Education aux médias et à l’information avec « Info ou Mytho ? »

Découvrez Info ou Mytho ?, c’est la chaîne d’esprit critique pour les ados… et les plus grands ! Biais cognitifs, théories du complot, éducation aux médias et à l’information, conséquences des fake news dans l’actu, interviews de youtubeurs luttant contre la désinformation, etc.

L’éditeur pour la jeunesse Milan a lancé une chaîne Youtube avec pour objectif de développer l’esprit critique des adolescents face à l’actualité.« 85% des adolescents ont séduits par les thèses conspirationnistes » selon une enquête Milan Presse – CSA, réealisée auprès de 1 005 adolescents âgés de 10 à 15 ans en 2021.

Chaque semaine, retrouvez deux nouvelles vidéos pour muscler votre esprit critique :

https://www.youtube.com/@InfoouMytho/videos

Cette chaîne est réalisée par Milan presse avec l’aide des Youtubeurs Luc Langevin et Valentine Delattre, et le soutien de YouTube France

Yann Kebbi à la galerie du Faouëdic

Une belle exposition Yann Kebbi jusqu’au 5 mars 2023 à la galerie du Faouëdic, à ne pas manquer !

Né en 1987, Yann Kebbi vit et travaille à Paris. Diplômé en illustration de l’École Estienne et en Image Imprimée des Arts Décoratifs de Paris, Yann Kebbi travaille le dessin quotidiennement. Scènes urbaines crayonnées et colorées, gravures, dessins pour la presse ou bien encore livres illustrés, le travail de Yann Kebbi est multiple. À l’occasion de sa présence à Lorient, une rétrospective inédite de son travail est présentée à la galerie du Faouëdic ; « Un travail ciblé sur le dessin et la représentation sur papier » explique l’artiste.

Découvrez l’artiste sur son site web ou sur Instagram

Les rendez-vous autour de l’exposition :

Samedi 28 janvier à 14h30 : visite commentée de l’exposition en présence de l’artiste
Mardi 7 février à 12h30 : visite commentée par Roman Seban, commissaire d’exposition
Dimanche 19 février à 15h : visite commentée par un.e médiateur.trice
Plus d’infos sur l’exposition : https://www.lorient.bzh/yannkebbi

Festival Deizioù au pays de Lorient

Depuis 1985, Deizioù est un festival breton organisé par notre fédération Emglev Bro an Oriant. Il se déroule annuellement de février à mars au Pays de Lorient. Plus de 100 événements sont proposés : concerts, fest-noz, ateliers de broderie, de cuisine, de danse, spectacles, expositions, conférences, concours, stages, théâtre… .

Toute structure, même non membre, peut proposer une animation ou un événement durant cette période, en lien avec la culture bretonne. Par exemple, les communes du Pays de Lorient, les médiathèques et salles de spectacle du Pays de Lorient, se joignent à nous pour dynamiser ce festival en programmant des animations et des concerts en lien avec la langue et la culture bretonnes.

Télécharger le programme du festival en cliquant ici

Adal an 28 a viz Genver betak an 31 a viz Meurzh 2023 e Bro an Oriant. Du 28 janvier au 31 mars 2023, au Pays de Lorient.
A-c’houde 1985 e kinnig Emglev Bro an Oriant festival an Deizioù e-penn kentañ ar blez. Aozet eo ar festival-mañ get Emglev Bro an Oriant, he c’hevredigezhioù ezel ha kumunioù ar c’hornad. Oc’hpenn 100 darvoud a vez àr ar roll : sonadegoù, festoù-noz, atalieroù broderezh, keginerezh ha dañs, arvestoù, diskouezadegoù, prezegennoù, kenstrivadegoù, stajoù, c’hoariva…

Gellet a ra d’ar mare-mañ pep aozadur ag ar vro kinnig abadennoù liammet get sevenadur Breizh. En em lak a ra da skouer mediaouegoù pe salioù-arvest Bro an Oriant a-unvan geneomp evit roiñ lañs d’ar festival, en ur raktresiñ abadennoù ha sonadegoù liammet get ar yezh ha sevenadur Breizh.

Film documentaire : Génération connectée

Il reste encore quelques places , n’hésitez pas à vous inscrire au 02.97.83.69.64

N.B : Les inscriptions pour la garde d’enfants sont closes.

 

Les chants d’oiseaux dans la musique

Hommage à Danielle Philippon aussi connue sous le nom de Yvonne Meunier dont nous n’aurons plus le plaisir de lire de nouveaux poèmes…Retrouvez ses haïkus sur sa page Champs urbains. Un dernier texte de notre poétesse que nous attendions de revoir pour le publier. Repose en paix Yvonne.

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Bonjour à tous !

Aujourd’hui, en prolongation de la Fête de la Musique, voici neuf références musicales sur les chants d’oiseaux dans la musique ancienne : Le plus ancien canon vocal d’Europe est anglais : « Sing coockoo ». Il faut certes faire un effort pour y reconnaîre le chant du coucou.

Passons maintenant à la musique baroque avec Vivaldi : Dans Les Quatre Saisons, certains de ces douze mouvements peuvent être chantés en même temps que les violons sur « Cui cui cui cui» ou, mieux, sifflés, tant on y reconnaît des chants d’oiseaux !

Toujours dans le baroque, le célèbre morceau « Le coucou » de Daquin a été maintes fois interprété par des clavecinistes et pianistes. On en trouve de nombreux enregistrements. Beaucoup d’élèves pianistes l’ont appris : Je le jouais dans mon jeune temps, mais j’en suis devenue incapable…

Passons au 19ème siècle : La symphonie Pastorale de Beethoven commence par un joyeux mouvement qui rapidement donne denvie de chanter « Cui cui cui cui » en même temps que les violons, ou de siffler comme un oiseau !

Au 19ème siècle aussi, la célèbre « Alouette » d’Europe centrale est enthousiasmante, surtout interprétée par les Cent violons de Budapest et leurs six cybaléums !

Au début du 20ème siècle, voici Carl Orff et ses « Carmina Burana » dans lequel un morceau pour grand choeur et choeur d’enfants se termine par un « Quo péréo, quo péréo, quo péréo !» pouvant être chanté à la manière d’une poule qui glousse ! On peut même chanter seul tout le morceau en remplaçant les paroles par des gloussements.

Au 20ème siècle également, le chant soviétique traduit en Français par « Les bateliers de la Volga » s’appelle en réalité « El alamein » et commence par le chant d’un oiseau qu’on entend également à Lorient, depuis des années ! Il est chanté, entre autres interprétations, par les choeurs de l’Armée rouge.

Pour terminer, le génial morceau «Amzer nevez » du bagad de Kemper, a été composé entièrement d’après des chants d’oiseaux bretons. Il en existe deux enregistrements, l’un de trois minutes en live (concours de bagadoù) et l’autre de cinq minutes en version de concert, ma préférée avec guitare électrique !

Des enregistrements sur CD de presque tous ces morceaux sont en prêt dans les médiathèques municipales lorientaises. Demandez-les, et tant que vous y serez, fouillez un peu dans l’espace des CD ! Ma liste n’est pas exhaustive…

Evolution des blasons de Lorient

Au temps de la Compagnie des Indes, au XVIIIème siècle, étant donné le besoin de signer des patentes qui devaient être scellées avec authentification officielle des documents, pour celles qui étaient autorisées à des navires de commerces, les notables de Lorient essayèrent d’obtenir des sceaux et des armoiries pour la ville.

Pour obtenir ces précieuses armes, il fallut contacter Antoine de Montigny, le procureur du collège des Jésuites, pour qu’il contacte lui-même Louis-Pierre d’Hozier, juge général d’Armes de France, seule personne en France habilitée à autoriser à en « fixer ». ( = rendre durable ou inaltérable – Le Robert).

Le règlement de Louis d’Hozier a été établi à Paris le 20 mai 1744. Voir le descriptif de ces armoiries en bas de page.

Sur les armoiries, figure aussi la devise de la cité :

« Ab oriente refulget » : C’est de l’Orient qu’elle resplendit

 

C’est le 24 mai 1745 que la cité portuaire verse 51 livres pour la réalisation d’armoiries qui sont alors apposées dans la Maison commune. C’est le menuisier Le Floch qui a réalisé le cadre et le fond de planche et une autre personne qui a confectionné les peintures, dorures et argenteries.

 

Evolution des armoiries à travers le temps :

Une fois l’écu fixé, on ne peut le modifier, mais on peut changer le décor qui l’entoure.

Au XVIIIème siècle, la municipalité ajouta une ancre de marine, à la droite de l’écu. Les autorisations d’avoir des armoiries de ville furent supprimées entre le décret du 19 juin 1790 et le 17 mai 1809. Lorient a dû attendre Le 8 novembre 1815 pour récupérer ses anciennes armoiries.

En 1960, il est question de les modifier en incluant des décorations décernées à la ville. Après délibérations et concertations, le 21 octobre 1961, un projet de modification est validé pour le contour de l’écu :

– Une nouvelle représentation apparaît à gauche de l’écu :

« support à senestre (gauche) : un dauphin au naturel regardant »

– En remplacement du triton qui surmontait l’écu :

« l’écu timbré de la couronne murale d’or à quatre tours ». Alors que seules les villes dotées de fortifications peuvent y prétendre, Lorient a obtenu le droit de l’adjoindre à ses armes en souvenir de ses anciennes fortifications construites à partir 1744 et détruites au début du XXe siècle

– Plusieurs ajouts en dessous de l’écu :

« soutien : l’écu soutenu en pointe par une ancre de marine qui broche sur un listel chargé de la devise « Ab oriente refulget (c’est de L’Orient que resplendit la lumière) ».

« la Croix de la Légion d’honneur et la Croix de Guerre, appendues de chaque côté de la pointe de l’écu, de part et d’autre de la stangue de l’ancre, sur la traverse de laquelle brochent les deux décorations».

Le 29 décembre 1965, Georges Gaigneux, archiviste de Lorient, soumet à nouveau au Conseil municipal, la révision de celles-ci.

Le projet est adopté dans la mesure où, par rapport au dessin de 1961, le dauphin et le triton auront les mêmes dimensions et que la base de l’ancre est élargie et ses pointes légèrement remontées. Le blason est adopté à la majorité en tenant compte des observations ci-dessus. Il faut également noter que bien qu’il n’avait pas encore été officialisé, des médailles frappées de ce blason étaient déjà distribuées lors des cérémonies.

 

En 1986, est apparue une nouvelle représentation symbolisant la ville. Trois éléments clés y figurent :

– Le soleil, qui est le symbole du pôle d’attraction qu’est la ville sur le plan culturel et sur le plan économique

– Le O majuscule, pour indiquer la fondation de la ville au temps de la Compagnie des Indes.

– Le L, qui a une allure de vague, pour rappeler la vocation maritime de la ville comme la jeunesse et le dynamisme.

En 2000, An Oriant est ajouté à cette représentation.

 

 

Descriptif de ces armoiries de 1744 :

« Un écu (1) de gueules (2) à un vaisseau d’argent voguant sur une mer de sinople (3) et un soleil d’or se levant derrière des montagnes d’argent, posées au flanc droit de l’écu et un franc-canton (4) d’argent semé de mouchetures (5) d’hermines de sable (6). L’écu ayant un chef d’azur (7) semé de besants (8) d’or et surmonté d’un triton au naturel, ayant le bas du corps en forme de poisson, tenant de la main droite une corne d’abondance, et de la gauche une coquille en forme de cornet, qu’il porte à sa bouche pour servir de trompe. »

NDLR, vocabulaire de la science des blasons :

(1) Écu…..…………. : « rappel du bouclier, défini par son sommet, sa pointe et ses côtés. » ; « blason central »

(2) Gueules………… : « émail héraldique de couleur rouge » ; « couleur rouge figurant en gravure par des traits verticaux »

(3) Sinople…………. : « c’est une couleur héraldique classée dans les émaux. Vert en représentation polychrome, il est symbolisé par des     hachures à 45° partant du point dextre du chef (\\\) en représentation monochrome gravure, architecture, sceaux, etc.» ; « couleur verte figurant en gravure par des hachures obliques allant de dextre à senestre »

(4) Franc-canton ….. : « pièce honorable en forme de carré, légèrement plus grande que le canton. (Le canton est une partition carrée, placée à un des angles de l’écu, au chef-dextre par défaut. On donne aussi le nom de canton aux quatre zones du champ laissées visibles par la croix et le sautoir.) »

(5) Mouchetures ….. : « chacune des petites marques de l’hermine ou de la contre-hermine »

(6) Sable « noir »

(7) Chef d’azur ……. : « sommet bleu »

(8) Besants ………….  : « un type de figuration représentant un disque de petite taille »

 

Sources pour les informations et les illustrations:

https://patrimoine.lorient.bzh/histoire/histoire-generale/evenements-et-historiques/attribution-darmoiries-a-la-ville?no_cache=1

https://www.sahpl.asso.fr/SITE_SAHPL/Armoiries_de_la_ville_Lorient.htm

http://www.armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=13277

https://www.heraldry-wiki.com/heraldrywiki/index.php?title=Lorient

https://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/lorient-a-kerentrech-d-ou-proviennent-ces-armoiries-7523f68c-cc7e-11ec-bc35-01778601fe28

 

Jeudi 2 février : la Chandeleur

La chandeleur, c’est bientôt. Il est grand temps de réfléchir à la recette que vous allez pouvoir réaliser pour vous régaler.

Le jeudi 2 février, nous célébrerons la Chandeleur. La tradition veut que ce jour-là on fasse des crêpes.

Les crêpes sont simples à réaliser et demandent très peu d’ingrédients : farine, œufs, lait,.. C’est l’occasion de se faire plaisir à moindre coût.

Voici quelques idées recettes pour changer de la recette traditionnelle :

  • Pâte à crêpes à la farine de châtaigne

Ingrédients :

– 250 gr farine de châtaigne

– 100 gr farine de blé

– 40 gr sucre

– 4 œufs

– 50 gr de beurre fondu

– 500 ml lait

Préparation : 

– Mélanger les farines. Faire un puits puis y casser les œufs 1 à 1 . Ajouter le beurre, le sel et le lait progressivement jusqu’à ce que la pâte coule en faisant « un ruban ».

– Laisser reposer la pâte au moins 1 h et ajouter un peu d’eau si elle semble trop épaisse.

– Cuire dans une crêpière .

  • Pâte à crêpes sans lait

Ingrédients :

– 400ml d’eau

250gr Farine

– 3 œufs

– 3cuil. à soupe Sucre

– 2 cuillères à soupe Huile neutre

– 1 pincée Sel

 Préparation :

Mélangez la farine et 400 ml d’eau dans un saladier. Ajoutez les œufs et battez au fouet électrique.

Ajoutez le sucre et l’huile. Battez à nouveau.

Laissez reposer la pâte sans lait 20 min.

Faites cuire dans une poêle anti-adhésive bien chaude, 1 ou 2 min par face.

 

  • Baghrir crêpes mille trous

Ingrédients :

– 150 gr semoule de blé (fine)

– 75 gr de farine

– 2 cuillières à café de sucre en poudre
– 1 sachet de levure de boulanger
– ½ sachet de levure chimique
– 390 gr d’eau
– 1 pincée de sel
 Préparation :
– Commencer par délayer la levure de boulanger sèche dans l’eau et laisser reposer 5 minutes.

– Puis dans un grand récipient, placer tous les ingrédients secs, la semoule de blé fine, la farine, la levure chimique, le sucre en poudre et le sel. Mélanger rapidement avec une cuillère à soupe.

– Puis incorporer l’eau contenant la levure de boulanger tout en mélangeant avec un fouet, jusqu’à l’obtention d’une pâte à crêpes à la texture fluide entre la pâte à crêpe et les pancakes.

– Si besoin passer un coup de mixeur plongeant pour lisser la pâte à crêpes.

– Ensuite couvrir d’un torchon et laisser reposer la pâte à baghrir pendant environ 30 min.

– Terminer en passant à la cuisson des baghrir ci-dessous

Cuisson des crêpes mille trous

– Tout d’abord, chauffer une poêle à crêpe sur un feu moyen et beurrer la poêle à crêpes avec un peu de beurre.

– Déposer une demi louche de pâte à baghrir (pour des petites crêpes d’environ 15 cm de diamètre ou une louche entière pour des grandes crêpes de 20 cm de diamètre.

– Cuire environ 2 min sur une seule face puis lorsque la crêpe est totalement cuite, déposer la dans une assiette.

  • Crêpes à la purée de Pomme de terre

Ingrédients :

– 1 kg de pommes de terre

– 4 cuillères à soupe de farine

– 3 œufs

– 1 à 2 cuillères à soupe de sucre en poudre

– arôme vanille

– eau

– beurre

Préparation :

– Pelez et coupez les pommes de terre en morceaux.

– Faites-les cuire dans une casserole d’eau bouillante pendant 20 minutes.

– Egouttez-les et laissez refroidir.

– Ecrasez les pommes de terre en purée dans un saladier.- Ajoutez la farine, le sucre, quelques gouttes d’arôme vanille et les oeufs

– Mélangez bien puis ajoutez un peu d’eau tiède, tout en remuant, jusqu’à obtenir une pâte lisse semi-liquide.

Cuisson :

– Faites fondre une noix de beurre dans une poêle.

– Versez-y une louche de pâte, en l’étalant bien, et faites cuire la crêpe 1 à 2 minutes de chaque côté.

– Répétez l’opération jusqu’à épuisement de la pâte à crêpes.

– Servez tiède nappé de confiture, de miel ou saupoudré de sucre en poudre ou cassonade.

  • Crêpes à la noisette

Ingrédients :

– 500 gr de lait entier
– 40 gr de purée de noisette
– 30 gr de sucre brun
– 60 gr de blanc d’œufs
–  25 gr de miel
– 3 œufs
– 200 gr de farine T45
– 50 gr de poudre de noisette torréfiée
– 40 gr D’huile de noisette
Préparation :
Montez les blancs en neige avec le miel, réservez. Dans le bol du robot, ou dans un grand cul de poule, mettre la farine, la poudre de noisette et le sel. 
– Y ajouter les œufs et un grand verre du lait entier et l’huile de noisette. Mélangez au fouet, vous allez obtenir une pâte souple et épaisse, quand elle sera homogène ajoutez l’huile puis petit à petit le reste du lait. Cela vous évitera d’avoir des grumeaux.
– Terminez en ajoutant délicatement les blancs d’œufs en neige à la pâte.
– Laissez reposer la pâte au moins 30 minutes à une heure avant de les cuire .

Hennebont confirme son statut européen

J’ai eu la chance d’être invité à la rencontre Hennebont-Messine dans la nouvelle salle baptisé « Ping Center » que je découvrais.

Les joueurs de la Garde du Vœu ont été expéditifs face aux joueurs italiens. A la mi-temps la rencontre était presque pliée : 2 victoires à 0. « Notre équipe se situe au 3ème rang au niveau européen » nous précisait le président Abraham rencontré dans les travées des tribunes. Ceci explique certainement cela. Le 3ème joueur de la Garde du Voeu confirmait la tendance : 3ème victoire.

L’équipe de la GV Hennebont TT : Kristian Karlsson (Suède, n°21 mondial) ; Anders Lind (Danemark, n°159 mondial) ; Ioannis Sgouropoulos (Grèce, n°204 mondial). Entraîneur : Adrian Crisan. Seul absent, le Taïwanais Chih Yuan Chuang, 17e joueur mondial

Celle-ci était synonyme de qualification pour les 1/2 finale de la coupe d’Europe. Ce n’est pas rien. En somme une belle soirée passée dans une salle agréable.

Suivez le GVHTT : https://pingcenter-gvhtt.com

« Le Monde ou Rien » à La Balise

« Le Monde ou Rien » fait référence au tag apparu un matin sur les murs du quartier de Kervénanaec.
« Le Monde ou rien » évoque, pour nous, les mots d’Édouard Glissant : « Agis en ton lieu, habite avec le monde ».

Les 27 et 28 janvier prochains, Alice vous invite au troisième acte de sa recherche autour de la Ville et de l’Hospitalité, issu d’un compagnonnage avec la Maison Pour Tous, la Direction de la Culture et du Patrimoine de la Ville de Lorient et bien sûr des habitantes et des habitants de Kervénanec.

Vendredi 27 janvier à 20h
Samedi 28 janvier à 18h

A la Balise (2, rue Eugène Varlin, Lorient)
Entrée libre / Réservation conseillée au 02 97 37 29 86.

Un création partagée du groupe artistique « Alice », avec les habitant·es de Kervénanec à Lorient, en coproduction « Maison Pour Tous Kervé » et la mission Action Culturelle de Proximité – Direction de la Culture et du Patrimoine de la Ville de Lorient, ainsi que les soutiens de la Préfecture du Morbihan – Politique de la Ville, de la CAF et de la Fondation Fondalor.

Face au triptyque de l’inhospitalité – contrôler/trier/expulser – le philosophe Guillaume Le Blanc propose celui de l’hospitalité – secourir, accueillir, appartenir. C’est bien ce troisième pilier de l’hospitalité – appartenir – que le groupe artistique Alice interroge par sa démarche artistique mais aussi de recherche-action (rencontres et débats, joutes oratoires, cartographie, collage et fresque urbaine, formation à l’interculturalité…).

Depuis un an, Alice est en résidence dans le quartier de Kervénanec à Lorient et au Château de Rezé dans l’agglomération nantaise pour explorer cette hospitalité française sur fond de campagne présidentielle et de ses discours électoraux.

Les quartiers populaires et les populations qui y habitent sont depuis longtemps discriminés dans l’espace public et médiatique. Des « punchlines » sont lancées, lâchées en direct à la télé, dans les postes de radio, sur les réseaux sociaux, mais comment sont-elles perçues, vécues dans l’intime des personnes issues de l’immigration et de l’exil ?

Quelle est la réalité du vécu des personnes aux origines multiples ?
A-t-on le droit de vivre ses multiples appartenances ?

Entre stéréotypes, chasse aux sorcières et création de boucs émissaires, comment devient-on habitant à part entière d’une cité, d’un quartier, d’un village ?

Après le « Banquet du Grand Nous » en juin 2022, qui a été un temps fort du faire ensemble, porté par la Maison pour Tous et des habitant·es de Kervénanec, Alice a suivi le parcours d’habitant·es pour proposer à travers ce spectacle un portrait sensible et poétique du quartier et poser sa pierre à un Manifeste du Nous.

Comptage des oiseaux de jardin

C’est ce week-end ! Comment participer ? C’est simple, suivez ces 3 étapes :

N’oubliez pas de transmettre vos données en ligne, c’est SANS INSCRIPTION : bretagne-vivante-dev.org/coj