La Chandeleur : l’histoire du jour des crêpes

 

Tous les ans, le 2 février, on mange des crêpes. La raison de cette tradition est la Chandeleur. D’où vient cette fête, pourquoi est-elle célébrée, et surtout, pourquoi mange-t-on des crêpes ce jour-là ?

L’origine de la chandeleur  remonte  aux Parentalia romaines. C’était une fête annuelle en l’honneur des morts, au cours de laquelle les romains veillaient à l’aide de cierges et de torches, en honorant Pluton et les dieux. On relie aussi la Chandeleur au dieu Pan. Durant une nuit, les romains adorateurs du dieu Pan parcouraient les rues de Rome en portant des flambeaux.

La fête de la Chandeleur vient du latin populaire candelarum, issu de festa candelarum, expression qui signifie la « fête des chandelles« . À l’époque, la fête des chandelles était une veillée en hommage aux morts. La foule allumait des chandelles et défilait dans la nuit. La Chandeleur a aussi des origines dans la culture judéo-chrétienne. À la fin de la messe, les fidèles ramenaient les cierges chez eux et les posaient aux fenêtres. D’autres sources indiquent que cette fête représente la présentation de Jésus-Christ au Temple et la purification de la Vierge Marie..

Enfin, la Chandeleur prend aussi ces origines dans la culture celte. Afin de remercier le soleil de faire pousser le blé,   les Celtes préparaient des crêpes pour célébrer le soleil. Pour eux, le soleil était celui qui offrait le blé, et donc qui apportait la nourriture. Les crêpes étaient donc réalisées pour représenter le soleil et le remercier d’apporter le blé. Cette tradition pourrait aussi venir des païens, qui faisaient la même fête avec des galettes de blé pour remercier le soleil d’apporter des jours meilleurs.

Mais la superstition et le folklore ne sont jamais très loin.

Il n’y a pas si longtemps, pour les paysans, ne pas faire de crêpes le jour de la Chandeleur signifiait une récolte perdue ! Alors le 2 février, on utilisait la farine de la récolte de l’année précédente pour confectionner des crêpes en forme de disque solaire, symbole du soleil et de la fin de l’hiver et du retour du printemps.

De nos jours en gage de prospérité dans le foyer, la superstition veut toujours que l’on fasse sauter la 1ère crêpe de la main droite, la main gauche dans le dos serrée sur un Louis d’or (mais ca marche aussi avec des euros). Et gare à celui ou celle qui ne récupère pas correctement sa crêpe !

Une petite recette pour pouvoir faire des crêpes :

  • 200g de farine
  • 60g de sucre glace
  • 500 ml de lait (entier de préférence)
  • 2 œufs entiers
  • 2 jaunes d’œufs
  • 80g de beurre

 

1 : commencez par faire un beurre noisette. Pour cela, faites chauffer le beurre dans une poêle à feux doux jusqu’à obtenir une jolie couleur ambrée. Lorsqu’une bonne odeur de noisette se dégage, stoppez la cuisson et réservez.

 2 : pendant ce temps, dans un saladier tamisez la farine et le sucre glace ensemble, puis mélangez.

3 : dans un autre récipient; fouettez ensemble le lait, les œufs entier ainsi que les jaunes d’œufs.

 4 : ajoutez progressivement le mélange liquide (lait, œufs) aux matières sèches (farine, sucre glace), de manière à éviter la formation de grumeaux.

 5 : ajoutez ensuite le Grand Marnier et finalisez la préparation de la pâte à crêpes avec l’ajout du beurre noisette. Remuez délicatement. Votre pâte à crêpe est prête !

 6 : passez maintenant à la cuisson de vos crêpes. Faites fondre une noix de beurre dans une crêpière, puis épongez l’excédent de beurre avec une feuille de absorbant.

 7 : versez les 3/4 d’une louche de pâte dans la crêpière et faites cuire la crêpe jusqu’à avoir une coloration dorée sur les deux faces de la crêpe (comptez environ 2 minutes sur chaque côté).

Attention à ne pas trop cuire les crêpes pour qu’elles conservent tout leur moelleux ! Il n’est pas nécessaire de beurrer la crêpière entre chaque crêpes car la pâte contient suffisamment de beurre.

Bonne dégustation !!!

Comptage des oiseaux des jardins les 30 et 31 janvier

La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) vous invitent à participer au Comptage national des oiseaux des jardins. En savoir plus sur le week-end  de comptage, cliquez ICI

Lekiosque.bzh organise un jeu pour l’occasion : Voici quelques espèces que l’on rencontre fréquemment au jardin.

Trouvez le plus de noms de ces oiseaux et gagnez L’oiseau Mag, offert par la LPO

Postez votre réponse à multimedia.polygone@gmail.com, rendez-vous mercredi 2 février pour connaître les bonnes réponses. A vous de jouer !

 

Les bonnes réponses :

1. Chardonneret élégant 

2. Mésange nonnette 

3. Etourneau sansonnet 

4. Moineau domestique 

5. Grive musicienne 

6. Pinson des arbres 

7. Troglodyte mignon 

8. Tourterelle turque 

9. Pinson du Nord.

 

Quelques explications sur la façon d’écrire les noms d’oiseaux, ou d’autres espèces vivantes, par Yves Guiter, délégué du Morbihan à la LPO :  https://morbihan.lpo.fr :

Les noms d’oiseaux (en français et en latin) sont binomiaux, c’est-à-dire qu’ils sont composés d’un nom de genre (exemples : aigle,  mésange) et d’un nom d’espèce (exemples : royal, charbonnière). Ces deux termes sont appelés respectivement nom générique et  nom spécifique (ou épithète spécifique) et ils forment le nom complet.

Le genre prend une majuscule et tous les autres mots sont en minuscule (Moineau domestique) sauf s’ils sont placés devant le nom du genre (Grand Cormoran), ou si c’est un nom qui prend une majuscule en français comme un nom propre (Tadorne de Belon)

 

Bravo à Isabelle qui gagne  “l’oiseau magazine”, une des revues de la LPO  : www.lpo.fr/revues/

Pensez à la boutique de la LPO pour vos cadeaux écoresponsables et utiles : https://boutique.lpo.fr

Devenir membre de la LPO (individuel  30€, famille  42), faire un don, s’abonner à une revue : www.lpo.fr

Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste

Le 27 janvier commémore l’anniversaire de la libération du camp allemand nazi de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau par les troupes soviétiques en 1945. En 2005, l’Assemblée générale des Nations Unies  proclame officiellement cette date journée internationale du souvenir de l’Holocauste et de prévention des crimes contre l’humanité.

La communauté internationale réaffirme ainsi l’engagement  à lutter contre l’antisémitisme, le racisme et les autres formes d’intolérance qui peuvent conduire à la violence ciblée sur un groupe.

L’Holocauste a non seulement profondément meurtri les pays dans lesquels les crimes nazis ont été perpétrés, mais il a également eu  des conséquences  dans de nombreux autres endroits du monde.

Soixante-dix ans après le génocide, les États membres partagent la responsabilité collective de remédier aux traumatismes résiduels, en maintenant des politiques de mémoire efficaces, en préservant les sites historiques et en encourageant l’enseignement, la documentation et la recherche. Cette responsabilité suppose d’enseigner les causes, les conséquences et la dynamique de ces crimes afin de renforcer la résilience des jeunes face aux idéologies de haine. Alors que des génocides et des atrocités continuent de se produire dans plusieurs régions du monde, cet enseignement n’a jamais été aussi pertinent qu’aujourd’hui.

Quelques extraits de textes qui illustre cette journée de commémoration :

« Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli » (Elie Wiesel)

« Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l’esprit d’en comprendre le sens, de les écrire sur le papier » Abraham Lewin.

Une mémoire qui reposait principalement sur des témoignages et sur les travaux des historiens.

Mais les survivants disparaissent, au fil des années et ils ont  à cœur, s’ils ne l’ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer.

Les historiens  accèdent à de nouvelles archives, affinent leurs connaissances et s’efforcent d’expliquer ce qui semble parfoissi difficile à comprendre.

Prévention des crimes contre l’humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d’intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l’humanité.

Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus que jamais d’actualité. Aujourd’hui comme hier, aujourd’hui comme demain, aucune forme de racisme et d’antisémitisme quelle qu’elle soit ne saurait être tolérée. Et pourtant des faits récents perpétrés nous rappellent qu’il faut rester vigilants.

Une vigilance qui souligne que l’enjeu de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz, camp de concentration et « centre de mise à mort » (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes. Elle est le lieu de mémoire commun d’une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l’horizon d’une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance

Le Tour de France du Foyer Soleil

Nous avons le plaisir de vous présenter notre projet « L’échappée des confinés, déconfinée » au sein du foyer soleil situé à Lorient.

Au cœur de notre confinement, nous avons découvert le motomed et le bike labyrinthe. C’est un vélo qui a été développé pour les personnes avec restriction de mouvement qui peut être relié à un écran. Lorsqu’on pédale on se promène dans une ville et environnement de notre choix. Nous sommes allés essayer ce matériel au centre de Kerpape. Nous avons été enchanté par cette découverte.

Nathalie : « je me suis promenée virtuellement dans Paris, la ville de mon enfance. Je me suis tout de suite dirigée vers notre dame, voir quand la vidéo a été tournée. La flèche était en place ! ». Françoise a descendu le tour Malet à toute vitesse et Quentin a fait le tour de Lyon.en cliquant LA

« C’est tellement plus motivant de pédaler virtuellement dans un environnement réel, ça permet d’aller plus loin dans notre investissement physique, de s’évader, on oublie le côté fastidieux de la rééducation dont on a besoin quotidiennement. »

Pour concrétiser notre acquisition, nous nous lançons dans un tour de France : « l’échappée déconfinés »
Ce tour sera bouclé lorsque l’on aura récolté sur notre parcours les 14000 € nécessaire au financement de ce matériel.

Nous avons lancé notre grand départ le 12 janvier dernier avec notre équipe de 16 coureurs qui se relayerons pour enchaîner les kilomètres et montrer leur motivation et engagement.

Notre objectif est de toucher le maximum de personnes qui oseront l’aventure d’accompagner une équipe de coureurs hors norme !

Pour cela, nous avons créé une page Facebook : « L’échappée des confinés, déconfinés » pour rendre visible notre projet et laisser échapper des rayons de soleil de notre vie de foyer…

Une cagnotte en ligne a été mise en place et accessible en cliquant ICI

Les coureurs de l’échappée des confinés :

Alexandre, Julien, Valérie, Charline, Ronan, Olivier, Jocelyn, Françoise, Quentin, Yoann, Christophe, Nathalie, Franck, Christine, Sébastien, Maxime

 

N-B : Des portraits des coureurs de l’échappée des confinés sur lekiosque.bzh en cliquant LA

« A Blind Legend », un jeu vidéo 100% sonore

Le 1er jeu d’action-aventure mobile sans image, où l’ouïe remplace les yeux ! Découvrez l’expérience sensorielle inédite et innovante du son 3D binaural.

« A Blind Legend s’inscrit dans un univers médiéval légèrement teinté de fantastique, inspiré par les légendes arthuriennes et la littérature du Moyen-Âge.Il s’adresse autant à un public non-voyant qu’à des joueurs valides désireux de vivre une expérience de jeu inédite, en utilisant l’ouïe comme unique moyen de repérage et de prise de décision. Nous voulons offrir aux non-voyants la possibilité de jouer à un vrai jeu vidéo, profond dans son scénario et adapté dans son gameplay, qui soit aussi intéressant pour ce public que pour un public valide. »A Blind Legend s’inscrit dans un univers médiéval légèrement teinté de fantastique, inspiré par les légendes arthuriennes et la littérature du Moyen-Âge.Il s’adresse autant à un public non-voyant qu’à des joueurs valides désireux de vivre une expérience de jeu inédite, en utilisant l’ouïe comme unique moyen de repérage et de prise de décision. Nous voulons offrir aux non-voyants la possibilité de jouer à un vrai jeu vidéo, profond dans son scénario et adapté dans son gameplay, qui soit aussi intéressant pour ce public que pour un public valide. »

Pour jouer à A Blind Legend , téléchargez gratuitement le jeu sur iPhone ou Android

Vous pouvez également découvrir le premier niveau du jeu sur votre PC ou sur votre Mac : www.ablindlegend.com

Premier clip pour EM à découvrir sur Youtube

Une ancienne élève du collège Anita Conti fait parler d’elle…Emma Kelbert, aussi connue sous le nom de EM vient d’enregistrer une chanson, F.R.E.E, un hymne à la liberté.

Son parcours artistique a commencé dans une chorale dès l’âge de 6 ans. Elle a continué le chant au conservatoire de musique de Lorient pendant plusieurs années. En parallèle elle faisait du Hip-Hop dans une école de danse. Adolescente, Emma a découvert le logiciel GarageBand qui permet d’enregistrer des voix et de composer de la musique. Elle commence à écrire vers l’âge de 15 ans ses propres chansons mais arrête à cause du sport (elle s’illustre dans des compétitions de judo et d’athlétisme). Reprise de la musique pendant ses études supérieures, qu’elle va poursuivre  bientôt en Espagne pour décrocher un master en ressources humaines.

Petite explication de texte avec l’artiste sur cette chanson qui colle à notre actualité et est un message d’espoir : « C’est un jeu de miroir, elle est confrontée à ses mots et ses pensées en permanence. Je pense que tous les jeunes ressentent du doute et de la confusion, surtout sans école. À la fin de la chanson, la fille parvient à se libérer de l’emprise de son double et revit enfin, car ce n’est pas parce qu’on est entouré sur les réseaux sociaux qu’on ne peut pas être seul en réalité ».

Inspirée par Amy Winehouse, Selah Sue et Mickaël Jackson, Emma est aussi fan de rap français (Laylow, Damso, Josman…). Cet enregistrement en appelle d’autres, on ne peut que l’encourager à continuer !

Suivez EM sur Facebook, Youtube et Instagram

La journée mondiale des câlins

La journée internationale des câlins est célébrée le 21 janvier de chaque année, et ce depuis les années 70.
A l’approche de cette date il est intéressant de rappeler les multiples bienfaits associés à ce geste si simple et finalement si important. En effet, la sensation de bien être général que procurent les câlins s’explique par la multitude d’effets positifs qu’ils entraînent
Cette manifestation d’affection est bonne pour la santé et le moral, en favorisant la sécrétion d’ocytocine, hormone  associée au bonheur et à l’amour.

Le choix de cette date hivernale fut motivé par la dépression générale ambiante plus forte à cette période de l’année.

Le saviez-vous ?
– Il nous faut sept minutes de câlins par jour pour se sentir heureux .
– Un câlin géant réunissant 462 personnes a été réalisé à Winnipeg en 1998

D’où vient la journée des câlins ?

C’est en 1986 à Caro dans le Michigan que le révérend Kevin Zaborney a créé la première « Journée des câlins ». Il avait constaté que ses paroissiens manquaient d’entrain et de joie de vivre durant la période qui se situe entre le début de l’année et la Saint-Valentin. En effet, après le temps des fêtes où les rencontres entre parents et amis sont nombreuses, plusieurs personnes avaient de la difficulté à revenir dans leur quotidien parfois terne et monotone, et pouvaient alors se sentir déprimées par manque de contact humain. Il a donc eu l’idée d’encourager les gens à libérer leur affectivité, et ce, sans attendre de recevoir des marques d’amour en retour.

 

Le mouvement « câlins gratuits » ou « Free Hugs »

Au début des années 2000, parallèlement à la Journée des câlins, le mouvement «Câlins gratuits» ou « Free Hugs » a vu le jour.

L’objectif du “hugday” est d’encourager les gens à se prendre dans les bras quelques secondes et de se faire un câlin.

Le principe : une personne propose par une petite pancarte sur laquelle est inscrit : « Free Hugs » ou « Câlins gratuits » dans un lieu public, une accolade sans contrepartie . Ce mouvement a été inventé à Sydney en Australie par Juan Mann. Ce dernier, de retour dans sa ville natale, la trouvait triste et sans chaleur humaine. Il eut alors l’idée de réchauffer l’atmosphère en brandissant une pancarte qui réclamait des câlins. Le succès fut au rendez vous. Depuis sa création, ce mouvement a rencontré une grande popularité à travers le monde.

 

L’importance des câlins: Pourquoi les câlins sont-ils nécessaire à notre équilibre ?

Le câlin ne nécessite aucun enseignement ni apprentissage. Tout le monde vient au monde avec une capacité naturelle à donner et recevoir des câlins.

La Journée internationale des câlins est une bonne occasion pour encourager les membres d’une même famille, les collègues de travail ou les amis à se prendre dans leurs bras quelques secondes et se démontrer combien on s’apprécie mutuellement. C’est bon pour le moral et la santé !

C’est un acte de bienveillance. Avec un câlin, on se sent moins seul et connecté à une autre personne. C’est un antidépresseur naturel.

C’est souvent dans les moments heureux ou particulièrement difficiles que nous sommes le plus souvent amenés à prendre nos proches dans nos bras.

Et pour cause, les câlins nous mettent de bonne humeur et augmentent notre estime de nous-même grâce à la libération de sérotonine et d’endorphine. Selon les cas, ces hormones peuvent donc nous aider à être encore plus heureux ou à faire face à la tristesse et à la dépression dans les moments difficiles.

D’autres effets positifs ont été constatés par diverses études scientifique : baisse du rythme cardiaque, renforcement du système immunitaire, diminution du stress et équilibre du système nerveux.

Le câlin est tout simplement une façon naturelle qu’un être humain utilise lorsqu’il veut montrer son affection.

Un câlin libère une hormone : l’ocytocine aussi appelée « l’hormone de l’attachement » ou « hormone du bonheur ». Dès que l’on prend quelqu’un dans nos bras pendant au moins vingt secondes, l’ocytocine est produite par le cerveau et procure un effet apaisant et une sensation de bien-être.

Mais les bienfaits des câlins ne sont pas seulement d’ordre hormonal. En fait, les câlins nous rappellent notre enfance. Lorsqu’on était bébé, on nous câlinait et on se sentait alors en sécurité. C’est un rappel au sentiment de bien-être que l’on pouvait ressentir durant notre enfance. Le câlin inspire confiance et bienveillance. C’est un moment de partage, d’échange. On donne et on reçoit.

D’ailleurs, on dit que les enfants prennent plus de poids lorsqu’ils sont touchés. Voilà pourquoi on met rapidement un bébé qui vient de naître sur le ventre de sa mère, permettant ainsi un contact chaleureux et humain.

Dans un autre ordre d’idée, une étude dirigée par une équipe de chercheurs américains de l’Université Carnegie Mellon à Pittsburgh a fait un lien étonnant entre une bonne immunité et les câlins. En effet, selon cette étude, les gens qui sont touchés et câlinés sont moins enrhumés et moins affectés par la grippe et les autres virus.

 

Et cette année … avec le contexte de la crise sanitaire

Le contexte est particulier cette année et cette journée des câlins sera bien différente des précédentes.

– On peut trouver des alternatives :

En raison de la crise sanitaire, il va être impossible de proposer des câlins, mais vous pouvez tout simplement enlever votre masque quelques secondes pour distribuer des sourires tout le long de la journée.
Les sourires sont gratuits, n’engagent à rien et peuvent mettre un rayon de soleil dans la journée d’une personne triste et seule.

 

Les résidents des maisons de retraite d’une province italienne se voient proposer une solution originale: une « pièce à câlins » gonflable et mobile où ils peuvent étreindre leurs proches en toute sécurité.

Cette initiative a vu le jour non loin de Naples depuis Noël, la « pièce à câlins » voyage à travers la province avec des étapes de quelques jours dans chaque maison de retraite.

Pour avoir accès à cette structure en plastique a, chaque visiteur doit réserver son créneau horaire, puis enfiler tunique, gants, et masque avant d’entrer pour revoir son être cher à travers un film en plastique transparent équipé de fentes pour pouvoir y insérer les bras et étreindre ses proches.

Le temps de visite est limité à environ dix minutes par pensionnaire. Pour éviter tout risque de contagion, les deux espaces séparés par la paroi de plastique sont désinfectés entre chaque passage.

 

– Sur le web :

Sur les réseaux sociaux, utilisez les hashtags #hugday #JournéeMondialedesCâlins pour

partager des câlins virtuels.

– Face à la pandémie de covid-19, il a fallu remplacer les embrassades par un coup de coude ou du pied. Toutefois, ce geste “coronavirus-free” n’est pas aussi satisfaisant qu’un câlin ! Cette situation particulière nous empêche de profiter pleinement de ces nombreux bienfaits des câlins. En effet, la COVID-19 peut se contracter par un contact étroit avec une personne infectée ou asymptomatique.

Tous les experts sont ainsi formels : il est préférable d’éviter tout contact physique avec des personnes n’appartenant pas à son foyer.

Toutefois, il est parfois impossible de refuser ce geste de réconfort.

Voici les précautions  à prendre pour pouvoir enlacer vos proches da

ns vos bras en limitant les risques :

  • Même si c’est difficile, ne prenez aucun risque avec une personne vulnérable  (les personnes âgées, immunodéprimées et celles souffrant d’autres problèmes de santé), car elle court un risque plus élevé si elle est infectée par la Covid 19.
  • Toux, fièvre, difficulté respiratoire, perte de goût et/ou d’odorat… Si votre proche ou vous-même présentez des signes de COVID-19, renoncez à vos embrassades et étreintes
  • La spontanéité n’est plus vraiment de mise avec le COVID-19. Pensez ainsi à laver ou désinfecter vos mains avant et après le câlin. Il est primordial de garder son masque. En effet, votre proche ou vous-même êtes peut-être asymptomatiques
  • Retenez votre souffle pendant le câlin, si vous le pouvez. De cette façon, vous éviterez de transmettre ou d’inhaler des micro gouttelettes potentiellement infectieuses pendant l’étreinte.
  • Lorsque vous étreignez une autre personne (en bonne santé), évitez d’appuyer vos joues l’une contre l’autre. Tournez plutôt votre visage dans des directions opposées

 

Freedom !!! Du Gospel virtuel pour la liberté

FREEDOM !!! Un nouveau chœur gospel virtuel pour célébrer la liberté

Artistes, amateurs d’art, de spectacles, de musiques, de joie, nous sommes tous SANS VOUS et SANS VOIX jusqu’à nouvel ordre » comme ils disent. Le Chœur lorientais Sounds of Freedom  a décidé de chanter la liberté, de scander ce mot « Freedom » comme pour exprimer à tous, à sa manière, qu’il nous faut continuer à agir chaque jour pour notre liberté.

Liberté d’expression, liberté de vivre ensemble, liberté de se réunir, de se réjouir, de s’embrasser, de danser, de croire en la beauté de l’être humain, de jouer, de s’amuser, de manger, de boire, de travailler, d’être amoureux, de courir, de marcher, de sauter, de jouir ensemble de la vie.

Retrouvez donc la chanson « Freedom » que le choeur lorientais « Sounds of Freedom » s’approprie ici, titre de Pharell Williams. Réalisé pendant le mois de décembre, 18 chanteurs et chanteuses amateurs du pays de Lorient ont travaillés de chez eux sur ce projet avec la cheffe de chœur Cécile Andrault.

Le montage et le mixage ont été réalisé bénévolement par José Baloche et Benoit Guillemot.

Retrouvez la chorale Sounds of Freedom sur www.cecileandraultphenix.com
Et pour l’actualité sur https://www.facebook.com/cecileandraultphenix

L’atelier marionnettes

Pour cette deuxième semaine de vacances d’hiver, l’atelier marionnettes  a fait le plein. Les enfants et Sylvie une bénévole de l’encadrement scolaire, sous la houlette de Mélanie , ont commencé la réalisation d’une marionnette tout droit sortie de leur imagination : une crocodile rose, un dinosaure multicolore , un mouton à cornes. A partir de boîtes à oeufs , d’un peu de peinture , de bouts de carton, de papier, de laine et autres accessoires , les créations prennent forme peu à peu…

Pendant la deuxième séance de l’atelier , les enfants ont pu finaliser leurs marionnettes mais également préparer un petit spectacle. Ils l’ont présenté ensuite devant le personnel du centre social , des parents et des enfants présents !

Wood street, l’exposition du Diaspora crew

7000 réservations en quelques jours pour cet événement en décembre à Lorient. Le musée éphémère a été rebaptisé galerie d’art pour pouvoir accueillir du public en cette fin d’année 2020 mouvementée…

En deux mois 24 artistes du Diaspora crew se sont approprier un local mis à disposition par le promoteur immobilier Seemo. Ils ont doublé la surface d’exposition en installant une centaine de portes pour réaliser des cloisons et son passés de 600 m2 de murs  à 1500 m2 d’exposition ! Le collectif n’a pas chômé, les artistes étaient sur le pont jusqu’au 31 décembre pour accueillir les heureux propriétaires d’un billet d’entrée. Pour mieux connaître les organisateurs Ezra et Kaz, lire L’art graffiti avec Diaspora Crew

Beau cadeau de noël pour des adhérents du centre social PLL qui se sont rendus en groupes ou en individuels à la découverte de l’art du collectif Diaspora. Voici quelques témoignages en images ou en textes…Merci et bravo aux artistes, espérons que cet événement donnera des idées aux villes du pays de Lorient…Pourquoi pas un parcours artistique comme à Saint-Brieuc à l’échelle du pays de Lorient ? 25 communes à enchanter par des fresques hautes en couleurs !

Ces artistes avaient un message à nous faire passer avec cette exposition “Wood Street, quand la nature reprend ses droits”, espérons que nous saurons les entendre…

Suivez Diaspora crew sur facebook

N-B: le Livre Street Art Lorient a été réédité…Plus d’infos sur la page facebook

Erik

 

Saïko

 

Etienne

 

Delphine

 

Frédéric

 

Isabelle

 

Stéphane

 

Maxime

 

Jean

 

Josiane

 

Nicolas

 

Louis  

Au-delà des immenses peintures qui ne peuvent être exécutées qu’avec l’aide d’un échafaudage, j’ai pu contempler cet assemblage de métaux qui donnent lieu à un personnage expressif. Celui-ci tend son bras amical comme pour nous inviter à découvrir ce lieu original ! Mais au-delà du climat enthousiasmant qui active toutes curiosités, le point d’orgue à été quand j’ai pu discuter avec un artiste (Ezra) présent dans ce lieu. Ses explications m’ont conforté dans l’idée que cet art invite au voyage ! Dès lors je voyage avec de nouvelles perspectives ! Cela pour dire que cette exposition s’insinue dans tout for intérieur et l’alimente pour peu que l’on soit sensible et à l’art et au monde de la rue…

 

Yannael

Yannael a trouvé le travail des graffeurs époustouflant. Il a aimé aussi bien les dessins que les signatures et il a adoré les sculptures !
Ses mots : «  C’est génial ce que l’on peut faire avec une bombe de peinture ! »
Rêvez est alors juste essentiel. Les explications et la disponibilité de Kaz et Ezra étaient très intéressantes.

 

Erik

C’est avec impatience que j’attendais le moment d’entrer dans l ‘exposition pour voir les magnifiques graffs qu’il y avait comme l’annonçaient ceux qui étaient sur la façade de l’immeuble du 32 cours de Chazelles ! Je fus complètement ravi de ce que je découvris à l’intérieur et mon objectif également. Je dois dire que la situation actuelle limitant la circulation intérieure me permis de déclencher selon mes découvertes progressives. Les graffeurs dévoilent leurs talents dans une galerie dite éphémère , où leurs œuvres aussi divers que magnifiques se côtoient pour former un passage évolutif ou des personnages et des paysages se croisent dans un milieu très futuriste par leurs couleurs et leurs formes. Les photographes ne sont pas loin par leur différentes visions pour les restituer sous plusieurs angles et dimensions et surtout de leurs interprétations qui permettent d’augmenter la puissance de ces œuvres majestueuses qui seraient pour cet ensemble perdues dans l‘avenir par leur position d’ éphémère…Si vous remarquez des graff quelque part saisissez l‘instant et fixez leurs existences par vos photos pour leur conservation dans le futur !

 

Jeanne

Que cette expo fait du bien dans cette période morose ! De véritables œuvres d’art et une vraie découverte d’artistes talentueux qui savent donner de nouvelles couleurs à une ville !