Lorient La Base en fête

Début avril, la Cité de la Voile Éric Tabarly fêtait son 15ème anniversaire et la goélette Tara quittait les pontons pour sa prochaine expédition afin de comprendre l’impact des activités humaines sur la biodiversité des écosystèmes des côtes européennes, plus d’infos. La journée a été rythmé par le funambule Nathan Paulin, le Bagad Plijadur de Lorient et le concert des Spams.

Pour les projets, une  Cité des Moussaillons dans les cartons depuis 2019 sera ouverte en 2024 sur 400 m2 au rez- de-chaussée  et comprendra un voilier monumental….Suivez Marie Tabarly à la barre de Pen-Duick VI au service de la cause environnementale sur https://www.elementerre.earth

Toute la programmation des projections de films à la cité de la voile sur le site de l’association salée, le magazine du nautisme du Télégramme sur le Café de la Marine

Retour en images sur ce week-end festif, cliquez pour agrandir :

Jocelyne

Lydie

David

Nicolas

Agora des jeunes

La ville de Lorient lance le 3 avril l’Agora des jeunes.

L’agora sera un espace numérique pour consulter les jeunes de  14 à 25 ans, résidant, étudiant ou travaillant à Lorient

Ainsi la ville souhaite impliquer et faire participer davantage les jeunes lorientais dans la vie locale. Cela permettra également  de mieux prendre en compte leur avis lors de l’élaboration et la mise en œuvre des projets.

Sur jeparticipe.lorient.bzh , les jeunes pourront se retrouver virtuellement pour échanger.

Un temps fort en présentiel sera organisé à l’automne 2023 . L’avenir de l’environnement sera la thématique des débats pour 2023-2024

L’initiative débutera avec l’ouverture d’un espace dédié sur la plateforme numérique participative fonctionnelle jusqu’à fin septembre 2023. La plateforme permettra de recenser les projets sur lesquels  ils  souhaitent  s’investir   aux   côtés   de   la ville et  les idées de jeunes sur le thème de  choisi. Il y aura plusieurs espaces d’expression: un d’expression libre et un  afin de répertorier les réflexions et engagements des jeunes sur des projets susceptibles d’être réalisés avant l’été 2024.

 

Visite du musée de la carte postale

En février, visite avec 6 adhérentes du centre social Keryado du Carton voygeur, le musée de la carte postale à Baud.

Créé en 1996, le musée est composé de quatre étages dont les 1er et 2e étages sont des auditoriums tandis que le rez-de-chaussée comporte la billetterie ainsi qu’un coin boutique, au 3e étage, se trouve l’exposition sur l’histoire de la carte postale en Bretagne depuis le XXe siècle jusqu’à maintenant sur différents supports.

Des cartes postales de différentes époques présentent l’évolution de la Bretagne et notamment le centre-ville de Lorient :
– Le début du XXe siècle (juste avant la 1ere Guerre Mondiale)
– Juste après la 2e Guerre Mondiale
– Dans les années 1960

L’exposition présente de nombreux et différents objets sur le thème de la carte postale qui datent du passé et du présent sans oublier plusieurs partis :
– la 3D des années 1900
– le studio – photo
– l’Ankou interactif
– les correspondances dévoilées
– l’immersion dans le monde des superstitions…

Au même étage et dans le même espace, certaines pièces de collection , du couturier Pascal Jaouen qui s’inspire de costumes et broderies à partir de cartes postales datant du début du XXe siècle en Bretagne (notamment de Pontivy, le Léon, le pays de Vannes…), sont exposées dans différents endroits et sont présentées au public du 4 février au 28 mai 2023.

Plus d’informations sur https://www.lecartonvoyageur.fr/

N-B: Les collections de cartes postales du musée sont progressivement numérisées et mises en ligne depuis 2003 via la base de données Cartolis.

Actualité de l’Atlas socio-culturel de la rade de Lorient

Première causerie à Locmiquélic vendredi 24 mars à 14h, salle de l’Artimon.

À l’occasion de la conférence Et si on parlait du Blavet à Locmiquélic ? dans le cadre de Blavet au naturel, Kizzy Sokombe réalisera une fresque dessinée en duo avec le dessinateur Mathias Rebuffé.

Nous synthétiserons par le dessin la conférence à 4 voix et les échanges avec le public.

Pour partager une histoire, un texte, une photo, rendez-vous sur www.atlaslorient.fr

Bienvenue chez vous

Bienvenue chez vous, c’est le rendez-vous tourisme organisé par  Lorient Bretagne Sud Tourisme .

Une invitation aux habitants des 25 communes de Lorient Agglomération et des communes voisines à venir découvrir l’offre de découvertes et de loisirs de la Bretagne Sud .

35 exposants y présenteront leurs activités et leurs savoir-faire : Evénements, idées de sorties, idées de visites, nouvelles pratiques sportives, ludiques et nautiques, loisirs insolites, croisières vers les îles ou sur le littoral, idées randos…

Sur place, vous aurez  des animations, des démonstrations, des bons plans…

Informations pratiques :

Entrée gratuite – Rendez-vous au Palais des congrès le Vendredi 7 avril de 14h à 18h et Samedi 8 avril de 10h à 18h

Plus d’infos :

www.lorientbretagnesudtourisme.fr

ou par téléphone : 02 97 84 78 00.

Mardi Gras

La date de Mardi Gras ?

Mardi Gras n’est  pas un jour férié.

La date de Mardi Gras n’est pas fixe. Elle change chaque année, et est déterminée en fonction de Pâques,  lui-même fixé le premier dimanche suivant la première pleine lune du printemps. La fête tombe cependant toujours un mardi, 47 jours avant le dimanche de Pâques.

D’où vient Mardi Gras ?

C’est à dire le jour où tu dois manger gras.

La fête de Mardi Gras trouve son origine dans l’Antiquité.

Les Romains fêtaient les « Calendes de Mars » c’est à dire le réveil de la nature au printemps. À cette occasion, tous les interdits sociaux pouvaient être transgressés.

Cette tradition a ensuite été reprise par les chrétiens au IVème siècle.

Mardi Gras marque alors la fin de la semaine des  » sept jours gras « , qui précèdent le « Carême », période de jeûne de 40 jours durant laquelle l’on s’abstient de consommer de la viande et des aliments issus des animaux (beurre, œufs, etc.). Dans « Mardi Gras », le terme « gras » fait  référence à des aliments riches qui ne seront plus consommés au quotidien durant la période de jeûne. Le Mardi Gras autorise tous les excès et célèbre l’abondance avant une période de restriction.

La célébration de Mardi Gras était  fortement liée à la tradition catholique, mais cela a évolué au fil des siècles. Aujourd’hui, la fête est très populaire dans de nombreuses régions du monde, et est devenue  un moment festif où petits et grands enfilent des déguisements.

Quelles sont les traditions de Mardi Gras ?

Le jour de Mardi Gras, on se déguise  et on mange des crêpes!

La fête est aujourd’hui l’occasion de consommer en abondance des crêpes, mais aussi des gaufres ou encore des beignets. Cette coutume provient de la nécessité d’épuiser le beurre et les œufs qui ne pouvaient pas être mangés pendant le Carême (jeûne).

Les gourmandises changent selon les régions du monde: des crêpes, des beignets, des gaufres, bottereaux  mais aussi bugnes confectionnées dans le sud-est de la France et en Italie.

Ce jour est également associé au déroulement d’un carnaval qui peut être considéré comme le point final de plusieurs jours de fêtes des sept jours gras. Ces célébrations colorées qui se déploient dans le carnaval serait apparus au XIème siècle à Venise, encore connu aujourd’hui pour son célèbre carnaval .

D’ailleurs, le mot « carnaval » vient  de l’italien carnilevare ; « carne », qui signifie « viande » et de « levare » qui se traduit « enlever »: la période où on « enlève la viande ».

Aujourd’hui, de nombreux carnavals sont organisés pour Mardi gras en France. On compte parmi les plus connus ceux de Dunkerque, de Nice ou encore de Guadeloupe.

 

Sortie Willy Ronis à Vannes

Hier, un groupe s’est donné rendez-vous au PLL à 13h30. Destination l’exposition Willy Ronis à Vannes en place depuis décembre et qui se terminera début mars 2023.

Dans l’enceinte du « Kiosque » de Vannes, nous sommes accueillis par une charmante guide. Nous avons passé une demie heure en sa compagnie. Elle nous a raconté l’histoire et la vie du grand photographe à travers différentes étapes de sa vie. C’est avec grand plaisir que nous avons tous admiré de merveilleux clichés en noir et blanc. Qu’il s’agisse de portraits de rues ou de vie privée…

Cette sélection a fait l’objet d’une publication chez Flammarion.

Avant de quitter Vannes, nous avons pu admirer de magnifiques graffs dans la ville. Voir les photos en cliquant ici

Merci au PLL d’avoir organisé cette visite d’exposition. J’espère que nous aurons l’occasion de faire d’autres sorties de ce genre. Ce fut un très agréable après-midi.

Plus d’informations sur l’expo en cliquant ici

Reportage photo de Erik

Le fonds Willy Ronis et la Médiathèque du patrimoine et de la photographie en cliquant ici

N-B: Exposition « Willy Ronis : se retrouver » à Pont-Aven jusqu’au 28 mai 2023

 

Evolution des blasons de Lorient

Au temps de la Compagnie des Indes, au XVIIIème siècle, étant donné le besoin de signer des patentes qui devaient être scellées avec authentification officielle des documents, pour celles qui étaient autorisées à des navires de commerces, les notables de Lorient essayèrent d’obtenir des sceaux et des armoiries pour la ville.

Pour obtenir ces précieuses armes, il fallut contacter Antoine de Montigny, le procureur du collège des Jésuites, pour qu’il contacte lui-même Louis-Pierre d’Hozier, juge général d’Armes de France, seule personne en France habilitée à autoriser à en « fixer ». ( = rendre durable ou inaltérable – Le Robert).

Le règlement de Louis d’Hozier a été établi à Paris le 20 mai 1744. Voir le descriptif de ces armoiries en bas de page.

Sur les armoiries, figure aussi la devise de la cité :

« Ab oriente refulget » : C’est de l’Orient qu’elle resplendit

 

C’est le 24 mai 1745 que la cité portuaire verse 51 livres pour la réalisation d’armoiries qui sont alors apposées dans la Maison commune. C’est le menuisier Le Floch qui a réalisé le cadre et le fond de planche et une autre personne qui a confectionné les peintures, dorures et argenteries.

 

Evolution des armoiries à travers le temps :

Une fois l’écu fixé, on ne peut le modifier, mais on peut changer le décor qui l’entoure.

Au XVIIIème siècle, la municipalité ajouta une ancre de marine, à la droite de l’écu. Les autorisations d’avoir des armoiries de ville furent supprimées entre le décret du 19 juin 1790 et le 17 mai 1809. Lorient a dû attendre Le 8 novembre 1815 pour récupérer ses anciennes armoiries.

En 1960, il est question de les modifier en incluant des décorations décernées à la ville. Après délibérations et concertations, le 21 octobre 1961, un projet de modification est validé pour le contour de l’écu :

– Une nouvelle représentation apparaît à gauche de l’écu :

« support à senestre (gauche) : un dauphin au naturel regardant »

– En remplacement du triton qui surmontait l’écu :

« l’écu timbré de la couronne murale d’or à quatre tours ». Alors que seules les villes dotées de fortifications peuvent y prétendre, Lorient a obtenu le droit de l’adjoindre à ses armes en souvenir de ses anciennes fortifications construites à partir 1744 et détruites au début du XXe siècle

– Plusieurs ajouts en dessous de l’écu :

« soutien : l’écu soutenu en pointe par une ancre de marine qui broche sur un listel chargé de la devise « Ab oriente refulget (c’est de L’Orient que resplendit la lumière) ».

« la Croix de la Légion d’honneur et la Croix de Guerre, appendues de chaque côté de la pointe de l’écu, de part et d’autre de la stangue de l’ancre, sur la traverse de laquelle brochent les deux décorations».

Le 29 décembre 1965, Georges Gaigneux, archiviste de Lorient, soumet à nouveau au Conseil municipal, la révision de celles-ci.

Le projet est adopté dans la mesure où, par rapport au dessin de 1961, le dauphin et le triton auront les mêmes dimensions et que la base de l’ancre est élargie et ses pointes légèrement remontées. Le blason est adopté à la majorité en tenant compte des observations ci-dessus. Il faut également noter que bien qu’il n’avait pas encore été officialisé, des médailles frappées de ce blason étaient déjà distribuées lors des cérémonies.

 

En 1986, est apparue une nouvelle représentation symbolisant la ville. Trois éléments clés y figurent :

– Le soleil, qui est le symbole du pôle d’attraction qu’est la ville sur le plan culturel et sur le plan économique

– Le O majuscule, pour indiquer la fondation de la ville au temps de la Compagnie des Indes.

– Le L, qui a une allure de vague, pour rappeler la vocation maritime de la ville comme la jeunesse et le dynamisme.

En 2000, An Oriant est ajouté à cette représentation.

 

 

Descriptif de ces armoiries de 1744 :

« Un écu (1) de gueules (2) à un vaisseau d’argent voguant sur une mer de sinople (3) et un soleil d’or se levant derrière des montagnes d’argent, posées au flanc droit de l’écu et un franc-canton (4) d’argent semé de mouchetures (5) d’hermines de sable (6). L’écu ayant un chef d’azur (7) semé de besants (8) d’or et surmonté d’un triton au naturel, ayant le bas du corps en forme de poisson, tenant de la main droite une corne d’abondance, et de la gauche une coquille en forme de cornet, qu’il porte à sa bouche pour servir de trompe. »

NDLR, vocabulaire de la science des blasons :

(1) Écu…..…………. : « rappel du bouclier, défini par son sommet, sa pointe et ses côtés. » ; « blason central »

(2) Gueules………… : « émail héraldique de couleur rouge » ; « couleur rouge figurant en gravure par des traits verticaux »

(3) Sinople…………. : « c’est une couleur héraldique classée dans les émaux. Vert en représentation polychrome, il est symbolisé par des     hachures à 45° partant du point dextre du chef (\\\) en représentation monochrome gravure, architecture, sceaux, etc.» ; « couleur verte figurant en gravure par des hachures obliques allant de dextre à senestre »

(4) Franc-canton ….. : « pièce honorable en forme de carré, légèrement plus grande que le canton. (Le canton est une partition carrée, placée à un des angles de l’écu, au chef-dextre par défaut. On donne aussi le nom de canton aux quatre zones du champ laissées visibles par la croix et le sautoir.) »

(5) Mouchetures ….. : « chacune des petites marques de l’hermine ou de la contre-hermine »

(6) Sable « noir »

(7) Chef d’azur ……. : « sommet bleu »

(8) Besants ………….  : « un type de figuration représentant un disque de petite taille »

 

Sources pour les informations et les illustrations:

https://patrimoine.lorient.bzh/histoire/histoire-generale/evenements-et-historiques/attribution-darmoiries-a-la-ville?no_cache=1

https://www.sahpl.asso.fr/SITE_SAHPL/Armoiries_de_la_ville_Lorient.htm

http://www.armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=13277

https://www.heraldry-wiki.com/heraldrywiki/index.php?title=Lorient

https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/lorient-a-kerentrech-d-ou-proviennent-ces-armoiries-7523f68c-cc7e-11ec-bc35-01778601fe28

 

Lorient, les mémoires d’une ville détruite

Lorient commémore cette année les 80 ans du bombardement qui l’a anéantie entre le 15 janvier et le 16 février 1943. Les Alliés déversent entre 50 et 60 000 bombes incendiaires sur Lorient, détruisant environ 3 000 des 5 000 immeubles de la ville. Le théâtre, l’Hôtel Gabriel et l’église Saint‐Louis sont à terre. Plus d’infos sur le site des Archives et du Patrimoine

Ce film documentaire a été réalisé par Christophe Hoyet en 2003, est illustré par des archives photographiques et cinématographiques de cette époque.

© Ville de Lorient & Trigone Production

Les anciennes murailles de Lorient

En se promenant dans la ville aujourd’hui, il est parfois difficile d’imaginer les constructions qui ont disparu avec les siècles. En l’occurrence, je vous invite à vous demander ce que furent les anciennes murailles de notre ville et surtout où elles furent construites.

Si c’est bien en 1666 que furent octroyés des terrains à la Compagnie des Indes Orientales,  dans une des rares rades de France, à l’embouchure du Scorff et du Blavet, la date où ces espaces sont ainsi offerts correspond à l’édit de création de la ville.

Peu à peu, la ville va se créer progressivement autour des terrains sur lesquels sont construits les futurs bateaux de la Compagnie des Indes. Peu à peu la cité augmente sa surface. En 1735, Angères du Mains, un ingénieur des fortifications de Bretagne à Brest, de 1728 à 1739, dessina un projet pour fermer l’espace côté terre. Ce ne sera qu’en juin 1744 qu’une muraille est enfin terminée, avec trois fronts de polygones fermés par deux bastions et deux tours aux angles intermédiaires. L’ensemble est relié par deux courtines.

Si on se réfère au nom des rues actuelles de Lorient, il est possible de situer l’emplacement de l’ancienne muraille :

– Mur extérieur : le long des boulevards Général Leclerc et boulevard Maréchal Joffre, puis les rues Le Poulichet, Delory et Albert Schweitzer ;
– En intérieur (intra-muros) : la ligne part de la rue Cambry vers la place Aristide Briand, direction la rue de Kervérot vers l’intersection de la place de la Libération et la rue Vauban. Puis, la ligne se poursuivait : tout droit en parallèle au boulevard Joffre, à partir de là, à travers la gendarmerie vers la rue des Remparts, puis l’allée du Colonel Rémy.

Les places Aristide Briand et Clémenceau se trouvaient au pied des portes, intra-muros.

Par ailleurs, il existait une lunette à Kerlin, près du pont du moulin ou moulin à marée qui se trouvait entre la mer et l’étang du Faouédic. Son implantation qui partait de la place des Frères de Beaufort était à peu près située entre l’avenue Anatole France, la rue Faidherbe, le début de la rue Michelet avec retour vers la place Jules Ferry en direction de la rue Cambry.

Source Archives Ville de Lorient

 

Le 17 octobre 1744, le contrôleur général des finances Fulvy accepte la création de deux portes dans les enceintes :
– La porte de Ploemeur (avenue du Faouedic) était dotée d’un pont-levis. Ce dernier passait au-dessus des douves qui longeaient les fortifications et se remplissaient à chaque marée.
– La porte d’Hennebont place Clémenceau ou porte du Morbihan était protégée par deux barrières. La première se trouvait en amont, au niveau d’un bastion qui la protège et la seconde était en avant sur la route.

Leurs constructions furent achevées en 1758.

Au cours du 20ème siècle, les murailles furent détruites.

Un grand merci au service du Patrimoine de la Ville de Lorient pour leur aide.

Plus d’infos : https://patrimoine.lorient.bzh/histoire/architecture/edifices-militaires/fortifications-de-lorient/