Handiglisse à Guidel

Des émotions fortes se sont déroulées à Guidel-Plage ce 11 et 12 Juin 2022. Une date qui marque les participants, le rendez-vous pour certains(nes) qui viennent depuis 10 ans.

Du surf, de la glisse en général, des équipes rodées pour permettre à tous ces courageux surfer venus le temps d’un week-end oublier la terre ferme.En effet , le site et des partenaires permettent d’accueillir tous et toutes, enfants, adultes et personnes âgées, le point commun, le fun et du partage !

Après une bonne session et diverses activités proposées les personnes handicapées peuvent dormir (les dortoirs gratuits sont à disposition), manger sur place. Le site des éclaireurs de France accueille des emplacements pour les tentes et les camions aménagés et a permis à l’association de vivre quelques soirées riche en musique lors de concerts le soir, d’un barbecue à la belle étoile, et de créer des amitiés autour de la glisse.

Une dose de poésie a accompagné cet évènement ce week-end, par les immenses cerf volants colorés flottant au dessus de la plage.

Crédit photo : Sabrina Veinberg

Une solidarité instantanée qui ne laisse personne bien longtemps dans la difficulté, un souci de transport, un covoiturage est déjà proposé dans la foulée.

Le soir, après avoir rendu sa combi, prêté généreusement par l’asso, des food truck étaient présents ainsi que la « Mobil jam » une caravane transportant tout ce dont un musicien a besoin pour animer la soirée.

Une scène ouverte a permis d’exprimer sa créativité par des improvisations au chant et instruments. Samedi soir était le moment de réunir tout ce petit monde et d’être dans la continuité bienveillante du festival. Des groupes ensuite ont donné le ton, du rock, du blues, ont fait le bonheur et vibrer les amateurs(trices) de vibes et de musique !

Une attention spéciale se dégage des bénévoles, aux petits soins pour garantir le confort et la joie des participants. Important finalement pour les p’tits nouveaux (elles), l’encadrement des bénévoles est proposé par l’asso, afin de répondre au mieux aux activités de Vagdespoir.

Le soleil a vraiment été de la partie, une chaleur idéale et un vent suffisant pour que la mer nous donne de belles vagues.

Enfin Vagdespoir, certes c’est une aventure entre Handi / valides, mais elle forme et sensibilise au handicap toutes personnes, associations, milieu hospitalier…Changer son regard tel est le Maître-mot !

Le site web de Vagdespoir : https://www.vagdespoir.com/page/213740-presentation

Reportages au Polygone à la Journée des Solidarités

Je me présente, Hugo, jeune stagiaire en communication auprès du Patronage Laïque de Lorient.

J’ai eu la chance d’intégrer leurs équipes courant mai me permettant ainsi de couvrir les évènements découlant de : « la Journée des Solidarités ».
Cette dernière était une initiative commune aux habitants du Polygone-Frébault, du conseil citoyen de quartier ainsi que du centre social du Patronage Laïque de Lorient dans l’optique de réunir les habitants et les représentants d’associations et de structures dans un soucis d’entraide et d’échange.

 

Le centre du Polygone a su accueillir pour l’occasion durant cette journée :

(cliquer pour accéder aux reportages)

Jardin partagé

Le conseil citoyen

Les Compagnons Bâtisseurs

Les Cuisiniers Solidaire

Le Pimm’

Syklet

Ti Mouv

Le Garage Solidaire

L’association Solidarité +

Muriel l’esthéticienne

La Fabrique de Malo

Le Petit marché du Vendredi

Les L solidaires

L’atelier de réparation

Cette journée à également été l’occasion pour les enfants de s’amuser et de se dépenser grâce à la Ludomobile, l’atelier perles, ou même les structures gonflables. Tout cela accompagné d’une ambiance musicale proposée par Jacques et alimenter par les chanteurs en maraudes. En bref cette journée c’est dérouler sous l’image de l’union au sein du quartier Polygone-Frébault

Retrouvez un reportage photo sur cette journée en cliquant ICI ou LA

MOOC Changement climatique

Un MOOC (massive open online course) sur le changement climatique est ouvert depuis le 18 Mai 2022. Ce MOOC est un bon moyen pour s’imprégner des enjeux du changement climatique. Vous y trouverez de nombreuses ressources qui vous permettront de connaître les enjeux du changement climatique, les différents leviers d’action et de nombreuses autres informations.

Un site vous permettant de connaître votre part dans l’empreinte carbone mondial est notamment proposé.
Vous pourrez également découvrir quels effets concrets le changement climatique produit sur n’importe quelle ville dont Lorient.

Voici le lien pour s’inscrire : https://mooc.tela-botanica.org/course/view.php?id=430

NB : il n’est jamais trop tard pour s’inscrire. En effet, une fois l’inscription réalisée, on a accès aux différentes ressources à vie. C’est simplement que les forums ne seront plus accessibles après le 6 juillet et qu’à partir du 14 juillet, l’attestation de réussite et les quiz ne seront plus accessibles…

Jardins bleus au parc Chevassu

Le week end dernier au parc Chevassu de Lorient eurent lieu les Jardins bleus qui avaient comme thème : les jardins et les changements climatiques.

Avec Nastasja Duthois qui met en valeur l’art du Cyanotype, ancêtre de la photographie et Maryana Charrant conteuse accompagnée de la rèvAilleuse Charlotte Merlin. Elles nous ont fait rêver en visitant le parc Chevassu et en nous faisant découvrir les parfums des arbres, essences, variétés florales qui nous ont invité à la découverte des mystères de l’Orient.

Elles étaient accompagnées de la photographe Marie-Annie Gouret qui nous a fait découvrir le monde de la macro-photographie ses profondeurs de champs et ses éclairages pour mettre en valeur les sujets. Jean-pierre Le Rallic a fait  une démonstration de Kokedama, un art japonais. Le tout accompagné de musique du groupe What’s Up en soirée. L’ association du cercle celtique Brizeux a assuré la restauration ( crêpes )

Nous vous souhaitons de ne pas oublier de vous rendre à nouveau dans ce merveilleux cadre de la nature pour la 20eme édition nationale des « rendez-vous aux jardins » de l’ année prochaine … et bien sur à votre envie !

Cliquer sur les photos pour agrandir :

 

Un port antique découvert à Lanester

Jean Otos et son fils Erwann, passionnés d’archéologie depuis longtemps ont accueilli une quinzaine de personnes au Code 0, pour leur présenter les découvertes qu’ils ont faites sur un site lanestérien.

Le lieu de la découverte se trouve près du Blavet. Pour des raisons de protection du site, l’emplacement exact est tenu secret, en attendant un examen poussé de la  Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC). Il faudra peut-être un délai de deux ans, pour qu’une étude complète soit réalisée et rendue publique.

Qu’est-ce qui a été découvert exactement ?

Les « inventeurs de trésors » (terme consacré en archéologie désignant les personnes qui découvrent des objets archéologiques), que sont Jean et son fils, ont découvert un pavement de pierre de 100m de long ainsi que des tessons dans un carré de 50m. Autour de ce périmètre, il n’y a pas de traces.

De quand datent ces trouvailles ?

Le contexte, dans lequel évoluaient nos ancêtres, diffère évidemment du nôtre. Les vestiges datent d’une période allant du 2ème tiers du IIème au IIIème siècle de notre ère. A cette époque, la population locale était le peuple Vénètes. Il faut aussi remarquer que le niveau des mers s’est modifié au cours des siècles. Cela permet la découverte de nouveaux sites qui se sont dégagés.

A quoi correspondent ces trouvailles archéologiques ?

Pour expliquer la présence de ces vestiges, il y a plusieurs hypothèses :
1) un enclos agricole, avec un port antique : c’est le plus vraisemblable au vue des recherches !
2) une villa de nobles citoyens romains : le site est trop creux.
3) on peut faire une comparaison avec des fosses à garum (sauce à base de poissons), creusée par des germains captifs à Etel, avec des pêcheries. Mais, dans ce cas, où serait le deuxième axe de pêcherie ?

Remarques : le site a été identifié dans les années 1980. Plus d’infos en cliquant ICI

La séance s’est déroulée dans la bonne humeur. Pour terminer, nous avons eu la surprise qu’on nous propose une séance de dégustation de « pain quadratus », un pain réalisé avec une recette de nos ancêtres , romains ou gallo-romains. Un flacon de garum et un autre d’huile d’Olive était à notre disposition pour aromatiser le pain.

 

Spéciale dédicace aux autrices de Kérihouais

Le café l’Embarcadère co-organise un vernissage d’autrices de Kérihouais en partenariat avec Breizh Event, Corde et Cordage et On en koz.

Au programme :

Rencontre avec les autrices, lectures d’extraits, dédicaces et vente des livres. Projection du film à 17h.

– Stéphanie Reichling présente son livre « Une année pleine de surprise » (en vente à 15€).
« Je débute dans l’écriture de roman, mais ça fait plusieurs années que j’ai commencé à inventer des histoires et rêvé d’en faire un livre. C’est surtout un défi que je me suis lancé, afin de prouver que malgré le handicap, on peut faire de grandes choses et réaliser ses rêves. »

 

– Bertha, Célia, Eleanor, Havin, Iman, Lilé, Lorina, Lyla-Rose, Rita et Rosedana présentent leur livre et film :

« Au-delà de la mer » (en vente à 10€)  et « Les jeunes filles et la mer » (film projeté à 17h).

Cette histoire raconte le voyage des adolescentes vers la mer comme une métaphore de leur propre voyage vers le monde adulte.

La Tara sur la côte ouest africaine

Actuellement en mission sur les microbiome (micro organismes de l’océan), la fameuse goélette TARA circule notamment dans l’hémisphère sud ; elle s’est lancée dans un périple de 53 000 km, à travers les océans.

Le fameux navire arrive au troisième volet de son expédition. Il est en train d’échantillonner la côte ouest africaine pendant cinq mois. Au cours de cette dernière partie de son voyage, la Tara étudie le courant du Benguela et les côtes sénégalaises tout comme l’influence des fleuves africains sur l’océan Atlantique. Ces zones sont les plus productives de la planète en micro-organismes.

Au cours de cette étape, le voilier fait des escales en Afrique du Sud, Namibie, Angola, République Démocratique du Congo, République du Congo, Gambie et Sénégal.

En plus, le personnel à bord étudie trois phénomènes majeurs de l’Atlantique :
_ le courant Bengela ;
_ l’impact des fleuves (les fleuves Congo, Orange, Gambie et Sénégal) sur l’océan Atlantique.
_ une zone très puissante en upwellings de la planète.

Si vous voulez en savoir plus et vous laisser envoûter par cette aventure, allez sur le site :

https://fondationtaraocean.org/actualite-scientifique/mission-microbiomes-tara-echantillonne-afrique/

A côté de ce formidable parcours, la fondation Tara organise le Festival Culture Océan à l’Académie du Climat,le samedi 4 juin 2022 à Paris.

Au programme :

_ Un parcours, découverte de l’Océan ;
_ Le Plastique en mer, les solutions sont à terre ;
_ Le peuple invisible de l’Océan, une biodiversité mystérieuse.

Plus d’informations : https://fondationtaraocean.org/evenement/festival-culture-ocean/

Scène ouverte pour le projet Couleur quARTier

Inauguration de la fresque mercredi 27 avril par un goûter musical animé par le groupe du Rendez-vous des ados, Polaroid, qui officialise le lancement de l’action « Couleur quARTier ». Une invitation à poser sur Frébault un autre regART en attendant les nouveaux projets qui s’annoncent pour l’été…

Article sur les fresques réalisées en 2021 en cliquant ici et sur les fresques réalisées en 2018 en cliquant là

Les photos de la nouvelle fresque dans le quartier Polygone

Expo virtuelle « Identification projective »

Bravo à Anne, photographe amateur lorientaise d’avoir relevé le défi d’une exposition virtuelle où images et mots se mêlent pour nous présenter son Lorient en nous invitant à la réflexion…Suivez l’artiste sur Instagram : LuneDeuxMiel

« L’ identification projective, désigne, en psychanalyse, le fait de projeter sur un objet des caractéristiques du soi pour s’y reconnaître. Cette exposition a pour but de partager une balade photographique, exprimée également sous forme de réflexions sur la vie, sur l’âme humaine, sur des pensées qui peuvent nous envahir à tout moment de la journée et en toute circonstance. » LuneDeuxMiel.

(cliquer sur les images pour agrandir)

Aurore

L’aube de mes pensées naît toujours de la même manière, un songe qui prend fin, des couleurs qui s’estompent, laissant place à d’autres plus vives, plus intenses bien qu’encore lointaines. C’est comme être dans dans un sas entre deux mondes. Deux formes de vie totalement différentes. Il y a le rêve et la réalité, bien que le rêve ne soit pas totalement dissocié de la réalité, puisque si nous rêvons c’est que nous sommes en vie. Il y a des jours comme celui-ci où je voudrais m’accrocher à mes rêves, parfois même qu’ils deviennent ma réalité tant le monde perd de sa saveur et de sa magie jour après jour.

 

Quête d’une image imparfaite

Je suis pour ce monde une image acouphène, remplie de bruit, des grains d’imperfection qui me collent à la peau. Je déplais aux yeux humains, comme si chaque détail de mon aspect dérangeait. Au premier abord et de loin tout semble joli, puis plus on se rapproche plus on aperçoit les défauts, à la fin on ne retient que ce qui dérange et c’est toujours comme laisser un goût amer dans la bouche, un goût de déception du «  C’est dommage s’il n’y avait pas ces défauts ce serait parfait ». Or il suffirait de changer notre manière d’utiliser nos globes oculaires, pour réaliser combien la beauté peut avoir de multiples facettes.

 

Musée de la vie

J’avais réussi, tout était parfait, j’étais ce que tous attendaient de moi. Une belle photo, bien travaillée, retouchée presque parfaite et digne d’être accrochée dans une galerie du Louvre. Mais étais-ce réellement l’œuvre qui reflétait celle que j’étais ? Doit-on se conformer au monde ? Ne sommes nous pas conçus différemment justement pour parfaire le monde de diversité ?

 

Vision bleue

Mes yeux sont comme des lunettes en trois dimensions, les gens voient le monde qui les entoure en aberrations chromatiques, habitués à vivre dans la matrice ils ne voient pas l’univers autrement. On dit souvent que les yeux sont une fenêtre vers l’âme, pour ma part je dirais que cela va dans les deux sens, si mes yeux sont la fenêtre vers mon âme, alors mon âme les utilise pour voir l’ensemble de tout ce qui existe d’une façon différente. Toute chose prend une forme et une signification particulière, je vois de la beauté dans ce qui semble abstrait, je vois des couleurs là où les gens n’en voient pas. Regarde de l’autre côté du miroir …

 

Bonsoir

Bonsoir Lorient, bonsoir le ciel, bonsoir la mer, bonsoir le monde, bonsoir la vie. Ne m’oublie pas dans ton sommeil, ne m’oublie pas lorsque tu auras quitté le soleil.

 

V.TGV vie terrestre grande vitesse

Alors que le jour s’endort doucement, se couchant dans les draps portant les couleurs de la vie et l’amour, je dis au revoir au monde des mortels et commence enfin à vivre. Ma journée prend vie lorsque la Lune luit. Balade chaude mais douce, belle bien qu’effrayante parfois, tu m’as vu naître et m’as façonnée à tel point que quand j’ai vu le jour, mes yeux ont été aveuglés et j’ai couru à nouveau dans tes bras. Tu donnes à l’univers un sens nouveau, certains te croient dangereuse et maudite, moi je te dois la vie. Nuit…

 

Ivresse nuits de couleurs

C’est alors que quand vient la nuit, ma folie prend vie. J’entends les rires des groupes d’amis qui profitent de la vie, les hurlements des gens en colère, je vois l’amour s’éveiller devant la porte de l’immeuble après un rendez-vous. C’est comme si j’avais le globe entre mes mains, que je le tourne et atterris dans ce fameux monde parallèle, le jour laisse place à la nuit, le soleil qui se couche n’est pas une fin mais un autre début. La musique dans mes oreilles, je danse entre les néons et sur la route déserte, ma ville m’appartient, je suis libre. Nul ne voit mon cœur arc en ciel s’étaler entre les arrêts de bus et les bateaux qui dorment dans le port.

 

Réflexion nocturnes

Mais entre mes balades nocturnes, mes réflexions me mènent parfois à réaliser combien tout est éphémère et combien en un rien de temps la vie entière bascule. Pourquoi ce qui a de la valeur doit-il toujours nous échapper un jour ou l’autre ? On court chaque jour après la vie comme si c’était une course au sensationnel, les
gens répètent qu’ils se reposeront quand ils seront morts, mais alors dans quel but vivent ils ? Pourquoi courir en permanence, pourquoi s’évertuer à vouloir vibrer 24H/24 au risque de passer à coté de l’essentiel ?

 

Bradycardie du sommeil

Dans mon périple nocturne je décide de faire une pause, tout semble avancer au ralenti, je m’endors dans un monde et m’éveille dans un autre. Je perçois les faisceaux lumineux de la ville, des voitures, j’entends encore les vrombissements qui s’éloignent avec cette odeur d’essence brûlée, suis-je à deux doigts de sombrer dans le sommeil ? J’ai l’impression que mon âme se dissocie de mon corps, elle s’envole petit à petit et voudrait partir déambuler ailleurs, tandis que mon corps est ancré dans le sol et observe à moitié la ville qui après la fête, s’éteint petit à petit.

 

Fugue dissociative

Lentement, mes pas m’emmènent dans la pénombre du monde, le brouillard commence à poindre et m’envahir. C’est la marche nébuleuse de la nuit, celle qui nous mène aux abysses de notre âme, éveillée et pourtant dans un univers brumeux et sauvage. Les ombres deviennent effrayantes et enivrantes, c’est comme si on pouvait presque toucher du bout des doigts nos pensées, devenues mi humaines mi fantômes. On est tenté de les suivre pour les comprendre, savoir ce qui pourrait nous arriver si on ose s’engouffrer dans les méandres de la nuit, mais d’un autre côté il y a cette ceinture de sécurité qu’est la conscience encore éveillée, qui nous retient de tomber dans les profondeurs de l’esprit au risque de s’y perdre.

 

Chemin faisant

On pense que dormir est la fin alors qu’en réalité, ça n’est que le début d’une autre vie. Pour ma part, ma course continue, je peux terminer un livre mais pas l’histoire, car jamais elle ne s’arrête. Bon voyage …

 

Tournage d’un kino au Joli mois de mai

Pendant le festival de film « Le joli mois de mai » organisé par l’association J’ai vu un documentaire, une douzaine de personnes ont répondu au défi du kino*. De tous âges et de tous horizons, nous nous sommes réunis à Kervénanec, pour créer deux courts métrages tournés en une journée, avec peu de moyens.

Cette fois, nous avons pu former deux équipes de six à sept personnes. Chacune d’entre elles a pu réaliser un kino, en répondant aux consignes du jour : un anglophone ou un accent anglais, porter des lunettes de soleil, des plans de bouche voire d’une dent en or doivent apparaître dans le film. Nous avions une journée pour concevoir un scénario et tourner le film.

Dans une bonne ambiance, le matin, chaque équipe s’est réunie dans une salle différente. Dans la mienne, dirigée par Solène Desbois, nous avons créer un scénario, en quelques heures.

Après un repas mangé près de la Cité de la Voile, nous avons tourné des rushs sur les pontons et sur le quai, jusqu’à environ 17h00. Après, on a commencé à faire le montage qui sera terminé pendant la soirée.

Le lendemain matin, les deux kinos furent diffusés sur grand écran à la balise devant un public assez important.

La vidéo est disponible à l’espace multimédia du Polygone !

* Kino est un mouvement cinématographique dont la devise est : « Faire bien avec rien, faire mieux avec peu, mais le faire maintenant. »