’océan, et donc la « vie » dans cet élément, qui nous fascine tant. Enfin cette étude, permettrait d’être une arme efficace, pour favoriser la réintroduction des baleines dans la mer.Malgré l’interdiction depuis 40 ans de sa pêche, elle ne retrouve pas un chiffre suffisant d’individus.

Reste à proposer des trajectoires différentes aux cargos (notamment aux abords des côtes USA de l’ouest) qui heurtent souvent les cétacés. On compte une centaine de cétacés par an, sans compter notre rôle de pollueur de plastique, qui se transforme vite en phytoplastique et raccourcit de près leurs vies,pourtant si vitale.

On souhaite donc que ces éléments deviennent un bouclier imparable pour protéger ce « poumon » des océans, qui selon les chercheurs estime, qu’une baleine vivante correspondrait sur terre à 1500 arbres.