Atelier cuisine d’automne

Atelier cuisine d’automne ce mercredi pour le groupe des 7-10 ans du Centre social.

Dans un premier temps , les 7 enfants accompagnés de Lydie ont été le matin acheter tout le nécessaire à la confection des soupes aux Halles de Merville et au marché.
Pour la plupart d’entre c’était une première et une découverte des Halles et du marché.
Il y a eu de beaux échanges avec les commerçants qi ont offert quelques oignons et un morceau de patate douce. Les enfants ont pu découvrir la diversité des légumes et autres produits alimentaires .
Ils ont également eu l’occasion de goûter le gâteau breton au sarrazin de Youn et la petite histoire qui va avec..  une recette de sa grand-mère revisitée .
L’après-midi, le groupe de petits cuisiniers s’est mis pour travail pour préparer des soupes.
Place à l’épluchage et à la découpe des différents légumes : potimarron , courge bleue de Hongrie, carottes , pomme de terre, topinambours, …
Dernière étape la préparation et la cuisson des différentes soupes.
Trois soupes différentes ont été préparées :
 Une soupe potimarron, carottes, châtaignes, et lentilles corail
– Une soupe courge bleue de Hongrie et pomme de terre
– Une soupe carottes, topinambours , patates douces.
Et pour agrémenter la soupe , les enfants ont également préparer des croûtons en découpant du pain rassis en petits morceaux et en les passant au four.
Les enfants pourront rentrer chez eux avec la soupe qu’ils ont cuisiné et des croûtons pour déguster leur réalisation en famille.

Quelques recettes sur le web : 15 veloutés aux légumes d’automne

 

Repas d’automne

Une belle programmation pour ce jeudi 03 novembre.

N’oubliez pas de vous inscrire.

Fête de la Bio

Les acteurs de la bio du pays de Lorient organisent une fête de la bio, du 26 septembre au 2 octobre.

Producteurs, transformateurs, distributeurs, restaurateurs vous invitent à découvrir cet écosystème qui défend et valorise le bio local, c’est-à-dire la préservation de notre territoire et la création de valeur pour ses habitants.

Au programme : des dégustations de produits, des visites, des ateliers, des conférences…

Tout le programme de la fête de la bio est disponible sur le site https://www.bio-an-oriant.com

N-B : Des événements dans le quartier ou à proximité :

Mercredi 28 septembre

CAFÉ CODE Ø : Présentation de la monnaie locale le Ségal.  Jeu avec Ma Co-Cotte.
À partir de 18 h, 5 r de Carnel, Lorient.

Samedi 1er octobre

CAVE LES VIGNES D’OR : Découverte des nombreux vins bio de la cave.
De 14 à 18 h, 18, r de Carnel, Lorient

ÉPICERIE VRAC ET CAFÉ-RESTAURANT ECORESPONSABLE LES BOCAUX D’ABORD : Dégustation, découverte de nos produits avec la Gaec Champ des tours, la boulangerie Ecopain, l’association pour les Ségal.
De 14 à 18 h, 56 r Monistrol, Lorient.

Dimanche 2 octobre

GÂTEAUX BRETONS KERYOUN : Portes ouvertes, atelier de confection de gâteaux bretons. Initiation à la torréfaction du sarrasin. De 10 à 12 h, 14 r Général Frébault, Lorient.

 

 

La cotriade, comme on la prépare à Gâvres

Au Festival Interceltique, on sert une cotriade géante faite avec les poissons de Kéroman, le port de pêche. On se régale et l’on chante en breton, voilà pourquoi son évocation fait appel à la langue vernaculaire…

En 1931, suite à la tempête d’équinoxe qui frappe de suroît la côte du pays de Lorient, tous les gens de mer viennent au secours des marins rescapés. La tradition de gratuité remonte à 1871. Nos bénévoles créent alors la fête des langoustines à Locmiquélic, et ressuscitent la cotriade à Gâvres.

Depuis la plus haute antiquité, les soupes de poissons (la soupe du pauvre) sont connues, même si elles changent de nom avec la région, car elles utilisent les poissons ayant beaucoup d’arêtes, le mulet par exemple !

La Cotriade vient du basque: «chioro», qui a donné «Caoudeyre» en gascon pour désigner la cavité creusée par le vent tourbillonnant dans les dunes. Le terme et son sens se trouvent dans le breton «Kaoter» le chaudron où l’on cuit «la godaille», récupérée au cul du chalut. «Godaille» vient de «ar gode» le tacaud, un poisson de peu de valeur, laissé à la tambouille des matelots et offert par le patron de pêche .

L’histoire du plat, qui vaut bien la bouillabaisse marseillaise, la chaudrée charentaise, « chaudière» à Boulogne, remonte au temps de la marine à voile, quand le poisson était «breiz pesked » naturellement breton ! Ce repas en commun sera un moment convivial entre tout l’équipage et les conjoints, qui vont se partager à terre les poissons du dernier trait de chalut. Ils s’inspirent du cantique chanté à l’office des vêpres de l’office de la Vierge, depuis le 11ème siècle. Peut-être que leur viendra en mémoire le poème de José-Maria de HEREDIA : «Sous les coiffes de lin, toutes croisant les bras ; Vêtues de laine rude ou de mince percale »…

Dès que les épouses de ces pêcheurs aperçoivent le navire de retour, un Minahouet de la Rade de Lorient, elles allument un feu sur la plage d’échouage entre quatre gros galets, sur lesquels elles placent le grand «Kaoter». La scène fait penser à l’angélus de Millet.  Le foyer alimenté au bois d’épave craque et pétille joyeusement. Les femmes ont apporté des oignons et les carottes des sables de Plouhinec, du vinaigre, des patates, et le «mel-kang», le râble du cochon (sans saindoux!) .

Tandis que les hommes débarquent leur barda, les épouses pèlent les légumes, et mettent à fondre lentement les bardes, le gras le plus fin, puis elles jettent dessus la garniture qui bondit jusqu’au moment d’être mouillée à l’eau de l’aiguade de la plage.

Une poignée de gros sel marin va accélérer la cuisson, avant le plongeon de la godaille : les poissons durs à cuire d’abord, chinchard certainement, soigneusement écaillés et surtout pas décapités, mais sans leur «tripaille». Dam ! Ils ne sortent pas d’une boite décongelée ! Tout y passe, du congre aux maquereaux, mais dans un ordre rigoureux, pour arriver au terme du mijotage à point de chacun des poissons (et des crustacés), rapportés en parfaite fraîcheur ! On boit du cidre : probablement du «Guillevic», pressé exclusivement à partir de la pomme «Guillevic» Le «gwin-ru» le gros rouge algérien est encore trop cher !

Tous les poissons étant cuits et encore fermes, les femmes les tirent du chaudron avec une grande araignée (écumoire) pour les déposer dans l’écuelle des marins : patron d’abord ! Chacun assaisonne à son goût avec du sel de Carnac et le vinaigre du cidre aigre. Le poivre, dit «avoine de curé», est rare et onéreux, même au pays de la Compagnie des Indes, où un apothicaire vend les fioles de «Karri Gosse» du poivre enragé ! Pendant que l’équipage se restaure (goulûment) de ce repas chaud avec sa cuillère en buis, les femmes poussent le feu pour réduire le bouillon, vite et bien.

Elles servent alors la «toul pesked» la soupe de cuisson des poissons, maintenant concentrée, avec les pommes de terre qui auront cuit dedans.

Cet ordre, poissons puis soupe, et peut-être pour terminer un far aux pruneaux si l’armement est riche, montre un génie gastronomique accompagné par la recherche d’une convivialité ignorée de nos meilleurs D.R.H. Avant de se séparer, à la nuit tombante, une lampée de «Gout-Chistr» le calva breton, aidera la digestion soutenue par la fatigue d’une marée… Semper tibi, sub Baccho !

Telle est la tradition et l’usage culinaire de nos marins-pêcheurs, l’accent en moins .

Fernand MARECHAL, chroniqueur gastronomique

Spectacle Goûter du Monde

 

Mercredi dernier était organisé un spectacle goûter face au Centre social du Polygone PLL de 17h à 20h. Ce temps a été animé par le groupe Sankôfa et les Sandrofia composé de Nadette, Gérard et Jean-Claude. Ils sont venus avec leur énergie, leur bonne humeur dans le quartier pour « enjailler » la soirée comme dit Nadette.

 

Toute cette journée a été l’occasion de se retrouver pour cuisiner afin de pouvoir proposer aux spectateurs, danseurs, passants un beau buffet de gourmandises à déguster.

Le matin, c’est le groupe des ados et des enfants qui était au fourneau , suivi l’après-midi par un groupe mixte composé d’adhérents de 7 à 77 ans.

Les fours ont chauffés, les rires ont résonnés dans le centre social, la bonne humeur était de mise  toute la journée en cuisine.

Les gourmandises préparées étaient très diversifiées : Des crêpes mille trous préparées par Yamina, des crêpes bretonnes préparées par Andrée , un gâteau patate et un gâteau Tis’on (gâteaux de la Réunion),  des goulagoula nature ou à la banane (beignets mahorais), un far nature, un far aux pruneaux, un tiramisu, un gâteau au chocolat, …

Des boissons ont été également réalisées : un bissap par N’Deye et un punch sans alcool par les enfants en atelier cuisine.

Tout au long de la soirée, les participants ont pu déguster tous ces délices gratuitement.

La soirée s’est déroulée comme le reste de la journée dans la joie et la bonne humeur. Une soixantaine de personnes sont venues assister au concert de Sankôfa et les Sandrofia , qui ont su mettre une superbe ambiance tout au long de la soirée, faire chanter et danser les gens.

⇒  Goulagoula

Ingrédients :
1 kg de farine de blé
500 g de sucre
eau
1 pincée de levure
1 litre d’huile

Préparation
Prenez une grande marmite. Tamisez la farine. Mélangez-la avec la levure, le sucre et l’eau.
Laissez reposez 20 mn.
Faites chauffer l’huile dans une marmite de taille moyenne.
Quand l’huile est chaude, mettez votre main dans la pâte, mélangez-la puis prenez-en un peu entre le pouce et l’index en faisant une boule que vous laissez tomber dans l’huile.
Remuez les gâteaux avec une grande écumoire (une cuillère à trous).
Quand ils deviennent rouges, sortez-les de l’huile.

 

 

Les autres recettes sont disponibles au format papier au Centre social.

Quelques photos pour résumé  cette belle journée :

Ateliers cuisine au Centre social

Cette semaine a été l’occasion pour un groupe d’adhérents de tout âge de participer à des ateliers cuisine.

Trois après-midis de suite ,  Les Cuisiniers Solidaires sont venus au centre social pour réaliser des recettes avec des invendus récupérés auprès de partenaires ( Grandes surfaces, maraîchers, …..). Virginie est venue encadrer les ateliers avec sa bonne humeur et toutes ses astuces de cuisine .

                                 

À chaque jour ses recettes en fonction des produits récupérés bien sûr.

Le premier atelier : rochers coco avec le jus récupéré d’une boite de pois chiche et de la noix de coco,  une quiche sans pâte aux courgettes et une mayonnaise végé.

Le deuxième atelier : Gâteau au chocolat et courgettes , gaspacho de poivrons et Tian.

Le troisième et dernier atelier : Tarte salée aux légumes et tarte aux pommes.

Les participants ont déguster ou repartir avec leur réalisation et surtout pleins d’idées pour cuisiner autrement.

Quelques photos des ateliers :

 

 

Spectacle goûter du monde

 

Le mercredi 24 août  dès 17h , rdv en face du centre social du Polygone PLL pour partager un moment convivial et gourmand en musique avec Sankôfa et Les Sandrofia pour mettre l’ambiance.

 

Repas albanais intergénérationnel

Vendredi dernier en début de matinée , on entend des allées et venues dans les couloirs , on sent l’activité se mettre en place en cuisine….au fur et mesure de la matinée des odeurs de cuisine envahissent les couloirs …

Mais que se prépare-t-i ? Un repas semble-t-il.

L’idée est venue au cours d’une conversation, l’envie de se retrouver, de faire découvrir ses traditions et aussi l’envie d’intergénérationnel, de partager un moment convivial .

Ce vendredi, ce sont donc des mamans albanaises qui ont fait la cuisine aidées par d’autres mamans et un groupe de seniors : une quinzaine de personnes toutes générations confondues

La veille déjà, certaines ont été faire les courses , les « seniors » du RDV loisirs avait mis toute leur énergie, leur dextérité et leur créativité à confectionner la décoration de la table.

Au menu : des délicieuses briques au épinards, des boulettes de boeuf, du riz épicé etc et bien sûr une pincée de rigolade et une grosse dose de bonne humeur.

Ce repas a bien sûr permis aux mamans de faire connaître leur pays d’origine, la cuisine, mais aussi leurs traditions.

Un beau moment d’échange et de partage qui se renouvellera prochainement avec un repas breton cette fois ci.

 

 

 

 

 

 

Les recettes au fil des saisons : l’abricot

Pour varier votre alimentation, découvrir de nouvelles saveurs et profitez des bienfaits de la nature et des nutriments que chaque fruit et légume peut vous apporter tout au long de l’année, il est intéressant et écologiquement responsable de suivre les saisons pour consommer les fruits et légumes.

En ce début d’été , découvrons :

L’abricot

C ‘est un fruit très riche en minéraux, notamment en potassium. Il représente aussi un très bon apport en fibres.

L’abricot se déguste du mois de juin jusqu’au mois de septembre. La pleine saison de l’abricot est en juin, juillet et août.  L’abricot est un fruit très léger, avec un apport calorique très modéré (47 kcal/100 g).

En Chine, on connaît l’abricot depuis plus 4 000 ans. Après avoir traversé l’Inde, il a emprunté la Route de la Soie pour finalement parvenir aux Grecs et aux Romains. Au XVème siècle, il arrive en France. C’est grâce au jardinier de Louis XIV qui a planté des abricotiers à Versailles, qu’il est finalement apprécié.

L’abricot est riche en provitamine A, comme le prouve sa belle couleur orangée. Deux  fruits suffisent pour couvrir la moitié des besoins quotidiens en carotène, il fournit également une quantité non négligeable de vitamine C.

L’abricot est  l’un des fruits les plus riches en minéraux et oligo-éléments (600 mg/100 g). Il fournit une quantité incroyable de potassium (315 mg/100 g) qui fait de lui le meilleur allié des sportifs. Le potassium a en effet la vertu de favoriser l’élimination des toxines et la récupération. Il est conseillé de le consommer  après l’effort, frais ou séché.

Mûr à point, il est une excellente source de fibres, de très bonne qualité. Ses propriétés douces et régulatrices agissent efficacement sur la paresse intestinale. Enfin, sa légère acidité en fait un fruit très digeste, très bien assimilé par l’organisme, qui convient d’ailleurs parfaitement à l’alimentation des bébés, réduit en purée.

Vous pouvez déguster vos abricots en jus, en fruits frais, en confitures. Cela ne changera en rien ses bienfaits pour votre santé .

L’huile extraite du noyau est très riche en d’acides gras essentiels, en vitamines A et E, qui en font un produit de beauté précieux.

Moelleux au mascarpone, amandes et abricots

Ingrédients :

  • 2 œufs
  • 150g de sucre
  • 150g de farine
  • 50ml d’huile
  • 150g de mascarpone
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 50g de poudre d’amande

Déco :

  • Confiture d’abricots
  • Amandes effilées
  • Oreillons d’abricots

Préparation :

Dans un grand bol, battre les œufs avec le sucre et le sucre vanillé, puis ajouter le mascarpone et l’huile, mélanger la préparation.

Ajouter la farine, la poudre d’amande et la levure. Bien mélanger jusqu’à obtenir une pâte bien lisse. Verser la préparation dans le moule à tarte rectangulaire recouvert de papier cuisson, déposer des oreillons d’abricots sur toute la surface en les alignant sur deux lignes.

Parsemer toute la surface de petites cuillères de confiture d’abricots puis saupoudrer généreusement d’amandes effilées.

Enfourner à four chaud à 180°C pour 30 minutes environ. Vérifier la cuisson avec la pointe d’un couteau.

Laisser refroidir avant de démouler.

 

Les recettes au fil des saisons : la rhubarbe

 

Pour varier votre alimentation, découvrir de nouvelles saveurs et profitez des bienfaits de la nature et des nutriments que chaque fruit et légume peut vous apporter tout au long de l’année, il est intéressant et écologiquement responsable de suivre les saisons pour consommer les fruits et légumes.

Pour cette période printanière, découvrons :

La rhubarbe

La rhubarbe est un légume à grosses feuilles originaire d’Asie. C’est une Plante vivace de la famille des polygonacées, mesurant jusqu’à un mètre de hauteur. Elle est récoltée d’avril à juillet. C’est la pleine saison de la dégustation de la rhubarbe en avril/mai.

 

La rhubarbe a l’avantage d’être très peu calorique (15 kcal/100 g), mais son acidité étant très prononcée, on a tendance à la préparer avec beaucoup de sucre. Elle est très laxative car très riche en fibres. Elle mérite donc d’être plus fréquente au menu d’autant que son apport en minéraux est très important, notamment en potassium et en phosphore. Elle apporte aussi une quantité intéressante de magnésium et de calcium

On la choisit  bien ferme, sans de tâches et de flétrissures. Elle doit être bien verte avec des bordures rosées. Ses extrémités doivent être fraîchement coupées.

On la conservez dans le bac à légumes du réfrigérateur, mais pas plus de quelques jours car elle devient rapidement molle. Par contre, elle se congèle très bien. Il suffit pour cela de la laver, de l’essuyer, de la couper en tronçons à glisser dans un sac de congélation. Il est inutile de la peler, sauf si elle est très dure et filandreuse.

On peut la consommer en compote, en confiture, mais aussi en tartes, crumbles, crèmes ou mousses.

Les desserts lui vont bien, qu’elle soit seule ou en duo avec la fraise ou avec la pomme mais on peut la  servir avec des plats de viandes (volaille et canard) et de poissons.  Les tronçons sont tout simplement revenus dans un peu d’huile.
Son utilisation salée est réputée par delà les frontières, dans la gastronomie britannique, polonaise, afghane ou  Iranienne.

 

Carrés pâtissiers à la rhubarbe

Pour la pâte :

  • 250 g de farine
  • 30 g de poudre d’amande
  • 150 g de beurre
  • 80 g de sucre roux
  • 1 œuf
  • 1/2 cc de sel
  • 1 cs d’extrait de vanille
  • 1 cc rase de levure chimique

Mettre tous les ingrédients dans un bol d’un robot et pétrir jusqu’à ce que la pâte se mette en boule. Au besoin, ajouter un filet d’eau. Sinon, dans un saladier, incorporer le beurre en morceaux du bout des doigts au reste des ingrédients.

Partager la pâte en 2/3, 1/3.

Poser un cadre 23×16 sur une plaque et répartir le plus gros morceau de pâte au fond en tassant du bout des doigts. Filmer et réserver au frais.

Crème vanillée :

  • 650 g de lait entier
  •  1 œuf + 2 jaunes
  • 80 g de sucre
  • 55 g de Maïzena
  • 1 gousse de vanille

A la casserole, faire chauffer le lait et la vanille, et verser sur les œufs, le sucre et la Maïzena bien fouetter. Faire épaissir à feu moyen tout en remuant. Laisser tiédir juste le temps de préparer la rhubarbe.

Rhubarbe :

  • 400 g de rhubarbe fraîche
  • 1 cs de Maïzena
  • 1 cs de sucre roux

Préchauffer le four à 180°C.

Éplucher la rhubarbe et la couper en cubes d’1 cm. Saupoudrer de la Maïzena et du sucre. Mélanger. Répartir les dés de rhubarbe sur le fond de pâte. Recouvrir de la crème vanillée tiède. Couper des morceaux dans la pâte restante et les déposer plus ou moins régulièrement sur la crème.

Faire cuire pendant environ 40 minutes. Laisser refroidir avant de démouler. Pour ça, il suffit de passer une lame tout autour du cadre, puis d’enlever ce dernier. Saupoudrer de sucre glace. Conserver au frais. Pour finir: avec ce gâteau, vous ferez plaisir à une dizaine de gourmands.